« Il n’y a pas grand-chose à réfléchir, je ne serai pas d’accord avec cet arrangement de mariage », a dit Luna d’un ton décisif.Jean restait silencieux, après longtemps, il a dit : « Maintenant que tu as pris ta décision, je tiendrai ta compagnie, de toute façon, je ne laisserai personne te forcer à faire des choses contre ta volonté, y compris ton père. »Luna a rapidement posé un baiser sur le visage de Jean et s’est dirigée vers la porte en courant en laissant une phrase : « Je savais que vous m’aideriez. »En voyant la vue de dos de Luna qui s’était éloignée, Jean a essuyé son visage d’un air figé, puis il s’est dit d’un ton dur : « Merde, si tu continues à m’exciter, crois-tu que je t’amènerai jusqu’à mon lit ? »À ce moment-là, son téléphone a sonné, Jean a décroché.« Allô ? »« Monsieur Claudel ? » Une voix s’est fait entendre de l’autre bout du fil.Jean a demandé en fronçant les sourcils : « Qui est à l’appareil ? »« C’est moi, Frédéric Véran. »« D’accord, monsieur Véran,
Jean a levé les yeux et a vu un homme qui semblait avoir enduré beaucoup de choses, il était courbé. Il portait un chapeau rond et un habit sportif gris, il tenait une canne avec une pierre précieuse rouge de la taille d’un galet au-dessus. La première impression que cet homme a donné à Jean était que c’était un homme âgé, expérimenté, très riche et respectable.L’homme âgé se dirigeait vers Jean en affichant un sourire, son visage était déjà très ridé.« Je me présente », a dit l’homme âgé en s’asseyant à côté de Jean avec l’aide de Manon, « je m’appelle Yves Jacourt. »Jean lui a servi une tasse de thé et a dit en hochant la tête : « Enchanté, monsieur le directeur général, veuillez prendre du thé, s’il vous plaît. »« Ne m’appelez pas monsieur le directeur, je suis un homme à bout de souffle, c’est tout », a dit Yves avec un sourire en secouant sa tête.Jean a ri sans rien dire, il a regardé Yves de la tête aux pieds.Yves a dit d’un ton léger : « Ce n’est pas la peine de me voir c
Jean a froncé encore plus les sourcils, ses yeux se sont illuminés.Yves a dit en secouant la tête : « Ça n’a rien à voir avec moi, tous ceux qui seraient ma place feraient la même chose, la sécurité nationale en dépend, j’espère que vous me comprenez. »Jean s’est enfoncé dans le canapé sans rien dire.Yves a continué : « Il n’y a aucun mal à rejoindre le Bureau de recherches et de défense sur les pouvoirs surnaturels, nous occupons des postes respectés et nos emplois sont bien payés. En se servant bien de ces privilèges, Finance KP aura un avenir encore plus prometteur, n’est-ce pas une bonne chose ? »Jean fixait sur Yves un regard surpris.Yves était au courant de tous ces secrets, et il semblait qu’il ne craignait pas d’évoquer ces privilèges, c’était incroyable.Yves a dit en riant : « Ne me regarde pas comme ça, ce n’est rien pour nous, nous devons tous gagner notre vie. Bien que nos emplois soient bien payés, ça n’a rien de mal que vous vouliez une vie encore plus abondante. Éc
Manon a dit en souriant : « Oui, dans le cas où vous en auriez besoin, vous pouvez en demander à votre correspondant. Le correspondant déposera une application, et une équipe évaluera la situation pour juger si vous en avez besoin. »« Mais le combat sera fini longtemps avant qu’ils accomplissent l’évaluation, n’est-ce pas ? »La situation des combats changeait tout le temps, on n’avait pas du tout le temps pour des applications ni des évaluations.Manon a dit : « Ne vous inquiétez pas, bien qu’on ait seulement dix-huit combattants de premier rang, on a plus de dix-huit mille personnes au sein de l’équipe de logistique, toutes les démarches de l’évaluation ne prendront pas plus d’une seule minute. »« Merde ! » ne put s’empêcher de lancer Jean.Une équipe de logistiques de plus de dix-huit mille personnes pour une équipe de premier rang composé de dix-huit combattants, c’était vraiment dingue !« Pourtant, vous parlez de quel genre de support des armes ? » a demandé Jean.Manon a lente
Cela dit, Manon l’a aidé à sortir de la pièce.« Quoi ? J’ai aussi des subordonnés ? » Mais sa question n’a reçu aucune réponse.Jean regardait les vues de dos de deux personnes sans dire un mot.Il avait détecté de son pouvoir spirituel, à l’intérieur de Manon, il existait un pouvoir magique puissant qui n’était pas inférieur au sien, elle était sans doute une personne forte et douée.Pourtant, à l’intérieur du corps d’Yves, il n’a rien détecté, il semblait n’avoir aucune différence avec les personnes ordinaires.Pourtant, s’il avait pu prendre ce poste, ce n’était pas possible qu’il soit une personne ordinaire. En plus, il a lui-même avoué qu’il avait aussi du pouvoir magique.Plusieurs fois, Jean a failli échouer à s’empêcher de s’introduire dans ses mentalités pour avoir plus d’informations.Pourtant, il est finalement arrivé à s’empêcher de le faire, puisque cet homme âgé était mystérieux, il était possible qu’il se fasse une scène en faisant ça, en plus, il était possible que l’
« Une soirée ? » Emmanuel est resté silencieux pendant un instant, puis il a répondu : « Non, je n’irai pas, je n’aime pas ce genre d’occasions. »Emmanuel avait un statut spécial, c’était vrai qu’il ne pouvait pas participer à beaucoup d’activités publiques.Jean a ri et a dit : « Il se passera quelque chose d’intéressant dans la soirée ce soir, es-tu sûr que tu n’y iras pas ? »« Quelque chose d’intéressant ? »Emmanuel était confus, pourtant, la seconde suivante, il a dit d’un ton intéressé : « Dans ce cas-là, j’y irai certainement. C’est où ? Et il s’agit de quel genre de soirée ? »« C’est une soirée de business organisée par la mairie, tu demanderas le lieu toi-même. »Cela dit, Jean a raccroché.Il a réfléchi pendant un instant et a mis sa propre carte de téléphone dans le téléphone spécial que le bureau lui avait donné, ce n’était quand même pas pratique de porter toujours deux téléphones ! Il n’aurait nulle part où les mettre.Puis, il a mis son propre pistolet, ses papiers da
En même temps, au dernier étage du bâtiment, dans la salle de soirée, l’ambiance était bien animée.L’homme qui occupait le poste suprême de la ville J, Hervé Duris, et l’homme le plus puissant du bureau des commerces, Omar Longchamp, étaient présents, il était évident que la mairie accordait à cette soirée beaucoup d’importance.Avec la présence de ces deux personnes, il y avait naturellement beaucoup d’hommes d’affaires dans la soirée.Il y avait déjà environ quatre-vingts personnes dans la salle de soirée, ils étaient tous de grands personnages dans la ville J.Les gens s’échangeaient en riant, l’ambiance était très bonne.Tout le monde savait que ce genre d’occasions s’agissait à montrer au monde que cette affaire était soutenue par le gouvernement, tandis qu’en apparence, il s’agissait de faire rencontrer les gens.En fait, c’était aussi un avertissement, pour dire aux gens de ne pas chercher à faire n’importe quoi.Tout le monde le savait dans son cœur. Ils faisaient des affaires
En tant que vieux politicien, Hervé savait très bien ce que représentait l’identité d’Emmanuel, même s’il était assis là-bas, sans rien dire, ce qui représentait certainement une certaine attitude. Cependant, il ne savait pas encore quel genre d’attitude il représentait. Ce qu’il voulait était de savoir ce qu’Emmanuel voulait faire.Cependant, Emmanuel a éclaté de rire et a dit : « Mon travail, c’est comme ça,mais Monsieur Duris, le projet dont vous vous occupez est très bon, et celui-ci contribue à l’économie et à la création d’emplois de la ville J, félicitations. »En entendant cela, Hervé a immédiatement a dit avec un sourire : « Emmanuel, c’est toujours votre père qui a la vision à long terme. Quand je lui en ai parlé, il m’a fortement soutenu, c’est pourquoi cela a été déterminé si vite. Je dois remercier votre père. »« Je ne le sais pas bien, mais c’est toujours votre mérite, vous êtes trop humble », a dit Emmanuel en faisant semblant de le flatter.À ce moment-là, Hervé était
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme