Le lendemain matin, l’air était lourd, comme un pressentiment de ce qui allait suivre. Adrian n’avait pas fermé l’œil de la nuit, perdu dans ses pensées tourmentées. Il avait pris sa décision, mais la culpabilité s’était installée en lui, rongeant chaque instant de tranquillité qu’il aurait pu avoir. Il ne pouvait pas se mentir : il n’était pas prêt à devenir la personne que Lucia voulait qu’il soit. Mais il savait aussi qu’il n’avait pas d’autre choix. La guerre qui se préparait entre les deux familles allait tout engloutir sur son passage, et il était déjà trop impliqué pour faire demi-tour.Au petit matin, il se rendit à la villa de Lucia. L’atmosphère à l’intérieur de la demeure était glaciale, tout comme son propriétaire. Elle l’attendait, assise sur le canapé, son regard de fer posé sur lui, comme si elle attendait qu’il lui dise ce qu’il avait fait, ce qu’il allait faire. Un verre de whisky était posé à côté d’elle, mais elle ne semblait pas y prêter attention.— Alors… Sa voix
Le ciel nocturne était d’un noir profond, parsemé de petites étoiles scintillantes, presque moqueuses dans leur indifférence au chaos qui régnait en dessous. Adrian se tenait sur le balcon de la villa de Lucia, un verre de whisky à la main, mais il n’en goûtait pas une goutte. Il observait la ville s’étendre à perte de vue, une mer d’éclairage artificiel, d’ombres et de secrets. La guerre qui faisait rage dans son âme était plus intense que jamais. La mafia. La trahison. Lucia.Il sentait qu’il devenait comme eux. Les griffes acérées du pouvoir, du désir et de la vengeance se refermaient lentement autour de lui. Une partie de lui se rebellait encore, une voix intérieure lui ordonnait de tout quitter, de fuir loin de cette vie violente. Mais une autre partie de lui savait qu’il n’avait plus de chemin de retour.Lucia entra dans la pièce sans un bruit. Elle s’approcha de lui, son regard glacial, son corps parfaitement maîtrisé, comme une créature prête à dévorer tout ce qui s’approchait
La tension dans la villa de Lucia était palpable, presque insupportable. Le silence pesait lourdement entre Adrian et Lucia, comme une promesse d’un affrontement imminent. Les mots de Lucia résonnaient encore dans la tête de Adrian, et bien qu’il ait lutté contre l’envie de se défendre, il savait que chaque geste, chaque parole, le plongeait un peu plus dans un abîme dont il ne pourrait plus sortir. La villa était un terrain de chasse. Et lui, il n’était plus qu’une proie, en quête de rédemption dans un monde sans pitié.— Tu m’as trahie, Adrian. La voix de Lucia était ferme, presque indifférente, mais un éclat de rage brillante dans ses yeux sombres. Elle s’avança lentement vers lui, chaque pas résonnant dans l’espace vide, comme une sentence inexorable.Adrian la fixa, son cœur battant plus fort que jamais. La colère bouillonnait en lui, mais il savait qu’il ne pouvait pas se permettre de flancher. Lucia, cette femme aussi belle que dangereuse, avait eu son emprise sur lui depuis le
Le lendemain matin, la ville semblait calme, comme si elle retenait son souffle avant l’orage. Mais à l’intérieur de la villa de Lucia, l’atmosphère était tout sauf paisible. Les événements de la veille, ce baiser violent, cette confrontation, tournaient encore dans la tête de Adrian. Chaque geste, chaque parole échangée, avait un goût amer qu’il ne pouvait se défaire. Mais maintenant, il savait une chose : il n’avait plus le choix. Lucia ne le lâcherait pas. Et dans ce monde, il n’y avait pas de place pour l’hésitation.Il se tenait devant la porte de sa chambre, le regard perdu dans le vide. Elena l’attendait. Elena, la douceur, l’innocence. Mais était-ce réellement ce qu’il voulait encore ? Ou était-ce un simple refuge, une illusion de paix dans un monde qu’il avait choisi de plonger dans l’enfer ?⸻Dans l’obscurité du bureau de Lucia, un air de menace planait. Miguel était là, adossé à une chaise, son regard froid scrutant Lucia, qui était toujours aussi implacable, même après l’
La nuit était tombée sur la ville, baignant les rues dans une lumière jaune pâle. À l’intérieur de la villa de Lucia, l’atmosphère était électrique. Adrian avait fait son choix, ou du moins, il pensait l’avoir fait. Le poids des décisions pesait sur lui, et même si Lucia semblait avoir gagné la bataille, il restait un fragment de lui-même qui résistait encore, un souvenir d’une époque où il n’avait pas encore cédé à la tentation du pouvoir.Lucia le regardait, un sourire triomphant peint sur ses lèvres. Mais derrière cette façade de victoire, elle savait que Adrian n’était pas encore totalement sien. Il y avait des fissures dans la cuirasse, des fissures qu’elle ne pouvait ignorer.— Tu penses que tu m’as apprivoisé, Lucia, mais tu te trompes. Les mots de Adrian étaient lourds de sens, et son regard n’était plus aussi soumis. Il se tenait devant elle, la défiant silencieusement, mais son cœur était pris dans un étau de confusion.Lucia s’approcha de lui, ses talons résonnant sur le so
La ville s’éveillait lentement sous le voile de l’aube, mais à l’intérieur de la villa de Lucia, l’atmosphère était lourde. Adrian avait pris sa décision, mais la guerre intérieure ne faisait que commencer. Après sa confrontation avec Lucia, il avait disparu dans les ombres de la ville, comme un spectre en quête de sa liberté. Il savait que cette décision était plus qu’une rupture avec Lucia. C’était un pari risqué, un chemin semé d’embûches, mais il n’avait plus le choix.Dans la villa, Lucia était assise dans son bureau, les mains serrées autour de son verre de vin, le regard perdu dans la nuit. Le visage impassible, mais à l’intérieur, elle bouillonnait.Miguel s’approcha d’elle, une expression de méfiance sur son visage.— Il est parti, Lucia. Il y avait de la déception dans sa voix, mais aussi une lueur d’inquiétude. Tu ne peux pas simplement le laisser filer comme ça.Lucia se leva lentement, la tension palpable dans l’air autour d’elle. Son regard perça l’obscurité, comme si el
Le silence qui s’était installé après le départ d’Adrian ne tarda pas à se briser sous le bruit des pas de Lucia. Elle se tenait droite, fière, mais ses yeux brûlaient d’une rage qu’elle n’avait jamais laissé voir. L’ombre de la trahison planait désormais sur elle, et l’orgueil de Lucia n’allait pas lui permettre de se laisser faire. Elle avait joué et perdu, mais elle n’était pas prête à perdre tout. Pas cette fois.Elle se tourna vers Miguel, qui revenait d’un appel, son visage marqué par l’inquiétude.— Tu sais où il est, n’est-ce pas ? demanda Lucia, la voix glacée.Miguel hésita, mais il savait qu’il ne pourrait pas lui mentir. Adrian était un homme imprévisible, et même si Lucia avait ses informateurs, il n’était jamais à l’abri de l’inattendu.— Il est parti. Miguel la fixa dans les yeux. Mais il ne va pas aller loin.Un ricanement étouffé s’échappa des lèvres de Lucia, mais il n’avait rien de joyeux. C’était un ricanement de défi, de détermination.— Il reviendra. Ses mots éta
Le vent soufflait fort dans la nuit noire. Adrian se tenait là, face à la fenêtre de son appartement, les yeux fixés sur les lumières distantes de la ville. Chaque éclat de lumière semblait lui rappeler qu’il n’était plus qu’un homme parmi tant d’autres, mais il savait que ce qu’il avait entamé était plus grand que lui. Le silence, lourd de promesses et de menaces, l’envahissait alors qu’il faisait face à une nouvelle réalité : il n’avait plus aucun choix.Lucia n’était pas une simple femme. Elle était la personnification d’un empire qu’il n’avait pas choisi mais qu’il avait, peu à peu, accepté. Elle avait pris son cœur, et il le savait, tout ça n’était qu’un jeu. Mais il comptait bien jouer à son tour.⸻Miguel, de son côté, ressentait le poids de chaque mouvement de Lucia. Elle était obsédée par Adrian, et pourtant, il sentait bien que Lucia n’était pas la même femme que celle qu’il avait connue auparavant. La perte du contrôle, l’inconnu de l’avenir, la rongeait. Elle le cachait bi
L’aube était grise ce matin-là, comme si le ciel lui-même regrettait ce qui allait se produire. Lucia se tenait là, seule dans le grand appartement qui avait été témoin de tant de combats, tant de victoires et de défaites. La guerre était terminée, et elle en avait payé le prix.Elle était devenue ce qu’elle avait toujours redouté, cette femme dévastée par ses propres désirs, une femme brisée par son amour pour Adrian, cet homme qu’elle avait voulu détruire, mais qui, par sa présence, l’avait lentement consumée. Et pourtant, en cet instant, elle se sentait plus vivante que jamais.Les rues de la ville tremblaient sous le poids des événements passés. Les balles, les trahisons, la violence… tout semblait être un souvenir lointain, bien que tout était encore très présent, tangible, dans l’air qu’elle respirait.Elle savait que ce qu’elle allait faire maintenant était la fin de son histoire. Son dernier acte de rébellion contre tout ce qu’elle avait été.Elle entendit la porte d’entrée s’
Le vent soufflait fort à travers les rues désertes, emportant avec lui les échos des batailles à venir. Chaque mouvement, chaque décision, devenait une arme. Lucia, comme une lionne prête à tout pour défendre son territoire, préparait son coup suivant. Elle savait que la guerre contre Adrian n’était plus une question de stratégie, mais de survie. Elle n’avait jamais pensé qu’elle serait poussée à ce point, à ce degré d’intensité.Il était clair que l’affrontement était inévitable. Adrian et Lucia étaient condamnés à se détruire, leur amour, leur haine, tout se mêlait dans une danse macabre. Mais Lucia, aussi froide et calculatrice qu’elle puisse être, ressentait une étrange faiblesse en elle. Un lien, fragile mais tenace, l’attirait irrémédiablement vers cet homme qu’elle détestait et désirait tout à la fois.Mais dans ce monde où les sentiments étaient considérés comme des faiblesses, elle savait qu’elle ne pouvait pas se permettre de succomber à ce désir. La guerre, comme toujours,
La douleur de l’impact fut brève, mais marquante. Adrian recula d’un pas, mais son regard resta fixé sur Lucia, une lueur d’admiration et de rage dans ses yeux. Elle n’était pas une femme à sous-estimer, mais elle venait de franchir une ligne qu’il ne pouvait ignorer. La lutte pour le pouvoir était inévitable, mais au fond de lui, un autre combat se livrait, plus intime, plus dangereux.Lucia sentit la tension dans l’air, le poids de ses gestes. Chaque mouvement, chaque regard échangé, les rapprochait un peu plus du gouffre. Elle se tenait là, face à lui, prête à tout, mais elle savait qu’aucune de ses actions ne resterait sans conséquences.Elle avança lentement vers lui, les yeux brillants de défi. Ses mains étaient pleines de rage, mais aussi d’une émotion qu’elle refusait d’admettre, même à elle-même.— Tu es têtu, Adrian. dit-elle d’une voix basse et tranchante, tout en effleurant sa chemise du bout des doigts. Mais tu es également irrésistible.Un frisson parcourut le corps d’Ad
Le vent soufflait fort dans la nuit noire. Adrian se tenait là, face à la fenêtre de son appartement, les yeux fixés sur les lumières distantes de la ville. Chaque éclat de lumière semblait lui rappeler qu’il n’était plus qu’un homme parmi tant d’autres, mais il savait que ce qu’il avait entamé était plus grand que lui. Le silence, lourd de promesses et de menaces, l’envahissait alors qu’il faisait face à une nouvelle réalité : il n’avait plus aucun choix.Lucia n’était pas une simple femme. Elle était la personnification d’un empire qu’il n’avait pas choisi mais qu’il avait, peu à peu, accepté. Elle avait pris son cœur, et il le savait, tout ça n’était qu’un jeu. Mais il comptait bien jouer à son tour.⸻Miguel, de son côté, ressentait le poids de chaque mouvement de Lucia. Elle était obsédée par Adrian, et pourtant, il sentait bien que Lucia n’était pas la même femme que celle qu’il avait connue auparavant. La perte du contrôle, l’inconnu de l’avenir, la rongeait. Elle le cachait bi
Le silence qui s’était installé après le départ d’Adrian ne tarda pas à se briser sous le bruit des pas de Lucia. Elle se tenait droite, fière, mais ses yeux brûlaient d’une rage qu’elle n’avait jamais laissé voir. L’ombre de la trahison planait désormais sur elle, et l’orgueil de Lucia n’allait pas lui permettre de se laisser faire. Elle avait joué et perdu, mais elle n’était pas prête à perdre tout. Pas cette fois.Elle se tourna vers Miguel, qui revenait d’un appel, son visage marqué par l’inquiétude.— Tu sais où il est, n’est-ce pas ? demanda Lucia, la voix glacée.Miguel hésita, mais il savait qu’il ne pourrait pas lui mentir. Adrian était un homme imprévisible, et même si Lucia avait ses informateurs, il n’était jamais à l’abri de l’inattendu.— Il est parti. Miguel la fixa dans les yeux. Mais il ne va pas aller loin.Un ricanement étouffé s’échappa des lèvres de Lucia, mais il n’avait rien de joyeux. C’était un ricanement de défi, de détermination.— Il reviendra. Ses mots éta
La ville s’éveillait lentement sous le voile de l’aube, mais à l’intérieur de la villa de Lucia, l’atmosphère était lourde. Adrian avait pris sa décision, mais la guerre intérieure ne faisait que commencer. Après sa confrontation avec Lucia, il avait disparu dans les ombres de la ville, comme un spectre en quête de sa liberté. Il savait que cette décision était plus qu’une rupture avec Lucia. C’était un pari risqué, un chemin semé d’embûches, mais il n’avait plus le choix.Dans la villa, Lucia était assise dans son bureau, les mains serrées autour de son verre de vin, le regard perdu dans la nuit. Le visage impassible, mais à l’intérieur, elle bouillonnait.Miguel s’approcha d’elle, une expression de méfiance sur son visage.— Il est parti, Lucia. Il y avait de la déception dans sa voix, mais aussi une lueur d’inquiétude. Tu ne peux pas simplement le laisser filer comme ça.Lucia se leva lentement, la tension palpable dans l’air autour d’elle. Son regard perça l’obscurité, comme si el
La nuit était tombée sur la ville, baignant les rues dans une lumière jaune pâle. À l’intérieur de la villa de Lucia, l’atmosphère était électrique. Adrian avait fait son choix, ou du moins, il pensait l’avoir fait. Le poids des décisions pesait sur lui, et même si Lucia semblait avoir gagné la bataille, il restait un fragment de lui-même qui résistait encore, un souvenir d’une époque où il n’avait pas encore cédé à la tentation du pouvoir.Lucia le regardait, un sourire triomphant peint sur ses lèvres. Mais derrière cette façade de victoire, elle savait que Adrian n’était pas encore totalement sien. Il y avait des fissures dans la cuirasse, des fissures qu’elle ne pouvait ignorer.— Tu penses que tu m’as apprivoisé, Lucia, mais tu te trompes. Les mots de Adrian étaient lourds de sens, et son regard n’était plus aussi soumis. Il se tenait devant elle, la défiant silencieusement, mais son cœur était pris dans un étau de confusion.Lucia s’approcha de lui, ses talons résonnant sur le so
Le lendemain matin, la ville semblait calme, comme si elle retenait son souffle avant l’orage. Mais à l’intérieur de la villa de Lucia, l’atmosphère était tout sauf paisible. Les événements de la veille, ce baiser violent, cette confrontation, tournaient encore dans la tête de Adrian. Chaque geste, chaque parole échangée, avait un goût amer qu’il ne pouvait se défaire. Mais maintenant, il savait une chose : il n’avait plus le choix. Lucia ne le lâcherait pas. Et dans ce monde, il n’y avait pas de place pour l’hésitation.Il se tenait devant la porte de sa chambre, le regard perdu dans le vide. Elena l’attendait. Elena, la douceur, l’innocence. Mais était-ce réellement ce qu’il voulait encore ? Ou était-ce un simple refuge, une illusion de paix dans un monde qu’il avait choisi de plonger dans l’enfer ?⸻Dans l’obscurité du bureau de Lucia, un air de menace planait. Miguel était là, adossé à une chaise, son regard froid scrutant Lucia, qui était toujours aussi implacable, même après l’
La tension dans la villa de Lucia était palpable, presque insupportable. Le silence pesait lourdement entre Adrian et Lucia, comme une promesse d’un affrontement imminent. Les mots de Lucia résonnaient encore dans la tête de Adrian, et bien qu’il ait lutté contre l’envie de se défendre, il savait que chaque geste, chaque parole, le plongeait un peu plus dans un abîme dont il ne pourrait plus sortir. La villa était un terrain de chasse. Et lui, il n’était plus qu’une proie, en quête de rédemption dans un monde sans pitié.— Tu m’as trahie, Adrian. La voix de Lucia était ferme, presque indifférente, mais un éclat de rage brillante dans ses yeux sombres. Elle s’avança lentement vers lui, chaque pas résonnant dans l’espace vide, comme une sentence inexorable.Adrian la fixa, son cœur battant plus fort que jamais. La colère bouillonnait en lui, mais il savait qu’il ne pouvait pas se permettre de flancher. Lucia, cette femme aussi belle que dangereuse, avait eu son emprise sur lui depuis le