Charlotte, avec un sourire malicieux aux lèvres, s'avança vers le lit avec une grâce sensuelle. Chaque pas était une promesse, chaque mouvement une invitation. Samy sentit son cœur s'accélérer. Il ne put réprimer un soupir d'admiration en voyant sa femme se dévoiler ainsi. Charlotte monta lentement sur le lit, s'approchant de lui avec une lenteur délibérée, savourant chaque seconde.— Tu es magnifique," murmura Samy, ses yeux brillant de désir et de tendresse. Charlotte répondit par un sourire radieux, ses yeux pétillant de la même émotion.— Je voulais te faire plaisir," répondit-elle doucement, sa voix à peine audible, mais chargée de promesses. Elle se pencha vers lui, leurs visages si proches que leurs souffles se mélangeaient. Samy leva une main tremblante pour caresser la joue de Charlotte, savourant la chaleur de sa peau sous ses doigts.Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser tendre, puis de plus en plus passionné. Samy sentit une vague de chaleur l'envahir, chaque baiser
John se leva brusquement, se dirigea vers la douche, et laissa l'eau froide calmer son esprit et son corps en ébullition. Pendant ce temps, Mariam se rendit au salon et s'allongea sur le canapé, espérant grappiller quelques minutes de sommeil supplémentaires. Elle soupira profondément, le poids de la fatigue pesant lourdement sur elle.Dans la cuisine, Jessica avait terminé les tâches ménagères et se concentrait désormais sur la préparation du petit déjeuner. Elle avait déjà mis les pains à griller lorsqu'elle entendit son téléphone sonner. Elle jeta un coup d'œil à l'écran et vit que c'était Éric. Elle hésita un moment, puis décrocha.— Salut, Éric. Je suis un peu occupée là, je te rappelle dès que je peux," dit-elle rapidement avant de raccrocher. Elle se retourna pour vérifier les toasts, une pensée furtive traversant son esprit sur la nature de l'appel d'Éric. Peut-être voulait-il simplement prendre de ses nouvelles, ou peut-être avait-il quelque chose d'important à lui dire. Mais
Jessica aidait sa sœur à organiser les documents dans le bureau. Elle était concentrée sur sa tâche lorsqu'elle sentit son téléphone vibrer. C'était un message d'Éric, lui faisant savoir qu'il était déjà arrivé au restaurant. Jessica lut rapidement le message et répondit, demandant à Éric de patienter un peu. Elle savait qu'elle ne pouvait pas sortir du bureau sans avoir fini ce qu'elle faisait. Plongée dans ses pensées, Jessica fut surprise de voir Carine, la sœur de John, entrer dans le bureau. Mariam se leva pour accueillir sa belle-sœur et échanger quelques mots avec elle. Après les salutations, Mariam présenta Jessica à Carine, et cette dernière s'installa confortablement dans une chaise.— Merci d'être venue, Carine," dit Mariam, l'air visiblement tendu.— Pas de souci, Mariam. Tu avais l'air préoccupée au téléphone. De quoi voulais-tu me parler ?" demanda Carine, son ton trahissant une pointe de curiosité et d'inquiétude.Profitant de la présence de Carine, Jessica s'éclipsa d
Jessica alla prendre son téléphone, et, sans s'en rendre compte, en raison de la petite jupe qu'elle portait, elle attira l'attention de John. Il ne pouvait détourner ses yeux de ses jambes et de sa silhouette. Ses pensées devinrent rapidement inappropriées, et il se perdit dans ses fantasmes. Chaque mouvement de Jessica semblait exacerber son désir. Ses yeux suivaient avidement la courbe de ses hanches, la manière dont sa petite jupe moulait ses formes. Les fesses de Jessica bougeaient avec une grâce sensuelle à chaque pas, captivant son regard et enflammant son imagination.John se laissait aller dans ses pensées, se perdant dans des images de moments interdits avec Jessica. Il imaginait ses mains caressant sa peau douce, ses lèvres effleurant son cou. Ces pensées l’envahissaient, le rendant presque aveugle à tout le reste autour de lui. Son cœur battait plus fort, et il sentait une chaleur monter en lui.Jessica, concentrée sur son téléphone, était inconsciente de l'effet qu'elle
Ils rejoignirent Mariam dans la salle à manger et, sans plus tarder, commencèrent à se régaler. John tenta de rompre le silence en complimentant Mariam sur le dîner. "Le dîner est délicieux, Mariam. Tu as surpassé tes talents de cuisinière ce soir."Mariam sourit, un peu soulagée de ce compliment. "Merci, chéri. Mais c'est Jessica qui a préparé la plupart des plats. Je n'ai fait que superviser."Jessica, un peu gênée mais flattée, ajouta : "Merci, John. J'ai juste suivi les recettes de maman."Résidence de Samy...Charlotte était de garde à l'hôpital. Samy, après une longue journée de travail, décida de chauffer le repas que Charlotte avait préparé pour lui avant de partir. La cuisine embaumait de délicieux arômes, et il se réjouissait de déguster la sauce préférée que Charlotte lui avait préparée avec amour. Alors qu'il s'apprêtait à manger, son téléphone sonna. Il sourit en voyant le nom de Charlotte s'afficher et décrocha immédiatement.— Allô ! Ma reine.— Oui, mon chéri. J'étais
Résidence de Carine (belle-sœur de Mariam)...Après le dîner, les enfants s'étaient retirés dans leurs chambres. Carine, prête à passer une agréable soirée avec Paul, s'était soigneusement préparée. Mais en entrant dans la chambre, elle trouva Paul déjà couché, visiblement épuisé.S'approchant de lui doucement, elle commença à le caresser. Paul bougea légèrement, ouvrant les yeux à moitié. "Je suis vraiment fatigué, Carine," murmura-t-il, espérant qu'elle comprendrait.Mais Carine n'était pas d'humeur à accepter un refus. Continuant ses caresses, elle se pencha pour l'embrasser, mais Paul détourna la tête. Frustrée, Carine s'exclama : "C'est quoi ton problème, Paul ? Si ce n'est pas que tu es fatigué, c'est que tu ne me satisfais pas. Ou alors, tu as trouvé quelqu'un d'autre ?"Paul soupira. "Carine, arrête s'il te plaît. Je suis juste fatigué. Je n'ai pas envie de me disputer ce soir. Merci de comprendre."Sur ces mots, Paul se retourna et ferma les yeux, s'efforçant d'ignorer les pr
Éric, en proie à son propre plaisir, jouit devant la caméra, puis reprit la parole, le souffle encore court : "Jessica, j'ai vraiment hâte de te savourer. J'ai envie de caresser tes beaux seins, les sucer, titiller et les téter comme un bébé. J'ai tellement envie de pénétrer ta belle chatte avec ma langue pour t'allumer comme il le faut avant de te prendre en levrette et te donner une bonne leçon. Tu me rends fou de désir."Jessica, emportée par l'intensité de ses mots, répondit en haletant : "Moi aussi, j'ai envie de me faire sauter par toi. Je veux vraiment voir de quoi tu es capable et je serai ravie que tu me fasses planer. Depuis que je suis venue habiter chez ma grande sœur, je n'ai pas encore senti une chaude bite au fond de ma chatte et ça me manque terriblement."Éric, un sourire espiègle sur les lèvres, rassura Jessica : "Ne t'inquiète pas, ma beauté, tu seras bientôt servie."— Bon, je vais te laisser te reposer, le sommeil m'appelle déjà," dit Jessica en étouffant un bâill
Après un moment, Jessica se leva et entra à l'intérieur du restaurant. Éric, intrigué, sirotait son jus quand il reçut un message de Jessica : "As-tu apporté les préservatifs ?" Éric répondit par l'affirmative, et elle lui envoya un autre message, cette fois-ci plus explicite : "Rejoins-moi dans les toilettes des hommes."Sans plus tarder, Éric vida son verre et se dirigea vers les toilettes, le cœur battant à tout rompre. Éric entra dans les toilettes des hommes. La lumière tamisée et le silence pesant accentuaient l'excitation de ce moment interdit. Jessica, appuyée contre le lavabo, lui sourit en le voyant arriver. Elle avait un éclat dans les yeux qui trahissait à la fois son désir et son impatience.— Ferme la porte derrière toi," murmura-t-elle, sa voix basse et sensuelle.Éric obéit, verrouillant la porte pour éviter toute interruption. Il s'avança vers Jessica, sentant l'adrénaline monter en lui. Ils échangèrent un regard brûlant avant de se jeter l'un sur l'autre, leurs lèvre
Chez la mère de Mariam…En arrivant chez la mère de Mariam, John et Samy furent accueillis par un lourd silence. La mère de Mariam, une femme digne et forte, les fit entrer dans le salon. Mariam était assise là, les yeux rouges de larmes.Samy avait pris siège après avoir échangé quelques mots avec Mariam et la mère de Mariam s'adressa à John qui était resté debout. — Assieds-toi, John, dit-elle d'une voix ferme.John obéit, incapable de soutenir le regard de sa femme.— J'ai demandé à ce que tu viennes avec Jessica où est elle ? Demanda la mère de Mariam. — Elle a quitté la maison ce matin sans que je ne le sache. C'est après m'avoir apprêté pour venir que j'ai remarqué qu'elle n'était plus dans sa chambre. .— Ok, John, Mariam m'a tout raconté. Comment as-tu pu faire ça à ma fille ? s'exclama-t-elle.— Je suis désolé maman, vraiment désolé. Je ne sais pas ce qui m'a pris. J'ai tout gâché et même si je sais que je ne mérite pas votre pardon, je veux quand même vous demander de trou
Quelques heures plus tard…Mariam, épuisée et désespérée, arriva enfin chez sa mère. Sa mère ouvrit la porte et fut immédiatement alarmée par l'état de sa fille.— Mariam, ma chérie, qu'est-ce qui se passe ?Mariam s'effondra dans les bras de sa mère, pleurant de tout son cœur.— Maman, je... je ne sais pas par où commencer. John... et Jessica... ils m'ont trahie.Sa mère la serra plus fort, tentant de lui apporter un réconfort dont elle avait désespérément besoin.— Chut, mon ange, tout ira bien. Nous allons traverser cela ensemble. Parle-moi, dis-moi tout.Entre les sanglots, Mariam raconta à sa mère toute l'horreur de la situation. Sa mère l'écouta attentivement, la colère et la tristesse se mêlant dans ses yeux.— Ma pauvre chérie, je suis tellement désolée. Tu ne mérites pas ça. Mais sache que je suis là pour toi, et que nous allons trouver une solution.Mariam essuya brusquement ses larmes, laissant transparaître une rage intense dans ses yeux.— Maman, de quelle solution parles
Les mots sortirent de la bouche de Mariam avant qu'elle ne puisse les retenir. John, qui était en pleine action, se détacha immédiatement de Jessica, son visage exprimant une panique totale. Jessica, elle, attrapa rapidement un drap pour se cacher, les larmes commençant à couler sur ses joues.— Mariam, ce n'est pas ce que tu crois, balbutia John, incapable de trouver les mots pour justifier l'injustifiable.— Oh mon Dieu... murmura Mariam, les larmes brouillant sa vision. Comment avez-vous pu ?Elle recula, horrifiée, sa main tremblante couvrant sa bouche. La douleur de la trahison l'envahissait, son monde s'écroulait autour d'elle. Jessica, sanglotant, ne parvenait pas à lever les yeux vers sa sœur.— Je... je suis désolée, Mariam... bredouilla Jessica entre ses larmes.— Désolée ? Désolée ne suffit pas ! cria Mariam, la voix brisée par l'émotion.La trahison de son mari et de sa sœur était plus qu'elle ne pouvait supporter. Sentant la pièce tourner autour d'elle, elle se précipita
Quelques jours plus tard...Les cérémonies de purification avaient été faites. Carine ne risquait rien et Paul commençait à retrouver la santé, bien qu'il doive encore passer du temps à la maison pour récupérer pleinement. Il était tombé dans le coma et avait subi une paralysie temporaire, mais les signes de guérison étaient encourageants. Cependant, il ne devait plus partager le même toit que Carine. Elle ne méritait plus de porter son nom. Le divorce fut donc prononcé. Malgré tout, par amour pour Carine et en reconnaissant sa part de responsabilité dans ce qui s'était passé, Paul ne la priva pas de tous ses biens.Carine regrettait amèrement ses actes, mais elle ne pouvait plus réparer les dégâts. Elle alla résider dans l'appartement qu'elle avait loué pour Charly et coupa tout lien avec celui-ci. Elle avait tout perdu, même si elle conservait une part de ce que Paul lui avait laissé. Elle savait que les choses ne seraient plus jamais les mêmes. Elle passait son temps à pleurer, se
John et Jessica s'embrassèrent passionnément, leurs lèvres se cherchant avec urgence. John fit glisser les bretelles de la robe de Jessica, la dévoilant petit à petit. Elle gémit doucement lorsque ses mains expertes caressèrent sa peau nue. En réponse, elle se débarrassa rapidement de sa chemise, révélant son torse musclé.Jessica allongée sous John. John l'embrassa fougueusement, ses mains explorant chaque courbe de son corps. Il se positionna entre ses jambes et, d'un mouvement fluide, entra en elle. Jessica poussa un cri de plaisir, ses ongles s'enfonçant dans son dos.— Oh, John... ne t'arrête pas, supplia-t-elle, ses hanches se soulevant pour le rencontrer à chaque coup.John accéléra le rythme, leurs corps s'accordant parfaitement. Mais rapidement, ils eurent besoin de plus d'espace. Sans un mot, il la prit par la main et la guida vers la chambre d'amis.— Viens, dit-il avec un sourire en coin, on sera mieux ici.Une fois dans la chambre, ils ne perdirent pas de temps. Jessica s
Malgré la passion et le plaisir, une ombre de culpabilité commençait à se former dans l'esprit de Carine. Paul était de retour à la maison, et elle savait que ce qu'elle faisait était risqué, mais l'attrait de Charly était trop fort. Elle se demandait combien de temps encore elle pourrait jongler entre son désir et sa culpabilité sans que tout ne s'effondre. Mais ce qu'elle ignorait, c'était que la vérité fera surface dans pas longtemps. Quelques semaines plus tard, la passion interdite entre John et Jessica s’était intensifiée au point où Jessica négligeait complètement Éric. Éric, qui avait développé de forts sentiments pour Jessica, commençait à ressentir l’impact de ses absences répétées et de ses excuses constantes. Même s’il essayait de comprendre, ses doutes grandissaient. Jessica prétendait se concentrer sur ses études, mais la vérité était bien différente.Mariam, quant à elle, ne soupçonnait rien. John, qui ne la dérangeait plus autant avec ses besoins sexuels, avait réussi
Jessica et John étaient allongés dans le lit de Jessica, leurs respirations lourdes encore rythmées par les récentes vagues de plaisir. Tout d'un coup, Jessica se leva précipitamment et se dirigea vers les toilettes. Enfermée dans la petite pièce, elle commença à réfléchir à ce qu'elle venait de faire, les émotions se bousculant dans sa tête.— Oh mon Dieu, qu'est-ce que j'ai fait ? Pourquoi je me suis laissée aller ? C'est le mari de ma grande sœur après tout. Qu'est-ce que je vais faire maintenant ?Jessica se regardait dans le miroir, son visage exprimant la confusion et le regret. Elle resta un moment dans la salle de bain, tentant de rassembler ses pensées. Finalement, elle se résolut à sortir, espérant que la réalité n'était qu'un mauvais rêve. Mais en retournant dans la chambre, elle ne vit plus John. L'espace vide lui confirma que tout était bien réel.John, de son côté, s'était dirigé vers le frigo pour prendre un jus de fruits. Assis dans le sofa, il sirotait son verre en pe
Les jours passaient lentement depuis cet échange de baisers entre John et Jessica. Cette dernière faisait de son mieux pour éviter John, sentant que cette connexion naissante devenait de plus en plus difficile à ignorer. John, quant à lui, ne cessait de se plaindre à Mariam de ses envies sexuelles insatisfaites. Mariam, malgré ses efforts pour satisfaire son mari, se sentait de plus en plus oppressée par ses demandes incessantes.Jessica, de son côté, continuait de voir Éric, mais leurs rencontres se limitaient désormais aux motels et auberges, loin de la maison. Dine, l’ami d’Éric, n’arrêtait pas de harceler Jessica pour qu’elle cède à ses avances, ce qui causait fréquemment des disputes entre Éric et lui.John était devenu de plus en plus incapable de se contrôler face à Jessica. Il évitait délibérément de rester seul avec elle lorsque Mariam était absente, de peur de céder à ses désirs.Chez Carine, la situation était également complexe. Depuis le retour de Paul, son mari, Carine l
Résidence de John...Le nouveau jour s'annonçait avec les beaux rayons de soleil. Jessica s'était déjà réveillée et préparait le petit déjeuner lorsque Mariam se leva pour aller l'aider. Mariam avait toujours du mal à croire que John ne l'avait pas du tout dérangée à propos de ses envies sexuelles. La nuit dernière, il ne l'avait pas touchée et ce matin, après lui avoir fait un bisou matinal, il ne lui avait rien dit avant de se concentrer sur son ordinateur portable.Le petit déjeuner était déjà prêt et Jessica retourna dans sa chambre pour aller s'apprêter. Mariam ne voulait pas partir rapidement au restaurant et suggéra à Jessica de se dépêcher pour que John puisse la déposer à l'université avant de se rendre au boulot.Mariam avait déjà tout préparé dans la salle à manger. Elle était assise dans le sofa du salon lorsque John descendit avec son sac à la main. — Mon mon amour, dit Mariam avec un sourire.— Oui ma chérie, répondit John en l'embrassant sur le front. Est-ce que tout e