Jean a dit en fronçant les sourcils : « Julien est là, il est aussi un initié, tout ira bien. »« Je ne crois pas qu’il soit capable de vaincre l’initié auquel on fait face, il ne l’a pas abattu avec son fusil puissant, et il est parti le chasser sans arme, je crois qu’il est probablement en danger. »« Que s’est-il passé ? » a demandé Jean.Céline lui a raconté tout ce qu’elle avait vu. Après l’avoir entendu, Jean a froncé les sourcils.« Mais dis quelque chose », a dit Céline d’un ton pressé.Jean a lentement dit : « Je ne sais pas quel entraînement a pratiqué cet homme mince, mais je suis sûr que ce n’était pas quelque chose de normal, Julien ne sera pas capable de lui faire face. »« J’en suis bien consciente, c’est pourquoi je suis venue te chercher », a dit Céline.Jean lui a jeté un coup d’œil et a dit : « Mais je ne travaille pas pour le gouvernement. »« Mon cher ami, je sais que tu es gentil ! »« Mais, le style de Julien, je ne l’aime pas du tout. »« Mon non plus, mais ce q
Dans un bruit énorme, Jean atterri en causant un trou de cinq ou six mètres de diamètre.Il a regardé en avant et a allumé une cigarette en se tenant sur place.Quelques minutes après, Céline est descendue en rappel, elle se tenait à côté de Jean. L’hélicoptère n’avait nulle part atterrir, du coup, il est revenu.Céline a regardé Jean qui fumait et puis le grand trou par terre, elle s’est étonnée : « Mais Jean, c’est dingue ! »« Ça va », a dit Jean d’un ton léger.Céline a haussé les épaules, elle était si choquée qu’elle ne savait plus quoi dire.« Penses-tu que le monstre a changé de direction ? » a demandé Céline d’un air inquiet.« Il est venu », a dit Jean.À ce moment-là, une silhouette qui courait à toute vitesse est apparue.Jean a jeté un coup d’œil à cette silhouette et a froncé les sourcils.Céline était choquée en voyant le monstre qui courait vers eux, elle s’est encore plus étonnée de voir que ses blessures étaient déjà guéries !Le trou sanglant à sa taille avait dispar
Le monstre était extrêmement grand et fort, chacun de ses coups était fatal.L’épée qu’il agitait sans cesse causait des bruits effroyables.Julien esquivait habilement à l’intervalle des coups d’épée, en même temps, il essayait d’enfoncer l’arme enflammée de pouvoir dans sa main dans le corps du monstre. Leur combat était très serré, on avait du mal à prévoir le résultat.Céline a dit en regardant leur combat d’un air inquiet : « Mais Jean, tu ne comptes pas lui donner un coup de main ? »« Mais tu l’as aussi entendu, il ne m’autorise pas à l’aider », a dit Jean d’un air impuissant.Céline a dit en secouant la tête : « Mais ce n’est pas le moment de se soucier des règles, l’heure est cruciale. »« Alors, tu vas l’aider, je ne veux pas faire quoi que ce soit tandis qu’on me l’interdit », a dit Jean d’un air léger en fumant une cigarette.Céline a roulé les yeux au ciel et a dit : « Tu aurais pu me demander de me suicider, me crois-tu capable de faire face à ce monstre ? »« Alors, je n
Julien se n’attendait pas à ce qu’à ce stade, le monstre soit toujours capable d’apporter une attaque aussi effroyable, tandis qu’il avait presque usé tout son pouvoir magique et était au bout de ses souffles.Pourtant, il n’a pas renoncé, mais a poussé un cri furieux et a libéré tout le pouvoir qu’il lui restait, son arme s’est enflammée et s’est dirigée vers le monstre.Jusqu’au dernier moment, Julien n’a pas renoncé, il ne lui était même venu aux esprits de s’enfuir, il a fermement décidé de se battre bien qu’il soit au bout de ses souffles, bien qu’il sache qu’il ne servait plus à rien de se débattre.La chose la plus importante était qu’il ne s’est pas reculé devant le danger accablant.Céline était si choquée qu’elle a poussé un cri, même elle pouvait voir que Julien courait à la mort en faisant ça, il n’était actuellement pas du tout capable de battre ce monstre.Alors que le monstre lançait une autre attaque, Jean a poussé un soupir léger et a fait circuler le pouvoir dans son
Jean a expliqué en fronçant les sourcils ; « Il peut renforcer son pouvoir et son corps en sacrifiant sa vie, ça correspondait aux tactiques de certaines organisations secrètes. »Céline n’a rien dit, cela dépassait ses connaissances, et ne correspondait pas à son travail.Du coup, elle a regardé Julien, c’était la partie dont il devait prendre en charge.Pourtant, il semblait avoir du mal à garder son équilibre, puis il est tombé par terre.Céline a poussé un cri et a dit : « Qu’est-ce qui t’est arrivé ? »« Il va bien, il s’est évanoui puisqu’il a presque usé son pouvoir, mais c’est indéniable que son bras gauche est handicapé, il lui faut impérativement un médecin », a dit Jean en fronçant les sourcils.Céline a sorti un téléphone satellite pour faire venir l’hélicoptère.Après un moment, l’hélicoptère est arrivé dans un grand bruit. Jean a emmené Julien dans l’hélicoptère, puis aussi le corps de l’homme mince, puis ils sont partis en hélicoptère.Ils ont déposé Julien et le corps d
Après être resté silencieux pendant longtemps, Frédéric a lentement dit : « Je t’ai déjà dit que la famille Véran avait une longue histoire, il y a plus de mille ans, il y avait des initiés au sein de notre famille. »« Oui, tu m’en as parlé. »« L’histoire de la famille Véra est très longue, selon les registres de nos ancêtres, dans l’antiquité, la famille Véran était une famille d’initiés. Au comble de notre famille, nos ancêtres ont créé une partie et ont recruté beaucoup d’apprentis. »« Je ne le savais pas », s’est étonné Emmanuel, c’était la première fois qu’il entendait parler de ces histoires.Frédéric lui a jeté un coup d’œil et a enchaîné : « Finalement, les initiés de la famille Véran sont morts durant les guerres. Et moi, je suis une personne ordinaire qui n’était pas douée pour l’entraînement, et je n’ai jamais eu la chance de l’apprendre. »« Mais tu as bien fait d’être arrivé où tu es maintenant, n’est-ce pas ? » a dit Emmanuel.Frédéric a secoué la tête et a dit : « Tu
« Il n’y a pas grand-chose à réfléchir, je ne serai pas d’accord avec cet arrangement de mariage », a dit Luna d’un ton décisif.Jean restait silencieux, après longtemps, il a dit : « Maintenant que tu as pris ta décision, je tiendrai ta compagnie, de toute façon, je ne laisserai personne te forcer à faire des choses contre ta volonté, y compris ton père. »Luna a rapidement posé un baiser sur le visage de Jean et s’est dirigée vers la porte en courant en laissant une phrase : « Je savais que vous m’aideriez. »En voyant la vue de dos de Luna qui s’était éloignée, Jean a essuyé son visage d’un air figé, puis il s’est dit d’un ton dur : « Merde, si tu continues à m’exciter, crois-tu que je t’amènerai jusqu’à mon lit ? »À ce moment-là, son téléphone a sonné, Jean a décroché.« Allô ? »« Monsieur Claudel ? » Une voix s’est fait entendre de l’autre bout du fil.Jean a demandé en fronçant les sourcils : « Qui est à l’appareil ? »« C’est moi, Frédéric Véran. »« D’accord, monsieur Véran,
Jean a levé les yeux et a vu un homme qui semblait avoir enduré beaucoup de choses, il était courbé. Il portait un chapeau rond et un habit sportif gris, il tenait une canne avec une pierre précieuse rouge de la taille d’un galet au-dessus. La première impression que cet homme a donné à Jean était que c’était un homme âgé, expérimenté, très riche et respectable.L’homme âgé se dirigeait vers Jean en affichant un sourire, son visage était déjà très ridé.« Je me présente », a dit l’homme âgé en s’asseyant à côté de Jean avec l’aide de Manon, « je m’appelle Yves Jacourt. »Jean lui a servi une tasse de thé et a dit en hochant la tête : « Enchanté, monsieur le directeur général, veuillez prendre du thé, s’il vous plaît. »« Ne m’appelez pas monsieur le directeur, je suis un homme à bout de souffle, c’est tout », a dit Yves avec un sourire en secouant sa tête.Jean a ri sans rien dire, il a regardé Yves de la tête aux pieds.Yves a dit d’un ton léger : « Ce n’est pas la peine de me voir c
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme