Ce n’était personne d’autre que quelques-uns des plus grands personnages de la ville. Par exemple, la famille Fu, la tante et l’oncle ainsi que Tristan. Même le père de Sébastien et la femme de son oncle ne se sont pas retournés depuis l’étranger. Il y avait aussi la famille Shu et la famille Xu.C’étaient quelques-unes des plus anciennes familles, et c’était seulement parce que maître Fu a insisté pour les inviter que Sébastien les a invités à contrecœur.Selon son intention, il ne voulait inviter personne.Il n’avait même pas envie d’organiser la fête de fiançailles car le mariage entre Silvana et lui ne les regardait qu’eux deux.Il savait au fond de lui qu’il épousait Silvana parce qu’elle lui avait sauvé la vie et parce qu’elle était enceinte de son bébé. Il ne l’aimait pas du tout.Il en avait même assez d’elle.Mais pour Silvana, c’était déjà bien.Tout le milieu des classes supérieures de la ville du sud connaissait enfin son identité en tant que fiancée de Sébastien. La fi
« D’accord », Cécile a répondu doucement : « On va où ? et je t’attends où ? »Tristan a réfléchi et a dit : « Attends-moi devant ton entreprise. »« D’accord », Cécile était vraiment obéissante. De l’autre côté, Tristan a aussi rapidement raccroché.Après l’appel, il a échangé un regard avec Mélanie, celle-ci a dit en souriant : « Tu m’as montré ma rivale en amour juste devant moi, cela signifie que tu es également désireux de me choisir, non ? »Tristan a ricané : « Moi, je sais très bien dans mon cœur avec quelle femme je veux jouer et quelle je veux épouser. Si je t’épouse, mon grand-père lèvera certainement les mains en signe d’approbation, et ton grand-père aussi. Après tout, mon cousin est maintenant fiancé, n’est-ce pas ? »Mélanie a hoché la tête : « Tu as raison. »« Mais, tu ne peux pas m’empêcher me jouer avec les autres », a dit Tristan avec les yeux ivres.Mélanie avait aussi les yeux ivres : « Ça dépend, à quoi tu joues ? »Tristan a seulement ri sans répondre à sa ques
Au lieu de la renvoyer à la famille Lin.Ça signifiait qu’elle pouvait habiter dans le même endroit et sortir avec lui ?« Haha ! »Silvana est montée joyeusement dans la voiture de Quentin et a quitté l’hôtel.De l’autre côté, Sébastien roulait lentement sur la route, ne sachant pas où aller.En même temps, Cécile était déjà venue à son entreprise, Tristan l’a appelé quand elle voulait lui téléphoner : « Cécile, je suis occupé ici, je ne te ramène pas, est-ce que tu peux prendre un taxi pour venir ? » Elle a dit d’un ton docile : « Oui, bien sûr, Tristan. »Tristan a entendu la tendresse dans le ton de Cécile, alors il l’a taquinée : « Tu es si disposée à être si gentille avec moi ? Tu fais tout pour moi de ton plein gré ? »Elle a ri encore plus doucement : « Tristan, tu doutes de ma sincérité à ton égard ? Alors, je te le répète, je suis prête à tout faire pour toi. Je fais tout ce que tu me demandes, même si cela signifie donner ma vie, je suis prête à le faire. »Tristan a ri : «
Il y avait une vingtaine d'hommes assis dans la loge, mais parmi eux elle ne connaissait que Tristan et Yann.Les autres avaient soit des cheveux teints en jaune, soit des vêtements de heavy metal, soit des cigarettes à la bouche.Ils ont tous regardé Cécile avec les mêmes yeux comme si elle était une proie.Elle, en revanche, n'en connaissait aucun.En face de ces hommes, il y avait trois femmes assises.Elles étaient très peu habillées, et elles portaient des robes super courtes à une épaule.Cécile a jeté un coup d'œil à tous ceux qui se trouvaient dans la salle et pouvait déjà sentir dans son esprit que la situation était beaucoup plus excessive ici que ce qui s'était passé sur le dernier bateau de croisière.Elle s'est retournée pour partir sans réfléchir, mais dès qu'elle a fait un pas dehors, l'une des trois femmes l'a appelée : « Voilà, une autre consœur est là. Entre et assieds-toi. Regarde-toi, tu es trop habillée, n'est-ce pas ? Ce n'est pas bien de venir dans un endroit com
Ce n’était pas possible !Aujourd'hui, il allait montrer à Cécile combien il était féroce, pas moins que son cousin Sébastien !Tristan a regardé Cécile avec une expression sinistre et narquoise.Cécile a dit d'une voix tremblante : « Je suis désolée, M. Tristan, je ne ferai pas cette transaction. Je suis désolée d'avoir eu tort de vous déclarer mon amour, je ne vous dérangerai plus jamais, au revoir ! »Après avoir dit cela, Cécile a fait demi-tour et est partie.Quand elle a atteint la porte, elle a constaté qu'elle n'arrivait pas à l'ouvrir.Elle a tourné la tête avec horreur pour regarder tous ceux qui étaient dans la salle avec leurs railleries et leurs grimaces.Tristan riait encore : « Sais-tu ce que ça signifie d'entrer facilement et de sortir difficilement ? »« C'est ainsi ? », Elle a regardé Tristan avec un calme soudain et s'est mise à courir vers lui à toute vitesse.« Tu as changé d'avis si vite ? », Tristan a mal souri.Cécile fait trois pas vers lui et soudain, elle ten
Elle est sortie de la loge et en descendant de l'ascenseur, elle a failli s'effondrer sur le sol.Les larmes sur son visage ont augmenté.Tristan était la seule lueur de chaleur qui restait dans son cœur, mais elle n'aurait jamais imaginé qu’il se jouerait d'elle comme ça. Elle s’est dirigée vers la poubelle, y a jeté la seringue de sang de poulet, ainsi que le canon de la seringue, et s'est dirigée vers la sortie, perdue dans ses pensées.À peine sortie, elle a eu envie de vomir et s'est laissée tomber sur un parterre de fleurs dans l'ombre.Alors qu'elle finissait de vomir, une voix est arrivée à l'improviste dans ses oreilles.Cécile a suivi la voix et a vu qu'il s'agissait d'un homme en noir dans l'ombre qui téléphonait : « M. Huo, êtes-vous sûr que le garçon nommé Chu est dans la loge la plus haute ? »Cécile ne pouvait pas entendre ce qui se disait à l'autre bout de la ligne, tout ce qu'elle entendait, c'était l'homme en noir qui parlait : « Je peux ouvrir sa porte en une seconde
Quand Cécile s'est réveillée, elle était sur un chariot d'hôpital en route vers la salle d'opération. Elle a attrapé la main du médecin. « Ne ... Ne me donnez pas ... Ne me donnez pas d'anesthésie. Je suis une femme enceinte, je veux garder mon bébé, je n'ai plus de famille, mon bébé est ma seule famille. S'il vous plaît, ne ... Ne me donnez pas d'anesthésie. » Cécile a pleuré et supplié.Le médecin : « Pouvez-vous supporter la douleur pendant le traitement ? »Cécile a répondu fermement : « Absolument ! »Le médecin : « Bien. » À ces mots, Cécile a été transportée dans la salle d'opération.Yann, qui attendait dehors, a pu entendre les cris déchirants dans la salle d'opération.Plus d’une heure plus tard, Cécile, pâle, fatiguée et en sueur, est sortie sur un chariot.Yann l'attendait dehors.« Merci à vous, M. Xu, rentrez chez vous. », a dit Cécile d'un ton faible.Yann a dit : « Comment est-ce possible ? Tu viens de te faire opérer et tu as un bébé dans le ventre, comment peux-tu n'a
« Salope ! Qu'est-ce que tu veux ? Veux-tu t'incruster dans notre famille Fu ? Tu as d'abord une liaison avec mon petit-fils Sébastien, puis tu trouves qu’il est impossible d'être avec lui, ensuite tu viens séduire mon autre petit-fils ? Écoute, salope, si tu t'approches encore d'un homme de notre famille, je te fais mourir sans sépulture ! » Renaud, debout à l'avant, a pointé son doigt sur le nez de Cécile et a juré.Cécile était plus pâle, mais elle n'était pas du tout effrayée : « Je suis désolée, monsieur Fu, je n'ai jamais séduit votre petit-fils Sébastien ! De même, je n'ai pas séduit votre autre petit-fils Tristan. Au contraire, c'est moi qui ai sauvé la vie de Tristan ! »« Tu as sauvé la vie de mon fils ? » Une femme noble d'âge moyen s'est soudainement mise à hurler : « Si ce n'était pas pour toi, mon fils serait-il en si grand danger ? Si mon fils a provoqué Jean, ne serait-ce pas pour régler les conneries que tu as faites ? Femme sauvage ! Tu as même eu l'audace de détruire
Cécile s’est calmée instantanément, elle n’a même pas regardé la femme et s’est contentée de baisser la tête pour se remettre au travail.La femme a ri, puis a demandé à Cécile d'un ton supérieur et condescendant : « Sais-tu qui je suis ? »Cécile s’est pincée le nez : « Eloignez-vous ! »« Hé, tu es si calme ! J'imagine que tu as vécu beaucoup de choses, hein ? Eh bien, une vraie salope. » La femme a injurié Cécile d’un ton taquin, et quand elle a fini parler, elle l’a regardé d'un air apaisé.L'expression et le ton de sa voix étaient comme si elle la traitait comme un petit jouet sans aucune autonomie, attendant de voir ce qu’elle avait à dire ou à faire.C'était comme si Cécile était un clown devant elle, quoi qu'elle dise ou fasse.Les collègues masculins transpiraient pour Cécile.Damien a envoyé secrètement des SMS à son collègue : « Qui est cette femme ! J'ai l'impression que ce n'est pas quelqu'une de bien. »Pascal : « Qui sait ! D'où vient cette femme, elle est tellement arro
Les soirées ne l'intéressaient pas du tout. Elle était tentée de repousser ce genre de soirée si elle le pouvait, mais il s'agissait des affaires concernant l'école de Vanille et elle devait y aller.« Qu'est-ce qui ne va pas, la maman de Vanille ? Tu ne veux pas y aller ? C'est pour ça que tu n'as pas allumé ton téléphone jusqu'à aujourd'hui et que tu n'as pas répondu au chef du groupe hier ? » La mère de Susan était un peu agressive.« Non, Madame, parlons dans le groupe, je dois aller travailler. En entendant le klaxon de la voiture de Quentin, Cécile s'est retournée et a couru pendant qu'elle parlait. Elle avait compris tout ce que la Maman de Susan avait dit et elle ne pouvait pas se permettre d'attendre plus longtemps.Derrière elle, la mère de Susan a regardé le dos de Cécile et a marmonné : « Tu es surement pauvre. Je suppose que tu travailles pour quelqu'un quelque part ? Comment oses-tu faire semblant ? Est-ce que le fait de conduire une belle voiture signifie que ta famille
Cécile s’est figée un instant, puis a sorti son téléphone de son sac et a constaté qu'il était bel et bien éteint. Elle l'avait éteint parce qu'elle ne voulait plus recevoir d'appels de ses collègues de travail hier. Ensuite, elle s'est disputée avec Sébastien et elle l'a oublié.Étonnamment, elle n'avait pas allumé son téléphone jusqu'à maintenant.« Qu'est-ce qu'il y a, Maman de Susan ? » a demande Cécile.La mère de Susan a regardé Cécile avec difficulté : « Cécile, la dernière fois que ton mari t'a accompagné ici, avec tout ce faste, je me suis dite que ta famille devait être très riche, ou du moins valoir des dizaines ou des centaines de millions. La dernière fois que je t'ai invitée dans ce groupe, c'était un cercle de riches, et plusieurs mères des enfants ont discuté de la possibilité d'avoir une classe séparée pour notre dizaine d'enfants et d'obtenir quelques professeurs supplémentaires … »Cécile était un peu confuse : « Pourquoi avez-vous besoin d'une classe séparée ? »Cet
Cécile s'est assise lorsqu’il lui a pris le bras : « Ne va pas travailler cette semaine. »Elle s’est mordu la lèvre : « J'ai eu du mal à obtenir ce travail et je ne veux pas prendre plus de temps libre. »« Comme tu veux ! » il a ricané, puis lui a demandé : « Que s'est-il passé au bureau hier ? Les femmes du bureau t'ont-elles mise à l'écart ? »Cécile : « … »Comment allait-elle lui répondre ?Toute la nuit, la punition qu'il lui avait fait lui avait remis les idées en place. Il avait sauvé les jambes de Yann, mais il était toujours le même homme impitoyable, froid et dur.Cécile est sortie du lit en titubant, puis lui a adressé un sourire fade : « Non. »« Tu ne veux pas parler ? » Une main s'est accrochée à sa taille pour l'empêcher de partir.Elle a secoué la tête : « Non, tu sais, je n'ai jamais été très sociable en public et je ne parle pas beaucoup, alors on dit que je suis tendue. Ce n'est pas grave, je veux toujours ce travail, tout le reste n'est qu'un problème mineur compa
Sébastien : « … »C'était la première fois qu'il la voyait si avenante, mais son visage était déjà rouge et ses joues chaudes pressées contre sa poitrine lui procuraient immédiatement une autre sensation.Il a levé son poignet et a relevé son visage, la regardant attentivement. Elle était vraiment perverse aujourd'hui, et jusqu'à présent elle n'avait pas dit pourquoi, mais ce n'était pas le moment de le lui demander.Tout d’un coup, il l’a prise dans ses bras.Sa voix est devenue rauque : « Les collègues masculins de ton entreprise t’aiment bien ? »« Non … Non. » Elle a balbutié.« Tu sais que tu ne peux pas mentir ? » il a dit d’un ton taquiné.C’était vrai, elle ne pouvait pas mentir.Elle ne voulait surtout pas que ces collègues masculins de l'entreprise l'aimaient. En fait, ils ne l'aimaient pas forcément, de quoi était-elle capable ? Ils étaient simplement plus généreux et moins casse-pieds que leurs collègues femmes en termes de caractère.Ils ne supportaient tout simplement pas
Sébastien était si grand et ses jambes si longues que lorsqu'il faisait un pas, Vanille devait en faire deux ou trois. Au clair de lune, Cécile regardait ces deux silhouettes, l'une longue, l'autre courte, l'une rapide et l'autre lente, se mouvoir, et son cœur devenait extrêmement silencieux.Elle n'avait donc aucun regret à garder ces deux-là pour le reste de sa vie.Alors qu'elle pensait cela, elle a entendu Sébastien murmurer à Vanille : « Deux silhouettes dans le clair de lune ».Vanille a répété ce qu’il a dit : « Deux silhouettes dans le clair de lune. »Père : « Une grosse, une maigre. »Fille : « Une grosse, une maigre. »Père : « Une grande, une petite. »Fille : « Une grande, une petite. »Père : « Une bonne, une mauvaise. »Fille : « … »Père : « Une belle, une laide. »Fille : « … »« Eh, Vanille, pourquoi tu ne répètes plus ce que papa a dit ? » a demandé Sébastien d’un ton taquin.Vanille a fait la moue : « Alors, la silhouette de qui est bonne et de qui est mauvaise, de
L'homme en ce moment, il ne suffit pas à décrire son expression actuelle avec un visage noir. Cécile était à quelques mètres de lui, mais elle pouvait sentir sa froideur autour de lui.Le genre de froideur qui semblait vouloir tuer quelqu’un.Elle s’est mordu la lèvre de peur et a regardé sa fille Vanille avec beaucoup d'inquiétude.Vanille tenait toujours la main de son père et c’était bizarre qu’elle ne pût pas sentir l'aura froide ou meurtrière de son père.Cécile a transpiré pour sa fille.Mais Vanille a levé les yeux vers son père avec son petit visage innocent et ensoleillé : « Papa, est-ce qu'on peut dîner en famille avec cet homme qui court après ma mère ? Comme ça, il saura que mon papa est encore plus beau que lui, hein ? »Et quand elle a fini la phrase, elle a même poussé un grognement de fierté.Cécile avait vraiment envie d'aller couvrir la bouche de sa fille, pour essayer de l’empêcher de de parler de ce sujet.Mais elle a vu que le visage de Sébastien avait changé en un
Vanille, que l'on tenait par la main, était également surprise : « Maman ! Tu es très différente aujourd'hui. »Cécile a demandé immédiatement : « Qu'est-ce qui ne va pas, Vanille. Pourquoi es-tu si peu habillée aujourd'hui ? Tu n’as pas froid ? Est-ce que tu t'habilles toujours aussi peu toute la journée à la crèche ? »Vanille a lancé un regard acerbe à sa propre mère : « Hein ! Tu n’as pas remarqué depuis que j’étais peu habillée ? J'ai déjà couru dans notre quartier depuis que je suis sortie de la voiture et tu ne m'as pas vue, n'est-ce pas ? Heureusement que je n'ai pas rencontré de trafiquants, sinon, avant que tu te souviennes de moi, on m'aurait déjà emmenée à l'aéroport et on m'aurait mis dans un avion pour m’envoyer dans un pays lointain. »Cécile a lancé un regard impuissant à sa fille.Sur ce, elle a rougi.Elle venait en effet d'être tellement préoccupée à remercier Sébastien dès qu'il était sorti de la voiture qu'elle avait même négligé sa fille.« Je suis désolée, ma ché
Vanille : « … »Derrière elle, Quentin, qui a vu la scène : « … »« Eh, petite princesse, tu as défendu ta maman contre ton papa tout le temps, mais là, tu as rencontré une rebuffade chez ta maman hein ». Quentin a dit exprès à Vanille pour l’ennuyer.Vanille, qui avait été ignorée par sa mère, a aussitôt relevé son petit menton : « Hein ! Tant que ma mère est heureuse. »Quentin : « … »Il a finalement compris que Cécile, n'était pas seulement populaire auprès des hommes, mais que tout le monde l'aimait, et surtout qu'elle était entourée de sa petite super fan, le soldat de sa défense.A ce moment-là, Quentin avait envie de dire devant son patron : « Patron, c'est bien d'avoir une fille, je comprends maintenant pourquoi vous vous êtes donné tant de mal pour faire revenir votre fille et sa mère, après six ans et les dépenses de centaines de millions de dollars.Il s'est avéré que vous étiez à leur recherche pour votre propre bien-être.Mais dès qu'il a levé les yeux, il a vu les yeux f