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Bonne lecture !
Je me réveille ce matin le sourire aux lèvres. Je n'ai jamais été si joyeux jusqu'au point où je dansais pour nulle raison, vu ce que j'ai dû entendre hier soir. Je prends mon bain dans quelques minutes. Je m'habille et sors de la maison après que ma mère aille échanger avec moi. Je conduis avec la bonne musique qui domine dans ma voiture. J'arrive au boulot, au lieu que mes employés me saluent comme d’habitude, c’est moi qui les salue en premier. Ils sont tous surpris parce que je me suis jamais comporté de la sorte. N'y a même pas dix minutes que je suis dans mon bureau et qu'on vient m'annoncer la visite des représentants de l'une des grandes entreprises de la ville. J’arrange bien ma veste avant de les recevoir. Ils entrent et je leur donne place.- Bonjour monsieur Rick. Me salue l'un
- Bonjour à vous tous. Je suis heureux de vous recevoir dans mon entreprise. Que puis-je pour vous ? dis-je en laissant un grand sourire - Nous venons de l'entreprise TerryART. Nous avons signé un contrat avec d'autres entités et nous sommes là pour vous le proposer aussi - Pourquoi pas ! dis-je avec sourire. - Alors vous êtes partant, Monsieur Rick ? Veuillez signer ici. dit-il en me tendant certains documents parmi ceux qu’il tenait en mains.Je signe les documents et le contrat m'attends.
- Alors, le contrat est dans quelques mois. Si la chance vous sourit, vous pouvez le remporter.
- Qu'il en soit ainsi. Bonne journée à vous.- Merci, monsieur Rick. Que Dieu vous garde.Je reste plongé dans une double joie. Oh Dieu, je ne crois pas vraiment à ce que je viens de faire. C'est la miséricorde divine. Je retiens ma joie pour me concentrer sur mon boulot. J’ai hâte de remporter ce contrat que je viens de signer.
La sonnerie de mon phone qui m'enlève de mes pensées. C'est mon ami Alfred qui m'appelle. Je décroche avec sourire.
- Allô ! Bonjour Alfred...
- Bonjour mon ami. Comment vas-tu ? - Je suis bien portant. Ça fait vraiment longtemps qu'on s'est plus vu. J’ai hâte de te revoir Alfred- Moi également. Je compte venir là-bas la semaine qui commence. Je fini mon travail à partir de demain. Je veux te surprendre... - Ah bon ! Comment veux-tu me surprendre ? Je hâte de voir la surprise.- Soit patient mon frère. J'arrive bientôt. - Au revoir mon pote. À bientôt.Je raccroche avec un grand sourire. Je le vois déjà prêt de moi, avec ses histoires drôles. Mon meilleur ami me manque. Il me manque on dirait une femme. Ma journée est toujours remplie des bonnes nouvelles. Uniquement le sourire qui la domine.
Le travail tend à sa fin et je quitte le lieu pour me rendre chez moi. Une demi-heure m'a suffit pour arriver. Je souris avant de saluer mes parents. Mon père me sourit, je réponds, avant de prendre les escaliers qui mène vers ma chambre. J'y fais mon entrée et prie. Puis je m'échange et retourne au salon
Je suis en train de lire un journal quand mon père m'appelle. Ma mère est à ses côtés. Je quitte mon siège et les rejoint. Ils me sourient
- Mon fils, qu'est ce qui te rend si joyeux ainsi. Je veux dire, tu n'as jamais été comme ça.
C'est quoi la bonne nouvelle ? Me demande-t-il en souriantJe prends une profonde inspiration avant de dire
- Papa, maman, dis-je avec une mine serrée.
Vous ne pouvez pas croire ce que j'ai fait aujourd'hui. Imaginez que certains représentants de l'entreprise TerryART sont venus me surprendre dans mon bureau avec les papiers d'un grand contrat qui vaut des millions ! Je fus troublé avant de signer ce contrat. Mais après, c'était la joie totale et parfaite dans mon petit cœur. - Waouh !!! Félicitations mon garçon ! dit mon père - Je suis contente pour toi mon fils. Me dit ma mère.- Merci mes parents. Je vous suis toujours reconnaissant. Merci également pour tous vos efforts et sacrifices pour ma vie.
Ils sortent de la maison et je retourne où j’étais pour finir la lecture de mon journal et rejoindre ma chambre avant qu'il ne soit tard. (...)
***Peter ANDERSONC'est le mois dernier que j'ai soufflé ma vingt- troisième bougie d'anniversaire. Rick est mon grand frère. Quelque chose que je n'ai jamais compris sur sa vie est qu'il ne tient pas avec les filles. Alors que c'est le contraire chez moi. J'aime beaucoup les filles et elles courent également derrière moi. Je suis en licence 1 d'informatique de réseau. Je vis à l'étranger où mes parents m'ont envoyé afin que j'aie un bon niveau d'études. Je sais comment vivre ma vie malgré que je suis un Play boy. Je prends le temps de me concentrer aux études et ma vie.
Je me suis réveillé ce matin d'une humeur grave.
Je ne me suis jamais senti de la sorte. J'essaye de tendre mes bras, de gauche à droite, de long en large. On dirait que j'ai beaucoup travaillé hier soir. Je me baigne puis retourner sur mon lit. Je m'habille et je reste sur mon lit à penser sur certaines choses, particulièrement la vie de mon grand-frère. En réalité, je ne sais vraiment quoi faire aujourd'hui. Nous n'avions pas cours. Après une dizaine de minutes, je pense me balader dans cette ville. Car depuis que j'y suis, je n'ai jamais visité ses meilleurs endroits. Comme je n'ai pas de voiture, j’ai pris un taxi qui m’a déposé sur la grand-route, puis je commence ma marche. J'ai décidé de marcher à pied jusqu'à ce que je me fatigue. Je marche en lançant des regards dans tous les quatre coins de chaque rue. Ce paysage est vraiment beau, je me dis.Il me semble vraiment magnifique. Des jolis arbres plantés au coin de chaque rue m'impressionnent. La manière de construire les routes sont formidables. Elle est somptueuse.Copenhague est absolument très bien construite.
Les voitures qui respectent les panneaux de signalisation routière, ainsi que les motocyclistes et les piétonsAh ! Je souhaite vivement passer toute ma vie dans ce pays et surtout dans cette ville qui est la capitale. L'air frais qui y domine me donne l'impression d'y vivre pour toujours. Mais seulement parce que je suis là pour mes études et après je retournerai dans mon pays d'origine. Je vais retourner dans mon continent, l'Afrique.
Ouf, nous sommes tous des ghanéens et seule ma mère est égyptienne. Mes parents se sont rencontrés lors d’un voyage. Il est un ex grand homme d'affaires. Et ma mère aussi est une femme qui travaille beaucoup. Elle travaille dur; d'où toute cette pluie de richissime dans notre famille.Je marche sans savoir où suis-je. Grande est ma surprise de me retrouver dans un endroit presque forestier.
Je regarde autour de moi et me retrouve dans une forêt. Entre cris d'animaux, de forts vents, je suis complètement dans une jungle à ma vue.
Je me mets à courir dans tous les sens, mais je me retrouve toujours dans cette forêt. Les cris de certains oiseaux me font peur. En un court instant, mon corps transpire déjà. J'ai chaud, je transpire comme quelqu'un surpris par des agents de police entrain de violer une mineure. Je suis à bout de souffle. Je m'affale par terre, le temps pour moi de reprendre mon souffle et chercher comment quitter cette forêt. Il avait plu, y a de cela une semaine. Et la boue reste encore dans cette forêt. J'essaye de me mettre sur un tronc d'arbre pour éviter de salir mes habits. C'est là que je remarque l'immense grandeur que cache cette forêt. Elle est si vaste que j'ai l'intention de faire une crise cardiaque dans les prochaines minutes. Les herbes subissent le mouvement du vent. Ils vont en tout sens. Tellement ils sont long que j'ai l'impression d'être poursuivi par un animal féroce ou un oiseau comme l'aigle. Cette pensée tourmente ma tête d'un coup. Je me tiens debout avec mes deux mains sur ma hanche. Je soupire une fois, une deuxième, puis une troisième fois avant de penser à quitter ce lieu. Devant moi paraît une route que je qualifie de maléfique vu sa grandeur. Elle contient de grands arbres et très longs. Aucun arbre ne laisse entendre un petit son, celui des feuilles mûres exceptées. La forêt est généralement calme. Je m'arrête un instant pour me demander comment suis-je parvenu à être dans cette forêt. C'est là que l'esprit me revient."Au moment où j'appréciais la ville, j'étais en train de me diriger ici. Je me souviens car je voyais ces arbres mais la joie m’emportait. Voilà où suis-je maintenant".
Je réuni tous mes courages et me met à marcher en faisant quelques prières internes. Mes mains croisées derrière, je marche tel un prêtre en pleine consécration liturgique. Mon visage prouve le contraire malgré que mon cœur bat si vite.
Quarante-huit minutes plus tard, je suis toujours dans cette forêt. Que m'arrive-t-il ; me demande-je. Cette fois-ci je me retrouve dans une succession de montagne. Je lance un regard derrière moi et aperçois une haute montagne. Mais, suis-je dans un village ? m’interroge-je. Avec un grand étonnement, je continue ma route. Peut-être je rencontrerai quelqu'un qui va m'aider à arriver à la route principale. J'entends une voix susurrer derrière moi. Je m'arrête ainsi mon regard tombe sur celui d'une séduisante fille. Mes pensées se tournent automatiquement sur elle. Elle me parle mais mon esprit était ailleurs.- Monsieur, ça fait longtemps que je vous ai observé et si je ne m'abuse pas vous vous êtes égaré. C'est ça ? dit-elle d'une mine très serrée
- Eh oui. Vous avez raison. Pouvez-vous m'aider à retrouver la grand-route ? - D'accord. Suivez-moi. dit-elle en me tournant dos.Je me mets à la suivre. Je veux juste me retrouver à la grand-route et prendre un taxi qui va me déposer chez moi. Je n'oserai plus commettre cette atrocité. La fille prend déjà une autre routine. Comme je ne maîtrise pas le lieu, je prends silence. Une demi-heure plus tard, je me vois au bord de la route. C'est les vrombissements des voitures qui m'alertent. Je regarde la fille, je ne sais quoi lui dire, ni quoi faire pour prouver ma gratitude envers elle.
- En tout cas, les mots me manquent pour exprimer cette joie que je ressens actuellement. Merci infiniment de m'avoir sauvé. Si non, je n'ose deviner ce qui devait m'arriver. Je te remercie une fois de plus
- Ah ! Ne t'inquiète pas. Je t'ai juste aidé. - En plus d'être belle, tu es très gentille et très humble. Es-tu originaire d'ici ? - Oui. Je suis née et grandi ici. Je parle le danish et parfois le faroese. Même l'espagnol - Waouh ! tu es vraiment géniale toi. Tu vas m'apprendre le faroese et l’espagnol. Je n’en sais rien moi. - Ah bon !!! - Je ne sais même pas à qui suis-je en train de parler. Peut-être une revenante. Ou bien c'est un être vivant comme moi, avec la chair et le sang ?- Tu es vraiment drôle. Je suis vivante ! Je vous laisse. Au revoir ! (Partante)- Ne me quitte pas comme ça. Reviens s’il te plait. - Que veux-tu encore ? Je t'ai montré la grand route et maintenant tu me veux encore quoi ?- Écoute jeune fille. Aucun homme, je dis bien aucun homme, ne peut laisser aller une belle, sexy, gentille et attrayante femme comme toi. Regarde toi juste ! Tu es très belle !!Elle me sourit en se regardant
- Je ne trouve rien de spécial sur mon corps !
- Tu es trop belle ! (Lui chuchotant à l'oreille) - Oui je le trouve maintenant (éclat de rires) - J'apprécie énormément le travail de Dieu. Une belle créature que tu es.- Tu es vraiment un pro en matière de dragues(rire)- Pas absolument. Alors c'est quoi ton prénom déjà ? J'aimerai vraiment faire connaissance de la fille sympathique qui est devant moi. - Appelle moi Judith KENGO - Moi c'est Peter ANDERSON - Ravi de faire ta connaissance, Peter - Le plaisir est le mien. J'en suis honoré - Alors, pouvons-nous échanger nos contacts ? - Pourquoi pas ! dit-elle en me tendant sa carte de visite. C'est sa gentillesse qui va me tuer.- Merci beaucoup. Je t'appellerai plus tard. Au revoir- Au revoirJ'arrive chez moi et m'en dors directement.
N'eût été cette fille, je ne sais où serais-je en ce moment. Elle ne fait que me venir en tête. En plus d'être belle, elle est vraiment gentille. Je transpire de partout, j'ai envie de prendre un bain. Je me lève avec une migraine avant de me diriger dans ma douche et prendre mon bain. Je ne vois que les images de cette fille circuler dans ma tête. Que m'a-t-elle fait ? Est-elle un esprit ? Je commence par avoir peur. Cette fille doit être une mortelle et non un esprit. En plus elle m'a donné sa carte de visite. C'est mon téléphone qui me retire de mes pensées, il vibre. C'est l'appel de mon grand frère. Je décroche.Nous échangions quelques minutes, avant que je ne raccroche. Je me sens hyper fatigué. Mon corps a mal partout. C'est la marche que j'ai faite le long de cette dure journée sous un soleil accablant.
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Trois jours plus tard...
Je n'ai toujours pas appelé Judith. Elle doit aussi s'inquieter pour cela. Je la laisse un message disant qu'elle me rejoigne au cafétéria le plus visité de la ville.
Une heure plus tard, elle me fait signe d'être à l'endroit. Je me lève, frotte mes deux mains l'une contre l'autre avant de les envoyer sur mon visage. C'est pour moi une façon de m'évader de la peur et la honte que certains hommes ressentent devant les filles. J'arrive à destination et je la trouve assise devant une table comportant deux chaises
- Bonjour Judith Tu es vraiment ponctuelle
- J'aime juste respecter les ordres pour ne pas paraître moins sérieuse. - Ah bon ! Tu dois être vraiment disciplinée.- Si tu le dis ainsi. Je t’ai attendu ça fait un moment, où étais-tu ? - J’étais coincé dans les embouteillages.- D'accord. Que me vaut l’honneur de cette invitation ? Puisque j'ai d'autres choses à faire - Je veux juste te connaître. Raconte-moi un peu ton histoire.Elle prend une profonde inspiration avant de commencer par parler. Elle ne veut pas en parler, mais mon regard impatient l'oblige à le faire.
- Ma vie jusque-là ne me paraît pas très bonne. Commence t-elle. J'ai connu la tristesse dans ma vie, j'ai connu la détresse, la dépression, la peur, la joie... Depuis la mort tragique de ma mère, la vie me semble si méchante à tel point que je n'ai plus retrouver mon sourire. Ma mère chérie fut morte dévorée par un animal sauvage. C'était en ma présence. Je n'avais que onze ans à cette époque. J'avais pleuré, hurlé de douleurs, mais personne n’était là pour me réconforter. J'ai connu des nuits blanches. Des moments difficiles surtout comme j’étais jeune. Ma famille créa de grands problèmes avec mon père. L'accusant à tort d'avoir été complice de la mort de ma mère. J'avais peur, j'avais peur de leur dire que ma mère a été dévorée par un animal sauvage et en ma présence. Mon père fut triste et il commença par perdre du poids. Sa santé allait de mal en pis du jour le jour. Manger devenait difficile pour nous.
Je mourrais de tristesse. Ma vie s’est aggravée.Personne ne prenait plus soins de nous. Nous étions désormais loin de notre famille. Mon père ne faisait que recevoir des injures venant de sa propre famille. Je voulais juste survivre face à tout cela. Étudier ne fut plus mon envie, je voulais que cet événement prenne fin et que ma vie aille mieux. Heureusement pour moi, ma vie reprit par la grâce et la miséricorde divine. Mon père prit force et son ami lui trouva du travail dans son entreprise. C'est ainsi que notre vie changea jusqu'à ce que mon père et son ami décidèrent de venir résider ici afin que j'étudie. Je remercie toujours le bon Dieu d'avoir été là pour nous dans nos moments de peines et souffrances.C'est mirobolant, toute cette histoire. Je suis abasourdi. Elle me raconte bredouillement son histoire. Je lance mon regard sur elle et je la vois en larmes. Elle a raison d'être en pleures
- Ne pleures pas Judith, lui dis-je. Ainsi va la vie sur terre. Je ne savais pas que derrière toi se cachait toute cette triste histoire. Je suis confus.
- J’ai essayé d'oublier ces moments que j’ai traversés. J'avais déjà oublié, mais tu viens de me les rappeler. Ne t'inquiète pas, ça ira pour moi. dit-elle en essuyant ses larmes.Je ne sais même plus quand je me suis rapproché d'elle, d'un revers de main droite, pour essuyer ses larmes. Elle me regarde droit dans les yeux, toute abasourdie. Elle essaye de retenir ma main. Je prends ses mains dans les miennes, et d’un soupir profond je me met à la parler :
- Judith, tu m'as sauvé ce jour-là et j'en suis reconnaissant. Je trouve en toi, une fille pleine de bonnes qualités. Si seulement Dieu m'avait donné une sœur comme toi, je serai fou de joie à cette heure. Mais comme Dieu lui-même sait ce qu'il fait, voilà pourquoi nous a-t-il créé dans des différentes familles. ‹‹Hasardement nous pouvons rencontrer la bonne personne, celle qui vaut de l'honneur, le respect et la charité››. Nos histoires se diffèrent de long en larges. Judith, tu es une très bonne personne pour moi...
- Toi aussi. Je suis heureuse de te rencontrer... *** Judith KENGO BAHARINous passons quelques minutes ensemble, avant que je ne rentre chez moi. Contrairement à ce que je m'attendais, Peter était très surpris de me voir conduire une voiture. Surtout quand je l'ai dit que c'était la mienne. Il me paraissait vraiment être sérieux mais comme les hommes d'aujourd'hui sont tous les mêmes ; ils aiment engrosser et fuir. Je ne pense pas lui faire confiance même une seule fois. Malgré son caractère et autre...
Je conduis sans savoir où suis-je. Je soulève ma tête et me retrouve entre plusieurs voitures. Qu'est-ce que je ne vois pas bien ? C'est une voiture noire qui vient se garer devant la mienne.
Elle doit avoir des bandits à l'intérieur. L'idée me vient d'appeler Peter et lui demander de venir avec des agents de police où je suis. Je lui laisse un message en disant que c'est une affaire de vie ou de mort et l'endroit. Ceux qui sont dans la voiture noire descendent et viennent vers moi. Je commence par trembler, surtout que je suis parmi plusieurs hommes. Je ne saurais pas me défendre seule. Avant qu'ils ne me fassent quoi que ce soit, Peter débarque, suivi des agents de police. Je soupire nerveusement, et ces gens me cèdent la place. Je remercie les policiers avant qu'ils ne rentrent. Péter reste à me regarder en souriant.- Tu avais peur, n'est-ce pas ? dit-il d'un air souriant.
- Oh oui. Imagine tous ces gens, et moi seule. Tu penses que je devais faire quelque chose pour m’échapper ? En tout cas, tu es mon petit sauveur et je te remercie infiniment. - Ne me remercie pas. C'est gratuit(sourire) - Je te fausse compagnie alors. A la prochaine...Je le quitte après notre au revoir. J'entre dans ma voiture et démarre en conduisant avec peur, tout en lançant des regards de gauche à droite. Dieu merci j'arrive chez moi sans rencontrer aucun autre problème. Mon père est déjà revenu de son travail et lit certains de ses documents.
Je ne veux pas passer sans lui dire un mot.- Bonsoir papa
- Bonsoir ma chérie. D'où viens-tu ? - Je reviens du shopping. - Et où se trouvent tes achats ? - Mes produits sont encore dans la voiture.- D'accord. Là c'est bien. dit-il en changeant de mine. Est-ce que tu sais que ton petit frère arrive aujourd'hui ? - Ah bon ? dis-je mes mains sur ma poitrine - Eh oui, il arrive aujourd'hui dans deux heures Je suis folle de joie. J’ai hâte de revoir mon petit frère chéri. Il me manque énormément- Oh papa ! Tu m'as totalement surpris. Alors, on fait quoi pour son arrivé ?
- Tu n'as qu'à lui préparer un bon met. Ainsi, il pourra se réjouir de nouveau dans la maison de son père.Je me dirige rapidement dans la cuisine. Je ne peux pas tarder. Mon petit frère m'a ma manqué y a longtemps, et j'ai hâte de revoir ce petit fou qui me déstresse.
3Bonne lectureUne heure plus tard, la cuisine est terminée. Mon père me prend dans sa voiture, direction aéroport. On arrive et il laisse la voiture dehors. Après quelques minutes, l'avion atterrit. Mon cœur commence à battre vite. Je suis pressée de voir mon petit frère et l'embrasser fort. Pendant que je me parle, mon père est déjà parti le récupérer. Je suis surprise de voir mon frère à mes côtés.- Ryaaaaaan !!! Crie-je en l'embrassant si fort.Il me sourit avant de prendre la parole- Bonjour grande sœur.- oh mon petit chéri, ça va ?- Oui ça va. J'ai obtenu mon bac, tu ne peux pas croire comment j'avais sauté, sauté, jusqu'à perdre connaissance...On ne
4Bonne lecture !***RickC'est aujourd'hui que mon ami Alfred rentre au pays. Il m'a promis une surprise mais je ne sais la deviner. Je l'imagine déjà près de moi, me racontant des histoires drôles et toute sa vie de l'étranger. J'essaye de me souvenir un instant, de tous nos bons moments passés ensembles. Je me souviens quand on se chamaillait, on se battait pour des choses que je trouve actuellement inutiles. On se faisait toutes les filles du collège, même quand nous étions à l'université. Mais malgré tout cela, me voici aujourd'hui l'objet de moqueries et des déceptions pour toute femme.J'ai toujours été brave et courageux durant toute ma vie, même quand mon père avait perdu son job. Je travaillais dur, je ne me décourageais pas. Alfred est mon ami de longues dates et notre histoire d'
5Bonne lecture ! Il est quinze heures et quelques minutes lorsque je quitte mon travail après avoir signalé ma secrétaire. Je me rends chez moi et change mes habits après avoir été de passage au salon de coiffure. Je ne m’attendais pas à ce que je viens de voir. Mon père a acheté une nouvelle voiture. Une range rover blanche. Elle est vraiment belle et je l'adore.J'oublie ce que je suis venu faire à la maison. Je prends la voiture pour quelques tours dans la maison. Après mes tours, je rentre dans ma chambre pour m'habiller en une veste de couleur blanche mais la cravate et le mouchoir de poche sont rouges, uniquement pour concorder avec la voiture de papa. Je descends de ma chambre en marchant avec soins ; pas après pas, telle une star de la musique congolaise. Je ne veux même pas que le chauffeur de papa
6Bonne lecture !Je quitte l'hôpital le ventre vide car depuis le matin, je n'ai rien mis sous la dent. Je me dirige dans le restaurant le plus proche de la place pour payer à manger. À peine je mets la nourriture dans la bouche que mon ami Alfred commence par me bombarder des messages. Je mange vite et je sors du restaurant pour me rendre chez lui.Vingt-cinq minutes plus tard, j'y arrive et il m'accueille chaleureusement.Alfred est devenu tout autre. Il a grossi, il est déjà riche comme moi et il s'exprime très bien en anglais, on dirait un anglophone. D'un coup je vois une jolie fille qui sort de nul part et me salue. Je la regarde de haut en bas avant d'accepter sa salutation. "Elle est vraiment belle". Vêtue telle une femme de maison, à l'africaine. Un teint noir mais distinct de toute femme de mon pays. Elle doit être une étrangère cette fille. Je dois mieux
7Bonne lecture !- Rick ! Qu'est ce qui te fait penser de la sorte ? Tu étais de bonne humeur il n'y a pas dix minutes de cela. Mais c'est quoi au juste ? Me demande Rose l’air inquiète.Je ne veux pas la rendre mal à l'aise. Après tout, c'est mon pays.- Désolé vraiment Rose. Je pensais à autre chose là, ça va maintenantElle me fixe pendant plus d'une minute avant de secouer sa tête avec tristesse- Rick, s'approchant de moi. Je sais à quoi tu penses. Ne cherche pas à me mentir. Je sais que le milieu où je vis t'étonne beaucoup, surtout avec la pauvreté qui y domine. Mais tu dois savoir qu'il existe plusieurs sortes de pauvreté, je me tais de les citer pour ne pas perdre ton temps. Attend, laisse-moi te poser une question. Que peux-tu souhaiter entre vi
8Bonne lecture !Nous échangions nos contacts.Elle ne dit plus rien et on continue la route. .Je rentre à la maison tout joyeux, d'avoir fait battre le cœur de l'une des plus belles filles de notre auditoire. J'entre dans la maison avec cette joie, je m'échange, et me dirige dans la cuisine pour préparer quoi manger vu que je vis seul chez moi.Une heure me permet de finir la préparation de mon met du jour. Je dépose la nourriture à table puis je commence par manger sous la bonne musique qui domine dans ma cuisine.Je mange mais certaines paroles de Nelly me reviennent en tête. Je souris seul en interprétant les paroles de la musique à tue-tête. Après avoir mangé, je me place devant la télé pour suivre un journal. Quelques films chinois ensuite, surtout que je les adore.J'avais envie d'ap
9Bonne lecture !QUELQUES JOURS PLUS TARDJe me réveille ce matin avec un sentiment d'incertitude. Je n'en sais l'origine. Je brosse mes dents et me dirige vers la porte de sortie. J'ai envie de passer quelques minutes à l'extérieur avant de rentrer et réviser mes leçons. Je suis devant ma porte quand de loin j'aperçois mes deux potes qui viennent chez moi. Ike et Mike, mes meilleurs amis. Je descends des escaliers avec sourire avant de les rencontrer. Je ne peux dire que tout marche chez eux vu leurs physiques qui m'apparaissent merveilleux. Ils étaient en voyae depuis l'année passée.- Ah ! mes amis, salut- Salut à toi, comment ? Me demande Mike- Je vais bien mes gars, vous êtes revenus quand ?- Hier soir. Dommage que tu n'étais pas au courant. Nous &eacu
10Bonne lecture !Non échangeons nos salutations- Ça fait vraiment longtemps qu'on ne s'est plus vu. Lui dis-je- N'oublie pas que nous sommes des étudiants. Un étudiant n’a pas de temps libre.- C'est sûr. Alors, comment évolue les cours.- Pas mal, nous essayons de donner le meilleur de nous. Tu vois que la vie d'un jeune est entre ses mains. Donc ce n’est pas le moment de blaguer. Quand il faut étudier, j'étudie.- Hum. Tu as raison. Dis-je.- Là c'est ta voiture ? Me demande-t-il en la fixant- Oui, c'est ma voiture. Mais...Pendant ce temps, je fais signe au chauffeur de retourner à la maison. Je ne dois pas laisser Peter seul marcher à pied. J'ai bon jugée de l'accompagner dans s
16***TASHA J'ai tout dit même si je dois faire la prison. J'ai perdu mon père, mon fils et je pense que mon foyer est aussi détruit. Ils m'ont compliqué en m'inculquant des mensonges et cela a détruit ma vie par la suite. J'étais idiote d'avoir accepté toutes leurs atrocités sans réfléchir une seconde.Je m'accuse à tort parce que je n'avais même pas une seconde de mon temps pour méditer cela. On a souvent dit que la crainte de l'éternel est le commencement de l'intelligence et de la sagesse. Si je suis parvenu à cette fin tragique, c'est parce que je n'ai pas été intelligente ni sage face aux mensonges de mon oncle et ma tante. Donc, tout simplement je ne crains pas Dieu. Ceci vient de me donner une grande leçon même si c'est déjà tard. J'aurai dû craindre Dieu pour être intelligente et sag
15Quelques jours plus tard...***DonaldJ'arrive pas à croire à ce que tasha a fait. A peine je sors de l'hôpital après plus de dix jours que la mauvaise nouvelle pénètre mes oreilles. Tasha ma femme, c'est ici qu'on devrait arriver? Tuer un homme de Dieu. Que l'a t-il fait? N'y a pas longtemps que le pasteur là était à la maison et priait pour mes beaux parents. Qu'a t-il fait de mal à tasha pour qu'elle le tue? J'ai épousé une mauvaise femme. Elle vient de détruire ma réputation. Alors que dois-je faire? Rick et peter sont en enquêtes pour trouver celui qui nous a tous empoisonné. Et je ne pense plus loin. Ça pourrait être toujours elle. Parce que la façon dont elle refusait avec le repas n'était pas une bonne. J'avais suspecté cela. Ah tasha! La femme que j'ai aimé de tout mon coeur.Je me rend &agrav
14Nous restons là pendant quelques heures avant que nous ne rentrons à la maison. Les parents remercient les deux filles et elles partent également.(...)Nous arrivons à la maison après une demi-heure de trajet. Il est déjà 22h et personne ne parle à l'autre. Tous nous sommes fatigués. Surtout moi parce que je n'ai pas mangé toute la journée, pourvu que je ne tombe sur l'une des assiettes que j'ai empoisonnées. Car le poison même que j'ai utilisé est un grand poison. Je prend Donald et nous nous dirigeons dans ma chambre. Peter et sa copine viennent nous passer et prennent le chemin de la chambre de ce dernier. Nous arrivons dans ma chambre et nous prions avant de nous coucher.(...)Tard dans la nuit, Donald me réveille.Il a transpiré et il vomit même. Qu'est ce qui ne va pas? Lui demandé-je en me dé
13***LEATICIAJe sors de la maison du feticheur pour croiser tasha qui y entre. Elle ouvre grand ses yeux en me voyant et, je la tourne dos en balançant jalousement mes rondelles. Je me rend à la porte et quelque chose me dit de revenir écouter ce qu'elle voulait dire au voyant. Je rentrais vite et Dieu merci tout ce que le feticheur avait dit venait de pénétrer mes oreilles. Ah tasha, c'est moi qui vais te trahir. Rassure toi. Je quitte la parcelle du feticheur et arrive à la grand route pour prendre un taxi qui me dépose chez moi après vingt minutes. A peine j'entre dans ma chambre que mon téléphone commence par sonner. Je regarde et, c'est l'appel de papa. Eh mon Dieu!Je tremble de peur et, inconsciemment je laisse tomber mon téléphone par terre. J'ai peur qu'il apprenne la mort de franck. Et quelle sera sa réaction? Pendant que je tremble, quelqu'un toque &
12*LE LENDEMAIN**Je quitte mon lit et me dirige dans la douche où je prend un bain chaud. J'y sors après quelques minutes et m'habille pendant qu'Alicia se douche aussi. Nous sortons de la maison très bien sapés à l'instar d'un couple européen, pour faire notre part aux deux mariages de rick qui seront célébrés aujourd'hui. Peter me fait un coup de fil de leur attendre à la maison et assurer la sécurité pour l'organisation du mariage coutumier, le temps que Rick et sa femme quittent la commune où ils célébraient leur mariage civil. Nous tournons les talons moi et ma future femme, pour arriver chez rick et trouver tout un monde de sapeurs. Je dirai ceux qui attendent son mariage coutumier. Tout est bien arrangé à la coutume. Même les membres de sa famille sont habillés comme il le faut. Ce n'est que du "waouh". Un très bon ma
11***PETERJe remercie Alvinne, et elle me tourne les talons. Je n'arrive pas à croire à tout ce qu'elle vient de me dire. Suis-je dans un rêve? Heureusement que c'est une réalité. Comment tasha peut chercher à détruire le mariage de Rick alors qu'elle est notre sœur. Même père, même mère! Sûrement cette fille doit être démoniaque. Au lieu d'être contente, elle cherche à détruire ce mariage même. Dieu merci la vérité vient de toucher mes mains. Je suis toujours surpris.Je rentre à la maison au bord de la crise. Je presse mes pas et dix minutes plus tard, me voilà devant notre demeure. Je fais mon entrée dans la maison pour trouver les deux nouveaux obstacle de notre vie assis tous dans le sofa, entraîn de dialoguer. C'est sûr qu'ils discutent sur d'autres plans à appliquer sur nou
10***TASHAMa vie est en danger. Je ne sais pas comment nous nous sommes toutes retrouvées ici. Léa veut connaître la vérité sur la mort de son frère.Je sens que la bombe va s'exploser dans quelques minutes si je ne cherche pas une solution rapide. Alvinne et moi manquions quoi répondre. Nous sommes toutes confuses. Léa ne veut même pas m'écouter et a déserté à toutes nos missions. Je dois faire quelque chose avant que le pire n'arrive. Si non je risquerai de passer le restant de ma vie en prison.— Léa, écoute moi. Ton frère est mort et cela reste le passé. C'est bien moi qui t'avait promis le mariage avec mon frère rick...Alvinne ne me laisse pas finir mes mots— Mais, attend un peu, tu viens de citer le nom de rick. C'est rick JACKSON?
9**RICKCela fait longtemps que je n'ai pas vu mes parents. Maman s'inquiète beaucoup de mon absence, d'après ce que Peter m'a dit hier nuit. Il faut que je la voie aujourd'hui dans tous les cas. Je ressors de la douche et m'habille vite avant de me rendre dehors et prendre un taxi qui me dépose chez nous dans peu de temps. Je paye le taxi et entre à l'intérieur. À peine entré que je croise maman qui voulait sortir— Ah rick mon fils! Où étais-tu?— Bonjour maman— Bonjour mon garçon, comment vas-tu?— Je vais bien. J'ai déjà loué mon appartement quelque part— Où donc? Comment tu agis ce dernier temps? Nous avons appris que ton entreprise est déjà légitimée— C
8**LEAJe suis perdue. Que dois-je faire à présent? Rick a bel et bien une copine qui l'aime sincèrement. Leur regard m'a pu tout interprété et, je me trouve nulle et inutile. A quoi servirait-il d'aimer un homme dont le coeur est déjà occupé? Il serait mieux pour moi de l'oublier et chercher à bien reconstruire ma vie. Mais est-ce cela est possible? Je suis tombée amoureuse de rick et il faut à tout prix que je sois dans son coeur. Seigneur Jésus-Christ, pourquoi as-tu laissé cette vie me piégé ainsi? Je ne m'attendais pas à tout ceci. Je ne savais pas qu'un jour moi Léa je devrais tomber sous le charme d'un homme qui ne le mérite même pas à dix pourcent. On dit souvent que toute chose a un début, une suite, et une fin. Est-ce la suite ou la fin de ma vie? Parce que ceci me dépasse.*****RICK