Ce n’était pas encore le problème le plus grave. Si Monsieur Chirac était sérieux et enquêterait sur lui, comment pouvait-il cacher tout ce qu’il avait fait ?En y pensant, Christophe avaient tellement peur que ses jambes se sont affaiblies. En voyant Christophe, ses subordonnés ne savaient pas quoi faire en un instant, et ils se sont figés sur place.Seul Thibaud ne savait pas ce qui se passait. Il s’est prononcé de son oncle et a dit : « Monsieur Girard, punissez-le vite. »Christophe avait vraiment envie de gifler son neveu, mais à ce moment-là, il reflechissait à la façon de se maintenir.Au bout d’un moment, il a finalement trouvé un moyen pour s’en sortir et il a crié : « Thibaud, qu’est-ce qui se passe ? »Thibaud était stupéfait. En regardant Christophe, il a dit : « Oncle, je t’en ai déjà parlé au téléphone. »« Mais tu ne m’as dit rien. Monsieur, venez,s’il vous plaît ».Christophe a appelé le patron. Ce dernier s’est approché de lui avec un visage confus. Se tenant devant
C’était lui !Gabriel Guillaume, le fils de Gérard Guillaume qui était un des fondateurs de leur pays. Il était actuellement le responsable des armées de la province Q !Le public croyait que Gabriel irait à Paris à l’avenir et deviendrait l’une des figures de haut niveau du pays X, un véritable chef militaire de haut niveau et un soutien fort du pays à l’avenir.À ce moment-là, Christophe avait même envie de se suicider. Ses jambes se sont affaiblies et il est tombé directement au sol.De toute évidence, Thibaud ne savait pas ce qui se passait, parce qu’en voyant son oncle tomber au sol, il s’est avancé précipitamment et a dit : « Oncle, qu’est-ce qui t’arrive ? »À ce moment-là, Gabriel a serré la main de Oscar avec un sourire, puis il a dit : « Aujourd’hui, j’ai eu un peu de temps pour prendre un repas dans ce café, mais j’ai vu vos subordonnés intimider le patron, je ne pouvais vraiment pas le supporter, alors je vous ai appelé. »Oscar a soudainement changé de mine.Entre ces deux
« Oui... »Christophe n’osait pas le nier, il a accepté ce fait avec beaucoup de douleur.À ce moment-là, le visage de Oscar s’est assombri. Il a dit : « Maintenant, ton poste est suspendu. Avec ton neveu, va à l’endroit où tu devrais aller, et accepte l’enquête. Je superviserai ton cas en personne, ne laisse rien au hasard. »En entendant cela, Christophe a failli s’évanouir.Oscar supervisait son cas en personne, alors comment pouvait-il avoir une bonne fin ? En pensant à tout ce qu’il avait fait et aux conséquences qu’il devait subir, Christophe ne pouvait plus se tenir, il s’est vraiment évanoui sur place.À ce moment-là, Thibaud savait aussi que c’était un gros problème. Il avait tellement peur que ses jambes ont commencer à se balancer.Même si Oscar n’avait amené qu’une seule personne, l’élan du supérieur sur lui n’était pas quelque chose que les gens ordinaires pouvaient avoir.En plus, voyant l’état de son oncle, il savait que c’était leur chef et qu’il aurait une fin misérabl
« Quel cadeau ? »Luna s’est approchée de lui avec curiosité. En regardant les quelques morceaux de papier que Jean avait écrits, elle ne pouvait pas comprendre ce que c’étaient.Jean a dit : « Ne les regarde pas, de toute façon, tu ne pourras pas les comprendre. Je ne prends pas le dîner à la maison ce soir, prends-le seule. Je dois aller chez les Guillaumes. »« Maison. »En entendant ce mot, Luna était ravie sans raison, et elle a montré un sourire complice.Cependant, Jean n’a pas remarqué à quel point les conséquences de cette phrase étaient graves pour Luna et pour lui-même. Il a pris ses papiers et est sorti précipitamment.Au même moment, chez Gérard, le chef avait déjà préparé une table de plats. Gérard avait même sorti son précieux vin et l’avait mis sur la table.Gérard, Gabriel et Nathalie l’attendaient tous en silence sur le canapé.À ce moment-là, la sonnette a retenti, Nathalie s’est avancé précipitamment pour ouvrir la porte.« Monsieur, vous êtes venu, entrez, s’il vou
Avec le soutien de Gérard, c’était facile de trouver un poste dans le gouvernement de leur pays, et d’avoir une carrière plein de succès.Cependant, Jean a souri légèrement et a dit : « Monsieur Guillaume, j’ai l’habitude d’être libre, et en plus, j’ai mes propres choses à faire, alors ne vous gênez pas. »Gérard a soupiré légèrement et a dit : « Chacun a ses propres ambitions, je ne te forcerai pas, mais j’espère que tu aimes toujours notre pays. »Jean a froncé légèrement les sourcils. Bien sûr qu’il comprenait ce que Gérard voulait dire. Il a lentement dit: « Ne t’inquiète pas, Monsieur Guillaume, je n’ai jamais eu d’autres idées. »À ces mots, Jean s’est retourné et est parti. Après que le dos de Jean ait disparu de sa vue, Gérard s’est retourné lentement et est rentré dans sa maison.Quand Jean est rentré chez lui, il a vu que Luna portait un pyjama à bretelles, appuyée sur le canapé. Elle était déjà endormie.Elle était allongée sur le canapé, elle était tellement charmante. Cett
Méline a dit en hâte : « Pourquoi parles-tu comme ça ? »« Comment ? Ai-je tort ? », a dit Juliette avec confiance. Ensuite, elle a ajouté : « C’est un travailleur, d’ailleurs, il n’a pas encore de travail sérieux, ne te laisse pas tromper par lui. »Méline a secoué la tête avec impuissance. Juliette ne savait peut-être pas à quel point Jean était puissant à ce moment-là. Elle osait parler de lui comme ça.« Pourquoi veut-il me tromper ? Tu es vraiment... »Méline ne pouvait que dire cela.Juliette s’est assise à côté d’elle et lui a dit : « J’ai entendu dire que tu étais devenue la directrice générale de la Société Legrand Flottant ? »« Je ne suis qu’une directrice d’un département. »Méline l’a corrigée.Juliette a dit en souriant : « C’est génial. Maintenant, tu es la directrice générale, mais Jean, ce gamin est un chômeur, il a juste envie de s’approcher de toi en profitant de votre relation de camarades de classe, de te prendre de l’argent et même d’avoir des relations avec toi.
Ce qu’elle voulait dire était évident, il était temps pour toi de partir.Cependant, Juliette ne semblait pas du tout comprendre le regard de Méline. Elle a même invité son petit ami à s’asseoir, puis elle a dit : « Il est rare qu’on se rencontre par hasard, alors prenons le dîner ensemble. »« Ce, ce n’est pas très bien, ça va vous déranger, ton ami et toi », a dit Méline à voix basse.Juliette a dit en souriant : « Non, nous dînons ensemble, n’est-ce pas plus amusant ? »Méline était désenchantée et a baissé la tête en silence.Pour être honnête, elle ne voulait pas voir Juliette dans cet endroit, et encore moins dîner avec elle, mais elle ne pouvait rien dire.Jean a juste dit d’un ton calme : « C’est mieux de se rencontrer par hasard que de s’inviter, c’est bien de dîner ensemble. »Mais à ce moment-là, Juliette a dit : « Jean, j’ai entendu dire que c’était Méline qui t’avait invité à dîner ? »« Oui », a dit Jean.Juliette a dit avec moquerie : « Sais-tu combien cela coûte de pren
Juliette a gardé la tête haute et a dit : « Le PDG de la future filiale dans la pays X d’un groupe d’investissement international. Un homme aussi jeune et beau mérite notre jeunesse et notre beauté, mais pas toi, un homme décevant qui est misérable. »Jean était vraiment désenchanté. Comment était-il devenu un homme décevant ?En plus, il se souvenait qu’au collège, Juliette était une belle fille fière, les garçons ne pouvaient même pas s’approcher d’elle. Elle était connue pour sa beauté glacée.Mais à ce moment-là, comment pouvait-elle changer de petit ami si vite ? Elle avait vraiment beaucoup changé.Voyant que Jean ne parlait pas, Juliette est devenue encore plus fière. Elle a reniflé froidement : « Maintenant tu connais l’écart entre vous. N’oublie pas ce que j’ai dit, ne pense pas à Méline. l’as-tu entendu ? »À ce moment-là, Méline ne pouvait plus se retenir. Elle a dit en hâte : « Juliette, tu t’es trompée. Ce n’est vraiment pas comme tu le penses. »« Toi. »Juliette a jeté u
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme