Chapitre 6 : J'aime mon mari

Lucia 

C'est Toi que je veux , ta peau est douce comme dans mon souvenir.

- Vous pouvez libérer mon mari ?

- Oui, mais, je ne ferai pas.

- Pourquoi , vous ne le ferez pas.

- Pourquoi le libérer alors tu es tout à moi maintenant et je n'ai pas à te partager .

- Je t'en prie, libère le, je serais à toi quand et où tu le veux.

- C'est bien ce qui me chagrine, pour ton mari tu es capable de faire tout ce que je vais te demander, tu l'aimes à ce point ?

- Je l'aime plus que tout, pour lui j'ai du laisser ma famille derrière moi , pour lui j'ai abandonné les études, pour lui j'ai accepté d'être femme au foyer, j'aime mon mari et je ferai tout pour lui .

- C'est pathétique , tout cet amour que tu luis porte.  La question à un millionnaire est : est-ce que lui, il t'aime ? 

- Quelle question ! bien sûr qu'il m'aime.

S'il ne m'aimait pas, il n'allait pas m'épouser . 

- crois-tu ça, qu'il t'aime comme tu l'aimes.

- bien sûr.

- Très bien nous allons le vérifier plus tard, maintenant, dis-moi pourquoi tu es là.

- Je suis venu d'implorer de libérer mon mari.

- J'y gagne quoi ?

- Ce que tu veux.

- Tu es prête à t'offrir à moi ?

- Oui

- Je ne sens pas ta motivation . Montre-moi que tu es vraiment motivée.

Viens me faire une pipe.

Il alla s'asseoir sur un divan, les jambes écartées.

- Qu'est-ce que tu attends, approche.

Je commence à m'approcher de lui

- Stop, avance à quatre pattes.

Imbécile, satan sans queue, Dieu te remboursera tout l'humiliation que tu me fais subir.

Je me mets à quatre pattes, et avance vers lui.

Déshabille-toi

Lucia 

Je commence à m'approcher de lui

- Stop, avance à quatre pattes.

Imbécile, satan sans queue, Dieu te remboursera tout l'humiliation que tu me fais subir.

Je me mets à quatre pattes, et avance vers lui.

Quelle honte ! c'est la première fois que je fais ça , je fais tout pour retenir mes larmes de couler.

Je continue d'avancer, arrivée à son niveau, je m'assois sur mes pieds et le regarde , attendant la suite.

- Tu es très docile, tout à coup, avance encore et viens m 'ouvrir la braguette.

Je m'avance, et essaie d 'ouvrir la fermeture de son pantalon, ma main tremble, je suis troublée.

- Attends , ne te presse pas, prends une grande respiration , maintenant ouvre mon pantalon.

Je fais ce qu'il me demande ,en dessous

je vois un caleçon Calvin Klein , et à l'intérieur se trouve la plus grosse calibre que je n'ai jamais vue, mes yeux s'ouvrent grandement, et je suis paralysé par ce que je vois.

- N'ai pas peur, ma douce, il ne va te mordre , maintenant prends le dans ta main . Oui c'est ça, ma chérie, maintenant, approche ta bouche et goûte 

le , je vois que tu ne t'y connais pas, imagine que tu as un bonbon entre les mains, suce le comme un Bonbon.

Je fais ce qu'il me demande, et j'ai un haut le cœur, c'est écoeurant, je n'ai jamais mis le sexe d'un homme dans ma bouche, même pas mon mari .

- Oui ma chérie, oui continue comme ça.

Tes lèvres sont si douces , ho oui...oui..

Je continue de le lécher, il a l'air d'apprécier. Il finit par jouir, je fais un ouf de soulagement, enfin.

Il prend une serviette, se nettoie.

- Maintenant vous allez m'aider ?

- Non

- Mais, vous m'avez dit...

- Je t' ai dit d'être convaincante pour me décider à t'aider.

- Mais, c'est ce que j'ai fait .

- Mais tu sais ce que tu dois faire pour que j'aide ton mari ?

- oui je sais.

- Et c'est quoi ?

- Coucher avec toi.

- Est-ce que tu l'as fait ?

- Non

- Et qu'est-ce que tu attends ?

- Vous n'allez pas avoir pitié de moi et m'aider ?

- Pitié ? Que tu peux être drôle, de nos jours qui a pitié de qui ? Es-tu prête à coucher avec moi ?

- Si je le fais, vous allez le libérer ?

- Oui

- Très bien, alors j'accepte.

- Maintenant, Déshabille-toi je veux voir la marchandise.

Je commence à me déshabiller , j'ai honte de ce que je vais faire, tromper mon mari, le seul homme que j'ai jamais connu.

Je suis nue maintenant devant lui, il prend son temps me regarde de haut en bas, il finit par se lever, s'approche de moi, il vient se tenir derrière moi, je sens son souffle dans mon coup.

- Tu es très belle, magnifique.

Il me caresse lentement l'épaule, il est toujours derrière moi sa main se pose sur ma poitrine généreuse, qu' il presse, 

je suis crispée, il le sent . Je n'aime pas te sentir crispée ainsi, c'est comme je te forçais et je ne veux que tu te sentes ainsi

Si tu n'es pas à l'aise va-t-en, je ne veux pas d'une glace dans mon lit, dans mes bras.

- Attends, je.. je suis désolée, en fait , je n'ai jamais couché avec un homme que mon mari, tu comprends .Sois un peu patient, s'il te plaît.

- Très bien, approche maintenant.

Je m'approche de lui , il attrape ma main

et monte avec moi dans sa chambre.

Il referme la porte, et commence à se déshabiller, je le regarde, ne croit pas à ce va se passer. Je vais coucher avec quelqu'un d'autre que mon mari. Je ferme les yeux et attends mon sort.

- Allonge toi sur le lit.

Je fais ce qu'il me demande , il prend des préservatifs, qu'il dépose au chevet du lit, au moins il va se protéger, c'est déjà ça.

Quant-il se retrouve nu devant moi, je n'arrive pas à croire que cet homme si beau, si distingué , soit si cruel .

Il est tellement classe extérieurement mais, intérieurement il est pourri.

Il monte sur le lit, commence à me caresser, les yeux fermés j'attends qu'il fasse ce qu'il a à faire, et que je me casse d'ici . Ses mains, calleuses se posent sur mes cuisses, les caressent 

il me soumet à ses caresses, mes seins frémissent à son approche, mes tétons se durcissent, les traites, qu'est-ce qu'ils ont ? 

- Ouvre les yeux, regarde moi.

Je le regarde, je vois dans ses yeux, un désir brut, insatiable.

Il m'embrasse brusquement, ses mains tiennent ma tête de tout part.