« Eh bien, ce n’est pas grave. » je raisonne. « On peut inventer notre propre histoire. Parfois, c’est la meilleure chose à faire quand les choses ne se passent pas comme prévu. »Elle semble toujours hésitante, alors je lui lance une des poupées que je tiens dans mes mains, la dirigeant vers la poupée qu’elle m’a donnée. « Hmm, es-tu une bonne sorcière ou une mauvaise sorcière ? » je dis dans la voix de la poupée, avec une tonalité ridicule.Le coin de la bouche de l’enfant se tord légèrement, puis elle baisse la voix à son octave inférieure et dit : « Je suis une mauvaise sorcière, bien sûr. »Je lève les mains de ma poupée, les tenant au-dessus de sa tête. « Aaaahhh, c’est une sorcière, c’est une sorcière ! Que faire ! Quelqu’un, aidez-nous ! »Au moment précis, un petit garçon s’avance et attrape une quatrième poupée. « Ne t’inquiète pas, je vais te sauver ! » Je souris, et peu à peu, les autres enfants se joignent à notre jeu d’imagination, jusqu’à ce qu’ils s’amusent tellement qu
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