Cependant, Luna ne lui avait pas posé de questions sur son histoire. Si son patron ne la lui racontait pas, elle n’en parlerait jamais.Qu’elle soit son employée, son amie ou son amante, se taire était toujours la meilleure chose à faire.Après avoir entendu cela, Luna a souri légèrement et a dit : « L’île de Mer vaut au moins cinq cent millions d’euros. Tu es rentré les mains pleines. »« C’est une surprise, je n’y ai pas pensé. » Jean a sourit.À ce moment-là, Luna était complètement soulagée. Les deux se parlaient en prenant le repas. Après avoir assez mangé, Luna est allée joyeusement dans la cuisine pour faire la vaisselle.Jean a allumé une cigarette sur le canapé. En regardant le dos de Luna qui était occupée dans la cuisine, et il ne savait pas ce qu’il pensait.Au bout d’un moment, Luna a fini la vaisselle et est arrivée dans le salon.Au moment où elle allait s’asseoir, elle a soudain glissé, et elle est tombée vers Jean.« Ah ! »Avec le cri coquet de Luna, son corps blanc
En voyant que c’était Méline, Jean a rapidement décroché le téléphone.« Jean, où es-tu, veux-tu que je te cherche chez toi ? »La voix de Méline s’est fait entendre au téléphone.Jean a dit en hâte : « Non, j’arrive tout de suite. »« D’accord, ne sois pas en retard. »À ces mots, Méline a raccroché le téléphone.Jean a souri. Pour être honnête, il était également très heureux de pouvoir fêter avec ses anciens camarades de classe. Après tout, il n’avait pas beaucoup d’amis. Et la relation pure entre les camarades de classe était également précieuse.Il est sorti pour prendre la voiture, et est directement allé à la cité des Nuages.La cité des Nuages était un centre de loisirs intégrant la restauration et le divertissement. Elle était très connue à la ville J.Trente minutes plus tard, Jean est arrivé à la cité des Nuages. Dès qu’il est entré dans le hall, il a vu Méline assise sur le canapé, comme si elle l’attendait.Méline a aussi vu Jean. Elle s’est vite levée et s’est approché d
Juliette avait l’air arrogante, tenant le bras de Jules. Ils se sont assis. Jules avait également une expression hautaine, se faisant gloire de son identité.Les sourcils de Jean se sont légèrement froncés. Il ne les aimait pas dans son cœur.De toute évidence, ces deux étaient venus montrer leurs succès, mais c’était une fête des camarades de classe, ce n’était pas une occasion de se vanter.À ce moment-là, Juliette s’est couvert la bouche, puis elle a dit en souriant : « Ne nous regardez pas avec surprise. Même Jules a une certaine identité, mais il est mon petit ami. Vous n’avez pas besoin d’être surpris. »Ce qu’elle avait dit semblait être de bons mots, mais ce n’était vraiment pas poli de dire ça.La foule était impuissante, alors un certain camarade s’est levé et s'est versé du vin. Ceux qui ne voulaient pas boire se sont également versé du jus d’orange.Par la suite, Eric Offman, l’ancien chef de classe, a levé son verre et a dit : « Aujourd’hui, on se réunit ici, c’est une occ
Méline s’est précipitamment levée et a dit : « Ne vous fâchez pas, on fête la réunion de classe, c’est pour être heureux, ne soyez pas en colère. »Cependant, Jules a dit : « En colère ? Quelle blague ! C’est un ordre. Je suis venu ici grâce à Juliette, sinon, de quels droits pouvez-vous vous asseoir près de moi ? »Les mots de Jules ont énervé tous ceux qui étaient présents. Tous les anciens camarades de sa petite amie étaient mécontents, mais à cause de son identité, ils n’osaient vraiment rien dire, parce qu’ils travaillaient et vivaient tous à la ville J, alors ils ne pouvaient vraiment pas offenser le fils du chef d’un district.Néanmoins, un camarade de classe a pris son verre et a dit : « Monsieur Girard, ne vous fâchez pas, je vous porte un toast. »Jules a demandé avec arrogance : « Oh, qui es-tu ? »Le camarade de classe a dit à la hâte : « Je m’appelle Vincent Bernard, je viens d’être transféré pour travailler au poste de police du district Ouest. Monsieur Girard, veuillez m
En entendant les mots de Juliette, Jules a immédiatement arrêté cet homme-là et a dit froidement : « As-tu touché les fesses de ma petite amie ? »« Et alors ? », a dit cet homme d’un ton ferme.Jules a dit avec colère : « Putain, tu veux mourir. »Jules s’est avancé et a donné un coup de poing à cet homme-là.En voyant cela, Vincent s’est précipité vers cet homme-là, sans rien dire, il lui a donné des coups de poing et de pied.L’homme n’avait pas l’occasion de se battre parce qu’il était tout seul. Il avait deux adversaires en face de lui. Au bout d’un moment, il a été frappé au sol, et il a crié de douleur.À ce moment-là, Jules a froidement dit : « Merde, tu oses toucher ma femme ? Tu le mérites. »« N’oublie pas cette leçon, as-tu compris ? »Juliette l’a également grondé.Ensuite, ils sont partis d'un air triomphant.Il a fallu un long moment à l’homme pour se lever. En fixant leur salle privée, il a dit avec férocité : « Merde, on verra. »À ces mots, l’homme est retourné à sa
En entendant cela, Laurent a souri légèrement. Augustin a répondu : « Monsieur Royer, la famille Dublanc se développe à la ville J depuis des centaines d’années, le patriarche de la famille Dublanc est puissant dans cette ville. D’ailleurs, le jeune maître Marcel Dublanc est le secrétaire adjoint du premier secrétariat de la ville J, beaucoup de jeunes de la famille Dublanc travaillent dans des institutions gouvernementales. Non seulement ils sont puissants dans la politique, mais aussi forts dans la société. Même le Tigre de tonnerre doit nous respecter en nous rencontrant. Pensez-vous que nous avons peur d’un jeune gamin ? »Raymond s’était déjà renseigné sur la puissance de la famille Dublanc, sinon il ne serait pas venu en personne pour coopérer avec eux. Ils connaissaient tous très biens la raison pour laquelle il avait dit cela.Après avoir entendu les paroles d’Augustin, Raymond a dit en souriant : « La famille Dublanc est forte. Alors Monsieur Dublanc, comment devons-nous régle
Jules était tellement effrayé qu’il a beaucoup transpiré, mais Juliette a dit : « On y va, je n’ai pas peur de vous. Jules, appelle ton père si nécessaire. Ils se rebellent. »Jules avait du mal à parler, mais il devait régler ce problème. En regardant Augustin, Jules a dit : « Monsieur Dufour, j’y vais tout seul, d’accord ? »Jules voulait dire que s’il y allait seul, au plus, il perdrait de l’argent.De toute façon, la famille Dublanc le laisserait partir en faveur de son père, et il pourrait régler cette affaire. En tout cas, il ne pouvait pas se mettre dans l’embarras devant tant de gens.Cependant, à ce moment-là, Augustin ne voulait pas l’écouter, il a dit froidement : « N’avez-vous pas entendu ce que j’ai dit tout à l’heure ? »À ce moment-là, Vincent s’est levé et a dit avec colère : « Que voulez-vous faire ? Savez-vous quelle est l’identité de Monsieur Girard ? Comment pouvez-vous lui parler comment ça ? »De toute évidence, Vincent ne connaissait pas la puissance de la famil
Après avoir jeté un coup d’œil à Jules, Jean a dit d’un ton léger : « Tu ne peux pas te permettre de le provoquer, ça ne veut pas dire que moi non plus. Il n’ose pas me toucher même s’il est très audacieux. »En entendant cela, les anciens camarades étaient confus.À leur grande surprise, Jean qui était resté silencieux, était aussi audacieux.À ce moment-là, tout le monde pouvait voir que Jules ne pouvait pas offenser ce Monsieur Dublanc, pourquoi Jean avait le courage d’oser se débattre avec Augustin et son patron ?Méline a tiré à la hâte sur la manche de Jean et lui a fait signe de ne pas dire de bêtises.Jean a souri à Méline pour lui dire de se rassurer, et il a regardé Augustin avec indifférence.En un instant, Augustin a été choqué par l’élan de Jean.Au bout d’un moment, il a repris ses esprits et a dit avec colère : « Garçon, sais-tu que tu te causes des problèmes ? »Jean a dit d’un ton léger : « On verra qui se cause des problèmes. »« La famille Dublanc, il semble qu’elle
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme