Chapitre 294

Le soleil se couchait. Les reflets crépusculaires ont traversé la géante porte-fenêtre et ont rougi le sol.

Chaise de bureau, dans le bureau du Responsable Général.

Attristé, Léo était assis, son corps appuyé sur le dossier de la chaise, sa tête légèrement levée. Il pensait au temps passé et à son défunt camarade, Adolphe Roussel.

Adolphe était médecin et travaillait à l’arrière, mais il a suivi Léo dans les combats pour on ne savait pas combien de fois.

Chaque fois qu’il y avait des blessés ou des malades, il faisait de son mieux pour les soigner.

Il excellait non seulement en éthique médicale mais aussi en compétences médicales, et était considéré comme Hippocrate de la Frontière de l’Ouest. Il était respecté par tout le monde et les blessés et les malades étaient très nombreux à venir lui demander l’aide.

Adolphe n’a jamais refusé une seule demande.

À ses yeux, les êtres étaient égaux. Il détestait la guerre et aspirait à la paix.

Il était aussi une des personnes en lesquelles Léo a