La femme a jeté un coup d’œil à l’homme aux cheveux blonds et a lentement dit : « Ne l’humilie pas, elle avait été un membre de l’organisation. »« Je sais », a dit l’homme aux cheveux blonds en éclatant d’un rire insensé.…Le matin.Jean jouait avec une théière en sentant son pouvoir mystérieux.À ce moment-là, Luna est venue, elle a souri à Jean et lui a dit : « Bonjour, monsieur le patron. »« Ce n’est pas la peine d’être aussi respectueuse tout le temps », a dit Jean en secouant la tête.« La règle est la règle », a dit Luna, « dis donc, votre voiture a été réparée. »Cela dit, elle lui a donné la clé du véhicule.La dernière fois, le combat entre Lucas et Quentin a endommagé sa voiture, du coup, Jean avait dû prendre le taxi tout le temps.Jean l’a remercié en hochant la tête : « Merci. »« Au revoir, monsieur le patron, Lucas m’attends dehors, n’oublie pas de prendre le petit-déjeuner. »Cela dit, elle a quitté la chambre en bougeant ses longues jambes, le son de ses chaussures
« Je suis différent des personnes ordinaires. As-tu des problèmes ? » a répliqué l’homme d’un ton menaçant.Jean s’est tout de suite mis en colère. On était quand même au vingt-unième siècle, il ne s’attendait pas à ce qu’il existe encore des gens qui refusaient de payer leurs repas.Alors qu’il voulait argumenter avec lui, le patron est venu et a dit : « Ne vous disputez pas, ne soyez pas en colère. »« Il n’a pas payé », a rappelé Jean.Le patron a jeté un regard à Jean et a dit en souriant à ces trois personnes : « Messieurs, madame, à demain. »Jean s’est figé. Pourtant, ces trois personnes ont commencé à chercher des problèmes, ils ont dit à Jean : « Je ne vais pas payer, que peux-tu faire ? »Jean a froncé les sourcils et a regardé le patron.Le patron a poussé un soupir et a dit à l’oreille de Jean en baissant la voix : « Cet homme travaille dans le système de supervision des aliments, il s’occupe de ce quartier, on ne doit pas l’agacer. »Il a compris.Pourtant, Jean ne compre
Jean a éclaté de rire et a dit : « Je t’attends, vas-y. »Thibaud a furieusement grincé les dents, il ne pouvait certainement pas perdre la face, sinon, il n’oserait plus faire face aux gens qu’il connaissait. Pourtant, il craignait la force de Jean.Pourtant, il ne croyait pas que Jean soit si fort étant donné qu’il était seul.Du coup, Thibaud a sorti son téléphone pour faire des appels, puis, avec ses deux amis, ils se sont assis autour d’une autre table.En voyant cette situation tendue, le patron était pris de panique, pourtant, il ne pouvait rien faire.Après une dizaine de minutes, une jeep s’est arrêtée devant le restaurant, cinq hommes musclés sont descendus.Leur chef s’est précipitamment dirigé vers Thibaud pour lui demander : « Mon chef, qu’est-ce qui s’est passé ? »En les voyant, Thibaud avait plus de confiance.Il avait été un voyou et avait donc des amis dans les rues. Il a obtenu son poste avec l’aide de son oncle et a commencé à faire n’importe quoi dans ce quartier.
Le patron s’est avancé vers Jean pour lui dire à l’oreille : « Monsieur, il vaut mieux apaiser l’affaire le plus tôt possible, il a des connaissances, je crains qu’il vous fasse du mal. »« N’ayez pas peur, je lui donnerai une leçon aujourd’hui pour qu’ils n’osent plus vous harceler », a dit Jean d’un ton léger.En l’entendant, le patron ne pouvait plus rien faire, il a poussé un soupir et s’est silencieusement écarté.Il a compris que Jean n’était pas une personne ordinaire.Bien que les deux parties se soient disputées à cause de lui, il ne pouvait pas s’y impliquer.En même temps, Jean a entendu la conversation de Thibaud avec la personne à l’autre bout du fil.Pourtant, il s’en moquait, il attendait que l’oncle de Thibaud vienne pour leur inculquer de la discipline, pour qu’ils n’osent plus faire n’importe quoi.En y pensant, Jean a sorti son téléphone, il voulait contacter Luna pour lui demander de faire venir le plus haut responsable de l’administration de supervision des aliment
À ce moment-là, Thibaud s’est avancé précipitamment et a dit : « Oncle, oh non, Monsieur Girard, les conditions d’hygiène ne sont pas aux normes. Après la vérification, j’ai demandé au patron de fermer ce magasin pour rectification, mais il l’a refusé et nous a même battus. Regardez, il m’a battu tellement fort que j’ai perdu des dents. »Christophe Girard a jeté un coup d’œil dégoûté à Thibaud. Il connaissait bien comment était son neveu. Cependant, son neveu avait été battu, il ne pouvait pas l’ignorer. Sinon, quand il serait rentré à la maison, sa femme féroce ne l’épargnerait pas.Alors il a dit d’un ton officiel : « Qui t’a battu ? »Thibaud a immédiatement pointé du doigt Jean et a répondu : « C’est lui. »Christophe s’est approché de Jean et a dit froidement : « C’est toi qui l’as battu ? »« C’est exact », a dit Jean d’un ton indifférent.En voyant que Jean était indifférent, Christophe s’est soudain mis en colère.« Garçon, c’est un crime d’agresser les agents des forces de l’
Ce n’était pas encore le problème le plus grave. Si Monsieur Chirac était sérieux et enquêterait sur lui, comment pouvait-il cacher tout ce qu’il avait fait ?En y pensant, Christophe avaient tellement peur que ses jambes se sont affaiblies. En voyant Christophe, ses subordonnés ne savaient pas quoi faire en un instant, et ils se sont figés sur place.Seul Thibaud ne savait pas ce qui se passait. Il s’est prononcé de son oncle et a dit : « Monsieur Girard, punissez-le vite. »Christophe avait vraiment envie de gifler son neveu, mais à ce moment-là, il reflechissait à la façon de se maintenir.Au bout d’un moment, il a finalement trouvé un moyen pour s’en sortir et il a crié : « Thibaud, qu’est-ce qui se passe ? »Thibaud était stupéfait. En regardant Christophe, il a dit : « Oncle, je t’en ai déjà parlé au téléphone. »« Mais tu ne m’as dit rien. Monsieur, venez,s’il vous plaît ».Christophe a appelé le patron. Ce dernier s’est approché de lui avec un visage confus. Se tenant devant
C’était lui !Gabriel Guillaume, le fils de Gérard Guillaume qui était un des fondateurs de leur pays. Il était actuellement le responsable des armées de la province Q !Le public croyait que Gabriel irait à Paris à l’avenir et deviendrait l’une des figures de haut niveau du pays X, un véritable chef militaire de haut niveau et un soutien fort du pays à l’avenir.À ce moment-là, Christophe avait même envie de se suicider. Ses jambes se sont affaiblies et il est tombé directement au sol.De toute évidence, Thibaud ne savait pas ce qui se passait, parce qu’en voyant son oncle tomber au sol, il s’est avancé précipitamment et a dit : « Oncle, qu’est-ce qui t’arrive ? »À ce moment-là, Gabriel a serré la main de Oscar avec un sourire, puis il a dit : « Aujourd’hui, j’ai eu un peu de temps pour prendre un repas dans ce café, mais j’ai vu vos subordonnés intimider le patron, je ne pouvais vraiment pas le supporter, alors je vous ai appelé. »Oscar a soudainement changé de mine.Entre ces deux
« Oui... »Christophe n’osait pas le nier, il a accepté ce fait avec beaucoup de douleur.À ce moment-là, le visage de Oscar s’est assombri. Il a dit : « Maintenant, ton poste est suspendu. Avec ton neveu, va à l’endroit où tu devrais aller, et accepte l’enquête. Je superviserai ton cas en personne, ne laisse rien au hasard. »En entendant cela, Christophe a failli s’évanouir.Oscar supervisait son cas en personne, alors comment pouvait-il avoir une bonne fin ? En pensant à tout ce qu’il avait fait et aux conséquences qu’il devait subir, Christophe ne pouvait plus se tenir, il s’est vraiment évanoui sur place.À ce moment-là, Thibaud savait aussi que c’était un gros problème. Il avait tellement peur que ses jambes ont commencer à se balancer.Même si Oscar n’avait amené qu’une seule personne, l’élan du supérieur sur lui n’était pas quelque chose que les gens ordinaires pouvaient avoir.En plus, voyant l’état de son oncle, il savait que c’était leur chef et qu’il aurait une fin misérabl
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme