Un jour est passé en un clin d’oeil.Le lendemain matin, des Lincoln noires se sont arrêtées devant l’Hôtel Hilton. Une centaine d’homme en costume noir en sont descendus. Ils avaient des cheveux courts et exhalaient une aura meurtrière.Ces hommes étaient conduits par quatre hommes.C’étaient Taureau, Balance, Sagittaire et Cancer du Zodiaque d’Or.Les hommes se sont divisés en deux formations et Léo s’est avancé. Après avoir jeté un coup d'œil sur l’enseigne, Léo a conduit les hommes dans l’hôtel.C’était une légion imposante.Mais, dans le hall, il n’y avait personne.Le hall avait été nettoyé, comme si l’on attendait l’arrivée de Léo et de ses hommes.Évidemment, c’était un complot bien réfléchi.En d’autres termes, c’était un plan ouvert.Chacun des hommes a serré les poings pour se lancer dans un combat cruel, croyant que leurs adversaires avaient anticipé la cruauté de ce combat et avaient dressé une embuscade.Mais, finalement...Une fille qui avait l’air très timide s’est appr
De l’autre côté, la voiture blanche que Léo prenait s’est rapidement arrêtée. Le chauffeur l’a déposé à l’entrée d’une vieille ruelle.Deux garçons de sept et huit ans l’y ont fouillé et ont arraché son portable et ses autres affaires.Après la vérification, Léo est entré dans la ruelle.Suivant les instructions, il s’est finalement arrêté devant une petite case d’habitation.Ça devait être le nid de son ennemi, n’est-ce pas ?Avec une embuscade bien dressée, on pouvait facilement finir son ennemi ici sans éveiller les soupçons d’autrui.Mais Léo était-il facile à tuer ?Après avoir pris une profonde respiration, il a ouvert la porte et est entré.Il s’attendait à voir des machettes et des barres de fer, au moins une dizaine d’hommes costauds.Mais...Dans la case d’habitation, il n’y avait qu’une femme de plus de soixante dix ans, laquelle était en train de tricoter un pull !Léo a froncé les sourcils. Qu’est-ce qui s’est passé ?Après ne pas avoir trouvé son ennemi par deux fois cons
La porte métallique d’un entrepôt a été ouverte.À lui seul, Léo est entré dans l’entrepôt. Sur les tuyaux d’acier empilés étaient assis sept à huit hommes costauds, chacun tenant une dague tranchante.C’étaient des meilleurs hommes de combat parmi les hommes combattants sous le commandement d’Adam.Léo marchait sur l’allée large entre les tuyaux empilés. Les hommes costauds le suivaient de leurs yeux, comme des aigles ciblant un lapin.Un homme ordinaire aurait été paralysé sur le sol sous les regards féroces et cruels de ces hommes costauds.Mais Léo ne les craignait pas, ce qui signifiait clairement qu’il était extrêmement fort lui-même.Au fond de l’entrepôt se trouvait un élévateur.Sur l’élévateur se tenait debout un homme en costume et à lunettes à monture dorée.C’était Lucas.« Léo, ça fait longtemps. »Léo l’a ignoré. À environ cinq mètres de Lucas, Léo s’est arrêté.Lucas a claqué ses doigts. Puis un homme a appuyé sur un bouton pour faire monter l’élévateur jusqu’à une haut
C’était qu’il ne pouvait pas pleurer.Les yeux de Léo étaient complètement mouillés. Le regret et la culpabilité ont instantanément occupé son cœur.Il a serré les poings.Il a raidi les bras.La force a instantanément surgi.« Tuez-le ! »Suite au cri de Lucas, sept à huit hommes se sont lancés sur Léo, visant leurs dagues sur ses parties vitales, telles que le cou, la poitrine, la partie postérieure de la tête et la colonne vertébrale. Léo serait gravement blessé si une de ces parties était poignardée.C’était une situation très dangereuse.Un homme ordinaire ne penserait plus à sauver sa vie mais à ne pas mourir d’une mort trop misérable.Mais Léo n’était pas un homme ordinaire.Il était le Dieu de la guerre !« Ahhhhh !!! »Avec un rugissement, il est apparu derrière un homme et l’a saisi par la tête.Puis il a serré les doigts.Suite à une série de claquement, l’homme s’est paralysé sans émettre aucun hurlement.Ensuite, d’un coup de pied, il a fait s’envoler la dague, laquelle s’
Adam, même en colère, n’osait pas le contredire. Il a encaissé et s’est retenu.Tant que César pouvait tuer Léo, il pourrait tolérer tout.« Voyons comment tu le feras. Si tu ne peux pas l’éliminer, j’attends comment tu t’expliqueras ! »Dans l’entrepôtPaniqué, Lucas a regardé autour et s’est pressé de monter un escalier pour s’enfuir.Léo ne lui a laissé aucune chance de fuite. Il est aussi monté, juste en deux pas, et lui a couru après.Ce salaud avait fait tuer François et avait jeté ses cendres. Il devait être liquidé aujourd’hui, ce dont Léo voulait toujours m’occuper lui-même.Boum !Lucas s’est cogné la tête contre un mur. Il est arrivé dans une impasse. Derrière lui a couru le Dieu de Guerre. Il était désespéré et mourrait.Pouf ! Lucas n’a pas du tout hésité à s’agenouiller.Pour vivre, il n’avait pas honte et l’a supplié sans cesse.« Léo, tu peux me frapper à volonté. S’il te plaît, ne me tue pas. Je promets de ne plus jamais être contre toi. Je t’en prie. Je reconnais mes
Cependant, il avait tort. Ce n’était pas que César ne se souciait pas de ses alliés, mais qu’il se fichait seulement de leur vie parce qu’il ne les considérait pas comme ses compagnons.Il espérait que ces types-là soient tous tués.Il marchait devant la cage de fer. Les regards de Léo et de César se sont croisés.César lui a fait un rire jaune : « La dernière fois que nous nous sommes rencontrés, nous avons travaillé ensemble pour sauver des gens. Mais maintenant, c’est un tel cas que nous sommes devenus ennemis. Le Créateur taquine les hommes. »« Pourquoi es-tu devenu le complice d’Adam ? C’est incroyable ! » a dit Léo d’un ton grave.Adam à côté a ri : « Hi hi hi, parce qu’il est mon frère. Il s’appelle César Pineau. Tu ne t’y attendais pas ? »Léo a secoué la tête avec un sourire amer.« Je vois. D’abord, tu m’as séparé de mes subordonnés. Et puis, tu m’as coupé la piste et as envoyé huit hommes pour me faire croire que c’était son dernier recours. Mais, ce n’était pas fini. Tu as
César n’avait pas éprouvé la sensation d’échec de toute sa vie. Mais à cet instant-là, il l’a ressentie pour la première fois.Selon le plan, Léo serait non seulement pris au piège mais aussi les siens n’auraient pas pu trouver cet endroit.Mais en réalité, ses deux subordonnés venaient pour le sauver.C’était tout à fait hors de son plan.Il a regardé Léo fixement et lui a demandé : « Depuis quand as-tu installé ce traceur ? »Léo a souri : « Devine. À toi de me le dire. »Évidemment, Léo l’a installé au début. Du moment où il était entré dans l’hôtel jusqu’au moment où il avait été coincé, surveillé et exposé aux yeux de César, il n’avait aucune chance de l’installer.La mine de César s’est rembrunie.Alors, Léo connaissait son existence depuis le début et se méfiait toujours de lui.César ne le croyait pas même si c’était juste la vérité.Il pensait que sa tactique n’avait pas la moindre faille.Il a encore demandé à Léo : « Pourquoi as-tu installé un traceur au début ? Ça n’a pas d
Léo était déjà coincé dans la cage, mais ils ne pouvaient pas le tuer. On dirait que Zeus ne pouvait pas tuer Prométhée et le piégeait sur le Caucase. De plus, à la différence de Prométhée, Léo n’a pas été blessé.Entre-temps, un homme de main d’Adam est venu en courant.« M. Pineau, j’ai de terribles nouvelles. Les deux hommes sont là. Il faut faire quelque chose. »« Quoi ? »Adam a été gelé et a grondé : « Des dizaines de bagarreurs ne peuvent pas abattre les deux ? »« Pardon, je sais que c’est insensé, mais c’est la vérité ! »César a froncé les sourcils et pensait : Puisqu’il a un localisateur sur lui, pourquoi a-t-il envoyé seulement deux agents ? Ce n’est pas logique.Léo a calmement dit : « Ce sont Vierge et Gémeaux, on dirait un ange et un démon. Même moi, je ne suis pas nécessairement capable de résister à leurs attaques. En même temps, les deux sont envoyés en renfort. Pascal s’inquiète trop pour moi. »Un ange et un démon ?César a quitté les lieux immédiatement et est ret
La voiture roulait à mi-chemin lorsque Joseph a aperçu la Ferrari dans son rétroviseur et n’a pu s'empêcher d'être amusé.« Ha, ha, quel chien enragé ! Comment oses-tu me rattraper ? Te prends-tu pour qui ? »Ceci dit, il a fortement appuyé son pied sur l'accélérateur et sa vitesse a grimpé en flèche, dépassant largement la Ferrari derrière lui.Après tout, c'était un pilote de course professionnel de F1, sa classe était totalement supérieure aux pilotes de course que Léo avait rencontrés auparavant. Il n’avait pratiquement aucun problème sur la voie droite, même dans les virages, il était presque parfait. En y ajoutant les superbes performances de la Lamborghini, cela lui a permis de rester en tête. Pour Léo, il n'y avait aucun moyen de le rattraper.Dans la Ferrari, Félix a secoué la tête à plusieurs reprises : « Docteur Martin, laissez tomber ! Bien que vos compétences médicales soient excellentes, lorsqu'il s'agit de techniques de conduite, l’autre partie est un pilote de course p
Les deux parties se sont regardées et se sont figées.Le jeune homme était Joseph Roux, un pilote de course professionnel de F1.La Ferrari était le leader de la F1, mais l'équipe a décliné après qu’un accident de route ait frappé leur champion l'année précédente. Cela a permis aux autres équipes de le rattraper.En fait, l’écart de puissance entre la Lamborghini et la Ferrari était très petit, et surtout la Lamborghini a engagé un excellent pilot de course à prix astronomique, ce dernier représentant la Lamborghini a successivement remporté le championnat.Tout le monde ne s'était pas attendu à rencontrer un pilote de course de F1 de Lamborghini dans un tel endroit.Félix a dit avec dédain : « Mec, ne sois pas trop arrogant ! Une bonne voiture n’est rien du tout ! »À ce moment, une voix légèrement douce est sortie de l'intérieur de la Lamborghini : « Même si ma voiture n’est pas bien, elle est toujours meilleure que la tienne, n'est-ce pas ? »Ceci dit, un autre homme en est sorti.C
Après avoir quitté la rivière, Léo a pris un taxi et est arrivé à la Clinique de Roussel, où il a vu de loin un grand tissu rouge couvrant quelque chose.Dès qu'il est entré dans la salle, Félix l’a accueilli d’un air joyeux : « Docteur Martin, enfin vous voilà ! Vous m'avez fait attendre depuis longtemps ! » Léo a souri : « Monsieur Lemaire, pourquoi vous me demandez de prendre le cadeau en personne ? »Nydia a secoué légèrement la tête : « C'est un objet très important, ce n'est pas quelque chose que les gens ordinaires peuvent simplement avoir. » Léo était confus, vu qu'ils parlaient du cadeau de manière mystérieuse, il ne devinait exactement pas quel était le cadeau.Félix l’a conduit à l'extérieur et a pointé du doigt le tissu rouge : « Ouvrez-le et montrez-le au docteur Martin ! »Les serveurs ont immédiatement arraché le tissu rouge, révélant à l'intérieur un coupé ayant une carrosserie bien profilée !C’était un cabriolet à toit ouvert Ferrari !Les portières du cabriolet s’o
« Léo, tu te souviens de la réaction de grand-père ? Il était rouge comme un coq à cause de la colère. » Léo a ri : « Depuis quand es-tu devenu si mauvais ? Ne me disais-tu pas d'être poli avec grand-père ? »Emma a soupiré : « Oui, tu as raison. De toute façon, il est toujours mon grand-père, le parent le plus proche. Mais ce qui s’est passé aujourd’hui est trop exaspérant. Je ne sais vraiment pas ce que j’aurais fait si je n’ai pas eu de l’aide des trente propriétaires dans la Résidence Empire. »En parlant de cela, Emma est devenue encore plus perplexe : « En fait, je ne comprends pas non plus ce qui s’est passé. Léo, je ne sais pas pourquoi les autres ont été refusés par les propriétaires, mais si je pars, ces derniers accepteront de signer. »Léo lui a répondu : « Parce que... Tu es tellement belle qu’ils sont tous captivés par ta beauté, n'est-ce pas ? »Emma a tapoté la tête de Léo : « Toi, tout ce que tu fais, c'est de dire des bêtises toute la journée pour me rendre heureuse.
Est-ce que c’était l'attitude de demander de l’aide à quelqu'un d’autre ? Léo a ricané dans son cœur et se disait : « Grand-père est encore si arrogant même s’il se trouve dans une situation difficile. »Et ensuite Léo s’est levé, a pris la main d’Emma et s'est apprêté à partir, ce qui les a surpris tous les trois. Ils avaient été punis pendant trois heures pour attendre qu’Emma se réveille, et maintenant Léo et Emma étaient sur le point de partir sans rien faire, c’était une plaisanterie ? « Léo, que fais-tu ? » a crié Mathias avec inquiétude.Léo a répondu avec indifférence : « Certaines personnes peu éduquées sont restées dans le bureau, alors l’air ici n’est pas bon, je vais sortir pour faire une promenade avec Emma. » C'était évidemment une réprimande aux trois. Mathias n’était rien pour lui.À ces mots, Mathias était tellement en colère qu’il a même voulu tuer Léo immédiatement. Mais pour l'instant, il devrait le supporter car il voulait lui demander de l'aide. Il a poussé un
« Si un ou deux propriétaires n’ont désigné qu’Emma, je croirais que ce serait possible. Mais le problème est que trente propriétaires désignent Emma en même temps, les choses ne peuvent pas être aussi simples. »« D'ailleurs, ces trente personnes, y compris des femmes et des hommes de soixante-dix ans, auraient-elles pu faire quelque chose comme ça ? Paul, Bella, vous ne direz plus encore de telles bêtises à l’avenir, vous comprenez ? » Bella et Paul ont hoché la tête.Bien que Mathias déteste Emma, c'était après tout sa propre petite-fille, s’il lui était arrivé quelque chose de honteux, ce ne serait pas seulement Emma qui serait déshonorée, mais toute la famille Dupont.C'était pourquoi Mathias ne permettait pas à Bella et aux autres de dire des bêtises comme ça. La raison pour laquelle les trois ne pouvaient pas comprendre le comportement des propriétaires était qu’ils ne savaient pas que le nœud du problème venait de Léo et non d’Emma. Comment pouvait-on penser au résultat corre
Et ensuite, Paul a exposé les travaux de la rénovation en détails d’une manière très polie et appropriée.Oscar l’écoutait attentivement à l'autre bout du fil et n’a rien dit.Paul était sûr qu’il pouvait le persuader d’accepter la modification. Parce que cette modification était une bonne chose pour les propriétaires, il ne trouvait aucune raison pour qu’Oscar puisse le refuser. Cependant, les choses ne se déroulaient pas comme prévu. Oscar lui a répondu d’un ton peu aimable : « Je ne l’accepte pas. »Paul a changé de teint, son sourire se figeant, il n’a vraiment pas compris pourquoi il lui a refusé et s’est demandé : « Pourquoi ? Il est fou ou quoi ? »Paul l’a encore voulu persuader, mais Oscar lui a répondu fermement : « Je l'ai dit, je refuse, ce n’est pas la peine de m'en reparler. De plus, je ne répondrai à aucun appel de quelqu'un d'autre dans votre famille Dupont autre que Madame Emma Dupont, vous comprenez ? »« Mais, monsieur Lefort, c'est... »Bip, bip, bip, l'interlocut
Paul s’est levé et est allé préparer la proposition de projet.D’un air satisfait, Mathias a pris une gorgée de café et a regardé Bella en souriant : « Tu es également ma petite-fille comme Emma, tu me rends toujours heureux et doux, et alors Emma, elle me met toujours en colère ! »Bella a souri : « Vous me flattez, grand-père. »« Hé, ce n’est pas la peine d’être modeste. C'est dommage que tu sois une fille, si tu étais un homme, je t'aurais déjà donné ce poste de patriarche de la famille. Hélas, Paul n'est pas aussi bon que toi dans tous les domaines, je m’inquiète pour lui. »« Grand-père, Paul est juste impulsif, mais il n'est pas mauvais. »Mathias a soupiré : « J'aimerais qu'il puisse être équilibré comme toi. »De l’autre côté.D’un air mécontent, Emma est retournée à son bureau, jetant le plan du projet par terre et le piétinant avec ses talons hauts pour évacuer sa colère. Elle n’a jamais été aussi mal à l'aise que maintenant ! Peu importe qu’elle a été brimée par les autres
Alors que les trois baignaient dans l’allégresse et que Emma était furieuse, des pas clairs venaient à leurs oreilles. Immédiatement après, l'homme que Mathias a détesté le plus est apparu, c’était bien Léo. Il se tenait à côté d’Emma avec le même calme inaltérable sur le visage, et a tendu la main pour tenir la main froide et tremblante d’Emma.« Bonjour, grand-père. »Mathias a reniflé froidement : « Bonjour. »Et ensuite, Léo a esquissé un sourire et a dit quelque chose qui a déconcerté les personnes présentes.« Grand-père, pour mon défunt frère François, il vous a fallu beaucoup de peine pour préparer deux zones de planification de cimetière, vous m’avez beaucoup aidé, merci ! »Deux zones ? D’un air perplexe, tout le monde s’est regardé. Paul a ricané : « Léo, tu as dit des bêtises ? »« N'est-ce pas ? » Léo a dit, faisant semblant d'être perplexe, « non seulement la Résidence Empire va être transformée en zone de planification du cimetière, mais un autre terrain serait spéciale