Le fruit froid était déjà dans sa bouche, mais Carine n’a pas même remarqué ce qu’elle avait mangé. Elle était déprimée par ces propos.Le bureau est devenu silencieux et elle a bu son jus de fruit pour soulager la tristesse.Elle ne savait pas comment décrire ses sentiments en entendant cette conversation. Selon elle, Alain ne s’est préoccupé que des intérêts familiaux. Mais elle se sentait encore très triste après les mots indifférents de cet homme.Elle est descendue de l’étage avec ses affaires, craignant que les deux à l'intérieur ne sortent brusquement.Après quelques instants, la porte du bureau de l'étage s'est ouverte.Alain et le vieil homme ont descendu les escaliers l'un après l'autre, avec des visages froids. Le vieil homme était visiblement contrarié.L'oncle aîné et le troisième oncle de Carine n'étaient pas à la maison, ce festin familial était un peu différent. À la table, la troisième tante était très prévenante envers Alain.Carine avait envie de rire en voyant cela
Le vieil homme est monté à l'étage, avec un visage froid.La troisième tante de Carine en était satisfaite, elle ne voulait pas que Carine vive heureuse.Carine est restée calme, elle a baissé la tête et a caressé le menton du chat : « Très bien. »Alain n'est pas revenu, Carine est montée elle-même à l’étage. Dans ce cas, elle ne pouvait pas partager le même lit que son mari, elle s'est donc allongée sur le canapé.En ouvrant l'armoire, il y avait des pyjamas extrêmement sexy. Ils étaient très démodés, évidemment, c’était sa troisième tante qui a préparé tout cela. Cette femme était vraiment ennuyeuse pour acheter ce genre de pyjamas et les placer dans son armoire.Elle ne voulait pas porter ce genre de pyjamas, surtout devant Alain. S’il le voyait, il se moquerait certainement d’elle.Après une douche, elle s'est endormie sur le canapé en peignoir.Elle avait déjà éteint les lumières avant qu’Alain ne revienne.Lorsqu'elle a entendu des bruits de pas, elle a feint de dormir.La porte
Après cette gifle, toute la pièce est devenue silencieuse.L'homme était en choc, il se sentait une légère douleur venue de son visage. Ce n’était pas très mal, mais il pouvait le sentir quand même.Ses yeux étaient rouges à cause de cela, il redevenait froid en ce moment. C’était la première fois dans sa vie qu’il recevait une gifle. Il était un peu étourdi.Carine s’est dépêchée d'enfiler son peignoir et est rapidement sortie du lit.« Je t'ai parlé du divorce. »Divorce, divorce, encore le divorce !Il est venu ici pour elle, mais qu’est-ce qu’elle faisait envers lui ? Chaque fois qu'il n'acceptait pas les conditions de la famille Durant, c'était elle qui le suppliait. Il n'était pas rare qu'elle utilise son corps pour s'attirer ses bonnes grâces.Elle a joué le même tour aujourd’hui, il n’a pas révélé ce fait en lui gardant un peu de dignité !Carine a fixé la mine renfrognée de cet homme et ne pouvait s'empêcher de dire : « Je ne sais pas qui a ajouté des médicaments sur ton plat,
Alain l’a regardée et a dit d’une voix agacée : « Carine. »Carine l’a regardé face à face.« Ne le regrette pas », a dit l’homme.« C'est mon affaire, mais ne soyez pas en retard demain, M. Boucher. » Après un court silence.L'homme a ouvert la porte de la chambre et est parti.On entendait encore le bruit de ses pas dans le couloir.Carine se tenait près de la porte, incapable de dire un seul mot.La porte de la pièce opposée s’est ouverte, Alice est lentement sortie. Jetant un coup d'œil en bas, elle a dit avec un visage inquiet : « Carine, qu'est-ce qui se passe, vous vous êtes disputés ? » Cette affaire ne pouvait pas échapper aux oreilles du vieil homme.Carine n'a pas pu partir et est restée assise dans sa chambre pendant toute la nuit.Elle est partie à cinq heures du matin. Elle a dit à la gouvernante de la maison.« Il se passe quelque chose dans la famille Boucher, je dois d'abord y retourner. »Carine est sortie de la maison, mais il n'y avait pas de voiture pour la ramen
Il était plus de neuf heures, c’était un très beau jour aujourd’hui. Il semblait que Dieu approuvait leur divorce.Carine est sortie du taxi et a fait quelques pas vers le Bureau des affaires civiles.Plus elle s’est approchée de ce lieu, plus elle se sentait triste.Au jour de l’inscription de leur mariage, Alain n'était pas présent, elle l’a attendu en vain toute la matinée, puis a reçu un appel disant que le mariage avait été inscrit.Ce n'était qu’en ce moment-là qu’elle a compris à quel point Alain en voulait à ce mariage.Elle a sorti le certificat de mariage du sac, sur lequel se trouvait une photo synthétique de ce couple, celle d’Alain est la photo de sa pièce d’identité, celle de Carine était la photo d’étudiante. En regardant en arrière, elle a découvert qu’Alain et lui n’étaient pas du tout compatibles.II était presque neuf heures. Alain n’est pas apparu, elle n’a pas non plus trouvé la voiture de la famille Boucher.Elle pensait qu'il était probablement encore chez Mia. E
Carine ne pouvait pas y croire, elle n’était pas stupide, c’était la carte d’Alain, personne n'avait la capacité de bloquer sa carte à moins qu'il ne le demande.Cela signifiait qu’elle a perdu son dernier espoir. En ce moment, elle n'était pas d'humeur à prêter l'attention aux regards humiliants de cette employée. Elle a sorti tout de suite son téléphone portable, et elle a vu six appels manqués sur l'écran, tous passés par Alain.Elle s'est rappelée de leur divorce. Elle a appelé donc Alain, mais personne ne lui a répondu.Il y avait deux messages laissés par cet homme.--Carine, où es-tu ?--Tu me trompes encore une fois ? Es-tu aussi ennuyeuse pour jouer ces trucs avec moi ?On pouvait sentir sa colère même à travers l'écran.Carine a fermé ses yeux et voulait lui envoyer un message, mais elle a arrêté ses actions. Elle était vraiment bête, évidemment, ce n’était plus le bon moment pour lui expliquer cet incident. Cela n’avait pas de sens. Elle a rapidement appelé Jeanne.Sans di
Carine a rapidement posé son téléphone portable et, sans hésiter, s'est retournée et a couru vers le bureau de l'infirmière.« Venez ! À l’aide ! Quelqu'un se tue ! » Elle a crié, et les médecins et infirmières se sont immédiatement rassemblés.Un groupe de personnes s’est précipité vers les escaliers. Carine a couru avec eux.Elle a vu le visage de cet homme dans le sang en ce moment.L'homme, âgé d'une vingtaine d'années, avait une ligne magnifique. Son visage était beau mais pâle, il était comme une rose mourante, comme un dieu magnifique sans âme. Du sang s'écoulait de son poignet et se répandait sur le corps en dessous, c’était choquant.Les médecins ont transporté l'homme sur la salle d’opération. Carine a remarqué qu’une main de cet homme pendait, craignant que sa main se heurte à la rambarde. Elle n'a pas pu s'empêcher de faire un pas en avant, essayant de remettre sa main en place.La personne qui s’allongeait sur le lit a soudainement saisi le bracelet de perles sur la main
L'infirmière qui se trouvait sur le côté a vu qu’il la fixait et s'est mise à expliquer : « C'est ce que monsieur Jan tenait dans sa main, il ne l’a pas lâchée même pendant la réanimation. »Alain l’a ramassé, le sentant inexplicablement familier, tout en jetant un coup d'œil à la personne sur le lit : « Quelle personne importante la lui a laissée? »Les yeux engourdis de Jan se sont soudainement illuminés, se débattant et essayant de tendre la main.Alain a placé les perles dans sa paume.Léon a intentionnellement détendu l’atmosphère et dit à Jan : « Ce n'est pas la fille qui t'a trouvé qui l'a laissé, n'est-ce pas ? »Jan a pincé ses lèvres pâles et, après un long moment, a réagi.La foule était surprise. Voyant qu’il a réagi, Alain a levé un sourcil : « Tu veux la voir ? »Jan était en transe depuis un moment, ayant l'impression d'être dans un rêve, et dans ce rêve, il y avait le visage flou et anxieux d'une femme.Il s'était ouvert les veines pendant sa crise, mais avant de perdr