Chapitre 266

Après qu’Adrien avoir entendu cela, une pâleur subite a envahi sa figure.

Si c’était quelqu’un d’autre que Remy qui avait dit cela, il aurait dû lui cracher au visage.

Il a réprimé sa fureur et a demandé : « Monsieur Lionel, vous l’avez bien vu ? Le mien est un faux ? »

Remy a ri, « Peu importe combien de temps passent, peu importe combien de fois je le vois, il reste toujours un faux. »

Adrien a été désespéré.

Il lui était impossible de contester le jugement d’un maestro, qui avait apprécié de nombreux ouvrages et était renommé de ce secteur.

Un faux !

Ces deux mots étaient comme un sabre planté dans son cœur, le blessant au point de le tuer.

Il a dépensé 10 millions d’euros pour cette œuvre.

10 millions d’euros !

Remy a ajouté : « Bien que ce soit une contrefaçon, il demande beaucoup de travail. Il ne vaut pas extrêmement cher mais au moins trois ou quatre cent mille d’euros. »

Ce qui avait été acheté pour 10 millions d’euros ne vaut plus que trois ou quatre cent mille d’euros.

Ah ah