Chapitre 5 Les ennemis se rencontrent toujours

Carine restait immobile pendant un moment, elle ne pouvait pas maîtriser ses sentiments et puis, elle a dit : « C'est le cadeau venu de mon père. Quand j'étais enfant, ma mère ne voulait le porter que pour les grandes occasions, et après leur mort, je ne l'ai pas revu. »

Elle avait toujours pensé qu'il était réservé dans les coffres de la famille Durant, mais elle ne s’est pas attendue à le voir dans cette exposition.

« La famille Durant l'a vendu ? », a demandé Jeanne.

Carine a secoué la tête.

Elle savait au fond d'elle-même que son grand-père ne vendait pas de bijoux féminins, c'était peut-être sa troisième tante, obsédée par l’argent, qui l'avait vendu. C’était la raison pour laquelle cet ensemble de bijoux apparaissait ici.

Voyant qu'elle était un peu triste, Jeanne a dit : « Pourquoi ne pas l'acheter ? »

Carine a amèrement ri : « Ma chère, n’as-tu pas remarqué son prix ? »

Jeanne a dit : « Alors demande cet argent à Alain, il doit te donner une compensation de divorce ! »

Carine s'est tue. Elle n’avait pas de confiance dans cette chose.

Elle avait peur qu’Alain ne partage peut-être pas un seul centime avec elle, sans parler de ce genre de bijoux qui coûtait des centaines de millions de dollars.

« Laisse tomber. Heureusement, il s'agit d'une parure coûteuse que peu de gens peuvent acheter, et je pourrai venir la regarder plus souvent. »

Jeanne en était d’accord.

C’était le reste de ses parents, mais elle devait le regarder à travers ce comptoir.

Et ce n’était pas elle qui avait vendu ces bijoux, donc elle a en même temps perdu une grande somme d’argent.

« Va faire ton travail. » Carine a tapoté l'épaule de Jeanne et a dit : « Le directeur de l'atelier semblait te chercher à l'instant. »

Jeanne l'a serrée dans ses bras pour s'assurer qu'elle allait bien, et elle est ensuite partie travailler.

Le directeur a dit à Jeanne : « Ces bijoux violets a été déposés ici par un client, alors veuillez mettre une note sur l’étiquette pour expliquer que cela ne peut pas être prêté ou acheté. »

Jeanne était très contente. Dans ce cas, ces bijoux pouvaient être bien protégés, et peut-être qu'un jour, Carine pourrait les acheter.

Elle a demandé : « Qui est le propriétaire de ces bijoux ? »

Le directeur l'a regardée et lui a dit : « On ne peut pas dévoiler les informations personnelles de nos clients, vous devriez le comprendre. »

Jeanne a souri. Elle s’est excusée et a commencé à entreprendre son travail.

Le directeur de cet atelier a reçu un appel.

« Mlle Caron, la robe que vous avez commandée est préparée. »

L’attitude de ce directeur était vraiment humble devant Mia, il a chuchoté : « Je vais vous révéler un petit secret, vous ne pouvez pas dire que c'est moi qui l'ai dit. Dès que vous avez dit que vous aimiez le jade violet, M. Boucher a trouvé un ensemble de jade de bonne qualité pour vous. Il est maintenant dans notre atelier. »

« Vous êtes trop humble dans ce cas. Si ce n’est pas vous, qui d'autre pourrait recevoir ce cadeau ? »

Après quelques mots, le responsable de cet atelier a raccroché.

Il a ajusté ses vêtements dans le miroir et a secoué la tête en se rappelant les rumeurs.

M. Boucher était incroyablement beau et riche, mais il était déjà marié.

Qu’en penserait sa femme si elle savait que son mari a acheté ces bijoux pour une actrice ?

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À l'heure du déjeuner, Jeanne était occupée. Donc, Carine est partie seule pour chercher un restaurant.

Elle a choisi un restaurant simple pour manger, elle devait abandonner les consommations luxueuses.

Elle était en fait une femme sans emploi. Elle devait être plus économe.

Elle a d'abord commandé un plat pour Jeanne et l'a renvoyé avant de s'asseoir pour le manger elle-même.

Mais elle n’a pas terminé ce repas, alors elle a fait emballer tout le reste.

Elle a voulu voir s'il y avait d'autres emplois à temps partiel disponibles, elle est donc allée au centre commercial.

Le centre commercial avait du monde et elle a attendu que l'ascenseur monte.

Les portes de l'ascenseur se sont ouvertes.

Et ensuite, quand elle a regardé en l’avant, elle a vu cet homme qu’elle ne voulait pas rencontrer.

En la voyant, le visage d’Alain est devenu sombre. Il était un homme froid, avec son nez grand et ses lèvres douces, son aura était plus noble, ce qui donnait une pression aux autres qui voulaient s’approcher de lui.

Il a fixé cette femme devant lui, qui portait une robe à fleurs de couleur rose, sa peau était blanche et ses lèvres étaient rouges. Avec son maquillage, elle était beaucoup plus brillante et belle. Elle portait une boîte à lunch dans sa main.

Les deux parties ont froncé les sourcils.

C'était une erreur. Les ennemis se rencontraient toujours.