J’étais couchée dans le canapé au salon ce jeudi soir toute seule car les parents étaient en voyage. Comme d’habitude, j’étais scotchée sur mon smartphone lisant les actualités sur le réseau social F******k. Tous mes temps libre, je le passais avec mon portable. J’étais fane des réseaux sociaux,( les pages, les groupes W******p). Cela me permettait de changer les idées d’ autant que monsieur mon « « Fiancé « « était toujours occupée par le boulot. Pour moi il y a pas plus meilleurs distraction que d’échanger avec des gens loin de soi. Ça me permettait de me faire des amis un peu partout dans le monde. Je tombai donc ce jeudi sur un lien qui parle d’une page nommée « « Vivre sainement sa jeunesse « « . Ce qui m’attire. « Ce groupe me plaît bien » me suis-je dit. Je clique sur le lien ce qui m’envoie un groupe W******p. Je remplis toutes les formalités. Et voici je suis membre du groupe. Tous me souhaitent la bienvenue et tout d’un coup, je me suis sentie comme une reine. « J’aime bien l’ambiance « J’ajoutais intérieurement . Quelques minutes plus tard, je reçois un audio d’un inconnu . J’écoute et c’était la voix d’un homme( une voix grave) Disant qu’il était l’administrateur du groupe et que je devrais me présenter le soir suivie d’une de mes photos. « Ça me gêne pas » lui avais-je répondu par écrit. Je saurais seule sans même savoir le pourquoi. À cause de l’audio ou des messages que je lisais dans le groupe. J’étais dans mes réflexions à sourire seule quand je ma copine Charlyne, celle que j’attendais depuis des heures pointe son nez. Sans frapper comme toujours elle me fit une tape sur la tête pour me faire sortir de mes pensées.
Charlyne : Que fais-tu à sourire à ton portable seule comme une folle Diana ? Qui t’amadoue chérie ?
Moi : Personne.
Charlyne : Fais voir.
Moi : Quoi ??
Charlyne :Le portable.
Moi : Mais c’est à moi le portable. N’est-ce pas ?? Charlyne : Moi, je veux voir. Elle m’arrache le portable des mains. Et commence à lire ?? Charlyne : Tout vas bien ?? Moi : Oui. Charlyne : Et pourquoi tu souris à un des messages de bienvenue des membres d’un groupe qui ne sont même pas drôle ? Moi : Rien. Charlyne : C’est vrai ça ? C’est quoi cet audio. Moi : Administrateur du groupe. Charlyne : Je vois maintenant, pourquoi toutes tes dents sont dehors. Attention. Tu le connais ?? Moi : Comment veux-tu que je le connaisse ? « Charlyne : Tu as un fiancé. Et ton chéri ?? Moi : Et pourquoi tu ne t’en vas pas trouver une ?? Tu n’es pas fatiguée de la solitude ? Charlyne : Merci de t’inquiéter. Mais réponds à ma question. Moi : Celui là, il n’a pas mon temps. Toujours au boulot. Je lui réserve une punition qu’il n’oubliera pas. Charlyne :Vas doucement avec lui ooooooh ma chérie. Moi : Je peux maintenant prendre mon portable ? Charlyne : Non, je vais écouter l’audio. Je lui arrache le portable des mains. Vous ne vous retrouvez pas certainement dans mes écrits n’est-ce pas ?? Je me présente donc avant de continuer. Moi c’est Diana YAYA, Je suis Béninoise. Une fille et enfant unique des mes parents car maman avait des problèmes de santé et ne pouvait pas faire plus qu’un enfant. Parlant du physique, je suis mince, Claire, j’ai un mettre soixante -cinq (1,65m) pour taille. J’ai étudié l’administration et après mon stage, j’ai décidé de de me reposer un peu avant relance. Ma famille faisait partie de la classe moyenne supérieure . Mais On était pas l’une des familles influente du pays mais on faisait partie des familles pas trop basse en matière financière. Papa Claude YAYA était un douanier reconnu dans le pays grâce à ses œuvres tête ma mère Stéphanie LOUNON travaillait au ministère de la santé. J’avais presque tout à ma disposition d’autant que je suis enfant unique. J’ai connu charlyne dans l’entreprise ou j’ai fait mon stage de fin de formation. Elle a fait l’administration comme moi. Charlyne a même taille que moi mais elle était métissée. Sa Maman était française mais morte depuis qu’ elle était plus petite et un père Béninois. Elle est vraiment gentille et compréhensible. On faisait parti de la même congrégation (Chrétienne évangélique). Ce qui facilitait les choses entre nous. Elle a souvent l’habitude de me taquiner comme elle le faisaient ce jour. Après lui avoir pris mon phone, nous passons le reste de la soirée à papoter comme d’habitude. Après son départ ce jour, je me suis connectée pour voir ce qui se passait dans mon fameux nouveau groupe. Et là c’était l’administrateur du groupe qui faisais sa présentation suivie de sa photo pour servir d’exemple à tous les membres du groupe. Chacun se présente donc. J’ai pu comprendre que mon administrateur était Ivoirien. Et avait fait la finance et travaille actuellement dans une dans une banque. Ça coïncide avec Samuel mon fiancé. A la différence que Samuel travaille dans une entreprise d’import-export comme comptable . L’administrateur se nommait Christian mais surnommé Christ. Il agissait comme son nom. Calme, vraiment gentil et sympathique avec tout le monde. Après présentation et tout le reste, je m’endors. Le lendemain matin très tôt, je reçois un message dans mon in box envoyé par l’administrateur concernant le sujet sur laquelle se fera notre discussion le soir. Surprise mais contente je lui avais répondu par « .OK, merci » En trois jours seulement j’étais devenue accro à ce groupe car il n’y régnait jamais le silence. À cause de l’administrateur bien-sûr. Je commence par apprécier ce gars. Un groupe composé uniquement des jeunes qui se soutiennent moralement . Quoi de plus beau ? Le dimanche soir, Mon fiancé Samuel devrait passer me voir. Samuel est le fils de notre Pasteur à l’église. Il était le mec parfait. Je me sentais heureuse quand il était à côté de moi. Samuel avait fait la finance, comme je l’avais dit plus haut et il travaillais dans une entreprise d’import-export. Mais malheureusement, ses derniers temps, il est pris par le travail donc je le vois rarement. Je le voyais avancé vers moi ce dimanche soir mais fâcher car il n’avait pas trop mon temps. J’ai tourné le regard. Je voulais qu’il s’excuse. J’aime bien me faire prier. C’est la nature de la femme. Il s’approche tout près.Samuel : Chérie, Comment vas-tu ??
Moi : Bien. Tu as pensé à moi. Samuel : Je sais que tu es fâché mais je suis désolé. J’ai pas l’intention de te faire mal. Moi : Compris Samuel : Et pourquoi tu me réponds ainsi si tu as compris ? Tu es ma reine. Je m’excuse pour l’absence. Mais tu comprends j’espère. Moi : Oui, mais tu exagère parfois. Notre mariage est dans quelques mois et je te sens distant. Samuel : Dis pas ça. Je t’avais pourtant tout dis. T’inquiète. On sera très bientôt mari et femmes. Moi : Je l’espère.Il a toujours eu ce pouvoir sur moi. Le simple fait de le voir me rend heureuse et j’oublie tout. À ses côtés, je me sentais femme. Samuel rentre chez lui après quelques heures. Et je décide d’écrire à l’administrateur. Et pourquoi ? Je ne sais pas. Vous le savez vous peut-être ?????
Deux minutes après mon bonsoir, je reçois une réponse de notre administrateur surnommé Christ . J’ai voulu savoir donc pourquoi personne ne disait rien dans le groupe ce dimanche soir. Il m’explique que les dimanches tout le monde se reposait . Et que il avait décidé à ce qu’on ne dérange personne. Je lui réponds par un petit « D’accord ». J’avais pensé que notre discussion s’arrêterait là. Je ne voulais pas mais je ne savais pas non plus quoi ajouté de plus. Heureusement qu’il avait décidé de me demander comment j’allais. C’ est ainsi que nous eûmes une discussion histoires de mieux se connaître. Nous avons familiarisé ce soir même. Je le trouve encore plus sympa que ce que je me disais. C’est ainsi que chaque jour quand j’avais rien à faire, et lui aussi, on discutait comme de bons amis. C’était tout le contraire de Samuel. Il aime écrire. Avec Samuel nous faisions juste des appels. Une semaine plus tard, Charlyne était venu me voir. On discutait dans ma chambre, j’avais la tête dans mon portable car je chattais avec Christ. Charlyne qui parlais dans le vide depuis qu’il était là, me demande si je l’écoutais. « Oui » fut ma réponse. Elle demande donc à ce que je lui réponde si vraiment je ‘l’avais entendu. J’ étais incapable de lui répondre car je n’avais rien entendu de tout ce qu’elle disait. Ce qui l’avait énervée. Charlyne : Depuis plus d’une semaine, tu souris bêtement comme une folle quand tu es devant ton téléphone. Et tu écris avec cet type, comment il s’appelle même ? Moi : Christ. C’est un ami. On s’entend très bien et c’est tout. Charlyne : Fais attention à toi et n’oublie pas que Samuel t’aime et tu te mari d’ici peu. Moi : Je dis pas le contraire. Mais as-tu vu Samuel ici ? C’est lui le travailleur et moi la paresseuse. Je me suis donc trouver un paresseux comme moi avec qui je m’entends très bien. C’est juste un ami et Samuel, je l’ aime trop pour le quitter pour un autre. Charlyne : Ne suis-je pas ton amie ? Moi : Si bébéCharlyne : Alors échange avec moi si tu veux. Je te connais. Tu tombes très vite amoureuse. Moi :…….. Tu t’entends là chérie ? Je suis déjà amoureuse et cela n’arrivera plus. Charlyne : J’essaie juste de te dire de ne pas trop te laisser aller. Ça donne rien de bon. Je ne te demande pas de ne plus lui écrire mais je te demande juste de contrôler tes écrits. Maintenant, tu vois que Samuel te néglige. Mais avant ça te gênait pas si autant. Tu le comprenais. Ton comportement commence par me fait peur. Moi : T’inquiète. Christ sait que j’ai un fiancé. Et il ne veut rien de moi à part mon amitié. Charlyne : C’est toi qui le dis. Charlyne essayait de me faire voir la situation autrement que la manière dont moi je l’apercevais. Je la comprends très bien mais moi je voulais juste quelqu’un pour m’écouter. Certes elle le faisait déjà mais Charlyne et Samuel n’aimaient pas écrire. Or c’est ce que moi j’adorais . Je voulais un ami et à présent je l’ai. Et elle veut pas comprendre. On continuais notre discussion quand maman nous rappelle qu’il était l’heure pour l’église. Maman : Les filles, vous êtes où ?? Moi : En chambre maman. Maman : Vous serez en retard pour la messe. Il est bientôt 18h. Charlyne : On a fini. Maman : Faites vite. Je vous attends. On sort donc de la chambre pour l’église. Ce soir j’avais pas vu Samuel à l’église. Ce qui m’intrigua car ce n’était pas du tout son genre. Il se débrouillait Toujours pour y être. À la maison, je m’apprêtais à l’appeler et savoir ce qui n’allait pas quand ma Doriane m’interpelle. Maman : Diana, quand compte-tu commencer le travail ?? Moi : Maman, je ne suis pas encore prête. Maman : D’autres cherchent du boulot dans ce pays et toi tu te repose. Toujours ton smartphone en main. Ton père n’est pas du tout content. Moi : T’inquiète maman, je lui parlerai moi-même. Et une fois mariée je commence le travail ainsi j’aurai pas rester seule chez moi. Maman : C’est ta vie. Fais comme tu voudras. Je vais dans ma chambre. Moi : Bonne nuit. Maman : Dors bien chérie. Après le départ de Maman, j’avais appelé Samuel pour savoir ce que n’allait pas. Il me faisait comprendre qu’il avait quelques soucis au boulot et c’était la raison pour laquelle il m’avait pas appelé depuis le matin. Et S’il ne remédiait pas assez rapidement, il perdrait son job. J’avais eu peur à l’entente de cette phrase. Mais c’est lui qui n’allait pas bien et je devrais l’encourager. Ce que je fit. Le lendemain matin, j’avais essayé de joindre mon fiancé en vain. Il m’avait pas non plus rappelé dans la journée. Ce n’est que le jour suivant dans la soirée qu’il m’appelle mais je voulais pas l’écouter. J’étais fâchée. J’avais rejeté l’appel. Il me laissait donc un message dans lequel il voulait savoir comment j’allais. Message auquel j’avais pas répondu. Mais de l’autre côté avec Christ, tout allait très bien. Chaque jour qui passait, On devenait encore plus proche. On passait beaucoup de temps à échanger. Je l’ appréciais déjà et me disais qu’il serait un bon ami. C’était un chrétiens fervent aussi tout ça facilitait tout. On voyait les choses de la même manière. Dans le groupe aussi. Il nous donnait toujours de bon conseils. Comment nous devons vivre notre jeunesse. Je ne regrettais pas de l’avoir connu. Deux jours après le rejet de l’appel de Samuel, il était venu chez moi. Histoire de savoir si tout allait bien. Samuel : Tu n’as pas répondu à mon appel. Tout va bien ?? Moi : Je dormais. Samuel : Tu n’as pas pensé à me rappeler une fois réveillée ? Donc tu dormais depuis deux jours. Intéressant ça. Je voyais dans ses yeux qu’il était fâché mais je voulais pas laisser aussi. Je ne répondais même pas à sa question. « Il comprendra comment le fait de négliger l’autre fais mal ». C’était ce que je me disait à l’intérieur de moi. C’est toujours lui l’homme occupée.Samuel : Tu me réponds pas. Moi : J’ai pas de réponse. Samuel : D’accord, bonne nuit à toi. Il était donc reparti fâché. Je n’avait pas cherché à l’arrêter. Ce que j’aurais fait avant. Une erreur à ne pas commettre dans une relation. Il faudrait que quelqu’un entre nous se calme pour apaiser la situation. Et là je crois à présent que c’est ce que j’aurais du faire ce jour. Je pensais lui rendre le coup l’ignorant. Sans savoir que je lui faisait très mal et qu’il traversait une situation tes délicat au boulot. Je lui faisait du mal. Peut-être que je ne devrais le comprendre. Je vais me coucher après son départ. Nous restons ainsi pendant trois jours de plus. Samuel à commencer à ne plus me prêter attention depuis trois moi.À suivre...
DIA STOTY
Au début, je le comprenais. Mais plus maintenant. J’en avais marre et je voulais qu’il me comprenne sans le comprendre. Dans un couple la compréhension devrait venir des deux côtés. Il me manquait mais je ne voulais pas me rabaisser et l’appeler en premier. Jusqu’à ce qu’il décide de le faire lui. J’étais chez moi un soir quand il débarque avec une jolie petite rose en main et me demande de me changer pour le suivre. Très heureuse et excitée je m’apprête très rapidement et nous partions. Il m’avait emmené dans mon restaurant préféré pour notre dîné. Nous passons nos commandes. J’ avais voulu lui présenter mes excuses ce qu’il ne me laissait pas le temps de faire.Moi : SamuelSamuel : Ne dis rien ma chérie&nb
Je voulais plus me séparer de lui. Mais il faudrait que je rentre.Moi : Je dois partir.Christ : Tu peux encore changer d'avis. Ce n'est pas encore tard.Je le laisse et rentre chez moi cette même nuit. Sans arrêter de penser à ses phrases. Que dois-je faire ? Oublier Christ et me marier demain ou Prendre le risque ? Ce qui était certain est qu'une grande tempête se préparait. Que je devrais à tout prix empêcher. Je suis rentrée vraiment tard. La lumière du salon n' était pas éteins, j'avais donc compris qu'il y a avait quelqu'un encore debout. Je me suis avancée très lentement et qui était là ?Charlyne : Tu étais passé où toi ?Moi : Dans le Jardin. Et toi tu ne dormais pas ?Charlyne : Non je suis venue pr
C'était mais décision ce fameux dimanche soir après mille réflexion. Christ avait promis venir mais voir d'abord mes parents avant qu'on ne parte. Ce qui me semblait être juste. Mais c'était déjà peine perdue. Les parents veulent que je prenne encore un peu de temps mais c'est le temps que moi j'avais pas. Je me sentais ridicule aux yeux de tous. . Christ ne voulait pas que les choses se passent ainsi mais j'ai tellement insisté qu'il avait fini par accepter. J'ai pris la peine de discuter avec ma mère bien avant qu'il ne vienne car avec papa, c'était impossible.Maman : Tu penses partir pour quelque temps tu dis ? Tu t' entends ?Moi : Bien-sûr maman.Maman : Et bien évidemment, tu vas avec cet imbécile.Moi : Ne le traites pas ainsi. Il sera là demain, donc essaie de parler avec Papa. Je
Mais que me veut-il ?Moi : Mais qu'est-ce qui se passe dans cette maison ????Suis-je mariée à un homme différents de l'image qu'il me présentait ??Ne suis-je pas assez bonne pour être appelé sa femme ??Est-ce que je connais vraiment Christ ??Tant de question me traversait l'esprit auxquelles je pouvais pas répondre. Il était plus le même comme avant le mariage. Tellement il était si attentionné. Mais tout a changé du jour au lendemain.Comme toujours, je me suis pliée à sa note. Le soir j'avais fait le dîné comme d'habitude. Heureusement, ce soir, il était vite rentré. Tellement j'étais contente d'avoir mon mari là. Pour la première fois depuis plus d'un mois, j'ai pris le dîné avec mon mari. Après le d&i
Je me suis rappelé d'une de ma mère ce jour-là . Quand j'ai commencé une relation amoureuse avec Samuel et qu'il m'avait demandé en mariage, maman m'avait dit "" Aimez, c'est naturel mais épouser cette personne, c'est un choix "" J'ai enfin compris ce qu'elle voulait réellement me faire savoir. Tomber amoureuse de Christ était quelque chose qui pouvait arriver à toute femme, mais j'avais choisi moi de l'épouser. C'était mon choix. Et Je devrais en assumer les conséquences. Ma vie, mes rêves, tous avaient radicalement changé ce jour. Appris que mon mari n'était pas en réalité un vrai homme était la pire de toutes choses qui pouvait m'arriver. Ma vie avait pris une tournure . Mon mariage avec Christ était une erreur, un rêve qui s'était transformer en cauchemars. To
J'ai bien écarquillé mes yeux pour bien lire ce qui était écrit. . C'était un résultat de test. C'était écrit noir sur blanc que mon mari souffrait d'un cancer de poumon et qu'il avait encore juste 08 ans à vivre. Il était condamné.En même temps, toute la colère que je ressentais pour lui s'est transformée en compassion. Tout d'un coup, j'ai ressenti un truc étrange j'avais ressenti il y a longtemps. Des larmes me sont montées aux yeux. J'ai pensé à tout ce que je vivais à ses côtés et j'ai eu d'un coup envie de rester avec lui pour surmonter tout ça. J'ai continué dans mes recherches et j'ai pu constater que mon mari avait aussi de la drogue cachée dans la mallette. S'il en prenait ou faisait son trafic, j'en savais rien. Tout c
Il revient tout tristeChrist : Je suis désolé, il y a eu crache. Et il n'y a pas de survivant.Maman : Quoi ?? Qu'est-ce que tu dis??Moi : Papa ???Christ : Oui ton père a été victime d'un accident. Je ne sais pas encore vraiment ce qui s'est passée mais on enquête dessus depuis des heures.Moi : Et tu dis qu'il n'y a pas de survivant. Donc mon père est mort ??Christ : Malheureusement OuiMaman : C'est une blague n'est-ce pas Christ??Christ : Maman, je ne pourrai jamais blaguer avec cette nouvelle. Je suis autant choqué que vous mais malheureusement, c'est ce qu'on vient de me dire. Je ne sais vraiment pas comment cela a pu se produire.Moi : Mais qu'est-ce s'est-il passé ??Christ : C'est ce que nous essayons de savoir. Je ne sais vraiment pas. Mais tout a été bi
Je voulais pas faire ça mais je pouvais pas non plus le laisser me prendre l'arme des mains. Il pourrait me tuer. Tout doucement, mon mari est tombé au sol, Les yeux ouverts. J'ai regardé mes mains pour voir si j'avais vraiment appuyé sur la gâchette mais rien à dire. J'avais tiré effectivement. Le coup de feu ne venait de nul part d'autres. J'ai laissé le pistolet tomber. Je pouvais pas croire ce que je venais de faire. J' ai couru vers lui essayant de l'aider mais trop tard. Christ m'observait le visage rempli de sang. Je me suis mise à genoux à côté de lui, pris sa tête entre mes deux mainsMoi : Christ, désolée, je voulais pas te tuer.Christ, même tout près de la mort ne regrettait rien de tout ce qu'il m'a fait enduré, ni &ag
Peu à peu, j’ai ouvert les yeux sur un lit. Plusieurs machine accrochées à moi. J’ai regardé tout autour de moi et constaté que j’étais dans une salle à l’hôpital. J’avais mal sur tout le corps et mes pieds bandés. Qu’il y a-t-il ?? Mais je fais quoi ici ?? Avais-je dit ultérieurement. J’ai voulu bouger, me lever un peu ou m’asseoir mais c’était impossible. Tout un tard d’appareils qui me sont branchés. J’ai remarqué la présence de quelqu’un qui dormait la tête sur le lire sur lequel j’étais couché. Je l’ai touché les cheveux. Et elle a soulevé la tête. C’était Charlyne ma meilleure amie.J’avais du mal à parler. Tout faiblement.Moi: Mon fils
La voiture, nous bloque le passage.Madame Pasteur : Qu'est-ce qui se passe ??Pasteur : Je ne sais pas.Moi : C'est Qui tous ces gens??Madame Pasteur : Fais attention Pasteur.Moi : C'est ce que je fais.Le Pasteur était obligé d'arrêter la voiture, on a failli faire un accident.Deux hommes masqués sont sortis de la voiture et avaient des armes pointées sur nous. Ils nous avaient demandé de sortir de la voiture.Eux : Descendez, les mains sur la tête.Pasteur : Qu'est-ce que vous nous voulez??C'est à ce moment que Raoul est sorti de la voiture. Il était le seul à ne pas mettre de masque. Nous sommes descendu l'un après l'autre. On s'est mises à genoux comme ils nous l'avaient demandé.Madame Pasteur : Qu'est-ce que vous nous voulez ??Moi : Raoul ??
Il a peur de le faire ou quoi?Moi : C'est ce que tu n'arrête pas de me répéter. Peut-être que tu n'es qu'un menteur. Personne ne veut me faire de mal. Tu veux juste te venger du fait que je t'ai enfermé dans la chambre avec Christ déjà mort.Raoul : Tu ne comprends pas rien toi.Moi : Foutez moi la paix à la fin bande de malade.Raoul : La paix du dis ?? Impossible ma chérie.Moi : Je veux dormir donc sors de chez moi.Raoul : L'enterrement de ta mère est pour quand ??Moi : Deux jours.Raoul : Je te laisse. Prends soin de toi. Tu as vraiment de la chance. Les patrons t'aiment bien. Mais t'inquiète. Tu as tué l'un de nos chefs donc t'es à l'honneur.Moi : J'irai voir la policeRaoul : Tu n'oserais pas n'est-ce pas ??Moi : Si, je le ferai.&nb
C'est Raoul.Moi : Que fais-tu ici Raoul ??Raoul : Crie pas.Moi : Ne me fais pas de mal.Raoul : Je te l'avais dit n'est-ce pas ??Moi : Me dire quoi??Raoul : Que tu pouvais pas t'en sortir ainsi.Moi : Sors de cette salle ou je me mets à crier.Raoul : Oh oh, te mets pas en colère. Ce n'est pas bon ni pour toi ni pour le bébé.Moi : Me touche pas.Raoul : À cause de toi, j'ai failli me faire tuer par mes chefs. J'ai passé des jours en cellule. C'est ta tête ou la mienne ma chère.Moi : Tu l'as voulu. Je t'ai pas demandé de te mettre dans les affaires louches.Raoul : L'enfant que tu portes dans ton ventre t'as sauvé la vie depuis que tu as fuir la Côte d'ivoire. Tu portes l'enfant de Christ. Mais à partir d'aujourd'hui, ce ne sera plus le cas. Tu vas accoucher.&n
Je voulais pas faire ça mais je pouvais pas non plus le laisser me prendre l'arme des mains. Il pourrait me tuer. Tout doucement, mon mari est tombé au sol, Les yeux ouverts. J'ai regardé mes mains pour voir si j'avais vraiment appuyé sur la gâchette mais rien à dire. J'avais tiré effectivement. Le coup de feu ne venait de nul part d'autres. J'ai laissé le pistolet tomber. Je pouvais pas croire ce que je venais de faire. J' ai couru vers lui essayant de l'aider mais trop tard. Christ m'observait le visage rempli de sang. Je me suis mise à genoux à côté de lui, pris sa tête entre mes deux mainsMoi : Christ, désolée, je voulais pas te tuer.Christ, même tout près de la mort ne regrettait rien de tout ce qu'il m'a fait enduré, ni &ag
Il revient tout tristeChrist : Je suis désolé, il y a eu crache. Et il n'y a pas de survivant.Maman : Quoi ?? Qu'est-ce que tu dis??Moi : Papa ???Christ : Oui ton père a été victime d'un accident. Je ne sais pas encore vraiment ce qui s'est passée mais on enquête dessus depuis des heures.Moi : Et tu dis qu'il n'y a pas de survivant. Donc mon père est mort ??Christ : Malheureusement OuiMaman : C'est une blague n'est-ce pas Christ??Christ : Maman, je ne pourrai jamais blaguer avec cette nouvelle. Je suis autant choqué que vous mais malheureusement, c'est ce qu'on vient de me dire. Je ne sais vraiment pas comment cela a pu se produire.Moi : Mais qu'est-ce s'est-il passé ??Christ : C'est ce que nous essayons de savoir. Je ne sais vraiment pas. Mais tout a été bi
J'ai bien écarquillé mes yeux pour bien lire ce qui était écrit. . C'était un résultat de test. C'était écrit noir sur blanc que mon mari souffrait d'un cancer de poumon et qu'il avait encore juste 08 ans à vivre. Il était condamné.En même temps, toute la colère que je ressentais pour lui s'est transformée en compassion. Tout d'un coup, j'ai ressenti un truc étrange j'avais ressenti il y a longtemps. Des larmes me sont montées aux yeux. J'ai pensé à tout ce que je vivais à ses côtés et j'ai eu d'un coup envie de rester avec lui pour surmonter tout ça. J'ai continué dans mes recherches et j'ai pu constater que mon mari avait aussi de la drogue cachée dans la mallette. S'il en prenait ou faisait son trafic, j'en savais rien. Tout c
Je me suis rappelé d'une de ma mère ce jour-là . Quand j'ai commencé une relation amoureuse avec Samuel et qu'il m'avait demandé en mariage, maman m'avait dit "" Aimez, c'est naturel mais épouser cette personne, c'est un choix "" J'ai enfin compris ce qu'elle voulait réellement me faire savoir. Tomber amoureuse de Christ était quelque chose qui pouvait arriver à toute femme, mais j'avais choisi moi de l'épouser. C'était mon choix. Et Je devrais en assumer les conséquences. Ma vie, mes rêves, tous avaient radicalement changé ce jour. Appris que mon mari n'était pas en réalité un vrai homme était la pire de toutes choses qui pouvait m'arriver. Ma vie avait pris une tournure . Mon mariage avec Christ était une erreur, un rêve qui s'était transformer en cauchemars. To
Mais que me veut-il ?Moi : Mais qu'est-ce qui se passe dans cette maison ????Suis-je mariée à un homme différents de l'image qu'il me présentait ??Ne suis-je pas assez bonne pour être appelé sa femme ??Est-ce que je connais vraiment Christ ??Tant de question me traversait l'esprit auxquelles je pouvais pas répondre. Il était plus le même comme avant le mariage. Tellement il était si attentionné. Mais tout a changé du jour au lendemain.Comme toujours, je me suis pliée à sa note. Le soir j'avais fait le dîné comme d'habitude. Heureusement, ce soir, il était vite rentré. Tellement j'étais contente d'avoir mon mari là. Pour la première fois depuis plus d'un mois, j'ai pris le dîné avec mon mari. Après le d&i