Il la saisit par le bras et la projeta hors de la pièce ; son corps heurta durement le sol.
Cela ne lui était pas inconnu ; les adultes du foyer avaient l'habitude de la frapper. Elle ressentit un goût métallique dans sa bouche.
Elle essuya le sang sur ses lèvres et se redressa. Damien fut surpris ; une autre personne fragile aurait été terrifiée et se serait mise à pleurer, mais elle, au contraire, se relevait comme si elle en demandait encore.
Cela n'apaisa cependant pas sa colère.
« RETIRE CE PUTAIN DE PEIGNOIR ! »
L'Alpha, épuisé, n'avait pas dormi depuis deux jours en raison de ses obligations professionnelles. En tant qu'Alpha suprême des loups d'Europe, il devait gérer les affaires d'un continent tout en s'occupant également des affaires familiales.
Personne n'osait contester son autorité, et il se disait que son allure angélique ne changerait rien à cette réalité. L'atmosphère était lourde de tension, bien qu'il n'ait pas encore révélé le premier degré de sa colère.
Sans comprendre pourquoi, une petite voix intérieure lui signifia qu'elle se trouvait en danger et qu'elle devait se soumettre à la volonté de celui que tous appelle Alpha . La force de la déclaration de Damien l'avait paralysée.
Elle défie le vêtement et le laisse tomber. Laurie n'osait pas croiser le regard de l'homme et baissait les yeux vers le sol, honteuse, réalisant qu'il était un complet inconnu pour elle. Elle ne connaissait même pas son nom.
Elle remarqua la vapeur s'échappant de son corps, qui s'estompa progressivement alors qu'il s'avançait vers elle. Elle éprouva l'envie de reculer, mais un regard noir qu'il lui lança la stoppa sur place.
Il l'attira à lui en saisissant délicatement ses hanches, puis prit son visage dans ses mains et, doucement, exerça une pression sur ses lèvres. Damien n'avait jamais goûté des lèvres aussi douces, imprégnées d'un parfum envoûtant.
Sa colère disparaît instantanément. Il se sentit apaisé dès l'instant où il entra en contact avec sa peau. Il relâcha ses lèvres, essoufflé, et contempla la jeune femme de haut en bas, observant chaque courbe qu'il enregistrait dans sa mémoire.
Dieu créait véritablement des êtres d'une beauté exceptionnelle se dit-il . Son regard remontait jusqu'à la poitrine de Laurie.
Il était en totale extase face à cette silhouette harmonieuse, ses formes gracieuses, parfaitement proportionnées. Les traits de son visage révélaient une douceur angélique ; s'il devait dessiner un ange, il choisirait sans hésitation son visage, se dit-il en y réfléchissant.
La jeune femme ressentait une profonde gêne alors que l'homme n'hésitait pas à scruter son corps avec insistance. Elle détourna le regard afin d'éviter de croiser le sien.
Positionné derrière elle, il lui donna une légère tape sur la fesse, ce qui la fit sursauter. Il caressa ensuite l'endroit de l'impact, se rapprochant d'elle en l'enlaçant par le dos, puis mordilla son omoplate.
Il prit délicatement ses seins entre ses mains, jouant avec ses tétons, sa zone sensible, ce qui la poussa à se retenir de laisser échapper un gémissement.
Il lui déposait des baisers tendres dans le cou, tout en maintenant son attention sur ses tétons. Puis, il la poussa doucement sur le lit et ôta ses vêtements. Laurie, allongée, le regardait se déshabiller devant elle, en laissant son boxeur.
Ils soutenaient le contact visuel jusqu’à ce qu’il se penche pour couvrir son corps avec le sien. Il se concentre sur son cou, lui laissant un profond suçon, ce qui la fit produire un son dans un léger gémissement.
Damien souhaitait entendre encore ce son.
Il descendit le long de son corps, positionnant ses jambes de part et d'autre. Elle gémissait doucement, étouffant ses sons.
« Si tu étouffes ne serait-ce qu'un de tes gémissements, je te baise jusqu'au sang»
lui chuchota-t-il à l'oreille. La jeune femme se laissait aller, connaissant son statut de vierge. Elle savait que s'il était sur le point de la posséder durement, la douleur serait insupportable.
Damien promenait ses doigts sur sa cuisse, puis atteignit son intimité. Elle était humide, très humide. Il sourit, satisfait. Il avait donc de l'effet sur son corps.
Il souhaita insérer un doigt, mais l’exercice se révéla complexe. Elle était très tendue, et un léger frisson de gêne traversa son visage. Était-elle sérieuse ? C’était simplement un doigt. Soudain, une réalisation lui traversa l’esprit
« Ne me dis pas que tu es encore vierge ? »
La jeune femme devint particulièrement affolée. Comment avait-il pu le deviner ?se demanda-t-elle. Elle rougit de honte en évitant son regard.
« Ne me dis pas que tu es encore vierge ? »La jeune femme devint particulièrement affolée. Comment avait-il pu le deviner ?se demanda-t-elle. Elle rougit de honte en évitant son regard. KOKOKOKOKsauvée par le gong, se dit Laurie, car on frappait à la porte.il retira doucement son doigt d'elle, qu’il porta ensuite à sa bouche, le léchant comme s'il avait du chocolat sur les doigts.Laurie, silencieuse, était davantage excitée par cette scène. Il ouvrit la porte, mais ne trouva personne. Il prit alors le plateau déposé devant la porte avant de refermer celle-ci.Elle s'installa sur le lit, ressentant un profond soulagement. Elle prit le drap pour couvrir son corps nu, tout en observant l'homme charismatique et athlétique qui s'approchait d'elle. Ses muscles se contractaient et se relâchaient au gré de ses mouvements. « À ce que je vois, la vue te plaît » fit-il avec un ton taquin.Laurie, surprise par ce ton qu'elle pensait qu'il n'utilisait jamais, demeura silencieuse et dirigea
À l'issue de sa phrase, il l'embrassa avec ferveur, lui signifiant ainsi qui était aux commandes. À bout de souffle, il la lâcha et se laissa emporter par son parfum, plongeant sa tête dans son cou. À ce moment-là, Charlie fit son entrée dans la pièce.« Monsieur, nous allons être en retard.» Damien n'éprouvait aucune envie de la laisser , mais le devoir l'appelait.« Monte dans ta chambre et attends que Danie arrive. Vous pourrez aller faire du shopping ensemble.» La jeune fille acquiesça d'un signe de tête. Il quitta la pièce, la laissant sur la table. Laurie était déjà prête à sortir, ayant fait sa toilette et arrangé ses cheveux. Couchée sur son lit, elle se demandait à quoi ressemblait ce ou cette Danie. Une crinière blonde fit irruption dans sa chambre.POV DE LAURIE Elle criait d’une façon hystérique « No way!!!!!! Tu sens si bon, whaouuuu, tu es si belle !» Elle sautillait partout, tel un enfant qui a reçu exactement ce qu'il voulait pour Noël. « Heuuu, merci.» Elle m
Il saisit ses mains et les plaça au-dessus de sa tête pendant que les deux se fixaient dans les yeux sur le lit , lui la recouvrant de son corps. Sa poitrine entièrement dénudée, il embrassa son cou, mordillant et suçant sa peau qui se teintait d'une douce couleur rosée qu’il apprécie tant.Laurie ressentait une humidité croissante; son esprit et son corps étaient en totale désaccord, tandis qu'une petite voix intérieure lui murmurait sans relâche de se laisser aller.Elle avait parfois le sentiment qu'une autre personne vivait en elle. Il descendit doucement vers ses seins, sa main libre explorant son intimité.« Moon, tu es trempée. » Il lui chuchota sensuellement à l'oreille, puis il se mit à faire des cercles avec son doigt à l'entrée de son sexe, augmentant son impatience. Elle se demandait quand allait-il lui enfoncer son doigt?Il suçait toujours ses tétons, l'un après l'autre, les mordant parfois. C'en était trop, son visage était déjà tout rouge. Elle gémissait doucement.E
laurie ne l'écouta guère et se revêtit. Damien ne supportait pas qu'elle le défie de manière si publique, car Flora était présente. il ne dit rien et se concentre sur Flora. «Elle est très serrée ? Est-ce normal ?»«Oui, tout va bien, elle est simplement vierge.»Damien fut étonné de constater à quel point cette nouvelle le soulageait. Il fit la bise à Flora, après quoi elle sortit en prenant son sac, Damien la suivit, ignorant Laurie. Cette dernière, visiblement gênée, s'interrogeait sur ce que Flora faisait du respect du secret médical. Elle tenta de les suivre lorsqu'elle remarqua le sac d'Antonio. Elle s'approcha du sac et y découvrit une seringue ainsi qu'une fiole en verre contenant un liquide incolore. Elle dissimula ces objets dans un coin de la pièce. C'est alors qu'elle croisa Damien, qui semblait venir à sa recherche.Il la plaqua immédiatement contre le mur.«Tu m'as désobéi, et cette fois-ci en public.»Laurie ne répliqua pas, mais soutint son regard défiant. Son attit
Laurie soupire et se laisse guider vers la réception, tel un bœuf mené à l'abattoir. POV DE LAURIE Nous nous sommes arrêtés devant un bâtiment qui ressemble à une église. Au bras d'Antonio et sur les notes de la célèbre musique d'entrée de la mariée, je suis confiée à Damien.Peut-être que mon esprit me je me fais des idées, mais il me semble plus angoissé que moi.L'homme face à nous débute un discours plutôt singulier, tandis que Damien m'envoie discrètement un papier. « À genoux et lis-le. »Dit discrètement Damien qui espérait qu'elle lui obéirait sans poser de questions, car au moindre faux pats , Tous pourrais deviner qu'elle est humaine. même si Danie l'avait aspergé d'un parfum qui cachait son odeur d'humaine .À sa grande surprise, elle s'agenouilla et commença à lire. «Moi, Laurie Miller, fais le serment de loyauté et d'obéissance, ainsi que de fournir une descendance à l'Alpha suprême, Damien Colman. Je jure d'être à ses côtés jusqu'à ce que la mort nous sépare ou qu'il
« Dam...ien... arrête !!! » s'exclama-t-elle en éclatant en sanglots. Damien la lâcha brusquement, comme s'il sortait d'un rêve. Elle faisait une crise de panique.Dès que l'homme se détourna d'elle, Laurie se redressa et s'efforça de mettre de la distance entre eux.Damien était désemparé, tandis que la jeune femme tentait de retrouver son calme. Sa poitrine se soulevant et s'abaissant au rythme de sa respiration, tandis que des larmes coulaient sur ses joues. Ce spectacle fut particulièrement difficile pour Damien, qui sortit afin d'éviter d'assister à la scène. Une fois seule, Laurie parvient à se calmer. Elle savait qu'elle devait s'échapper par tous les moyens, car qui sait, la prochaine fois, il pourrait ne pas s'arrêter. Le lendemain matin, elle se réveilla sans aucune nouvelle de Damien. Elle retourna seule dans la forteresse qu'est la maison de Damien Colman, après avoir pris un café avec Danie, Matie et Sam. Elle avait fait tout son possible pour dissimuler ses émotions
«Que veux-tu dire par 'si je survis' ?»Laurie ne comprenait toujours pas, tout semblait lui paraître incompréhensible.- Oui, c'est notre mate.De quoi parles-tu ? Se dit Laurie intérieurement- Écoute-le, permets-lui de te marquer. Il me libèrera de ses entraves, et nous pourrons enfin nous unir.«Quoi ?»Laurie ne reçoit aucune réponse de cette voix. Était-elle possédée par un esprit ? Car elle avait parfaitement conscience que cette voix ne lui appartenait pas.« Ne m'interromps pas lorsque je parle . »Laurie acquiesça simplement pour signifier qu'elle avait compris.Elle ne pouvait lui dire qu'elle ne s'adressait pas à lui, mais à cette voix qui parle dans sa tête.Antonio, de son côté, observait la scène, secouant la t&eci
Cela faisait deux jours que Laurie était allongée dans ce lit, immobile et ne respirant que grâce à la machine. Antonio n'espérait plus rien.Il observait la jeune fille, qui semblait simplement endormie, mais la réalité était bien plus tragique. Restera-t-elle ainsi, reliée à ces appareils de manière indéfinie ?« Dire qu'elle avait commencé à le transformer »remarqua Flora, assise sur les genoux de son mari.« Je ne l'avais jamais vue comme ça »répondit son mari« C'est elle qu'il a attendu toute sa vie. Damien a tant souffert; j'espérais qu'elle guérirait ses blessures.»Flora jeta un regard empreint de tristesse à son mari avant de l'embrasser.Au même moment, Laurie se mit à tousser. Les deux amants se lev&egrav
C’est donc ce qu’on ressent quand on est avec sa mate. Elle sera à lui.«Tu en avais donc envie aussi ? Je ne suis pas sûre que ta petite amie apprécie cela.»Elle était toujours contre lui, jouant avec sa cravate du bout des doigts. Il la tenait à la hanche. Il appréciait qu'elle soit jalouse, cela montrait qu'elle ressentait quelque chose pour lui.«Ton patron non plus.»Ils se lâchèrent rapidement en entendant le raclement de gorge de Laurie. Matie lança un regard meurtrier à son frère, tandis que Laurie en lança un à son amie pour lui demander , Mais qu'est-ce que tu fous ? Après le déjeuner, elles décident de faire un tour à l’orphelinat. Chose étrange, Charlie décide de les accompagner.Une fois au foyer, Laurie était complètement perdue ; tout semblait nouveau . L'orphelinat ne ressemblait pas à ça. Sam comprit qu'elle n'avait aucune idée de ce que Damien avait fait.« C’est ton milliardaire possessif qui a fait tout ça. »il demeurait une énigme à part entière. Pourquoi agi
« Alors tu ne travailleras pas du tout. » dit-Damien, les traits du visage durcis, il avait trouvé une solution dans laquelle tout le monde y gagnait son compte Mais madame n’était toujours pas satisfaite et cela commençait à sérieusement l’agacer.«Ce n’est pas juste, tu ne peux pas m'obliger à travailler pour toi, je trouverai un autre boulot ailleurs.»«Fais-toi plaisir, je te garantis que je ferai en sorte que tu n’obtiennes pas un seul entretien sur tout le continent. » Remettant son costume en place, il emprunta la sortie. Laurie poussa un cri de colère. Pourquoi avait-elle dû tomber entre les mains de cet homme macho et possessif ?Elle s'installa sur le petit canapé. Le téléphone qu'elle avait acheté avec la carte de Damien retentit , c'était Matie.« Nous nous rendons à l’entreprise de Damien. Je ne pense pas qu’il se laissera duper, » affirma Matie en lançant un regard à la fausse Laurie qu'elles avaient engagée ce matin. Grâce aux talents de maquillage de Matie et à d
Dans l'ascenseur, Damien la fit descendre.Les deux passèrent dans le hall alors que tout le monde les dévisageait.Dans la voiture, Damien contrôlait sa colère.« J'ai d'autres entretiens à passer. » « Putain, mais tu veux que j'explose ? Tu m'as désobéi, Laurie. Tu veux être punie, c'est ça ? » Laurie pensait qu'ils étaient passés au-dessus de toutes ces choses ; il n'allait pas contrôler sa vie de cette façon.« Damien, fais ce que tu veux, mais j'aurai un travail. » « Laurie, qu'est-ce que tu ne comprends pas ? Avec un boulot, tu cours trop de risques en sortant chaque jour et en te rendant à un lieu bien précis. Même si tu as des gardes, les risques sont toujours énormes. » « Eh bien, la vie est faite de dangers. Ce n'est pas pour autant qu'on arrête de vivre. » Elle était tellement bornée qu'il allait lui faire passer l'envie de chercher un emploi.Laurie était déjà dans le dernier cabinet. Comme dans les deux précédents, on lui disait qu'ils avaient déjà embauché quelqu
Il y avait un moment propice pour chaque chose, et pour Laurie, c'était le moment de se lever afin de se préparer pour ses entretiens, sans oublier sa pièce maîtresse.Elle en profita du fait que Damien était sous la douche pour utiliser son téléphone et appeler Matie, qui était sûrement encore endormie. « Allô ?» « Oui, qui est à l'appareil ?» répondit la femme aux cheveux bouclés d'une voix encore ensommeillée. « C'est Laurie, tu peux passer à la maison aujourd'hui, j'ai besoin de ton aide.»Matie leva les yeux au ciel. Cette fille pensait vraiment que les autres n'avaient rien à faire de leur vie, qu'on était là, sur pause, attendant de la servir. À peine sa réflexion terminée, Laurie ajouta « Bien sûr, si tu n'as pas de projet pour aujourd'hui.» « Viens prendre ton bain avec moi moon!!! »Matie pouvait entendre la grosse voix de Damien, ce qui l'énerva encore plus, en se disant qu'elle aurait p
Stella avait vécu des montagnes russes ces derniers temps, entre Damien qui lui disait qu'elle était la dernière merde du monde et Alexander qu'elle a dû cacher et soigner chez elle, mettant sa propre vie en danger.Sans parler d'Esmeralda, qui n'est nulle autre que la mère d'Alexander, le cerveau derrière tout ce qui s'était passé.Elle n'y croyait toujours pas et se demandait si Matie était au courant de tout ça ; elle ne tarderait pas à le savoir. Matie la cherchait des yeux dans un café en terrasse. D'un signe de la main, Stella déclina sa position. Mati s'assit en face d'elle. Stella était épuisée, elle ne dégageait aucune énergie.Elle avait besoin de cette sortie, de s'éloigner de ce monde, loin de tout, dans cette forêt où ce qui relève des films fantastiques pour les humains est bien réel.«Stella, ça va ?» Cela faisait longtemps que personne ne lui avait posé cette question.«Oui. » Elle r
Alexander et Romano pénétraient dans la pièce après un couloir où, de part et d'autre, il y avait des portes. Ils s'arrêtaient devant une en particulier, la 420. Il ouvrit celle-ci et derrière elle, il y avait les hommes de Romano. Ceux-ci n'y avaient pas cru lorsque Alexander leur avait dit que leur Alpha était toujours en vie. Ils étaient venus à ce rendez-vous pour s'en assurer de leurs propres yeux. En effet, grâce au contact de sa mère, Alexander avait trouvé Romano dans un piteux état dans un hôpital aux États-Unis. Elle l'avait fait rapatrier en Espagne, d’où elle est originaire, où il a reçu les meilleurs soins à ses frais.Tout ça pour ce seul moment. Ses hommes reconnurent son odeur et coururent l'embrasser. Ce masque qui couvrait son visage attira la curiosité de tous.Mais personne n'osa demander.«È bello rivederti, Que c'est bon de te revoir, »lui dit son Omega en le prenant dans ses bras. «Sai benissimo
Une fille sortie de nulle part, en plus une simple humaine, ne viendra pas l’arracher à elle.Juliette savait que Matie l'aiderait étant donné qu'elles s'entendent super bien et Matie semblent ne pas vouloir que son frère ait une relation avec cette humaine . ***********************************************Sans surprise, Laurie s'ennuyait à ne rien faire dans la maison. Cerise sur le gâteau, Esmeralda était absente, sûrement avec son petit copain mystérieux.Il n'y avait vraiment pas d'âge pour ce genre de choses. Ce soir, elle lui ferait cracher le morceau se disait elle.Laurie passa devant le bureau de Damien et constata qu'il était ouvert. Elle y entra d'abord, ne sachant pas vraiment pourquoi.Puis, en apercevant l'ordinateur, elle eut une idée ; de toute façon, elle n'avait pas besoin de l'accord de Damien pour trouver un emploi.Il ne pouvait pas la priver de travailler. Elle rédigea son CV et l'envoya à plusieurs cabinets, même à celui où elle était censée travailler avant qu
Damien devait présenter Laurie de façon officielle au monde des loups, c'est-à-dire à tous les Alphas suprêmes. C'était même l'un des points de ce sommet. En vérité, c'était comme montrer son point faible à tous ses potentiels ennemis.Mais ils l'avaient tous fait, en tout cas ceux qui avaient une Luna. C'était à son tour maintenant.Il devait aussi la présenter à ses Alphas secondaires, ce qui lui demandait de faire le tour de tous ces clans avec elle. Mais une chose à la fois. Il devait reprendre le boulot. Avec tous les événements antérieurs, il avait laissé beaucoup d'affaires s'empiler.Charlie et lui croulaient sous le travail ; une aide ne leur serait pas de refus.Charlie devait faire les entretiens aujourd'hui pour trouver un deuxième assistant. En réalité, cette personne serait l'assistant de son assistant.Comme à son habitude, il se préparait pour le boulot. « Pas besoin de te dire que tu as interdiction de quitter la maison.» Dit-Damien alors qu'elle lui nouait sa cr
Comme tout le monde le pensait, Damien était en colère. « Je m'absente quelques heures et regardez le bordel que je viens trouver.» Ces nouvelles révélations confirmèrent les soupçons de Damien quant au fait que Matie soit la mate de Alex ; il comprenait toutes les actions de Matie, elle était poussée par la jalousie. Personne ne parlait, ni même ne bougeait. «Comment, putain, a-t-il su que les corps sortaient du clan aujourd'hui si personne ne lui a dit ? » Des yeux il fit le tour des personnes présentes et continua en disant «cette personne va gentiment se désigner. Ne m'obligez pas à torturer chacun d'entre vous jusqu'à ce que je le ou la trouve.» Tous déglutissent. Esmeralda, dans sa cuisine, pouvait parfaitement entendre tout ce qui se passait, un sourire sur ses lèvres. La paranoïa commençait à s'installer. Il n'y a rien de pire pour un souverain que de ne pas savoir qui sont ses ennemis et ses amis. On finissait par voir le danger partout ; à punir les innocents, tou