Une soupe à l’oignon se trouvait sur la table basse, et Yvette a fini la moitié du bol.« Sais-tu pourquoi je t’ai demandé de venir ici ? », a-t-elle demandé.À ces mots, Julie a pincé les lèvres et lui a répondu : « Oui, je le sais. »Yvette a de nouveau demandé : « Alors, que penses-tu de Chrétien ? Veux-tu revenir à ses côtés ? Si tu ne veux pas, dis-le-moi directement, je ne te blâmerai pas, et je ne te forcerai pas à rester dans la famille Verne. Puisque tu as pu donner du temp à Chrétien pour faire un choix, cela signifie que tu es très lucide. Sur ce point, je pense que tu es totalement différente d’autres femmes. »« Mais toutes les femmes ne sont pas aussi raisonnables que toi, c’est aussi à cause de cela, Chrétien se sentait très désespéré, parfois...en tant que femme, c’est très normal d’être en colère ou de faire du chambard. Franchement, Chrétien espère que tu pourras te comporter ainsi, tu pourras manifester ta colère à cœur joie. Au mois à ses yeux, tu te soucies de lui.
Julie n’était qu’une étudiante, mais ce qu’elle avait vécu était beaucoup plus que ses paires. À son âge, elle devrait être en train d’étudier et de s’inquiéter de ses notes, mais maintenant elle devait aller amadouer un adulte qui avait quatre ans de plus qu’elle.Elle était destinée à vivre une vie occupée et difficile.Julie est arrivée à l’étage et a frappé à la porte.Boum !Un objet inconnu a claqué sur la porte, ce qui l’a stupéfiée, et elle a failli tomber les médicaments et de la pommade qu’elle tenait dans la main sur le sol.« Dégage ! »« Tu ne veux vraiment pas que j’entre ? », a demandé Julie. L’homme de la chambre est soudainement devenu silencieux. Alors que Julie était sur le point d’entrer, Chrétien a sauté du lit, s’est précipité vers elle, et l’a serrée dans ses bras. Ce geste soudain a fait Julie reculer d’un pas pour garder son équilibre. En refoulant son agitation, il lui a fortement prise dans ses bras et a dit d’une voix grave : « Je pense que tu ne revien
Julie a posé la tasse d’eau sur la table de chevet et a répondu : « Tu devrais prendre le médicament à l’heure, que je revienne ou non, c’est la santé qui compte. »Elle a essayé de retirer sa main, mais Chrétien n’avait pas l’intention de la lâcher, il a demandé : « Tu m’as dit que tu me donnerais le temp pour bien réfléchir, cela compte encore ? »Julie a souri et lui a répondu : « Si tu veux que je revienne, je reviendrai... »En fait, il n’existait pas d’égalité entre eux deux, et Julie serait toujours celle qui devrait baisser la tête.La raison pour laquelle elle était revenue n’était pas seulement pour Yvette, mais surtout à cause de son père.Hier soir, lorsque Roland avait téléphoné à François, elle avait entendu ce qu’ils avaient dit, si elle ne pouvait pas revenir dans la famille Verne, elle serait traitée comme une marchandise et donnée à quelqu’un d’autre pour les biens de la famille Dubois et la carrière de Roland. Elle se sentait tellement désespérée, il s’est avéré qu’e
Julie a rangé son téléphone portable avant de se retourner et lui a répondu : « Ce n’est rien. »« Quand tu es venue, tu n’as rien apporté, si tu as laissé quelque chose d’importante dans le Domaine de Mont-Sud, je pourrai demander à Pascal de la récupérer. »« Ce n’est pas la peine, tu as tout ce dont j’ai besoin ici, quant à mes affaires importantes, je les ai mises dans l’appartement que j’ai loué avant », a-t-elle répondu, puis elle s’est approchée de lui et lui a tenu la main, en demandant : « As-tu froid ? Je pourrai allumer le climatiseur. » « Non, ce n’est pas la peine. Tant que tu m’accompagnes, je me sens très à l’aise », a-t-il répondu.« D’accord », a dit Julie en mettant la main de Chrétien dans la couverture : « Veux-tu manger quelque chose ? Tu as un estomac fragile, et tu auras mal à l’estomac si tu reçois la perfusion à jeun. »Au moment où elle a terminé sa phrase, elle a entendu quelqu’un frapper à la porte.Il s’agissait d’une servante, elle a demandé : « Monsieur,
Le dernier actualité du divertissement : Chrétien Verne, président du Groupe Verne, a semblé s’être remis en couple avec Julie Dubois. Il y a peu de temps, un informateur avait déclaré que Julie avait manqué les Olympiades de Mathématiques et arrêté ses études, parce qu’elle avait découvert que Chrétien avait eu une liaison avec d’autre femmes. Mais aujourd’hui, des journalistes ont surpris Chrétien en train de déposer personnellement Julie à l’école, par conséquent, ils ont deviné que Chrétien était de nouveau avec Julie. De l’autre côté, dans la vielle Grenoble.Après avoir lu le journal, Nathalie était tellement en colère qu’elle l’a déchiré en mille morceaux : « Ce n’est pas vrai ! C’est impossible ! Il n’aime pas d’autre femme que moi ! »« Chrétien, la personne que tu aimes, c’est moi ! La personne que tu devrais aimer est moi ! »Ces derniers jours, Nathalie est tranquillement restée dans la ville Grenoble pour que Chrétien revienne à ses côtés, mais il n’est pas venu ces cinq
Après avoir entendu cela, Roland n’a pas réagi, mais l’aura se dégageant de lui était encore plus forte et froide, sans savoir pourquoi.Il y avait longtemps, la famille Chambois avait compté sur les minéraux et avait gagné un peu d’argent, plus tard, les Chambois avaient utilisé des tactiques et obtenu un morceau de champ de pétrole, ils étaient donc devenus très riches. Depuis qu’ils étaient retournés dans le Rouan, ils vivaient de son ancienne fortune tout le temps, même s’ils ne travaillaient pas, ils avaient tout de même assez d’argent pour dépenser.Roland lui a répondu : « Pourquoi devrais-je te faire confiance ? »À ces mots, Léo a semblé voir un peu d’espoir, il a grimpé vers Roland et lui a saisi la jambe en répondant : « Je pourrai te donner le titre de propriété, tant que tu me sauves d’ici, je te garantis que tu auras de l’argent à dépenser jusqu’à la fin de ta vie. » « C’est vraiment une bonne idée... », a répondu Roland, puis il a posé le stylo qu’il tenait dans la mai
Le lendemain, tôt le matin.Si on lisait le journal, on pourrait voir une telle nouvelle : Léo Chambois, qui voulait s’évader de la prison, a accidentellement mangé trop de soudes caustiques et est mort.Dans les rues animées, tous les gens se sont précipités vers le métro en tenant le même journal, mais personne n’a prêté trop d’attention à une telle nouvelle. C’était vendredi aujourd’hui, Julie s’est levée relativement tard et n’est pas sortie.Une servante a pris le journal de ce matin dans la boîte aux lettres et l’a posé sur la table selon l’habitude de Chrétien, et Julie portant l’uniforme d’écolière s’est servie un verre de jus d’orange dans la cuisine, est entrée dans le salon, et a accidentellement vu le journal.En voyant Chrétien descendre par les escaliers, la servante l’a salué : « Bonjour, monsieur. »Chrétien, qui était en plein forme, lui a répondu : « Bonjour. », puis il s’est tourné vers Julie et a dit : « Si tu ne veux pas aller à l’école, tu pourras rester à la mai
Il s’agissait de Béatrice, dès qu’elle a vu Julie, elle a immédiatement couru vers elle en souriant, un panier de fraises à la main, tandis que Julie a délibérément ralenti son pas pour l’attendre. Béatrice a demandé : « Pourquoi es-tu venue si tard aujourd’hui ? Je t’attendais depuis longtemps ! Goûte ces fraises ! C’est ma mère qui les a cultivées. » Alors que Julie était sur le point de lui répondre, Béatrice a directement mis une fraise dans sa bouche. Julie l’a mangée avant de répondre : « Merci, c’est bon. » En prenant Julie par le bras, Béatrice a de nouveau commencé à lui parler de ceci ou de cela. Julie en avait assez d’elle, se demandant : « À part des cours, elle a passé tout son temps à rester avec moi, elle n’a pas d’autres choses à faire ? » Tout en marchant, elle l’écoutait attentivement, mais elle lui répondait peu. En fait, elle ne détestait pas du tout Béatrice, mais beaucoup de choses négatives arriveraient aux personnes qui entraient en contact avec elle, e