En entendant cela, Lina a failli s’évanouir de nouveau. Après un silence, elle ne pouvait que dire avec impuissance : « Prend moi un rendez-vous avec leur responsable, je veux lui parler face à face », puis elle a raccroché. Elle comprenait bien que, les effets négatifs du mariage apparaissaient déjà. Elle ne savait pas que ce qui l’attendait encore, elle ne pouvait que le voir petit à petit. Les parents de Lina étaient aussi préoccupés. Mais ils continuaient à accuser Jean. Selon eux, c'est lui qui les avait mis dans cette impasse, et ils le haïssaient. ......Le soir. Luna rentrait chez elle en voiture et elle était contente. Elle a pensé à quel pyjama elle devrait porter ce soir. Peut-être qu’elle devrait s’en racheter d’autres, elle a déjà porté tous ses pyjamas. Est-ce qu’elle devrait s’acheter des pyjamas plus sexy ? C’est à ce moment-là qu’une camionnette noire l’a dépassé, et l’a légèrement heurté. Luna s’est plainte de sa malchance et est descendue pour vérifier cela.
« Ce que je veux faire ? » Victor a jeté violemment sa baguette, son visage s'est déformé et il a dit : « Tu as ruiné mon avenir, et tu veux que j’aille à filiale étrangère pour être puni, tu crois que je vais faire quoi ? »Victor était de plus en plus énervé. Il s’était fait virer de KP Finance, il ne pouvait plus espérer continuer dans cette industrie. De plus, il savait très bien que les internes de cette entreprise était impitoyable. Sur le papier, ils étaient les responsables du groupe. Mais en réalité c’étaient des démons sans pitié. Ils étaient non seulement responsables de la protection de KP Finance, mais ils devaient aussi punir les employés qui commettaient des fautes graves. Le plus important est qu'ils avaient une grande puissance, et étaient responsables des personnes qui devaient de l’argent à KP Finance et qui n’arrivaient pas à le rembourser ou qui ne voulaient pas le faire. En tant qu’ancien Responsable de KP Finance, il connaissait la terreur de ces hommes. Deva
Jean a dit doucement : « C’est moi, qu’est-ce qu’il y a ? »« Est-ce que tu peux passer à la banlieue Nord, à l’usine Verdure, j’ai des choses à te dire », a dit Luna. Jean a froncé les sourcils, il a tout de suite compris que quelque chose était arrivée à Luna. Il a tout de suite dit : « Très bien, j’arrive tout de suite, attends-moi. »Ensuite, il est tout de suite sorti prendre la voiture et est parti. Pendant ce temps, dans la maison numéro 1.Gérard a demandé à la nounou de cuisiner, puis il a dit à son fils Gabriel : « Va inviter Jean, je veux boire quelques verres avec lui ce soir. »Gabriel a hoché la tête, puis il est sorti et s’est dirigé vers la maison de Jean. Dans l’usine, après que Luna ait raccroché le téléphone, elle a inspiré un bon coup.Elle avait compris que Jean savait qui lui était arrivé quelque chose, car elle n’avait jamais appelé Jean par son nom et la réponse de Jean voulait tout dire : il fallait l’attendre.Cependant, elle espérait que Jean comprendrait
nVictor est resté figé un moment. Ce n'est qu’après qu’il a compris ce que Jean voulait dire. Il s’est ensuite mis à rire.Après un long moment, Victor a grincé des dents en disant : « Mon petit gars, tu sais qui est ici ? C’est Tigre du Tonnerre, le chef de la bande de la Mafia du Tigre, la tête de la ville J, je crois que tu ne comprends pas trop la situation. »« La Mafia du Tigre ? Tigre du Tonnerre ? », a demandé calmement Jean. « Jamais entendu parler. »Cette phrase a mis en colère Victor. Il voulait commencer à l’insulter, mais Tigre du Tonnerre a commencé à parler.« Tu m’as l’air arrogant toi. Tu ne me connais donc pas ? On dirait qu’il faut que je te montre un peu pour que tu saches. »En voyant cela, Luna s’est empressée de dire : « Ne vous en prenez pas à lui, vous voulez juste de l’argent, je peux vous en donner plus, mais ne nous faites pas de mal, tout peut se discuter. »« Tu crois que j’ai besoin de discuter avec vous ? » Tigre du Tonnerre a dit froidement : « Vous
Jean a souri et a dit : « Donnez-moi donc dix minutes. S’il n’arrive pas, je m’en occuperai moi-même. » Tigre du Tonnerre continuait à manger, on aurait dit qu’il ne se préoccupait pas de cela.En étant la plus grande bande de la ville J, il était le roi du monde souterrain., Cela faisait bientôt vingt ans qu’il faisait cela, il était confiant.De plus, il n’était pas seul. Un ancien chef d’une bande de la ville J voulait le toucher, mais il a été arrêté par les personnes qui se trouvaient actuellement derrière Tigre du Tonnerre. Il pensait qu’il n’avait pas besoin d’avoir peur de qui que ce soit.Cette fois-ci, il voulait montrer sa puissance à Jean, comme ça il allait être sages par la suite. Le temps est passé très vite, et après dix minutes, ils ont juste vu Gabriel arriver en tenue de ville, et il est rentré seul dans l’usine.« Monsieur Claudel, vous n’avez rien ? » a dit Gabriel en voyant Jean.Jean a regardé l’heure et a ri en disant : « Tu es à l’heure dis donc. »Gabriel a
Jean a ri froidement et a donné un coup de pied à la poitrine de Victor.Au coup de pieds, Victor a craché du sang, il est tombé et il s’est évanoui.Ensuite, Jean est arrivé devant Tigre du Tonnerre et a dit froidement : « Vous vous êtes mis d’accord pour kidnapper Luna et vous vouliez me donner une leçon ? »« C’était l’idée de Victor, moi c’était seulement pour l’argent. Je n’ai rien à voir avec lui mon frère », a dit Tigre du Tonnerre. Il n’était plus aussi arrogant, il commençait à parler doucement.Jean l’a pris par le col et lui a dit : « je me fiche de qui tu es. Mes gens, personne n’y touche. Si l’on y touche, il faut en payer les conséquences. »Il n’a pas attendu sa réponse et a directement donné un coup de poing sur son ventre, tout en le relâchant.Tigre du Tonnerre avait mal, il s’est recroquevillé comme une crevette, du sang coulait sans arrêt de sa bouche. Il y avait même quelques traces de vomi.Tout le monde le savait, Tigre du Tonnerre n’allait pas survivre, et Gabr
Jean a regardé Jacques de haut en bas. Ce nom, il l’avait entendu dans la bouche de Tigre du Tonnerre plutôt dans la soirée.« Est-ce que je peux entrer pour discuter ? » a poliment demandé Jacques.Jean a légèrement souri. Il s’est retourné pour regarder Luna et elle s’était assise, la couverture sur ses jambes.Il s’est légèrement écarté de la porte en disant : « Entrez donc. »Jacques est entré doucement dans le salon. Il s’est assis dans un coin du canapé. Jean s’est assis à côté de Luna et il a allumé une cigarette en disant : « Alors ? »Jacques a regardé Jean et a doucement dit : « Tigre du Tonnerre est mort. »« Oh, on trouve vraiment ce que l’on sème alors », a dit Jean sans être choqué.Jacques a foncé les sourcils en disant : « Depuis toujours, la famille Salomon a toujours survécu en signant des contrats de protection pour les autres, jusqu’à la création du Nouvel Été. C’est là que nous nous sommes complètement tournés vers le commerce. Mais niveau combat, nous n’avons jama
« Que je t’accompagne ? » a répondu Jean. « Oui, j’ai un peu peur », a dit Luna. Jean a soupiré et s’est dit à lui-même, elle n’est vraiment pas possible. Si tu disais qu’elle le faisait exprès, elle ne ressemblait pas à cela. Si tu disais qu’elle avait vraiment peur, avec autant de bandits hier soir, elle paraissait très calme.Mais, en voyant l’air pathétique de Luna, Jean ne pouvait qu’accepter.Luna a directement souri en disant : « D’accord, je viens te chercher ce soir, tu seras mon chauffeur et garde du corps, salut. »Elle n'a pas attendu la réponse de Jean. Elle est immédiatement partie.Jean a secoué la tête, puis il est directement parti au Parc Central pour s’entraîner.......La journée est passée en un clin d’œil. Lorsque Luna est revenue, Jean l’attendait déjà dans le salon.« Attends-moi un peu patron. » Luna est monté à l’étage et s’est changée. Elle a porté une robe de soirée noire, puis elle est descendue. Il y avait un grand décolleté sur sa robe. Elle portait u
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme