♡Le pire, c'est de ne pas reconnaître tout ce qui nous arrive ♡
__ Hey !__
....
.?.?.?.
Il est temps de tirer les choses au clair !
Sissi : S'il te plaît rentre à la maison. Je ne supporte pas cette situation.
- ...
Sissi : Je t'en supplie. J'aurais dû me taire.(en larmes)
- Je t'ai dit que ce n'était pas de ta faute, arrête de pleurer maintenant. Je rentrerai.
Sissi : ..d'ac..d'accord, dis où t'es, on va venir te chercher. Tu es avec Adam ?
- Non je ne suis pas avec elle, je rentrerai quand je m'en sentirais capable. Tu diras à poua que ce serait juste le temps que je trouve bien quelqu'un qui voudra enfin de moi pour lui laisser le champ libre mais qu'il ne compte pas sur Thierry. Je ne resterai pas une minute de plus chez lui après les vingt-quatre jours restants, mariée ou pas.
Sissi : Tout ça me fait mal.
- Arrête ok. Vas manger puis couche-toi en ne pensant à rien.
Un klaxon me fait lever la tête et je l'aperçois à travers le pare-brise. Je me nettoie les deux petites larmes sur mon visage car ma petite sœur avait réussi à m'en faire verser.
- Je te rappellerai et ne pleure pas.
Je raccroche, me dirige vers la voiture et monte.
- Merci d'être venu.
Kola : De rien.
Je tourne le visage et me mets à regarder par la vitre. Il démarre sans rien dire.
Mon téléphone sonne et c'était Adam, je l'avais appelé sans pouvoir la joindre. Je décroche.
Adam : Tu m'avais appelé la folle ?
- Tu es chez vous s'il te plaît ?
Adam : Non, chez ma sœur à l'autre rive. Qu'est-ce qui se passe ?
- Je.. je ne vais pas bien.
Une larme coule automatiquement de mon œil que je nettoie rapidement.
Adam : Ta voix ne rayonne pas, je l'avais senti. Dis-moi ce qui te chagrine.
Je me tourne et regarde Kola une seconde.
- Je ne sais même pas par où commencer, je ne reconnais plus ma propre vie. Je t'en parle après.
Adam : Non vas-y maintenant sinon je serai apeurée.
- Raccroche et donne-moi quelques minutes.
- Oui, je sais.
Adam : Je t'attends.
Elle raccroche et je dépose le téléphone sur ma jambe puis me passe la main sur le visage.
Kola : Je te ramène chez toi ?
- N'importe où mais pas là-bas.
Kola : Qu'est-ce que tu as ?
- J'ai été trahie par les miens, ne m'en demande pas plus s'il te plaît.
Il ne dit rien et continue à rouler. Le silence règna pendant plus de quinze minutes je dirais. Je me suis ressaisie dans la tête pour lui parler, je l'avais quand-même fait déplacer.
- Tu dois te demander pourquoi je t'ai appelé, je sais qu'on n'est pas si proche que ça même si c'est deux jours en disent long mais je ne savais plus vers qui me tourner en ayant pas Adam au téléphone surtout pas après avoir perdu mon meilleur ami.
Kola : Il est mort ?
Je l'ai mal regardé.
- Crache ta salive. Il est bien vivant. C'est notre amitié qui est sur le point de mourir si ce n'est déjà fait.
Kola : Qu'est-ce qu'il a fait ?
- ..
Je saisis mon portable et commence à rédiger un message à Adam pour lui raconter.
Kola : Ça doit être grave alors jusqu'à ce que tu pleures ?
- Ce n'est pas pour lui que je pleure. Et puis je ne pleure pas.
Kola : Tes yeux sont rouges.
- ..
Kola : Ou bien c'est une mascarade ? _en se garant
- On est où ?
Kola : Vas-y, on est arrivé. On pourra parler ici.
Il descend de la voiture, j'hésite un moment avant de descendre et de le suivre. On entre dans l'immeuble et prends les escaliers jusqu'au deuxième étage d'où il se dirige vers un appartement qu'il ouvre avec ses clés. On y entre et il me dit de m'installer sur le canapé et vide ses poches en y déposant ses affaires (clés, téléphones, carte d'identité et portefeuille).
Kola : Surtout ne te gêne pas, attends que j'arrive.
- Merci.
Il sourit en s'allant et je finis la rédaction de mon récit que j'envoie à Adam. J'ai mal, très mal en sachant que mon père cherche à se débarrasser de moi juste pour épouser cette femme qui me servait de tante, une tante que j'aimais beaucoup jusqu'à ce que j'apprenne qu'elle s'est intéressée à mon père même pas que les trois ans d'anniversaire du décès de maman n'arrive. Elle était la présence féminine qui nous a le plus consolé ma sœur et moi. Quand je repense à toutes ses actions en sachant qu'elle voulait mon père, je me dis qu'elle jouait la comédie avec nous. Comment pouvait-elle aimer le mari de sa cousine ? J'y étais contre et j'ai tout fait pour l'éloigner de nous.
L'appel d'Adam me fait sortir de ces pensées blessantes qui me feront craquer tôt ou tard. J'espère juste ne pas avoir à le faire en parlant avec mon amie car je ne le veux pas et surtout pas ici avec Kola. Que pensera t-il de moi ?
Adam : Je suis triste pour toi. Ton père n'a sûrement pas choisi la bonne manière mais arrête de penser qu'il veut se débarrasser de toi.
- Tu sais que c'est ça.
Adam : Non arrête tu te fais du mal en pensant cela. Dans tout ça je crois qu'il le fait pour toi, tu m'as dit..
- C'est pour lui qu'il le fait. Pour lui et cette femme.
Adam : Essaie de..
- C'est.. c'est bon Adam.. on en parlera demain quand ça ne risquerait plus de me faire pleurer.
Adam : Non maintenant.
- S'il te plaît, je n'arrive pas encore à digérer.
Adam : En parler pourrait t'aider.
- Pas au téléphone.
Adam : Demain je passerai te voir.
- Non, j'irai chez toi.
Adam : Pas besoin, je passerai très tôt même.
- Non, je ne suis pas à la maison et je ne sais pas si j'aurais le courage de rentrer avant au moins demain.
Adam : Où es-tu Naïda ?
- Ne t'inquiète pas.
Adam : Alors dis-moi où tu es ?
- Je suis avec Kola.
Adam : Quoi ? Le nouveau gars là ?
- Oui.
Adam : Fais gaffe à toi Naïda. Tu ne connais rien de lui en vrai.
Je prends la carte d'identité de Kola sur le canapé à côté de moi.
- Merci de t'inquièter. Il est sympa.
Adam : D'accord mais rentre à la maison ou va chez nous, je serai bientôt de retour.
- D'accord. Je te laisse.
Je raccroche et regarde partout mais je ne vois pas Kola. Je passe la main sur mon visage puis me lève. Je continue à regarder partout tout en marchant.
- Kola ?
J'entre dans une pièce qui se montre être la cuisine, je sors de là et jette un coup d'oeil partout et me remets en chemin vers le canapé quand Kola brusquement sorti de derrière moi.
- Tu étais où ? _en me rasseyant
Kola : Alors ça fouinait ? Et dire qu'hier je m'étais convaincu de m'être trompé sur toi et ton identité.
Il retire sa carte de ma main. Je ne sais pas pourquoi je l'ai pris même.
- Je te cherchais juste. De quoi tu parles ?
Kola : Ok mais dis-moi la vérité cette fois, tu es une infiltrée ?
- Infiltrée de quoi ?
Kola : L'autre jour j'ai vu une policière, elle te ressemble. Tu travailles sous couverture c'est ça ?
- Je ne comprends rien.
Kola : Fais un effort enfin, tu me veux quoi ?
- Comment ça ? Je pensais juste trouver en toi un confident pour ce soir. Tu t'intéresses à moi non ?
Kola : Arrête voyons, je ne crois pas à ces ruses que tu veux employer pour m'avoir dans ton camp. Tu as fait tes recherches et tu sais maintenant qui je suis, raison pour laquelle tu m'as contacté aujourd'hui pour mener à bien ta mission.
- Ma mission de quoi ? Et puis quelle enquête ? Je ne comprends rien je te dis. Et qui es-tu ?
Kola : Je ne te le demanderais que cette fois encore alors réponds ! TU ES POLICIÈRE OU DÉTECTIVE ?
- Aucune des deux.
Kola : ARRÊTE !
J'ai sursauté.
Kola : Arrête de mentir sinon je te refais le visage.
- Je ne mens pas.
Kola : Non mais elle se fout de moi ? _en saisissant mon bras
- Lâche-moi s'il te plaît, je te dis la vérité.
Kola : Ta vérité là, je ne la crois pas car elle est montée de toute pièce. Ton compte, on va le régler ma chère.
- Qu'est-ce qui se passe ?
Zou : C'est cette fille, elle rôde souvent par ici et à essayer de s'introduire deux fois dans la maison.
- Tu es sûr ?
Il se tourne et la regarde avant de se retourner vers moi.
Zou : Très sûr. Je ne sais pas ce qu'elle cherche en fin de compte.
- D'accord merci pour l'information.
Zou : C'est mon devoir patron.
Je remonte la vitre et dit au chauffeur de rouler pour virer au carré d'après pour qu'on puisse retrouver la jeune fille et la suivre.
J'appelle le vigile au téléphone.
- Dis à Badian de prendre la moto et de nous rejoindre au plus vite, nous regagnerons le goudron dans deux minutes.
Je raccroche et on continue de suivre la fille qu'on a retrouvé. À peine que nous prenions le goudron Badian nous rejoint, on se gare et je lui donne instruction de la suivre où elle ira jusqu'à ce que je lui demande de revenir et il devra aussi m'envoyer des photos d'elle pour que je sache vraiment à quoi elle ressemble.
.Le lendemain.
.. : Allô patron, en ce moment elle se trouve au Rayan, elle vient d'arriver.
- Merci. _en raccrochant
- Je vais y aller papa. Je crois qu'on a un fouineur dans les parages ou plutôt une fouineuse.
Papa : Comment ça ?
- Je vais m'en occuper, après je t'en parlerai.
Papa : D'accord.
- À plus tard.
Je prends mes clés, je me mets en route vers le garage et rentre dans ma voiture en mettant mes lunettes noires.
Je la repère, je passe à côté d'elle et de ses amies, je prends une chaise de la table d'à côté et viens me poser près d'elles. Elles m'ont toutes regardé choquées.
- Salut les filles.
.. : Tu ne te gênes pas toi !
C'était la fille en question.
- Alors c'est comment ?
... : Mdr ça va mais t'es qui ?
- Kola, enchanté et vous ?
.... : Moi c'est Bijou, elle Michou, l'autre Adam et la première qui a parlé Naïda.
- Na quoi ?
... : Naïda.
- Naïdia.
.. : Vas-y oublie mon nom.
Je réessaie à nouveau mais je dis autre chose, je n'arrivais pas à le prononcer vraiment, ce n'était pas fait exprès. Les autres rigolaient et elle n'était pas contente à la voir.
- Désolé mais c'est rare ton nom, c'est ma première fois de l'entendre.
Nadia : Je suis rare aussi. Pense juste à Aïda mais en mettant N devant c'est tout.
- Ah oui Naïda.
Naïda : Voilà, ce n'était pas si difficile.
- Oui, vous êtes bien toutes belles hein.
J'ai essayé de les tirer trois ou quatre mots pour ensuite demander le numéro de la fille mais elle faisait la désirée. Quoique j'ai réussi à l'avoir à la fin.
À première vu, elle n'a pas l'air d'une enquêtrice ou quelque chose du genre mais c'est peut-être parce que c'est une jeune recrue.
Bref, j'ai eu le numéro et je mènerai aussi mon enquête directement avec elle, en faisant connaissance elle se trahira peut-être.
Le soir venu, je l'ai appelé pour fixer un rendez-vous demain et mademoiselle a bien accepté. Facile avec mon charisme !
Le lendemain on a été au rendez-vous je lui ai directement posé la question si elle était policière mais elle a dit non, je lui en ai posé quelques petites questions mais il fallait un autre rendez-vous pour savoir vraiment tout d'elle comme ça je serais fixé.
Raison pour laquelle après ce tête à tête, le lendemain j'ai été la prendre pour nous promener, je lui ai carrément fait un interview et j'ai remarqué qu'elle était un vrai bon délire mais je n'étais toujours pas sûr de son identité, j'ai donc vérifié sa carte d'identité à un moment d'absence de sa part et c'était bien marqué étudiante au niveau de la partie profession. Avec tout ce que j'ai vu et appris d'elle c'était donc qu'une curieuse.
Néanmoins j'ai passé une très bonne journée avec elle, je n'ai pas vu le temps passé.
Au retour j'ai prévenu mon père.
- Fausse alerte, c'était une petite curieuse qui rôdait.
Papa : Tu en es bien sûr ?
- Oui.
Papa : D'accord mais je vais me renseigner plus haut aussi pour savoir s'il y'a une enquête en cours.
- Oui c'est mieux aussi.
Papa : Mais garde un œil sur la petite aussi. On ne sait jamais.
- Oui.
Papa : Tu as l'air pressé.
- Un peu, je dois aller retrouver Zeina.
Papa : Tu as de la route à faire alors.
- En plus j'ai pris du retard, je devais y aller plus tôt. Elle ne sera pas contente la dame.
Papa : C'est toi qui la connais. N'appuie pas trop sur le champignon non plus.
- Je serai prudent.
.Le lendemain, 20h05.
Zeina : Tu sais bien que tu devais rester ces deux jours ici.
- Oui je sais. Après je te revaudrai ça, prends soin de toi et de ma princesse. J'ai un double appel depuis là.
Zeina : Ok, bye.
Elle raccroche, je regarde qui m'appelle.
- Naïda ? Qu'est-ce qu'elle me veut ?
Je l'avais oublié celle-là. Depuis hier on ne s'était plus parlé. Je décroche.
Naïda : On peut se voir s'il te plaît.
Elle qui cherche à me voir ? C'est suspect. Peut-être que je m'étais trompé sur elle au final ?
On verra.
- Tu es où ?
..
Et si on finissait avec tout ce manège ce soir ?
Il est temps de tirer les choses au clair !
..
Au bout d'une heure j'ai été la chercher et la faire venir dans mon appartement, elle ne voulait pas rentrer chez elle, elle affichait une mine bien triste mais je n'y ai pas cru. C'est peut-être une mascarade tout ceci.
Là je venais de la surprendre entrain de fouiller la maison, ma carte dans la main et les pas suspects, tout d'une enquêtrice. Et elle veut me faire croire qu'elle n'est pas celle que je crois qu'elle est.
- Ta vérité là, je ne la crois pas car elle est montée de toute pièce. Ton compte, on va le régler ma chère.
Naïda : Mais dans quoi je me suis embarquée ?
- Tu le sauras bientôt. Vas-y, marche.
Je la fais traîner puis saisis mes affaires en me dirigeant vers la porte.
- Tu vas sagement me suivre et gare à toi si tu essaies de faire quoi que ce soit.
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__ Hey !__....Je la fais traîner puis saisis mes affaires en me dirigeant vers la porte.- Tu vas sagement me suivre et gare à toi si tu essaies de faire quoi que ce soit...Au bout de quelques minutes on arrive à destination.- Cette maison, tu la reconnais ?Elle relève la tête et regarde où nous sommes.Naïda : Mais.. mais c'est la maison là.- Pourquoi faire semblant d'être surprise ?Naïd
__ Hey !__...Très bonne lecture mes darliings...S.père : Tu veux tout gâcher maintenant ? Elle est où ? Qu'est-ce qui t'a pris bon sang de l'emmener ici ? Il faut qu'on sache ce qu'elle sait vraiment. On doit nous occuper d'elle !Je presse les pas pour retourner dans la pièce car si je me montre docile, je sortirais indemne de tout ceci. Pour une fois, calme ton jeu Naïda !J'entends des pas et m'assieds tranquillement en voyant Kola entrer.Kola : Si je te libère, que ferais-tu de suite ?- J'irai retrouver mon amie qui se trouve au carré d'
__ Hey !__....Poua : Naïda !- J'honore juste ton défi. Je vais dans ma chambre. Poua : Ne vois-tu pas que je fais tout ceci pour toi ?- Oui, je veux te rendre la pareille aussi. Tu veux tantie Tina donc je m'efface comme il le faut.Poua : J'ai dit oublie ce défi. - Désolée mais pou
_ Hey _...- Pas de problème. Patron : J'ai bien fait de la faire suivre. .N.A.Ï.D.A.- Bonsoir. T.Vicky : Tu vas bien ma fille ?- Oui bien et toi tantie ?T.Vicky : Je vais bien aussi.
_ Hey _...Il se fait tard et ça fait des minutes que je tourne en rond devant leur porte. J'ai prévenu Thierry et présentement il la cherche aussi. Où peut-elle bien être ?.. : Bonsoir. Je relève la tête pour le regarder. - Bonsoir. C'est pour Naïda que tu es là ?Et moi qui pensais à l'appeler pour lui demander alors que je n'ai pas son numéro.
_ Hey _...- Vas-y dis-moi où la trouver.Sa seule réponse fut de me raccrocher au nez, j'ai tourné la tête et donné de suite un coup de poing en plein visage de Zou.Il sourit en touchant son visage.Zou : Je m'y attendais.- Maintenant tu vas m'indiquer où la trouver.Zou : Votre père est consentant ?Je lui ai donné une autre droite.- T'en veux encore ou tu vas me conduire à elle ?.N.A.Ï.DA.
_ Hey_...Qu'est-ce qu'elle a bon sang ?Il ne faudrait pas que cette fille meure dans mes bras..J'ai essayé de bien la tenir sur le lit en l'observant tout en lui demandant de se calmer.Plus je l'observais, plus je comprenais ce qui lui arrivait. Je n'étais pas sûre mais je sentais savoir de quoi elle souffrait.Dix minutes plus tard, elle était calme, assise sur le lit, recroquevillée sur elle-même, la tête sur les genoux et les bras l'entourant.Je suis sortie, lui chercher quelque chose à manger en plus d'une robe ample vu que je lui ai versé de l'eau dessus. À mon retour, elle était toujours dans la même position.
_ Hey_...Kola : I b'a don ko a te djô i la fo i ka fô. Il ne faut jamais dire jamais. (Tu sais que ça ne te rattrape que quand tu le dis). Oublie ma femme et concentre-toi sur nous.Qu'est-ce qui se passe bon sang ? Une partie de moi a peur qu'il ait raison.Kola : Alors ?- Je veux rentrer chez-moi.Kola : .. D'accord, sors je te ramène.- Tu ne me mens pas ?Kola : Non, je ne vais pas te forcer à rester avec moi non plus. Sors, on y va.J'ouvre la porte et sors lentement. Il s'en allait prendre mes affaires. Je me dirige
♡There are days, I wake up and I pinch myself. You're with me, not someone else and I'm scared, yeah, I'm still scared ! That it's all a dream 'Cause you still look perfect as days go by. Even the worst ones, you make me smile. I'd stop the world if it gave us time 'Cause when you love someone, You open up your heart♡_ Hey _...Trois heures plus tard, je suis revenu et cette fois je suis resté avec Mina dans un coin en attendant que les filles décident de rentrer.On était très bien jusqu'à ce que Annie m'appelle, Mina a tout de suite changer d'humeur.Mina : Je sens qu'un jour tu devrais choisir entre ton amour et ton amitié !- On n'en serait pas là !Mina : J'ai juste dit ce que j'avais à dire !- Annie comprendra et ne me laissera pas choisir, chacune sa place.Mina : Annie, telle que je la vois sois elle t'aura sois elle causera ta perte !Je la regarde quelques minutes en buguant sur cette phrase avant de me décider à parler.- Ne dis pas n'importe quoi !Mina : Au fond de toi
♡When you love someone..♡_ Hey _...La fille de Thierry et Naïda est née ! Et elle est juste un rayon de soleil, je l'aime tellement, j'attendais impatiemment de l'avoir dans mes bras et c'est chose faite, je ne peux être qu'une femme comblée ! Je souhaite de tout cœur que ce souhait de chaque femme soit exaucé par le Tout-Puissant._Quelques années plus tard_- De quoi parlez-vous ici ?Mami : J'étais entrain d'expliquer à ce dernier que je ne croyais pas à l'amitié entre fille et garçon. - Ah !?Mami : Oui maman, explique-lui s'il te plaît que c'est carrément impossible. Je rigole. Ed : Mami tu es folle je te dis. Maman elle croit que Annie est amoureuse de moi. Je continue de rigoler et passe mon chemin, si seulement il savait. Mami : Mais maman, dis quelque chose non ? Je me retourne et Mami et Ed me suivaient.- Bon l'amitié entre Annie et Ed quand-même je n'y crois pas.Ed : Eh maman ?Mami : Voilà ce que je disais !Ed : Mais pourquoi vous n'y croyiez pas ?- C'est votr
♡There are days, I wake up and I pinch myself. You're with me, not someone else and I'm scared, yeah, I'm still scared ! That it's all a dream 'Cause you still look perfect as days go by. Even the worst ones, you make me smile. I'd stop the world if it gave us time 'Cause when you love someone, You open up your heart♡_ Hey _...- Thierry ?Thierry : Oui Naïda !- ...Thierry : Qu'est-ce qu'il y'a ?- ...Thierry : D'accord.- C
_ Hey Mes Darliiings _...Au moment où je sentis mes yeux réellement se fermer et ma respiration se couper, j'ai cru voir Thierry qui accourait vers moi..Qu'avais-je fait de ma vie ?Et d'un coup je respirai fortement en ouvrant les yeux..- OUF !Je me suis touchée le front.- C'ÉTAIT QUOI ÇA ?.. : Quoi quoi ça ?Je tourne direct ma tête vers la voix qui me paraissait complètement incohérente vu que je pensais m'être réveillée d'un cauchemar.- Maman
_ Hey _...Adam : Mais il fait quoi là ce fou ?On se retourne et il venait vers nous.Adam : Allons-y, on rentre dans la maison.Thierry : Pour le fuir ? Tu blagues Adam !- Tu sais que tu n'as rien à lui prouver, n'est-ce pas ?Thierry : Oui je sais.- Donc n'entre dans aucun de ses jeux s'il te plaît !Thierry : Ne t'inquiète pas.- Merci.Kola : Salut !Personne n'a regardé dans sa direction.Kola : Comment tu vas Naïda ?Thierry : Qu'est-ce que tu veux ?Kola : Je lui demande juste son état de santé, ce n'est pas la peine de monter sur tes grands chevaux.&n
_ Hey _...Thierry : Abekei tokodi ? Kanou tei ah ? (Comment faire ? N'est-ce pas l'amour ?)Je ne faisais que le regarder.Solange : Allah ka kanou to ! (Que Dieu préserve l'amour !)Nous : Amina !_ Dimanche, 12h56 _.. : Voilà !- Qu'est-ce que c'est ma tante ?T.Vicky : Quelqu'un m'avait dit de garder ça pour toi. C'est ton cadeau d'anniversaire, c'est bien demain ton anniversaire n'est-ce pas ?- Oui c'est demain.T.Vicky : Donc vas-y, ouvre-le.Elle souriait, j'ai regardé Thierry qui faisait pareil en levant les yeux au ciel pour fuir mon regard.- De la part de quelqu'un ?T.Vicky : Tu connais
_ Hey _...Poua : Naïda, va au moins écouter ce qu'il a à te dire. Ça ne te coûte rien ou je me trompe ?Ça te coûte quelque chose Naïda ?Non je ne pense pas mais je ne vois pas l'intérêt de l'entendre se justifier. Y'a-t-il un intérêt à cela ?Je me lève et le suis sur la terrasse.Thierry : Où sont les chaises ? Je vais les chercher pour que nous nous asseyons.- Ce n'est pas nécessaire si c'est pour ne parler que cinq minutes.Thierry : D'accord.- Je t'écoute.Thierry : Que penses-tu de mes fiançailles ?- Tu as droit au b
_ Hey _...- Mais il est où ce bonheur qui me fuit comme la peste ?Elle : Il ne te fuit pas. Il est près de toi, il est partout et il est surtout en toi. C'est à toi d'en prendre conscience et de le laisser agir.- Je t'aime.Je la voyais me sourire et me prendre dans ses bras quand brusquement je me suis réveillée. J'ai tourné les yeux dans tous les sens avant de me redresser sur le lit en recroquevillant mes jambes. Elle était là, juste près de moi, à me parler et à me faire sentir son amour et sa force qui ne me quitteront jamais. Je l'aime tellement !Elle veut que je tro
_ Hey _...J'entendais qu'on m'appelait mais je ne pouvais pas réagir. J'étais déboussolée.... : NAÏDA !- Qu'est-ce que tu veux encore Thierry ?Thierry : Je te demande juste si ce sac est joli.- Quoi ?Thierry : Penses-tu qu'elle l'aimera ?Je pensais qu'il se foutait de moi quand j'ai compris que ce n'était pas le cas mais que ce qui venait de se passer était de la pure imagination de ma part, j'étais toujours assise la main sous la joue.Je rêvais ou plutôt je faisais un cauchemar les yeux ouverts !Cette situation n'arriverait pas le moins du monde car je ne ferai rien de tel, aller m'imposer à lui maintenant alors qu'il a trouvé chaussures à ses pie