__ Hey !__
...Très bonne lecture mes darliings...
Je presse les pas pour retourner dans la pièce car si je me montre docile, je sortirais indemne de tout ceci. Pour une fois, calme ton jeu Naïda !
J'entends des pas et m'assieds tranquillement en voyant Kola entrer.
Kola : Si je te libère, que ferais-tu de suite ?
- J'irai retrouver mon amie qui se trouve au carré d'à côté pour dormir chez elle, ce sont vos voisins.
Kola : Nos voisins ?
- Oui !
Kola : Donc c'est pour cela que tu traînais par ici ?
- Oui.
Kola : Je me suis sérieusement planté !
- Ce n'est rien de le dire ! Depuis le temps que je te le dis.
Kola : Maintenant que sais-tu sur moi ?
- Rien.
Kola : Rien ?
- Oui.
Kola : Alors pourquoi me traitais-tu de criminel ?
- Parce que tu as peur de la police. Seul les criminels en ont peur ! En plus tu m'as enlevée !
Kola : Je te signale que tu m'as appelé ma chère. Et puis arrête de faire la maligne, je vais te libérer mais sache que je sais tout de toi. Ton père, ta sœur, j'en sais beaucoup sur eux aussi, donc reste tranquille.
- Tu me menaces ?
Kola : Non, c'est pour entretenir ta vie et celle de tes proches. Parce qu'à te voir chi b'i la mais entretien de t'hala ! (Tu as de la vie mais sans entretien)
C'est mieux que je me taise.
Kola : Je te déposerai chez ton amie pour être sûr.
- Je ne suis pas comme toi !
Kola : Merci du compliment ma belle ! Je reviens te chercher dans cinq minutes. _en sortant
Donc c'est fini comme ça ? Cet épisode de Kola prend fin ? Qu'est-ce que je comprends même dans ça ? La curiosité est un vilain défaut ? Ne pas se fier à un inconnu ? Ne pas donner accès à un inconnu à sa vie aveuglément ? Ne pas se créer des idées dans la tête à l'égard de tout beau-parleur ?
Kola me servira bien de leçon !
Comme il l'a dit, cinq minutes plus tard il est venu me chercher et on a pris sa voiture. À moins d'une minute nous étions devant la porte de chez les Adam.
Kola : Tiens ton téléphone, tu ne sais rien de celui qui habite dans la fameuse maison. Tu vis tranquillement ta vie avec tes proches et c'est tout. Et ciao pour la prochaine ma belle !
Je retire mon téléphone de ses mains et ouvre sa portière pour sortir.
- Sale kidnappeur !
Kola : Ça t'étonne pour un djok ?
Je ferme avec fracas sa portière en tchipant.
Je rentrais dans la maison quand il m'attrape.
Kola : Calme tes manières chérie.
- Adieu ! _en n'essayant de me retirer
Kola : Tu es sûre que tu pourrais attendre tout une vie pour me revoir ? _en rigolant
- Tu te crois pour qui ? Bref lâche-moi ! _en me retirant
Kola : Mais tu vas me manquer hein !_en prenant ma main
- Tchrr
Kola : Allez avoue que..
.. : Naïda !
Je me tourne et vois Thierry descendre d'une moto.
- Je suis sérieusement fatiguée de vous. -en soupirant
Kola se tourne aussi et se met à côté de moi en tenant mon bras.
Kola : C'est ton pote là non ? J'ai vu ses photos !
- Non je rêve ou tu as fouillé de fond en comble mon téléphone ? _en le poussant
Kola : Et alors ?
Thierry : Qu'est-ce qui se passe Naïda ? Pourquoi tu n'es pas rentrée à la maison ? On avait peur pour toi.
- Je n'ai aucune envie de vous voir encore moins vous parler donc oubliez-moi ce soir.
Thierry : Ok tu peux nous en vouloir maintenant à ton père et à moi mais pense à ta sœur qui t'attend à la maison. Rentre avec moi, je ne dirai aucun mot durant le trajet. S'il te plaît.
- Retourne chez toi Thierry !
Thierry : Adam n'est pas là, viens on rentre.
Kola : Elle dit qu'elle ne veut pas. Qu'est-ce que tu veux enfin ?
Thierry s'approche et prends mon autre bras.
Thierry : Vas-y on rentre. Si tu veux ne me parle plus jamais mais laisse-moi te ramener auprès des tiens.
- Tu m..
Kola : Oh mais elle ne veut pas être avec toi, lâche-la !
Thierry : En quoi ça te regarde toi ? T'ai-je sonné une fois pour voir ?
Kola : Mdr donc je suis fait pour être sonné.
À peine qu'il finisse qu'il me lâche pour se placer devant Thierry.
Thierry : Passe ton chemin c'est mieux.
Kola : Sinon tu vas faire quoi ?
Thierry : Naïda parle lui ! Et puis c'est qui ?
Kola : Ah tu veux qu'elle me parle ! Vraiment je n'ai jamais vu une tapette comme toi.
- Oh tu vas loin là, va-t-en maintenant.
Kola : N'est-ce pas lui qu'au lieu d'assumer ses sentiments se cache derrière une ruse comme un lâche ?!
Thierry se met à me regarder.
Thierry : Tu me fais quoi là Naïda ?
- Kola arrête et fais-moi je t'en supplie le plaisir de dégager de mon champ de vision.
Kola : Ah tu veux maintenant défendre ton "traite d'ami" comme tu le dis si bien.
Thierry : C'est..
- Et puis quoi ? Ça te regarde peut-être ? Vas-y sors de ma vie. Adieu ! Bon débarras sans regrets !
Il me fixe bien en souriant.
Thierry : Tu as bien entendu ? Dégage !
Il regarde une seconde Thierry avant de se tourner vers moi puis me tient fermement le bras, pousse Thierry et me traîne avec lui.
- C'est quoi ton problème ?
Je résistais et Thierry l'attrape en voulant retirer sa main de moi, il s'arrête et donne un coup de poing à Thierry qui l'a vite rétorqué. Ils se sont fixés une minute, Kola m'a poussé et ils allaient sûrement entamer avec les coups quand je me suis vite mise entre les deux en entourant de mes bras Thierry tout en le repoussant et lui demandant d'arrêter, de ne pas entrer dans le jeu de ce fou de Kola.
Kola : Pourquoi tu l'éloignes Nadia ?
- Retourne chez-toi s'il te plaît, je vais dormir avec Adam. _en me détachant
Thierry : D'accord mais j'attendrai qu'Adam rentre.
- Ne m'énerve pas plus !
Kola : Tu as peur que j'amoche ton petit canard peut-être ?
Il est sérieux lui ? En plus Thierry le dépasse en taille et semble bien plus costaud s'il vous plaît !
Thierry voulait avancer mais je l'arrête.
- Si tu veux que je pense à te reconsidérer plus tard, ignore-le et va t'en.
Thierry : ..
- Tu m'écoutes non ?
Thierry : D'accord.
- Bien.
Il voulait poser sa main sur mon épaule ou je ne sais pas quoi avant de s'arrêter quand j'ai reculé d'un pas.
Thierry : Prends soin de toi.
- Merci.
Je tourne les talons pour enfin entrer dans la maison.
Kola : Tu sais quoi, je sens qu'on se reverra plus tôt que prévu !
- Dans tes rêves !
Kola : Et dans tes cauchemars ma belle !
Je ne me retourne même pas pour le regarder, j'entre de suite et ferme la porte derrière moi. Heureusement pour moi qu'il n'y avait personne dans la cour sinon nos boucans auraient déjà alerté quelques personnes outre que de simple passants.
Je m'apprêtais à taper à la porte du salon quand je tombe sur leur aide ménagère qui m'a faite entrer et m'a servie de l'eau. J'étais encore assise à réfléchir quand je vois le frère d'Adam passer dans le couloir, il me voit, revient sur ses pas et entre dans le salon.
Bekaye : Oh la petite sœur ! Comment ça va ?
- Bien et toi ?
Bekaye : Bien Dieu merci. D'où viens-tu ? Il se fait très tard. Ta copine est sortie avec maman.
- Oui, elle m'a dit qu'elle est en route.
Bekaye : Ah bien ! Sinon comment ça bouge ?
- Pas mal.
Bekaye : I show le tè bi deih, moun b'i la ? (Tu es bien calme aujourd'hui, qu'est-ce que tu as ?)
- Rien de grave, t'inquiète.
Bekaye : D'accord, je te laisse.
- Ok.
Bekaye : Tu ne risques pas de trop t'ennuyer seule quand-même ?
- Non, tu peux y aller.
Bekaye : À plus alors. _en partant
- Oui.
Au moment où je tourne la tête, mon téléphone se met à sonner en affichant le visage de mon père. Je coupe le son et le renverse. Demain il me restera vingt-trois jours pour relever son soi-disant défi afin qu'il puisse être enfin tranquille avec celle qu'il prévoit d'épouser.
J'ai peut-être tort pour certains d'agir comme ça ! Mais est-ce que mon père a-t-il bien agi à mon attention ? Est-ce comme ça qu'il devait faire les choses ?
Je dépose ma tête sur le rebord du fauteuil et des centaines de pensées se bousculaient dans ma tête.
.. : Tu m'entends ?
Je cligne des yeux en fronçant les sourcils pour être sûre d'entendre quelqu'un parler.
.. : Naïda !
Je tourne le visage et vois Bekaye.
Bekaye : Tu n'entends pas ton téléphone sonner ?
- Euh oui.
Bekaye : Alors qu'est-ce que tu attends pour répondre ?
Je prends mon téléphone et réponds à l'appel de mon père.
- Oui allô poua, je vais bien, je suis chez Adam. Bonne nuit.
J'ai raccroché et à la seconde près mon téléphone résonne, cette fois c'était Thierry. Je réponds.
- Ne force pas. _en raccrochant
Je redépose le téléphone.
Bekaye : Ne ma fein famou i ka bi paw la deih ! (Je n'ai rien compris à tes agissements d'aujourd'hui)
- E yèrè ba don ko don bei na dougou djé kan, je n'ai pas le moral aujourd'hui. (Toi-même tu sais qu'à chaque jour, un nouveau récit).
Bekaye : Ça se voit. Vas-y raconte !
- Une autre fois.
Bekaye : Hum ?
- Oui.
Bekaye : D'accord.
.. : Bonsoir.
C'était Adam et sa mère qui venaient de rentrer, je me lève pour saluer tantie Nènè et tout, à la voir ne pas me poser des questions Adam a dû la prévenir que je passerai la nuit chez eux. On reste une minute à se regarder puis Adam me tire avec elle dans sa chambre.
On a passé des heures à parler avant de s'endormir, elle voulait que je reconsidère mes pensées vis-à-vis de mon père. Les choses sont bien ce qu'elles sont lui ai-je dit.
Au milieu de la nuit mon téléphone se fit entendre, je l'ai coupé sans même regarder. Ça insistait tellement qu'Adam m'a supplié de me réveiller pour répondre ou de l'éteindre. À peine que je le touche qu'un message entre.
"Tu as intérêt à dormir très profondément pour ignorer mon appel"
Donc quand il parlait de mes cauchemars, c'était parce qu'il ne me laisserait pas dormir aussi keih.
- "Et toi tu ferais mieux d'aller t'occuper de ta femme."
Kola : "Ça sent de la jalousie ou quoi ? Bon ne te fais pas des idées, cet appel c'est juste un rappel pour ta personne. Tu ne sais rien sinon tu ne dormiras plus paisiblement crois-moi. Ciao, ma femme a besoin de moi."
Cet homme n'a vraiment rien à faire quoi ? Que des balivernes pour me déranger. Son "ciao" là me passe en plus tellement sur la tête! Tchrr.
J'éteins le téléphone et me recouche.
_Le lendemain, 11h52_
Si je n'arrête pas ces mauvaises habitudes à me réveiller au milieu de la journée, je n'arriverais décidément à rien accomplir de ma vie !
Heureusement que tantie Nènè me laisse dormir des heures sinon j'aurais eu honte d'aller les souhaiter bonjour à midi. Mais cela dit d'habitude je me réveille au moins à neuf heures pour les saluer donc c'est assez abusé pour aujourd'hui. Je prends vite fait une douche et tout et descends saluer. Y'avait les parents d'Adam dans le salon et son frère Ali. On passe quelques minutes de salutations et je vais retrouver Adam qui apparemment faisait la cuisine.
- Ça cuisine ici.
*Aidez-moi à le traduire oh (morte endormie ah ? Endormeuse mortelle ? Dormeuse compulsive ? (Quand-même sinôgô = dormir et chou = mort) 😂 je suis dead, je n'en peux plus de moi 😭
- Ce n'est pas de ma faute si mon corps réclame plus d'heures de sommeil.
Adam : Ayiwa. Tu as vu maman ?
- Oui.
Adam : Elle voulait te parler.
- Ah oui ?
Adam : Oui. J'ai fait un peu de commérages. _en faisant une grimace
- Encore ?
Adam : ..
- Ça ne m'étonne pas de toi, qu'est-ce que tu ne racontes pas à maman ? Mais qu'as-tu vraiment dit ?
Adam : Le défi, le mensonge avec Thierry, le retournement de situation et le mariage de poua.
- Adam ! Donc la totale quoi ?!
Elle me regarde avec des yeux de petite fille.
- Non mais merci.
Adam : Désolée.
- Donc maintenant je dois aller discuter de tout ça avec maman ?
Adam : Apparemment !
- Tu me revaudras ça.
Adam : Pas si maman nous sort de là.
- Finis ta cuisine c'est mieux.
Je m'en vais pour sa chambre, dès que je monte, je saisis mon téléphone et avant de l'allumer mes yeux se fixent sur les rideaux de la fenêtre qui bougent sous l'action du vent. Je m'y dirige, les tire et reçois une bouffée d'air sur le visage. Je souffle en regardant partout jusqu'à ce que mes yeux restent figer sur cette demeure, cette demeure que j'ai presque parcouru à mon encontre au lieu d'assouvir ma curiosité. Au bout de deux minutes d'observation, je le vois, je le vois traverser leur cour, les lunettes noires aux yeux, le téléphone à la main, une démarche qui se veut.. bref le cliché du parfait beau gosse. Je remets de suite les rideaux à leur place en me retournant croyant voir quelqu'un me fixer.
.. : Kon kon.
Je sursaute.
T.Nènè : Tu as peur de quoi toi ?
- Ah maman ! Rien rien.
T.Nènè : D'accord. Bon assieds-toi on va parler.
Je m'assieds un peu gêné, oui je suis gênée. Elle a commencé à me parler de l'importance de la relation parents-enfants et l'amour inconditionnel qui y existe. Elle m'a fait savoir que mes réactions ne sont pas tout à fait les bonnes et que je ne dois pas prendre en compte le remariage de mon père peu importe avec qui. Elle voulait à tout prix que je comprenne et prenne les choses d'un angle positif. Que je ne devais pas prendre mon père et Thierry pour des traites et qu'en plus ils m'aiment énormément tous les deux.
T.Nènè : Tu sais que j'ai mainte fois demandé à Adam si tu étais en couple avec Thierry.
J'avoue que je le savais et elle n'est d'ailleurs pas la seule à le demander souvent.
T.Nènè : Vous sembliez très bien ensemble.
- Mais c'est comme un frère pour moi.
T.Nènè : Je sais bien ma fille. Tu peux toujours y réfléchir, c'est comme un frère et non ton frère.
- ..
T.Nènè : Mais laissons tomber tout ça, après on ira ensemble parler à ton père. Cette histoire de délai doit prendre fin. Il a eu tort sur ce coup.
- Ce n'est pas la peine maman. Ce délai n'est pas un problème.
T.Nènè : Tu as un prétendant caché ? Il veut t'épouser ce type ?
- Je n'ai pas de prétendant.
T.Nènè : Et hier celui avec qui tu étais ? N'est-il pas intéressé lui ?
Je vais la tuer Adam !
Mais si seulement elle savait tout ce qui s'était passé hier soir avec lui!
- Maman ! C'est juste une connaissance de rien du tout.
T.Nènè : Une connaissance de rien du tout, vous les enfants là, vous êtes bien mystérieux. Il ne te plaît pas c'est ça ?
- Pas du tout.
T.Nènè : Onh d'accord, j'arrête de te fatiguer. Après le déjeuner on ira chez vous.
- D'accord.
...
À quatorze heures, nous sommes allées chez nous. Poua était dans le salon et Sissi sûrement dans la chambre. Après les salutations et tout je suis allée voir ma sœur qui était heureuse de me revoir.
Sissi : Je n'aurais rien dû te dire.
- Tu as bien fait maintenant oublie tout ça.
Sissi : Poua t'aime tu sais. Il a passé toute la nuit à tourner en rond.
- Vas-y viens saluer la maman d'Adam.
Ainsi on retourne au salon pour entendre le débat autour de ma personne. Quand ils finissent, on dit aurevoir à Tantie Nènè et Adam. Je partais dans ma chambre quand mon père me dit de revenir m'asseoir.
Poua : Tu vas bien ?
- Oui.
Poua : Tu peux oublier cette histoire d'ultimatum.
- Non poua ! Oublier quoi ? Il reste vingt-trois jours et je compte bien me marier ce jour-ci ou bien je quitterai la maison, c'est simple. Tantie Tina et toi vous serez très bien à l'aise, ne t'inquiète pas.
Poua : Naïda !
- J'honore juste ton défi. Je vais dans ma chambre.
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__ Hey !__....Poua : Naïda !- J'honore juste ton défi. Je vais dans ma chambre. Poua : Ne vois-tu pas que je fais tout ceci pour toi ?- Oui, je veux te rendre la pareille aussi. Tu veux tantie Tina donc je m'efface comme il le faut.Poua : J'ai dit oublie ce défi. - Désolée mais pou
_ Hey _...- Pas de problème. Patron : J'ai bien fait de la faire suivre. .N.A.Ï.D.A.- Bonsoir. T.Vicky : Tu vas bien ma fille ?- Oui bien et toi tantie ?T.Vicky : Je vais bien aussi.
_ Hey _...Il se fait tard et ça fait des minutes que je tourne en rond devant leur porte. J'ai prévenu Thierry et présentement il la cherche aussi. Où peut-elle bien être ?.. : Bonsoir. Je relève la tête pour le regarder. - Bonsoir. C'est pour Naïda que tu es là ?Et moi qui pensais à l'appeler pour lui demander alors que je n'ai pas son numéro.
_ Hey _...- Vas-y dis-moi où la trouver.Sa seule réponse fut de me raccrocher au nez, j'ai tourné la tête et donné de suite un coup de poing en plein visage de Zou.Il sourit en touchant son visage.Zou : Je m'y attendais.- Maintenant tu vas m'indiquer où la trouver.Zou : Votre père est consentant ?Je lui ai donné une autre droite.- T'en veux encore ou tu vas me conduire à elle ?.N.A.Ï.DA.
_ Hey_...Qu'est-ce qu'elle a bon sang ?Il ne faudrait pas que cette fille meure dans mes bras..J'ai essayé de bien la tenir sur le lit en l'observant tout en lui demandant de se calmer.Plus je l'observais, plus je comprenais ce qui lui arrivait. Je n'étais pas sûre mais je sentais savoir de quoi elle souffrait.Dix minutes plus tard, elle était calme, assise sur le lit, recroquevillée sur elle-même, la tête sur les genoux et les bras l'entourant.Je suis sortie, lui chercher quelque chose à manger en plus d'une robe ample vu que je lui ai versé de l'eau dessus. À mon retour, elle était toujours dans la même position.
_ Hey_...Kola : I b'a don ko a te djô i la fo i ka fô. Il ne faut jamais dire jamais. (Tu sais que ça ne te rattrape que quand tu le dis). Oublie ma femme et concentre-toi sur nous.Qu'est-ce qui se passe bon sang ? Une partie de moi a peur qu'il ait raison.Kola : Alors ?- Je veux rentrer chez-moi.Kola : .. D'accord, sors je te ramène.- Tu ne me mens pas ?Kola : Non, je ne vais pas te forcer à rester avec moi non plus. Sors, on y va.J'ouvre la porte et sors lentement. Il s'en allait prendre mes affaires. Je me dirige
_ Hey _...- Sors immédiatement de chez nous ! Aussitôt que je lui disais cela aussitôt que je lui versais de l'eau dessus. Fred : MAIS T'ES MALADE !Il se lève de suite tout énervé.- Quoi ? Tu penses me faire peur ?Fred : Attaquer un agent en uniforme, sais-tu que je peux t'enfermer pour ça ?- Alors fais-toi plaisir. Mais avant, fais-moi le plaisir de déguerpir de chez nous maintenant et tout de suite.Fred : Ne monte pas sur tes grands che
_ Hey _...Kola : Quand je dis qu'elle est folle de moi ! - Orh mais !....Nous : Bonsoir.Poua : Bonsoir. Kola et mon père se saluent vite fait, au moment où il voulait partir, poua l'arrête pour qu'il s'assied.- En fait il doit partir maintenant poua
♡There are days, I wake up and I pinch myself. You're with me, not someone else and I'm scared, yeah, I'm still scared ! That it's all a dream 'Cause you still look perfect as days go by. Even the worst ones, you make me smile. I'd stop the world if it gave us time 'Cause when you love someone, You open up your heart♡_ Hey _...Trois heures plus tard, je suis revenu et cette fois je suis resté avec Mina dans un coin en attendant que les filles décident de rentrer.On était très bien jusqu'à ce que Annie m'appelle, Mina a tout de suite changer d'humeur.Mina : Je sens qu'un jour tu devrais choisir entre ton amour et ton amitié !- On n'en serait pas là !Mina : J'ai juste dit ce que j'avais à dire !- Annie comprendra et ne me laissera pas choisir, chacune sa place.Mina : Annie, telle que je la vois sois elle t'aura sois elle causera ta perte !Je la regarde quelques minutes en buguant sur cette phrase avant de me décider à parler.- Ne dis pas n'importe quoi !Mina : Au fond de toi
♡When you love someone..♡_ Hey _...La fille de Thierry et Naïda est née ! Et elle est juste un rayon de soleil, je l'aime tellement, j'attendais impatiemment de l'avoir dans mes bras et c'est chose faite, je ne peux être qu'une femme comblée ! Je souhaite de tout cœur que ce souhait de chaque femme soit exaucé par le Tout-Puissant._Quelques années plus tard_- De quoi parlez-vous ici ?Mami : J'étais entrain d'expliquer à ce dernier que je ne croyais pas à l'amitié entre fille et garçon. - Ah !?Mami : Oui maman, explique-lui s'il te plaît que c'est carrément impossible. Je rigole. Ed : Mami tu es folle je te dis. Maman elle croit que Annie est amoureuse de moi. Je continue de rigoler et passe mon chemin, si seulement il savait. Mami : Mais maman, dis quelque chose non ? Je me retourne et Mami et Ed me suivaient.- Bon l'amitié entre Annie et Ed quand-même je n'y crois pas.Ed : Eh maman ?Mami : Voilà ce que je disais !Ed : Mais pourquoi vous n'y croyiez pas ?- C'est votr
♡There are days, I wake up and I pinch myself. You're with me, not someone else and I'm scared, yeah, I'm still scared ! That it's all a dream 'Cause you still look perfect as days go by. Even the worst ones, you make me smile. I'd stop the world if it gave us time 'Cause when you love someone, You open up your heart♡_ Hey _...- Thierry ?Thierry : Oui Naïda !- ...Thierry : Qu'est-ce qu'il y'a ?- ...Thierry : D'accord.- C
_ Hey Mes Darliiings _...Au moment où je sentis mes yeux réellement se fermer et ma respiration se couper, j'ai cru voir Thierry qui accourait vers moi..Qu'avais-je fait de ma vie ?Et d'un coup je respirai fortement en ouvrant les yeux..- OUF !Je me suis touchée le front.- C'ÉTAIT QUOI ÇA ?.. : Quoi quoi ça ?Je tourne direct ma tête vers la voix qui me paraissait complètement incohérente vu que je pensais m'être réveillée d'un cauchemar.- Maman
_ Hey _...Adam : Mais il fait quoi là ce fou ?On se retourne et il venait vers nous.Adam : Allons-y, on rentre dans la maison.Thierry : Pour le fuir ? Tu blagues Adam !- Tu sais que tu n'as rien à lui prouver, n'est-ce pas ?Thierry : Oui je sais.- Donc n'entre dans aucun de ses jeux s'il te plaît !Thierry : Ne t'inquiète pas.- Merci.Kola : Salut !Personne n'a regardé dans sa direction.Kola : Comment tu vas Naïda ?Thierry : Qu'est-ce que tu veux ?Kola : Je lui demande juste son état de santé, ce n'est pas la peine de monter sur tes grands chevaux.&n
_ Hey _...Thierry : Abekei tokodi ? Kanou tei ah ? (Comment faire ? N'est-ce pas l'amour ?)Je ne faisais que le regarder.Solange : Allah ka kanou to ! (Que Dieu préserve l'amour !)Nous : Amina !_ Dimanche, 12h56 _.. : Voilà !- Qu'est-ce que c'est ma tante ?T.Vicky : Quelqu'un m'avait dit de garder ça pour toi. C'est ton cadeau d'anniversaire, c'est bien demain ton anniversaire n'est-ce pas ?- Oui c'est demain.T.Vicky : Donc vas-y, ouvre-le.Elle souriait, j'ai regardé Thierry qui faisait pareil en levant les yeux au ciel pour fuir mon regard.- De la part de quelqu'un ?T.Vicky : Tu connais
_ Hey _...Poua : Naïda, va au moins écouter ce qu'il a à te dire. Ça ne te coûte rien ou je me trompe ?Ça te coûte quelque chose Naïda ?Non je ne pense pas mais je ne vois pas l'intérêt de l'entendre se justifier. Y'a-t-il un intérêt à cela ?Je me lève et le suis sur la terrasse.Thierry : Où sont les chaises ? Je vais les chercher pour que nous nous asseyons.- Ce n'est pas nécessaire si c'est pour ne parler que cinq minutes.Thierry : D'accord.- Je t'écoute.Thierry : Que penses-tu de mes fiançailles ?- Tu as droit au b
_ Hey _...- Mais il est où ce bonheur qui me fuit comme la peste ?Elle : Il ne te fuit pas. Il est près de toi, il est partout et il est surtout en toi. C'est à toi d'en prendre conscience et de le laisser agir.- Je t'aime.Je la voyais me sourire et me prendre dans ses bras quand brusquement je me suis réveillée. J'ai tourné les yeux dans tous les sens avant de me redresser sur le lit en recroquevillant mes jambes. Elle était là, juste près de moi, à me parler et à me faire sentir son amour et sa force qui ne me quitteront jamais. Je l'aime tellement !Elle veut que je tro
_ Hey _...J'entendais qu'on m'appelait mais je ne pouvais pas réagir. J'étais déboussolée.... : NAÏDA !- Qu'est-ce que tu veux encore Thierry ?Thierry : Je te demande juste si ce sac est joli.- Quoi ?Thierry : Penses-tu qu'elle l'aimera ?Je pensais qu'il se foutait de moi quand j'ai compris que ce n'était pas le cas mais que ce qui venait de se passer était de la pure imagination de ma part, j'étais toujours assise la main sous la joue.Je rêvais ou plutôt je faisais un cauchemar les yeux ouverts !Cette situation n'arriverait pas le moins du monde car je ne ferai rien de tel, aller m'imposer à lui maintenant alors qu'il a trouvé chaussures à ses pie