Nous arrivons à mon manoir, je descends du véhicule et Max se charge de garer la voiture au garage. J’entre à l’intérieur du manoir, Maria, la femme de ménage vient vers moi.
___ « Bonne arrivée, monsieur ! » me dit elle avec un sourire accueillant.
___ « Merci » dis-je.
Maria est une femme, âgée de la quarantaine dont j’ai employé en tant que femme de ménage, depuis bientôt trois ans. Elle est une fidèle employée et elle accomplit très bien ses tâches.
___ « Vous avez de la visite » m’informe t’elle.
Je fronce les sourcils. Je n’ai aucun rendez-vous avec qui que ce soit chez moi et à cette heure du soir.
___ « Qui ? » demande je, curieux.
___ « Mlle Kayla »
Je crispe furieusement mon visage. Que cherche cette fille chez moi et à cette heure ? Et d’ailleurs, pourquoi lui ont-ils permis d’y entrer ?
Je lâche un soupir mécontentent puis monte dans ma chambre illico presto. J’ouvre la porte de ma chambre, puis y entre et referme derrière moi. Je la vois assise sur mon lit, portant une mini robe bustier côtelée constatant marron. Une jambe sur l’autre, elle me fait un sourire séducteur en me voyant.
___ « Va-t’en d’ici ! » lui ordonne je, froidement.
Elle se relève avec nonchalance et déhanche jusqu’à moi. Je la fixe avec indifférence.
___ « Je ne partirai d’ici que lorsque nous aurions parlé » exige t’elle.
Je prends une profonde inspiration pour ne pas la trainer hors de chez moi.
___ « On n’a plus rien à se dire Kayla. »
___ « Tu te trompes, on a beaucoup à se dire »
Je me débarrasse de ma veste et la jette sur le lit, puis je vais me servir un verre de whisky et je reviens me poser sur le canapé de ma chambre et je la fixe.
___ « Je t’écoute » lui dis-je.
___ « Tu me manques William et… »
___ « Kayla, passe à autre chose » lui interromps je. « Il y’avait un contrat entre nous, avec des règles et des sanctions. Tu n’as pas respecté ces règles alors le contrat est rompu, c’est fini. »
Kayla était une de mes partenaires sexuelles. Nous avions signé un contrat où elle me serait fidèle pendant toute la durée du contrat. Elle devait me satisfaire sexuellement et aussi à mes fantasmes, elle devait aussi m’être fidèle. Le contrat s’arrêtait à là, mais au lieu de tout ça, elle m’a trahi. J’ai donc mis fin à ce contrat, depuis lors elle ne cesse de me harceler.
___ « Je ne veux plus de toi comme partenaire, accepte le ! » ajouté je, sèchement.
Mes mots l’ont blessée mais elle essaie de paraître normale, elle tourne autour d’elle-même puis se courbe et enlève ses talons qu’elle a porté. Je l’observe attentivement, attendant de voir ce qu’elle compte faire. Après avoir enlevé ses talons, elle se redresse et me lance un regard pleins de désirs. Je ne lui dis toujours rien, elle se débarrasse de sa mini robe avec nonchalance jusqu’à se retrouver en string et poitrine nue devant moi.
J’avoue que Kayla est cette femme, qui a les seins arrondis et debout, ses fesses sont arrondis aussi. Elle possède un corps de rêve grâce à la chirurgie plastique. Oui, elle n’est pas naturelle et ses rondeurs sont artificielles.
Elle se mord violemment la lèvre et laisse échapper expressément, un gémissement. Je l’observe toujours sans rien dire.
___ « Je suis tombée amoureuse de toi et je te promets que je regrette amèrement de n’avoir pas respecté certaines règles. » dit-elle, d’une voix sensuelle.
Kayla avance avec nonchalance jusqu’à moi. Elle se baisse et se met à quatre pattes devant moi, ses yeux me dévorent du regard.
J’ai eu plusieurs partenaires sexuelles, la plus récente est Kayla. Je ne crois pas en l’amour pour une expérience personnelle. L’amour existe peut-être mais pas fait pour tout le monde, et je fais parti de ceux qui ne tomberont jamais sur leurs âmes sœurs comme on les surnomment. Pour moi, l’amour n’est qu’une illusion conçue pour affaiblir les forts. Et ceux qui me diront le contraire, je leur dirai tout simplement qu’ils sont chanceux.
___ « Baise moi, s’il te plaît ! »
Je la fixe silencieusement, elle me supplie du regard. Kayla ne m’attire plus, je n’ai plus l’envie de la prendre dans toutes les positions qui existent, néanmoins Mlle Miller m’a énervé. Et il faut que je baise pour me calmer.
Kayla baisse la fermeture éclair de mon pantalon, puis saisit mon sexe et lèche lentement le gland de mon sexe. Elle se met à me sucer avec nonchalance puis avec rapidité, me donnant de vive vibrations. J’empoigne ses cheveux, l’incitant à continuer. Elle engloutit mon pénis dans sa bouche et continue de me sucer, je grogne de plaisir. Elle le fait pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que je déverse le liquide pré-séminal, elle le lèche avec sa langue. Puis se relève et se tient devant moi, je me débarrasse de mon pantalon et de ma culotte. Elle monte sur moi, saisit mon sexe et met le bout dans son sexe humidifié. Elle me regarde en mordant sa lèvre. Mes mains saisit fermement ses mamelons et les malaxent durement. Elle se relève légèrement puis introduit ma baguette en elle en lâchant un gémissement, elle se met à faire de lents mouvements de reins sur moi. Je la soutiens par les hanches et accélère ses mouvements de reins. Elle gémit comme une alarme en augmentant ses mouvements de hanches.
Soudain, j’aperçois ses mèches miel, son visage mince, ses lèvres recourbées et elle me sourit en mordant ses lèvres, la rendant encore plus provocatrice. Mlle Miller !
Je ferme brusquement les yeux puis les rouvre et là, je reviens à la réalité. C’est Kayla qui se trouve sur mes jambes et non, Mlle Miller. Une étrange sensation s’empare de moi, comme de la déception. L’envie de continuer ce que je fais s’est dissipée, je ne ressens plus du plaisir mais du dégoût. Pour la première fois de ma vie, je ressens du dégoût en baisant. Tout cela parce que je veux sentir l’humidité d’une autre femme sur mon sexe.
D’un geste brusque, je saisis fermement les reins de Kayla l’empêchant donc, de bouger. Elle reste figée, et me lance un regard confus.
___ « Je n’ai plus l’envie de continuer » annonce je froidement ; « Descends de là et rhabille toi ! »
C’était un ordre et non une négociation.
___ « Pardon ? »
___ « Tu m’as bien compris, je pense ! »
Elle allait discuter mais lorsque son regard croise le mien, elle descend sur moi sans rien ajouter. Puis je la vois se rhabiller, vite fait en me lorgnant du regard. Je me relève à mon tour, porte mon pantalon puis je vais lui ouvrir la porte de ma chambre, l’invitant à s’en aller.
Elle roule des yeux, frustrée puis saisit son sac à main et passe devant moi.
___ « Ne remets plus jamais les pieds ici, et surtout cesse de te faire des idées sur moi. Jamais de la vie, je ne tomberai amoureux de toi, je ne serai jamais à toi » dis-je d’un ton dur puis lui ferme la porte au nez.
PVD de Emma Trois jours se sont écoulés, Emily n’était toujours pas rentrée de son dîner aux chandelles. Par contre, elle se porte bien, nous nous appelons plus de trois dans une journée. Elle semble vivre le parfait amour avec ce connard, peut-être qu’il a réellement changé. Peut-être qu’il s’est rendu compte de l’importance de mon amie dans sa vie et qu’il a radicalement changé positivement. Qui sait ? Néanmoins, je ne lui fais pas confiance. Je doute qu’il se soit réellement converti en un gentleman, le fou amoureux. Je me soucie du bonheur d’Emily et si, pour l’instant son copain lui fait vivre aux anges alors je ne peux qu’être heureuse pour elle et surtout, cesser de me faire des soucis pour rien. Durant ces trois jours, j’ai essayé de me trouver du travail, je ne veux pas rester là à ne rien faire. C’est ennuyeux ! Il y’a la responsable d’une librairie à quelques mètres d’ici, qui m’a dit qu’elle me rappellera ce soir si je suis retenue. Je croise les doigts cette fois po
PVD de Emma *** Librairie Mercy Aujourd’hui c’est mon premier jour de travail à la librairie, pour l’occasion j’ai décidé d’être présentable. J’ai porté une robe blanche, courte à bretelles qui se limite au dessus de mes genoux, des sandales carrées en PU rose à talons carrés fins. Je suis dans le librairie, c’est un grand librairie de la place, avec des milliers de livres disposés sur des étagères, sans oublier plusieurs couloirs aussi. Il y’a aussi des petites tables et des chaises pour les clients qui souhaitent prendre du café et de lire sur place, car en dehors de la vente des livres, nous louons nos livres pour un temps déterminé et à prix réduits. ___ « Les prix des livres sont déjà marqués sur les livres, il te suffit juste d’accueillir les clients, connaître leur préoccupation et tu les diriges en fonction du type de livres recherchés. Si possible tu peux leur donner un coup de main dans leur choix » m’explique t’elle, ma tâche. ___ « D’accord, madame » No
PVD de Emma Dans une dizaine de minutes, il sera l’heure de la fermeture de la librairie. Je suis toujours indécise, j’ai essayé de joindre Emily à plusieurs reprises mais je tombais toujours sur son répondeur. Je n’ai cessé de penser à ce que cet homme voudrait qu’on discute. Honnêtement, je meurs d’envie de le savoir mais je suis réticente. ___ « Bonne soirée, mademoiselle ! » dit gentiment la dernière lectrice, avant de sortir. ___ « Merci, madame » réponds je en souriant. Elle s’en va, la jeune fille avec qui je collabore est déjà rentrée chez elle aux environs de 16h. je me mets à ranger les carnets de notes et tout ce qui se trouve sur le comptoir. La sonnerie de mon téléphone retentit, je laisse tout ce que je suis entrain de faire puis le récupère dans mon sac. Je lâche un soupir de soulagement lorsque je vois le nom d’Emily affiché sur l’écran. Je décroche à l’appel. -___ « Salut, tu m’as laissé pleins de messages disant de te rappeler immédiatement » dit-ell
PVD de Emily Emma est comme une sœur pour moi, bien que nous n’avons aucun lien de parenté. Elle est tout pour moi, elle a toujours été là même quand j’étais au plus profond bas, quand j’étais démoralisée et que je décidais de baisser les bras, de laisser toutes les épreuves de la vie avoir raison de moi. Emma ne m’a jamais lâché la main, elle était là et m’encourageait à continuer de vivre, d’espérer, elle me disait de croire à un lendemain meilleur. Quand je tombe, elle est là pour m’aider à me relever et toutes ces fois, où j’ai eu le cœur brisé, elle a pleuré avec moi, elle a partagé mes peines. Elle me connait plus que mes propres géniteurs, personne ne me connait autant qu’elle. C’est fou hein ! De simples camarades à des meilleures amies, j’ai tout gagné avec elle. ___ « J’ai discuté avec Ethan, il n’a pas refusé ma proposition » lui annonce je. Elle lâche un soupire de soulagement, comme si elle vient d’être libérée d’un gros fardeau. ___ « J’espère qu’il n’est pa
PVD de Emma Nous arrivons devant un grand restaurant, illuminé. Son chauffeur nous ouvre les portières et nous sortons, il va garer le véhicule dans le parking. William avance et je le suis près de lui, un jeune homme vêtu d’une uniforme se tient devant la porte d’entrée du restaurant. Lorsque nous arrivons à son niveau, il nous salut d’un signe de tête, William ne lui porte pas son attention tandis que moi, je réponds à ce jeune homme d’un signe de tête aussi. Nous entrons dans le restaurant, il est espacé et surtout bien éclairé. Les clients qui sont déjà en place, sont tous élégants dans leurs costumes. Ce restaurant pue la richesse, c’est évident que seul un riche peut s’offrir les services d’ici. Le chef de la restauration, nous accueille en nous conduisant à la place réservée. Les regards indiscrets des personnes autour de nous me mettent mal à l’aise. Je ne pense pas que ce soit la première fois que William invite une fille au restaurant. Nous nous
PVD d’Emma Fernando Brown ? Mais qui ne le connait pas ? C’est un des avocats le plus réputé de la ville. À ce qu’il paraît, il est sollicité de partout pour ses bagages intellectuels. ___ « Je pourrai m’entretenir avec lui pour ton cas. Il sera ton mentor pour un moment et qui sait ? Si tu es travailleuse et surtout, assidue, tu obtiendras un poste dans son bureau. Je peux aussi t’aider à trouver des stages et par la suite, ouvrir ton cabinet aussi, pourquoi pas ? » Je suis là, sidérée par ces propos. Il ferait vraiment ça pour moi ? Déjà, avoir Fernando Brown comme un mentor, est le souhait de plus d’un millier d’étudiants en droit d’affaires. Je suis sans voix, les émotions se mélangent dans ma tête, je ne sais vraiment plus quoi dire. Il fait signe au personnel du restaurant, règle l’addition et nous sortons de ce lieu. Je n’en reviens toujours pas de ses propositions, nous attendons que son chauffeur nous ramène sa voiture. ___ « Pourquoi tout ça ? » questionne je,
PVD D'Émily Emma est allée au travail, quant à moi, j’ai décidé de faire un peu de ménage et faire une petite visite à ma mère. Je n’ai pas encore trouvé de quoi occuper mes journées, mon père m’a proposé de travailler avec lui mais j’ai catégoriquement refusé. Il a une maison d’édition mais le lien qui nous unit est très fragile. Et même si aujourd’hui, il essaie de se racheter auprès de moi, je n’oublierai pas que j’ai manqué d’amour paternel à mon enfance. Je n’oublierai pas qu’il a laissé un grand vide en moi et que, si je souffre d’une dépendance affective, c’est à cause de lui.Pendant que je nettoie le plan de travail de la cuisine, une personne sonne à la porte. Je m’essuie les mains avec le torchon puis le pose sur le comptoir et vais ouvrir la porte. Je me retrouve nez à nez avec celui que j’évite depuis deux jours. Diego ! Je déglutis nerveusement en le regardant. Il a les yeux rouges comme s’il a fumé des joints, le visage froissé et les cheveux en
PVD d’Emma Je mords ma lèvre inférieure, nerveuse à l’idée qu’elle me renvoie d’ici après avoir appris que je suis responsable de tout ce désordre. ____ « Euh… Je… Madame… » balbutie je. ____ « Ces journalistes que vous voyez au dehors sont là pour votre employée, nous ignorons la raison. Mais l’ennui, est que nous n’arrivons pas à nous concentrer dans la lecture, il faut régler ce problème au plus vite où nous nous en irons d’ici» menace la plus âgée des clientes. La directrice, un peu paniquée de perdre ses clients, se tourne sévèrement vers moi. Son regard en dit long. Je prends une profonde inspiration avant de m’expliquer. ____ « Hier soir, j’ai dîné avec William Johnson » commence je. Elles restent bouche bée. ____ « Le célèbre riche homme, le jeune homme d’affaires d’à peine la trentaine ? » demande calmement la directrice. Je hoche faiblement la tête, elles restent sidérées. ____ « C’était pour parler d’un sujet professionnel, mais depuis ce matin, ces perso
PVD d’Emily Je suis allongée sur le lit, regardant le plafond de ma chambre. Ça fait un bout de temps que je me suis réveillée mais je n’ai aucune envie de quitter le lit. Pas que j’ai la flemme, je n’ai juste pas l’envie ni le moral pour sortir de ma chambre et d’aller au boulot. À l’intérieur de moi, quelque chose s’est brisée, est-ce mon cœur ? Ma confiance en moi ? Mon estime de soi ? Ma joie de vivre ? Honnêtement, je n’en sais rien. Je continue de fixer le plafond, les pensées qui se mélangent. Soudain, mon téléphone sonne, je lâche un soupir et tends paresseusement mon bras vers la table de chevet. Je récupère mon téléphone et le ramène vers moi, j’aperçois le nom d’Emma sur l’écran. Je décroche l’appel sans plus tarder. ___ « Bonjour Emily » ___ « Bonjour, ça va ? » lui demande je. ___ « Oui, je vais bien. J’ai vu tes appels et messages, je suis désolée de ne t’avoir pas prévenue avant. En fait, je suis allée voir Willi à ma descente et je suis rest
PVD d’Emma ___ « Nous sommes allés avec modération, tu dis ? » lui répète je doucement et surprise. ___ «Ouais » lance t’il. Je ris nerveusement pendant qu’il m’observe.___ « Je suis presque paralysée des jambes Willi et tu me parles de modération ? » m’enflamme je. ___ « Je suis pas allé sauvagement avec toi, et tu le sais » Je reste muette car il a raison. Il n’a pas été si brutal avec moi, néanmoins j’en ai bavé. Il continue de lire son journal tout en sirotant son café. ___ « Tu ne vas pas au bureau aujourd’hui ? » lui questionne je curieusement. Il ne répond pas, je hausse les épaules puis me relève en chancelant toujours, je fouille partout à la recherche de mon téléphone. ___ « Qu’est-ce que tu cherches ? » me demande t’il. ___ « Mon téléphone » réplique je, en fouillant le lit. Je prends mon sac à main, qui se trouve près de William. Je l’ouvre et retrouve mon téléphone portable, je soupire de soulagement en le récupérant. Je m’ass
PVD d'Emma Nous restons dans cette position pendant quelques minutes. Puis il me met en levrette, me donne deux bonnes fessées m’arrachant un gémissement de plaisir. Il me pénètre sauvagement, accélérant ses mouvements de reins. Le volume de mes gémissements augmentent, il empoigne mes cheveux et continue ses mouvements de reins. Bientôt, j’atteins encore l’orgasme une fois de plus. Nos deux corps sont en sueur, comme si la chambre manquait de climatisation, ce qui n’est pourtant pas le cas. Il fait un dernier mouvement de rein en moi, se retire et me donne encore une fessée. Je me mords la lèvre inférieure de plaisir. Pendant que je me présente sur mon dos, il s’agenouille sur le lit et prend mon string entre ses mains. Il le rapproche de ses narines et hume mon odeur intime, puis il jette le string dans un coin de la pièce et pose son regard sur moi. Il se positionne en face de moi et je repose mes jambes sur ses épaules, il introduit doucement son pénis dans mon vagi
PVD d’Emma Je suis allée attendre William à son appartement. Je suis assise sur son lit en chemisier, repensant à ce qui vient de se produire dans son bureau. Je laisse ma tête retomber sur l’oreiller, je souris bêtement en fixant le plafond de la chambre. Puis j’entrevois la porte s’ouvrir, mes yeux se posent sur William. Je me mords expressément la lèvre inférieure pour le rendre encore plus fou. ___ « T’en as mis du temps » lui dis-je en me relevant doucement. ___ « Il y’avait un embouteillage » Il s’avance vers le lit, je me mets sur mes genoux, déboutonne lentement le chemisier sous son regard fiévreux. Je sors du lit et vais lentement jusqu’à lui. Sa poitrine ne fait que se gonfler et se dégonfler rapidement. Je fais glisser lentement le chemisier pendant qu’il me dévore des yeux. La tension sexuelle prend possession de la pièce. Je laisse finalement le chemisier tomber sur mes pieds et ancre mon regard brûlant dans le sien. I
PVD d’Emma *** Quelques jours plus tard. Ça fait plus d’une semaine que je vais à mon stage, je m’habitue petit à petit à cet environnement et les regarde indiscrets des autres. Durant ces jours passés, William semblait très occupé, il ne m’appelait presque pas et ne m’envoyait pas de texto. À vrai dire, ça m’offensait un peu qu’il m’ignore à ce point. Même si nous ne sommes pas ensembles pour de vrai, il aurait pu quand même m’appeler ou m’envoyer des texto, je ne sais pas ce qu’on aurait pu de se dire mais sa voix grave et rouillée me manque, son odeur aussi. Pendant que je suis dans le cabinet de Fernando, je pense encore à lui. Quand va-t-il me téléphoner ? Je ne lui téléphone pas ni ne lui envoie pas de texto parce que je suis trop fière et je ne veux pas me ridiculiser ou encore lui donner une fausse impression. Je suis assise sur le canapé, un dossier que m’a confié Fernando se trouve sur mes genoux. Je suis entrain de mordiller l’extrémité du crayon
PVD d’Emma Je rentre chez moi, Bruno a trouvé un taxi pour retourner au manoir de William. J’ai trouvé Ethan et Emily qui discutent au salon. ___ « Bonsoir » renchéris je en les rejoignant. Emily se retourne immédiatement et lorsqu’elle me voit, elle esquisse un large sourire et se lève promptement. Elle accourt et viens me prendre dans ses bras. ___ « Emmaaa, tu m’as trop manqué » dit-elle en me serrant fort contre elle. ___ « Toi aussi, tu m’as trop manqué » Elle se détache de moi, me tient par les épaules et m’analyse du regard. Ethan nous observe en souriant de là où il est assis. ___ « Ça s’est bien passé ? » murmure t’elle. ___ « Je te raconterai plus tard » réplique en chuchotant. Elle accepte en hochant sa tête. Nous rejoignons Ethan, il se lève et m’embrasse sur la joue puis se rassoit et je fais de même. ___ « Et le séjour, ça s’est bien passé ? » me demande t’il, simplement. ___ « Oui, juste un peu fatiguée » Il se
PVD d’Emily Je reste silencieuse pendant un bon moment à essayer de savoir ce que je veux réellement faire. J’avais déjà planifié toute ma vie, mais tout a basculé avec ma séparation avec Diego. Je suis perdue, j’ai le sentiment de ne vraiment pas savoir ce que je veux faire de ma vie. Diego était le centre de mon monde, je dépendais de lui. Je lui consultais avant de décider quoique ce soit. Et maintenant, que nous ne sommes plus ensembles, je suis déboussolée. Je n’ai envie de rien faire, je veux tout simplement regarder le temps s’écouler et mourir de chagrin. ___ « Je ne sais pas trop… Je n’ai aucune idée de ce que je voudrai faire » dis-je, tristement. Ethan se rapproche de moi et me prend la main. Nous nous regardons dans les yeux et il me sourit gentiment.___ « Je te donne toute la journée de demain pour méditer sur ça. Tu ne peux pas vivre du jour au jour , ne pas avoir de buts dans ta vie. Je sais que cette séparation t’affecte énormément mais tu finiras par guérir m
PVD de William ___ « Allez, monte on s’en va ! » lui dis je en contournant la voiture. Elle n’a pas bougé d’un millimètre pendant que je m’apprête à rentrer dans la voiture. Je m’arrête près de la portière, elle fait la sourde. ___ « Emma ? » Elle croise ses bras en regardant ailleurs, je contracte nerveusement ma mâchoire. J’ai déjà eu ma dose de cette journée, qu’elle ne me fasse pas chier encore. Je lâche un juron et repars vers elle. Je vais me tenir devant elle, la fixant. Elle regarde ailleurs encore. Qu’est-ce qui lui prend ? ___ « Emma, je n’ai pas le temps pour jouer à ce jeu. Monte, on s’en va d’ici ! » ordonne je, en haussant le ton. Elle daigne poser son regard sur moi. Un regard que je ne peux pas décrire. ___ « Rentre sans moi » murmure t’elle.___ « Pardon ? » Elle se rapproche de moi, me regarde dans les yeux comme si elle me défiait.___ « Je refuse de monter dans cette caisse…dans cette putain de caisse » me
PVD d’Emma Elle pose sa main sur la voiture de William, la caresse avec des gestes sensuels et je vous assure, que cela m’irrite mais j’essaie néanmoins de rester calme. ___ « Il t’a dit le nombre de fois qu’on a baisé dans cette caisse ? » lance t’elle, d’un air provocateur. Je hausse les sourcils d’étonnement. Elle plaque son dos contre la portière du véhicule et me regarde en pinçant sa lèvre inférieure. ___ « Ah, vu la tête que tu fais, il ne t’a rien dit. Il est très bon au lit, je l’avoue. D’ailleurs, je n’ai jamais vu un homme aussi viril que lui » rajoute t’elle. Mon cœur tambourine à l’intérieur de moi tandis que mon sang bouillonne de colère. Qu’est-ce qu’elle essaie de faire là ? Me rendre jalouse ? Mdrr ! Qu’est-ce que je m’en tape de ces informations ! ___ « Mais attention, William est violent » lâche t’elle, d’une voix effrayante avec des gestes. Ça suffit ! Je n’en peux plus d’entendre ses bêtises. Je la prends fermement par le bras et ancre mon rega