- Ndeye Hawa,mais...mais ça fait combien de temps je ne t'ai pas vue?
- tchiip regardez moi celui là.
J'ai rigolé.
- comment vas tu? Ça bouge?...dis je.
En me faisant la bise...
- oui ça va et...
Soraya: HAIIIII ne touche pas mon papa.
J'ai regardé ma fille pendant que Hawa partait dans un rire fou.
Hawa: ah bon? Ok ok ma puce je ne vais plus toucher ton papa, fini la jalousie maintenant.
Les autres la regardait méfiants mdrr ils sont comme ça ces enfants.
Hawa: c'est tes enfants ?
- mais oui euil.
Hawa: t'as vraiment travaillé mon ami, ils sont tous beaux mancha'Allah.
- grâce à ma femme.
En s'asseyant...
- vraiment,allez viens mon grand.
Brehima : Alhamdoulila, tu as eu une fille avant mais toi et ton mari vous ne m'avez rien dit, j'espère juste que ta fille sera moins pouffiasse que sa mère et sa grand-mère.Choqué ? On l'était tous!Tout le monde le regardait et j'avais vraiment peur de tomber sur le regard de ma mère donc je faisais tout mon possible pour ne pas la regarder.Marine: c'est quoi pouffasse ?J'avais tellement mal quand ma fille à prononcé ce mot,elle n'a que trois ans...En fait ma fille,elle s'appelle Seida Marine Doumbia,elle porte le prénom de ma tante,la grande sœur de maman mais elle est décédée il y'a très longtemps...Elle n'a pas vécu longtemps. Normalement c'était à mon mari de choisir le prénom de l'enfant mais il m'a dit de le faire puisque pour lui,primo c'est moi qui ai enduré 9mois
C'est le visage inondé de larmes que je garais mal devant la propriété de mon frère et je ne sais vraiment pas par quel miracle j'ai pus arriver ici saine et sauf sans même une petite égratignure quelque part sur mon corps.J'ai ouvers la voiture et sans même prendre la peine de fermé la portière,je suis sortis et en sortant une de mes tapettes s'est échapper de mon pied et comme avec la porte de la voiture,je n'ai pas pris la peine de me retourner pour la porté....Ce qui m'emmène ici est plus grave que de porter une simple chaussure, je suis même sur le pont de devenir folle.- c'est fini Yas,tu as tué la mère de ton mari,la police est à ta poursuite, profites des quelques minutes de liberté qui te restent puisque tu auras très bientôt les deux mains menottées... voilà ce que la petite voix dans ma
Cheikh : du mal? Comment ça je te fais du mal...Au même moment sa secrétaire à frappé à la porte avant d'entrer après qu'il lui ait dit de le faire.-monsieur les autres vous attendent dans la salle de réunion.- j'arrive ! Réponds Cheikh en regardant sa femme qui cachait ses larmes à la secrétaire de son mari.Un dernier regard après, il est sortit quelques secondes après sa secrétaire et Assia,elle a séché ses larmes puis cinq minutes plus tard elle est sortit.- excusez moi du retard! Dit elle en s'asseyant près de son mari malgré elle.Cheikh : Je vous présente Ndeye Hawa Fall,elle est juriste et elle va nous aider consernant l'affaire de mr Diarra.....(...)• oui Allô !
***Pdv de l'auteur...- c'est qui la fille avec qui il est venu ?...disait Antou,la cuisinière.Fatima: je ne sais...passe moi le plateau s'il te plaît et...Antou: tchiip Fatima relaxe,va prendre une douche et habit toi bien.Fatima: tu sais très bien que je ne peux pas Antou,c'est d'ailleurs impossible même si je veux.Antou: ton mari est là, elle pourra rien te faire...Fatima : mdrr c'est ce que tu crois...en fait quand Mountaga est là c'est encore pire mais bon c'est la vie, je fais avec. Quand je vais mourir tout va finir, je pourrais enfin me reposer...ny'a aura ni ma grande sœur ni ma belle-mère et encore moins Moun...taga.Antou: et tes petites sœurs ? Qu'est-ce qu'elles seront ?Fatima: Dieu est là, Il va les protéger contre notre gran
***Boushra...Le sommeil commençait à me gagner quand soudain j'ai sentis un poids sur moi puis des baisers sur mon corps. J'ai décidé de laisser mes yeux fermés pour lui faire croire que je dormais mais c'était mal lui connaitre pourtant moi j'ai envie de rien aujourd'hui. Je suis tellement fatiguée que même mes pieds ne peuvent pas me porter.Ousmane : tu dors?J'ai ouvers légèrement les yeux.Ousmane : je pensais à toi toute la journée...Boushra: s'il te plaît Oussou je suis fatigué je te jure...Ousmane: mais j'ai envie de toi bébé.Boushra: moi j'ai pas envie please,je veux dormir.Il m'a regardé un moment avant de se coucher.Boushra: te fâche pas s'il te plaît, je te jure
***Assia...Après plusieurs minutes d'hésitation, je suis sortis de la chambre des garçons qui dorment sans oublier d'éteindre la lumière puis ensuite je suis partis retrouver mon grincheux de mari au salon.Si ce n'est pas pour ce que je veux lui demander je n'allais jamais m'asseoir à côté de lui. D'ailleurs je me demande ce qu'il a ses derniers jours, il n'est pas colérique malgré la disparition des 100 millions et il il se fou de moi,c'est-à-dire il ne me saoul plus trop,ce qui me plaît énormément.En plus il ne dort plus dans ma chambre,il prend juste sa douche et il sort, il part dormir dans une autre chambre et limite il ne m'adresse pas la parole si c'est pas pour me demander quelque chose dont il a vraiment besoin, wallah Cheikh est fou,hier même il m'a dit de ne pas me fatiguer pour lui faire &ag
- qu'est...qu'est-ce qui ne va pas Fatima pourquoi tu pleures...dit Assia en s'approchant de moi les sourcils froncés.Elle dépose ensuite sur le lit le pyjama qu'elle a emmener puis me fait asseoir sur le lit pour ne pas que je tombe vu que je tremble comme une feuille.Après elle prend le téléphone poser sur le lit et le regarde.Assia: c'est...je crois que Mountaga t'appelle, tu as des appels manqués de lui et...- je ne veux pas lui parler...dis je presque en criant.Fatima: il va...je ne devrais pas emmener mon téléphone ici,il va me retrouver grâce à ça et...sniiif...ensuite il...Assia: respire un peu, pourquoi tu as si peur de lui quand tu parles? Tu as presque le souffle coupé.Je reste silencieuse mais je tremble toujours.Assia: allez parle, tu peux tout me dire. Libère toi,pleure même si t'en
***Pdv de l'auteur...Il sonnait 07h00 dans tout Bamako!Chacun se préparait déjà pour ses nombreuses préoccupations. D'autres pour le boulot,d'autres pour leur petits commerce de vente,les étudiants qui avaient cours les samedis se précipitaient déjà vers les arrêts de bus pour ne pas manquer, d'autres s'y rendaient à moto,d'autres en voiture et ceux qui n'avaient pas les moyens mais qui voulaient réussir à tout prix partaient à pied mais les plus petits étaient encore dans leur lit en train de savourer leur sommeil, c'était le week-end. Ceux qui ne voulaient que s'accaparer du bien d'autrui s'introduisaient déjà petit à petit dans le grand marché de Bamako etc et ainsi était le but de chacun dans la vie.Chez Cheikh, les enfants eux dormaient toujours mais l'homme et