CHAPITRE 1: L'espoir et la rencontre.
Dans sa voiture, la Mercedes dernier cri 2019 le regard par dessus la vitre, d'un air apaisé explorant toutes images resplendissantes que peut offrir la ville et celles moins jolies qui lui faisaient sourire d'autant pour lui malgré le nombre de millionnaires et milliardaires dans cet État certaines zones restent toujours aussi déplorables. Ils préfèrent aller passer les vacances dans autres régions, y construire des bungalows que les régions les plus probantes. Ce débat individuel prit fin dans sa tête lorsque son chauffeur l'interpela à savoir s'il rentre à la maison ou s'il passe au rendez-vous de 20h.
-On rentre Nicolas. J'ai pas vraiment la tête à courtoyer ces gosses de riches en leur parlant de ce qu'ils ne pourront pas comprendre.
-Excusez moi monsieur mais vous oubliez que vous êtes aussi riche qu'eux et même plus qu'eux !
-Justement Nicolas! moi je suis riche. Eux ils sont gosses de riches. Il y a une différence du fait que moi j'ai gagné l'argent de mes propres mains tandis qu'eux héritent de ceux de leurs parents
-Je comprends Monsieur mais ça m'étonne qu'entre riche parfois vous vous dénigrer.
-C'est l'ironie des choses, Alors ferme la et conduit.
Nicolas ne dit mot sourit et continuiait son boulot comme toujours. N'ayant pas l'habitude de rentrer si tôt dans sa grande maison munit d'exceptioonnels objets d'art venant d' un peu partout du monde, des artistes les plus remarquables, il ne taillait pas d'importance à tout ça. Plus jeune il croyait qu'être riche, il serait bien satisfait de sa vie cependant ce ne fut pas le cas puisque cette fortune demande parfois certains sacrifices qui y impliquent parfois sa dignité. Contrairement à sa compagne Alice. Ces objets d'arts définissent ce qu'on est. Et le mariage n'est qu'un contrat entre deux individus juste pour satisfaire soit la coutûme communautaire soit par obligation, par besoin pour plus de fortune ou résoudre un problème plus complexe.
Sa voiture se gara alors dans le domaine il sorti, toujours bien vertit comme d'habitude, d'une beauté élégante et assez mignon. Du taille de plus d'un mètre 70. Ilse dirigea vers la porte de sa maison. Sa démarche était souvent les plus droit on dirait qu'il l'avait appris à le faire depuis son jeune âge. Eh oui la richesse lui va bien.. Il entra laisse le grand salon du bas, monta les escaliers pour les chambres. Le silence dans l'appartement lui était un peu plus soupçonné. Devant sa chambre il ouvrit, entra se débarrassais de sa veste. Sans raison il décida d'aller vérifier si sa femme était dans la sienne. Selon Alice ils n'avaient pas besoin de partager la même chambre puisque cela entraverait à leur espace personnelle. Elle avait ses caractères et pire encore. Marchant tout droit vers la chambre de sa femme. Il entendit des voix, des gémissements, bref des cris, frustré par ce qu'il vient d'entendre, une colère lui monta jusqu'aux orbites qui changea la couleur de ses yeux en rouge. Ainsi pour être plus sûr de la situation il ouvrit la porte et vit sa femme s'envoyer en l'air avec un monsieur bien musclé dont il n'avait pas connaissance. La position dans laquelle il les avat surpris était des plus gymnase. Prise en flagrant délit. Elle sursauta de sa position magique
-Aaron? T'es déjà rentré.
Hébété, il ne dit mot ,figé, les yeux pleins de rougeurs.
-Et d'ailleurs pourquoi tu frappes pas avant d'entrer ?
Le monsieur qui prenait la charge de s'occuper de Alice ramassait ses vêtements, l'air effrayé comme s'il avait reconnu l'homme qu'il venait de cocufier. Il ne tarda pas à sortir de la chambre traversa les couloirs, les escaliers et le reste du domaine enfin finir pas s'habiller dans les jardins. Le chauffeur vit l'homme en vitesse et comprit ce qui se passait déjà ayant été témoins de beaucoup des ces situations.
Dans la chambre de Alice. Aaron ne sentant plus ses jambes, s'assied sur une des chaises dans la chambre. Elle faisait alors sa grande gueule et continua
-Je suis désolé que tu aies vu ça mais fallait toquer avant d'entrer
-Tu es sérieuse là ? C'est tout ce qui t'intéresse, à ce que je toque à la porte de ta chambre avant d'entrer alors qu'il y a deux secondes tu t'envoyait en l'air sauvagement avec ton prof de gym ou je ne sais qui?
-De un, ce n'est pas mon prof et désolé que cela te choques, mais de toute façon on s'en fou de la personne avec qui je m'envoie en l'air dans le cas où nous restons mariés. Et d'ailleurs ne me dit pas tu ne fais pas pareil avec tes fans, tes secrétaires ?
Là, son honneur était mise en question, sa dignité. Il n'avait jamais trompé sa femme mais pour égaler la situation fallait qu'il dise ce qu'elle avait envie d'entendre.
-Oui je couche avec des nanas mais je les amène jamais chez moi. Je ne baise pas avec eux dans notre salon,ni cuisineset nul part d'autres ici ou je ne sais où tu t'es déjà envoyé en l'air avec tes inconnus.
-N'en fait pas une drame politique quand même. Dit-elle
-Alice. Respecte au moins ma maison, moi, et respecte au moins notre fille qui dort juste à côté,mais putain !!!!!!
Sous ces mots il quitta la chambre. Évolua dans les couloirs et dit
-Si tu continues ainsi je risque de demander le divorce.
Suite à ces mots, elle prend un air de gaîté et vint lui voir en face pour lui jeter à la figure ces mots.
-Si tu oses Aaron. Tu sais bien que tu vas tout perdre, ta fortune, je sais que tu t'en fiches de moi mais tu vas aussi perdre ta fille, ainsi ta dignité du grand écrivain, homme d'affaire et cinéaste que tu es. Tu sais bien ce qui est en jeu.
-Ma dignité je l'ai déjà perdu il y a bien longtemps.
Ce fut ses mots avant d'entrer dans sa chambre et claquer fort la porte derrière lui. Enfin il cria à travers la porte
-Et plus jamais tu ne me cusineras avec tes mains infectes et ni à notre fille.
-Parfait, d'ailleurs ça rend raides mes doigts de faire la cuisine. Et demain je dirai à ta fille que Papa a refusé que maman lui fasse la cuisine lorsqu'elle posera la question de savoir " pourquoi ce n'est pas maman qui me fait aujourd'hui ma salade ?".
Il ne répondit pas à ses propos. Entra sous la douche, pleurait toutes les larmes de son corps, essayant les cacher sous les gouttes d'eau comme si quelqu'un étant là allait les remarquer. Parfois il avait envie de tout laisser, fuir loin de cette femme même si cela lui coûtait sa dignité, sa fortune. Mais ça devrait pas lui coûter sa fille. Il se disait ainsi rester pour elle mais seulement que jusqu'à là il n'avait pas encore trouvé lui même la bonne raison de laisser tout, quelques chose qui en valait la peine de risquer tout ça et s'en aller. Il n'avait pas encore trouvé ce bonheur. Ainsi il comprenait des fois que ça fait très longtemps qu'il avait sourire sans y être contraint. Le désespoir le gagnait et son seul espoir parfois était sa petite fille de 5ans qui, réveillée le matin demande d'après lui; veut qu'il lui fasse son bain, qu'il l'amène à la garderie. Chaque fois avant de s'endormir c'était ces seules choses, cette importance que lui accordait sa petite qui l'aidait à se réveiller et à ne pas enfin sombrer..
L'éclair ensoleillé, traversait sa grande fenêtre ayant une vue sur le jardin entier ainsi se projetait sur son visage tout calme, ce fut toujours cette sensation de sentir son visage éclairé par une lumière qui le réveillait de son sommeil. L'un des moments où il était lui même. Sortit du lit il prit une douche, s'habillait et se précipita dans une chambre plus petite, bien décorée avec des guirlandes, des dessins, et aussi des tableaux d'enfants très spéciaux. Il ouvrit minutieusement comme pour ne pas réveiller quelqu'un. Il entra se glissa dans le petit lit à côté d'un corps minuscule, verti en pyjama ,courbé sur son côté droit et d'un sommeil profond. Sa présence se fit remarquer par sa fille qui se retourna vers lui, ainsi face à face. Il s'enpressa de dire
-Toc-toc !
-Qui est là ?.. Dit elle à son tour.
-C'est ton prince charmant Papa.
-Et que me vaut l'honneur d'une telle visite ?
-Venir me blôttir contre ce corps de reine avant d'aller au boulot et en passant lui faire beaucoup de bisous pour qu'elle ait une très bonne journée.
-Et ainsi en recevoir d'elle pour une bonne journée de travail aussi ?
-Effectivement.
Souriante elle se mit dans les bras de son père qui la serra fort contre lui sans manquer de lui faire des bisous dans ses cheveux, sa joue, et un peu partout sur son visage.
-Ça va Papa tu risques de me mouiller.
Dit-elle en éclatant de rire. Son père prenait encore le temps de la dévisager pendant qu'elle était encore entre ses bras et lui dit.
-Si petite mais si intelligente. Je t'aime ma reine.
-Je t'aime aussi Papa prince.
Il quitta après quelques minutes la chambre de sa petite fille puis redescends dans la cuisine près du salon d'en bas. Monica une femme dans les trentaines habillé en blanc avec un tablier de couleur rouge lui fit son petit déjeuner qu'il prend avec savoure
-Toi tu vas pas arrêter de me surprendre avec tes nouvelles préparations.
-Ça me ravit de toujours vous surprendre et que vous soyez bien rassasié.
-Merci pour les œufs brouillés au saucisses, Monica
-Je vous en prie monsieur et bonne journée à vous.
-merci.
-Lorsque vous pourriez écrivez sur moi aussi. Ça me plairait qu'on fasse un film sur mon histoire.
Il se mit à rire et pour ne pas décourager la dame,
-Ne t'en fais pas. On a tout le temps pour que je puisse connaître ton histoire et et le narrer au monde entier.
Compris qu'il le disait juste pour le faire plaisir alors elle dit
-Vous blaguez n'est ce pas?
-Oui je blague Monica. Tu me cuisines très bien et ça c'est la plus magnifiques des histoires que tu puisses narrer. Bye.
Elle sourit et se mit alors à faire la vaiselles. Au dehors, Nicolas attendait devant la voiture que prendra aujourd'hui son employeur. Plus proche il lui passa le bonjour lui ouvrit la portière de derrière mais Aaron décida de prendre la place du devant proche du conducteur. Surpris par sa décision il s'exécuta ensuite. Pendant la moitié du trajet il était silencieux et comme d'habitude regardait par dessus de la vitrine. À un moment il demande à ce que Nicolas lui joue ses goûts musicaux qu'il dénigra ensuite et qu'il n'avait pas bon goût et lui faisait jouer les siens que lui seul aimait bien sûr. À destination avant de descendre il se tourna vers son employé pour un regard plus intense et lui demanda?
-Couches tu avec ma femme ?
Pris de peur il répondit assez vite
-Mais non. Jamais je ne vous ferai ça Patron.
-J'espère bien, si tu tiens vraiment à ta putain de vie.
-Bien sûr je tiens à ma vie.
-J'espère que c'est pas parce que je viens de menacer ta vie tu me dis ce que j'aurais envie d'entendre ?
-Jamais monsieur je ne la regarde même pas!
-N'exagère pas abruti. C'est une belle femme. Aucun homme ne peut s'empêcher de la matter mais les belles choses, ça vous suce,vous vide de tout.
-Vous voulez dire quoi par là ?
-Que tu rentres et amène ma fille à son école.
Il sortit entre dans un grand bâtiment peint en bleu et munit de plusieurs étages. À peine entrer une femme vient à sa rencontre le salua et commençait à lui programmer sa journée. Elle n'arrêtait pas de parler encore et encore ce qui parfois indisposait Aaron mais il ne disait rien puisque c'était son boulot à elle de parler en tant qu'assistante. Dans son exposition des rendez-vous du jour, un l'avait interpellé; celui de midi avec une entreprise de réalisation cinématographique. Apparemment cette entreprise voulait une liaison avec la "Maison d'édition Aaron" sur la vente des droits d'auteur sur un roman qu'ils produiront ainsi pour une série télévisée. Mais les deux côtés n'étaient pas du même accord sur le prix fixé pour la vente du droits d'auteur de ce roman qui est discuté par aussi d'autres entreprises cinématographiques. Dans ce genre d'affaires seul celui qui propose le meilleur prix en est acquéreurs puisque là il s'agit pas seulement d'une liaisons entre la *Maison D'édition Aaron* et l'entreprise du cinemas qui reviendrait à partager par pourcentage des chiffres d'affaires à la sortie de la série mais une vente totale de l'écrit de cette série dont la *Maison' d'édition Aaron* effectuera ce qui lui privera des droits d'auteur du roman ainsi il n'aura plus de revenus après la sortie du film ou de la série télévisée. Cela rend alors cette vente complexe et à des milliers de FCFA. Il prit en compte ce rendez-vous afin de vite conclure le marché et que sa boite recueille des millions de FCFA ainsi qui lui rend un plus plus riche. Dans l'ascenseur il posa la question à connaître l'heure exact du rendez-vous.
-Natasha annulez tout les autres programmes de la journée à part celui-ci.
-Mais pourquoi monsieur ? Ce sont aussi des rendez-vous très importants
-C'est moi qui décide ce qui est important et ne l'est pas. Est ce qu'il me rapporteront des millions ?
-Non mais....
-Alors apporté moi un café et s'il vous plait ne me parlez pas de quoi d'autre à part ce rendez-vous, si vous voulez continuer à gagner votre salaire.
-D'accord boss, c'est noté
- C'est bien,j'aime quand vous comprenez plus vite.
Après le départ de Natasha il prit le temps de s'asseoir, et regarder la photo de sa petite posé sur son bureau, le sourire lui vint sur les lèvres.ce qui lui rappela presque son seul bonheur..
Des heures passèrent et il sonnait déjà midi, le soleil étant au zénith ce qui faisait bon temps pour les vendeurs de glaces et boissons fraîches. La cafétarias à ce moment sont fermés et rouvrent tard dans la soirée. Déjà à 13h et 30min il était de retour de son rendez-vous sortit de sa caisse pour se diriger à nouveau vers son lieu de travail. À l'entrée il fit constater au Virgile pourquoi y avait-il dans de monde dans son entrée. Aussitôt Natasha le rejoignit tout essoufflée
-Ne vous énervez pas pour ce monde. Mais aujourd'hui c'est la journée de dédicaces. Ce que vous avez tant ignoré dans vos programmes du jour.
-Et puis merde!!!
-Ah oui. Je vous avais prévenu de prendre en compte tout.
-J'avais compris oui. Et arrêté ce me fixer avec cet air de " je vous avais dit"
Elle sourit et continua d'essayer de calmer les gens présents pour la dédicace.
Soudain une fille dans les vingtaines, au cheveux bruns qui tombaient jusqu'à son dos tressé sous forme queue de cheval qui apparemment accompagnait une vieille dame dans les quatre-vingtaines dans un fauteuil roulant d'au-moins trois livres à ses genoux, lui cria dessus.
-Eh toi l'écrivain???
-Moi?
S'étonna Aaron de répondre dû à la façon dont elle lui a adressé la parole.
-Oui toi. Y-a t-il d'autres écrivains ici?
-Excusez moi? Mais.....
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle enchaina,
-Ça fait plus d'une heure qu'on vous attend ici la vieille et moi. Elle m'a fait déplacer de l'autre bout de la ville pour une dédicace de votre part et malgré que vous nous avez fait poiroter ici pendant une heure, enfin vous êtes là et vous vous figez à l'autre bout de la pièce?
La vieille dame aperçu alors Aaron
-Excusez ma petite fille pour ses mauvaises manières chers monsieur..
Avant qu'elle ne finisse ses mots le reste de la foule aperçut Aaron et s'immobilisait tous vers lui mais les agents de sécurité du lieux les stoppaient avant. Il monte alors dans l'ascenseur et demande à ce qu'on envoie la vieille dame dans son bureau. Des instants après s'être assis à son bureau et signer quelques documents concernant le rendez-vous avant, il reçu un appel si son téléphone fixe. C'était sa secrétaire; pour annoncer deux femme qu'il ordonna d'entrer. La porte de son bureau s'ouvrit faisant apparaître la jeune femme et sa grande mère en fauteuil.
-Entrer s'il vous plait leur dit-il.
La demoiselle fit entrer la vieille et l'accompagne donc. Aaron ne cessait de la regarder. Cette fille avait quelques chose en elle dont-il ne comprenait pas. Il lui fit signe de prendre siège ce qu'elle faisait sans tarder. À lui d'entamer la discussion ainsi..
-Madame, comment allez vous? Je suis vraiment désolé pour le retard ! Et..
-Ça je ne vous le fais pas dire.
-Coupa la demoiselle à ses lèvres.
La vieille pour le calmer lui faisait signe des yeux de ne pas la répondre..
-Vous êtes une bonne grande mère qui adorez la lecture malgré que vous avez une petite fille si..
Mais ne finit pas sa phrase par respect pour la dame en fauteuil.il prit enfin les livres et les signe. Il jetait un coup d'œil à la demoiselle à côté qui était très absorbée par son visage.
-Voudriez vous ma photo et vous, vous ne lisez pas?
-En photo vous seriez très vilain et non j'aime pas lire. Je préfère regarder dans les films
-Ainsi vous me trouvez beau. Les films sont moins captivants que les romans.
Elle sourit d'un coin de ses lèvres et s'approcha plus vers son visage, lui curchotait tout près
-Vous, je crois que je ne vous aime pas.
-Ne croyez pas trop vite, si non vous risquer de m'aimer plus tard.. Lui répondit-il le sourire aux lèvres. La vieille innocente de la situation les regardait tous deux étonnamment. La demoiselle se leva, tint le fauteuil de sa mémé et la poussa vers la sortie sans dire au-revoir à Aaron qui lui fit remarquer
-Chez nous on dit au-revoir avant de quitter quelqu'un mademoiselle ...?
-Ushua. C'est mon nom. Et c'est fait exprès pour que vous le dîtes en premier. Bye.
Et la porte se renferma derrière elle. Et dans sa tête une phrase lui traversa l'esprit.
<< Je crois qu'elle va me plaire celle-la>>.
La porte du bureau vient de rouvrir, Nastha entra, se rapproche du bureau de son patron et posa ses deux paumes à la table, d'un air interrogatif.
-Alors cette réunion ?
-Bien. C'était une femme assez complexe avec sa grande mère pour une dédicace.
-Quoi? De quoi parlez vous? Je parle de la réunion qui devrait nous rapporter des millions.
-Ah oui ça ?
-Oui ça ! Et non de votre dédicace.
-Eh ben, ils étaient tous là avec leurs avocats, ainsi que moi et les miens, on a mené les pourparlers, il m'a traité d'abruti de requin.
-Quoi? C'est tout ?
-Non, il m'a signé un chèque avec pleins de zéros dessus.
-Après t'avoir traité d'abruti de requin?
-Oui.
-Évidemment. J'avais cru que vous feriez foirer cette affaire.
-Et pourquoi croyez vous ça ?
-Parce que d'abord ton associé n'est pas là, et tous deux savons qu'il est plus doué pour mener ce genre de contrat. Et sans oublier que le PDG de notre nouveau partenaire vous déteste.
-Éric est en congé de deux semaines, c'est pas pour autant que
l'argent ne doit plus entrer dans la boite. Et leur PDG est un trou du cul.
-Je suis sûr qu'il pense la même chose de vous.
-Merci. Soit gentille et va m'encaisser cette somme sur notre compte bancaire
Elle prit alors le chèque que lui tendit Aaron, sourire aux lèvres après un coup d'œil sur le papier
-C'est une sacrée somme là. Je ne m'attendais pas à une telle prouesse en affaire de votre part.
-Merci pour le compliment et oups!
Elle sortit du bureau très rapidement pour enfin aller encaisser cet argent.
CHAPITRE 2: La renaissance. La foule qui l'attendait en bas s'amplifiait au fil des heures, il n'eu le choix que de descendre et la satisfaire. Ceci prit le reste de la journée. Après ses dédicaces il décida alors de rentrer directement chez lui. L'éclat lumineux de la ville sur les eaux était époustouflant. Le vent aussi frais que piquant de la saison dans la nuit, les bruits de moteurs des voitures en circulation donnait un mode assez rock à la mélodie du soir de la ville.De l'autre côté, dans le quartier des bourgeois, dans une maison assez grande pour tout le voisinage. Le silence du dîner était de parole. De différents mets disposés sur la table en sorte d'ornement. Son regard se posait sur chaque repas, qui de ce soir ne seront pas touchés. Il fallait juste cuisiner pour trois personne et non pour tro
CHAPITRE 3: Le meurtre ( De l'évolution.) À 32 ans seulement il devint multi millionnaire. Mais bien avant ça, il y a 13 ans c'était un jeune étudiant de 19 ans qui abandonnait ses études de sciences juridiques pour écrire. Fasciné par l'imaginaire, le monde romanesque qui n'est pas seulement pour lui qu'une correction de ce monde-ci mais aussi une alternative possible pour s'évader du présent. Ensuite lorsqu'il se mit à l'œuvre, à écrire,il comprit donc que ce monde dans ses écrit n'est qu' une autre trajectoire de la vie qui'il créé , qu'il peut guider comme il le pense.. Ainsi dans ces œuvres il pourrait émettre des conceptions à travers ses personnages, sa façon de concevoir de monde, l'expression de ses envies les plus sombres. Cependant il ne s'arrêtait pas là. Pourquoi ne pas en faire une réalité alternative? Non pas cette fois pour une évasion du monde réel mais pour une intrusion da
La soirée était des plus luxueuse, les paparazzis guettant autour, prêts à saisir la capture de leur carrière. Aron et Alice qui s’étaient éclipsés de l’événement se rendirent dans un coin de l’immeuble éloigné du monde mais à la vue des plus déterminés photographes. Ils pouvaient être vus depuis le toit des immeubles d'à côté.-Alors dit moi tu trouves la vue comment?-Assez sublime, très captivante et sa splendeur fait effet d'un art divin, éternel.-Bah ça alors, tu as les mots pour décrire toi!-Disons que j’essaie de me trouver une place dans ce monde plein d’impressionnantes personnes. Et toi c’est quoi ton truc?-Mon truc , c’est de faire aimer aux gens tout ce qu'il les faut pour être heureux.
CHAPITRE 5 : L’imprévu érotique. Un nouveau jour, un nouveau défi, une nouvelle chance, de nouvelles rencontres, encore un contrat de plus. La journée de Aaron était pour lui du prévisible, il allait à son boulot, rencontre de nouvelle personnes et signe de nouvelles affaires ; ce qui le fait gagner beaucoup plus d’argent. La nuit précédente était une fois pour lui un imprévu, il ne savait vraiment pas ce qui c’était passé, Ça été trop vite. Oui depuis des années c’est la première fois il vient de refaire l’amour avec sa femme. Après avoir mis les choses au clair et rejoindre sa chambre pour dormir, quelques instant plus tard Alice toquait à sa porte. Croyant que c’était sa petite princesse qui n’arrivait pas dormir, il ouvrit rapidement. Surpris par sa présence là, il lui lança aussitôt. -Qu’est ce que tu fous là? T'es venu me convaincre de quoi cette fois? L’affaire Nelly?
CHAPITRE 6: Faire connaissances à nouveau. 1. Toujours dans ses pensées de la nuit précédente, un sourire délicat aux lèvres, contemplant par la vitre les merveilles de la ville. Son employé l'avait remarqué et comme d’habitude indiscret, il essaya de comprendre ce qui le rendait aussi souriant aujourd’hui.-Monsieur, apparemment vous êtes de bonne humeur aujourd’hui.-Oui et tu sais de quoi je viens de me souvenir?-Non monsieur, dîtes moi.-Tu as le même prénom que mon ancien patron. Il s’appelait aussi Nicolas.-Ça alors! Vous avez donc eu un employeur et employé Nicolas donc.-Oui exactement. Et stoppe, ralentit. Son attention vient d’être at
CHAPITRE 7 : Faire connaissances. 2. Il lui demanda à entrer. Ce qu’elle fit sans broncher. À l’intérieur il lui fit signe à ce qu’elle s’asseoir. Également fait, Aaron ordonna à sa secrétaire de lui apporter deux tasses de thé mais son invitée déclina l’offre du thé. Elle faisait comprendre donc à Aaron qu’elle n'en voulait de son thé merdique. -Donc comme ça, vous ne voulez pas prendre du thé avec moi? -Vous l'avez très vite remarquer donc! Bravo! -Très sarcastique vous êtes donc? Moi qui pensais vous inviter ce soir même pour un dîner. -Ah bon? Donc comme ça vous invitez chaque fille dont vous croisez? -Non pourquoi dites-vous ça? Je ne vous ai pas seulement croisé. Je connais votre nom, je suis ami avec votre grand-mère et j'ai même déjà fait affaire avec vous. -Ah voyons. Maintenant vous me connaissez très bien alors. -Encore du sarcasme.
CHAPITRE 8: Nouveau jour, nouveau défi. Comme tout les matins, c’est un nouveau jour. Un nouveau jour pour tout un chacun de nous. Des surprises, des bonnes et mauvaises nouvelles, de la routine du quotidien. Mais une chose est certaine, c’est que cette journée sera toujours différente de la précédente. La nuit dernière Aaron avait montré une autre façade de lui à sa belle famille. Tout leur espoir reposant sur son soutien vient d’être envolé. Il était donc devenu imprévisible. Qu'est ce qui l'avait changé à ce point? Alice qui pensait que la nuit passée avec lui aurait mis les choses à son avantage mais malheureusement cela a empirer la situation. Très tôt dans la matinée, le grand patron quitta la maison plus vite que prévue. Après avoir passé
CHAPITRE 9 : Les affaires, le marché. L’installation était faîte, tout était en place. À la veille, Ushua avait révisé à mainte reprise son rôle. Elle était stressée à mort. C’était pour elle la première fois de monter sur scène pour un rôle dans une réalisation cinématographique. Elle avait peur de décevoir Aaron et au même moment de donner raison à Alice. Tout ne se situait pas seulement dans les scripts, il faut les gestes, se fondre dans les détails, exprimer gestuellement les sentiments que procure le monde de l'œuvre écrite, l'actrice doit susciter en tant que personnage l'attention, la curiosité et l’intérêt des téléspectateurs. Il ne s’agit pas seulement d’avoir une idé
CHAPITRE 30 : Le deal. Étendue dans son baignoire, inondée par l'eau tiède de tout le long du corps, dans un sommeil de méditation et instructif lui rappelant la chance qu’elle a eu la nuit dernière. Elle se rendait alors compte de la précarité de la situation dans laquelle elle s’était mise en quittant son île de cachette. Jouer dans la cour des grands n'est pas aussi facile et moins risqué qu’elle le pensait. À cet instant il fallait faire un choix, ou mieux encore abandonner le navire de guerre. Elle ne s’était encore jamais imaginer se faire tuer par quelqu’un. Le risque est alors plus gigantesque que prévu, c’était au péril de sa vie et celle de son enfant. Parfois le mieux c&rsquo
CHAPITRE 29 : Le retour d'un frère perdu. Ce son aiguë , piquant venant de la sonnerie de la salle des contrôles retenti sur nos tympans. Ce gardien du jour passait, cognait son bâton contre chaque bât de fer des cellules. Pour but de nous réveiller, qu'on le veille ou non. Cet instant lorsque les rayons lumineux du soleil traversèrent les grilles et s’éjectèrent dans nos cellules. Cet instant dont l'on s’en rende compte qu'au lieu d'un bon thé chaud aux œufs brouillés ; une bouillie fermentée d'hier et froide nous attendait dans le réfectoire. La douche partagée avec d’autres détenus, le regard pervers des surexcités, le regard agité des craintifs de viol. Les plus faibles se sont habitués et sachant qu'ils feront chaque fois la poule aux coqs en
CHAPITRE 28: Semaines sanglantes: Le retour fatal. Des jours passèrent, deux semaines déjà viennent d’atteindre leur déclin, la troisième semaine qui s'entamera bientôt. Aaron avec sa petite amie Ushua officialisait leur relation, la presse en parle presque tout les jours dans ses journaux et médias. Le divorce de Aaron et Alice sa femme était devenu une affaire médiatique. Là les grands secrets du couple sont cette fois à la connaissance de tout le monde. L’arrangement de leur mariage, l’accident de entre Aaron et l'ex petit ami de Alice mort. Les caprices qu'a fait vécu la jeune femme à son mari. Le nouvel amour de Aaron, le prochain divorce d'un des couples puissant de la ville et tout ce
CHAPITRE 27: L’ignoble vérité Les oreilles bien prêtes à entendre, les yeux grands ouverts à lire dans les siens les moindres mensonges.Alors Ushua je t’écoute. Elle inspire un grand coup comme pour se vider entièrement après, et commence donc.Je m’appelle Ushua Dumont, j’aie donc pris le nom de ma grand-mère mère Priscille Dumont.Oui tout ça je le sais déjà!Mais ce dont tu n'as aucune idée est mon côté paternel.Et qu’est ce que je devrais savoir de ce côté-là?Que mon père s’appelle Nicolas, Nicolas Koffi.Nicolas, pourquoi j'ai l’impression que ce nom le dit q
CHAPITRE 26: Tout de toi m’intéresse. Après la dispute entre Alice et Aaron, il ne se sentait pas à l'aise d’avoir à lui donner cette nouvelle ainsi. C’était un peu méchant de sa part trouvait-il. Malgré tout le tort qu’elle lui a causé elle méritait de l’apparence calmement par sous effet de la colère dans une dispute de couple. Donc il se relevait et se rendait au bureau de Alice pour lui parler de façon plus civilisée. Elle était assise là toute pensive, Olivia qui était toujours dans son bureau, était occupée par les son boulot. Aaron rentrait dans le bureau sans même remarqué de Olivia était l&agr
CHAPITRE 25 : Que la meilleure te remporte. Après avoir eu une discussion au sujet de Brad son petit ami fouineur, Ushua se rendit au bureau, soucieuse de la façon de régler le problème Brad, mais aussi contente et pressée de revoir son homme, son homme à elle. Elle arrivait donc après Aaron et avant Alice. Après quelques instants passés à son bureau, elle ne se montrait en aucun cas discrète et s'immobilisait vers le bureau de Aaron mais cette fois se fait annoncer par la secrétaire. Aaron ordonnait qu'on la fasse vite entrer et qu’il serait occupé les minutes suivantes au cas où quelqu’un voudrait le voir même si c’était ses associés dont Alice et Éric. Tout pour la secrétaire c’était une discussion importante, elle n’aurait pas imaginer quelques choses entre
CHAPITRE 24: le lendemain de la nuit étoilée. Dans les environs de quatre heure, le froid de la nuit s'accentuait sur les mers, les rives, Aaron et Ushua étaient blottis, serrés entre eux pour vaincre le froid et aussi se sentir entre eux. Même s'ils préfèreraient rester là entre eux, Aaron avait ordonné au capitaine de bateaux de changer de cap, direction le port. Ils avaient tous deux une entreprise à gérer et aussi une vie dans la ville où ils ont fui les bruits de tous pour profiter de l’heure soirée. Passés presque toute la nuit ensemble, les deux n’ont fait que l'amour, il s'accostaient tout juste, Aaron et Ushua descendaient. Il voulu la raccompagner chez elle mais elle préférait rentrer toute seule comme une grande et annoncer la nouvelle à sa grand-mère. Si
CHAPITRE 23: Un nouveau couple, des soupçons. Tout juste après l'appareillage du yacht, le capitaine du bateau depuis sa passerelle s’occupait de la musique et en même temps de la navigation. Avant le départ , Aaron lui avait donné la liste des disques musicaux qu'il devrait passer, Donc sous son ordre il agissait. La musique accompagnait le dîner constitué de dizaine de mets dont Aaron et Ushua se régalaient. Il avait préféré ne pas trop parler avant le dîner. C’était mieux de manger avant de continuer et concentrer le reste de la soirée sur le sujet pour lequel ils étaient présents. La nourriture était à leur goût. Ils avaient tous deux aimer, surtout Ushua. Apparemment Aaron aussi s’était renseign&eacu
CHAPITRE 22 : Retrouver son mari. Bientôt vingt-heure, le trafic était monopolisait dans la capitale, l’embouteillage était des lieux. Les fonctionnaires d’État qui revenaient de leur boulot bien munis dans des véhicules de luxes, les chefs d’entreprises qui se différeraient avec leur marque de véhicule et les simples employés dans les caisses les plus simples. Chaque voiture définissait partiellement le propriétaire à l’intérieur mais Aaron le grand philanthrope du monde romanesque n’était pas dans ces convois pour rentrer chez lui. Il a préféré passer à son hôtel se préparer pour le second dîner. Dans sa tête, dans ses réflexions, il voulait se convaincre de le faire et il s'est convaincu à le faire. Il avait