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Chapitre 507

La nuit était silencieuse.

À l’extérieur de l’hôpital, le vent fouettait les branches des arbres, et les lourds rideaux ont été soulevés.

Il ne faisait pas trop froid en avril, lorsque le vent a soufflé dans la chambre du malade, la pièce a senti une odeur amère d’herbes.

Jade s’est réveillée et a vu Roland assis à côté de son lit, elle lui a tourné le dos et a regardé par la fenêtre : « Tu ne veux plus de moi, que fais-tu encore ici ? Rentre chez toi, je n’ai pas besoin que tu t’occupes de moi. »

Roland a ramassé la pommade posée sur la table de chevet et a immédiatement senti une odeur médicinale écœurante : « D’accord. »

Cela dit, il a posé la pommade sur la table, s’est levé, et a jeté un coup d’œil à sa montre : « Il est midi douze maintenant, je te donnerai dix minutes pour te calmer. »

« Roland ! »

Roland s’est arrêté et a demandé : « Maintenant tu es calme ? »

Jade s’est mordu les lèvres et a hoché la tête : « Oui. »

À ces mots, Roland s’est de nouveau assis et l’a bordée : « M
Chapitre verrouillé
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