Université de Douala....
7 h : 30 minutes
Dans un bâtiment sophistiqué....
Les chaises sont en deux grandes rangées. Le hall est remplis d'étudiants qui causent de tout et de rien entre copains ou copines.
Une dame en jupe jaune, talon jaune et un petit costume rouge entre dans le hall avec un lot de documents et une tasse de café dans la main.
Les étudiants tourne leur regard vers elle. C'était madame Lidia Nguyen.
Elle s'assit dans son siège. Nous l'attendions depuis un moment déjà. Elle mangea son petit déjeuner sans se soucier de nous...
En faite, Mlle Lidia Nguyen était une jeune professeur des universités. Elle était très jeune, très belle, très intelligente mais moins intègre. J'adore sa façon d'être. Elle était stricte. C'était vrai mais elle pouvait être très cool parfois.
« Bonjour classe » elle salua tout le monde après son petit déjeuner.
Elle nous avait déjà expliqué pourquoi elle venait souvent terminer ses petits déjeuners dans notre salle de classe à chaque fois. Et bien c'était uniquement parce qu'elle était une personne trop occupée.
Elle n'avait presque pas le temps de respirer. Elle était tellement occupée à donner des conseils mais surtout à écouter les plaintes des étudiants. Elle n'avait pas de temps pour elle-même.
« Bonjour mademoiselle.» nous avions répondu. Nous étions tous heureux qu'elle soit en forme.
Elle bu de l'eau et se leva de son siège. Elle marcha dans le couloir pour surveiller la présence de ses étudiants comme elle en faisait à chaque fois.
« j'ai une mauvaise nouvelle pour vous, » elle annonça soudainement. Elle retourna à son siège.
Nous commencions à murmurer entre les bancs. Nous voulions savoir de quoi elle parlait.
« l'université vient de perdre un membre très important de notre faculté; la faculté de médecine. » Commença t'elle.
«Et comme celà nous regarde de très près. Perce qu'il était de notre département, nous devons soutenir massivement sa famille. La famille Barnabas aurait vraiment besoin d'un soutien financier bien que psychologique...» Dit-elle.
Nous avions murmuré entre les bancs. J'étais anxieuse et stressée car je détestais l'idée des contributions maintenant que j'étais indépendante mais fragile financièrement.
« Les administrateurs de notre université attendent de nous, une très grande participation d'accord ! » Elle expliqua.
« Chacun de nous sera attendu avec une somme d'argent de 30. 000 Francs comme participation.» Elle ajouta pour terminer.
C'était un choc pour tous les étudiants mais également la somme de contribution était vraiment élevé pour nous, pauvres étudiants.
Nous avions essayé de lui persuader de diminuer la somme. Elle a expliqué que nous étions en cycle Master et qu'il fallait s'y attendre à de telles sommes...
La journée toute entière a été concentré à ce débat. Nous avions pu trouver un accord avec la dame. Les étudiants ont été d'accord de verser chacun une somme de 25. 000f.
Pendant ce temps, moi dans ma tête, je me demandais où allais- je prendre une telle somme..
Nous étions à la troisième semaine de la rentrée académique. Je n'avais pas encore réglé ni ma facture d'hôtel ni ma scolarité. Je suis inquiète.
J'étais arrivée dans cette université à travers le billet d'une bourse scolaire. Maintenant que mon temps à expiré. Je ne pouvais plus bénéficier de l'encadrement de l'état car c'était une bourse scolaire de trois ans, non renouvelable.
Je ne savais quoi faire. Monsieur Barnabas était un professionnel dans le domaine de la médecine. Il méritait que je viens en aide à sa famille et à ses deux petites filles. J'étais stressée.
De retour à la maison, je ne réfléchissais qu'à celà. Nous étions un vendredi soir. J'étais allongée dans mon lit en réfléchissant. Mon téléphone avait sonné.
« Salut Yvie. » avais-je salué ma meilleure amie avec une voix remplie de fatigue.
« Comment se passe ta soirée bébé ?» elle m'a t'elle questionné.
« Je tiens le coup. » avais-je répondu.
Elle remarqua cette grande fatigue en moi et me demanda ce que je ferais. J'avais répondu : « je chôme dans ma chambre estudiantine.»
« Une chambre donc tu ne pourras plus payer bientôt avoue. » elle se moqua de moi dans une blague.
« C'est vrai. » avais-je répondu.
« Comme c'est triste. » Elle pointa.
C'était vrai. Dans mon pays, c'est n'était pas parce qu'on a trop fréquenté qu'on se trouvait rapidement du travail. Je ne sais même pas comment certains font pour avoir un boulot.
J'avais voulu travailler dans plusieurs hôpitaux...mais, je n'avais pas encore trouvé d'hôpital qui voulait accepter une femme comme moi,
Une gamine avec un Master dans la poche. Plusieurs de mes supérieurs pensais peut-être que je les achèterai la vedette. Juste pour un rien, le travail m'avait été toujours rejeté.
Comme ma copine soit une femme populaire, elle me fit une proposition assez bizarre. Après l'avoir fait part de mon problème d'argent.
« ma chérie,
Le tout n'est pas seulement de fréquenter. » Dit elle. « il faut se faire de l'argent.
Je sais tu ne veux pas travailler comme nous, je peux comprendre.
Mais ne demande pas l'argent tout le temps je ne suis pas une banque.» elle inclina d'abord ma demande.
« Yvie, je suis dos au mur voilà pourquoi je demande. Dans quelques jours, je vais te rembourser cet argent crois-moi.» ai-je supplié.
« écoute bébé, je ne peux rien pour toi aujourd'hui. Mais je connais quelqu'un qui peut aider. C'est une personne sympathique.»
« Dis-moi, tu parles qui? » avais-je demandé.
« D'un homme qui adore les bonnes choses.» avait elle répondu.
Lorsque j'entendis qu'il s'agissait d'un homme. Je n'avais pas réfléchi à deux fois avant de décliner la proposition également.
Elle était remontée contre moi. Elle mit fin à notre appel. En disant : « Au passage, ne me demande plus jamais de l'aide. Si tu ne veux pas travailler ni ne veux faire ce que l'ont te proposer de faire pour gagner de l'argent,
Trouve des solutions adaptées à chacun de tes problèmes. » elle éteignit son portable .
Je jetai le mien sur le lit.
« Comment ça, moi, une fille intelligente, devrait se retrouver dans le lit d'un homme à cause du fric?»
Je n'imaginais même pas. Je me décidai le lendemain pour trouver un travail digne de ce nom. Au bout d'un mois entier, aucun travail pour moi.
Je commençais à m'inquiéter encore plus. Lors de notre dernier rencontre avec Mlle Lidia Nguyen. Elle nous informa que l'université devrait amener les étudiants hors de la ville.
Nous irions pour un séjour d'un mois ensuite, nous retournerons pour enterrer le professeur Barnabas dans son village natal.
Pour la contribution de notre sortie estudiantine, il fallait une somme de 70. 000f.
Car nous aurions besoin des chambres d'hôtel, de la nourriture et de la boisson. Il nous fallait également un moyen de transport.
J'étais complètement bouleversée. En ce moment là, je ne savais vraiment plus quoi faire car il y avait à côté,
-Ma scolarité,
-Mon loyer,
-Ma nutriments,
- L'argent de l'eau
-L'argent de l'électricité,
Je ne vais pas ajouter qu'il fallait me vêtir...Et là, il fallait ajouter à cette grande liste, une participation participation en tant qu'étudiant.
Étant dans ma chambre, je fixais le plafond. Quelqu'un a frappé à ma porte.
« Qui es-ce? » Demandai-je.
« C'est Lana. » Elle répondit.
Je ne dis plus rien. C'était déjà un mois qu'elle et moi n' avions plus échangé. Lorsqu'elle arriva dans ma chambre ce soir là, j'étais complètement bouleversée. Elle m'avait vu.
Bien qu'elle était venue s'excuser, elle voulait toujours dit : « Thérésa, tu te fais du mal pour rien.
T'es parents n'ont pas assez d'argent. Pourquoi essai tu de t'imaginer quelque part où ta place n'est pas? »
« Yvie, mais devenir Docteur est mon plus grand rêve. Je ne peux y renoncer. Je veux me trouver un bon mari et ensuite construire une famille heureuse avec l'homme de ma vie.» ai-je pleuré.
Elle me prit dans ses bras. « je sais Thérésa. Moi aussi j'avais beaucoup de rêves. J'avais voulu devenir ingénieur mais j'ai dû laisser tomber après avoir compris où était ma place.
Regarde moi aujourd'hui, même si je n'ai pas encore la vie que je mérite, moi au moins je suis heureuse en vivant dans la réalité.
Mais, regardes-toi, tu es trop maigre,
Tu n'as personne qui t'aide. Les hommes ne s'intéressent pas aux femmes qui ont trop d'école dans la tête dans notre société actuelle. Tu le sais bien.
Ils veulent juste les femmes qui leur apportent de la joie. Et s'ils existent des hommes qui adorent les femmes intelligentes comme toi,
Ils ne sont pas faciles à les avoirs si tu n 'appartiens pas déjà à leur cercle.
Écoute moi, je sais comment t' amener jusqu'à eux mais seulement , tu as peur de céder. » Dit-elle pour me convaincre.
« Ma chérie, je connais les hommes, qui seront prête à payer les millions pour t'avoir dans leur lit. Une femme, belle, intelligente et captivante.» » Dit-elle
« Lana » ai-je pleuré.
« Je sais, calme toi. Ça va aller. » elle me persuada.
Nous étions un jeudi soir. Je lui demandai alors de me donner du temps à réfléchir. Le samedi soir, alors que j'avais passé la moitié de ma journée sans mangé, je me décidai de céder pour une fois.
Je pris mon téléphone, pensant à la cruauté de la vie à ne jamais donner à chacun selon ses mérites. Aucune réponse après autant d'entretien d'embauche.
La famine au ventre, la soiffe me tuait. Je composai son numéro très rapidement...
« Allô » elle répondit comme si elle attendait.
« Um, Lana, peux-tu me prendre à la maison ce soir ?» ai-je murmuré.
« J'arrive.» Elle répondit à la hâte.
C'est ainsi qu'elle sonna chez moi, trente minutes après. Son sourire brillait de savoir que j'avais finalement accepté de me plier à sa volonté. Mais de mon côté, je le faisais juste pour accomplir mon rêve.
S'il existait un homme quelques part qui pouvait me donner autant d'argent qui pouvait résoudre mon problème, j'étais prête à tout pour l'avoir. D'autant plus, j'avais décidé de la faire juste une seule fois.
« J'ai quelqu'un de très particulier en tête pour toi ma belle. Tu vas adoré passer ce moment là dans ses bras.»
« Vraiment? » demandai-je.
« Je te jure, ma poupée. » Elle répondit avec un large sourire. « Viens, ne le faisons pas attendre.» Elle ferma la porte derrière nous.
***
Kingsley Ça faisait si longtemps que j'étais parti. De mon retour, j'avais voulu faire un tour chez mon ami, Patrick.Il me conduisit alors dans ce bar. Nous avions bu beaucoup de bières. Nous avions dansé toute la nuit. Vers 2 heures, il fallait que j'y retourne à l'hôtel. Je ne pouvais rentrer seule et passer la nuit isolé.J'aime les femmes. Je ne passe jamais mes nuits seule. J'adore faire l'amour en longueur de nuit. Mon ami Patrick me proposa alors les services d'une certaine Yvie. Je l'avais déjà assez baisé celle- là. Je voulais une nouvelle fille. Alors, je demandai qu'on amène chez moi, une jolie fille jusqu'à dans la chambre de mon hôtel.Yvie savais que j'aimais les belles choses. Elle me proposa une nouvelle dans son équipe. Elle était de dos. Je n'avais pas assez d'équilibre, je demandai qu'elle fut conduit dans ma chambre d'hôtel.Pour l'occasion, je demandai que ses yeux furent couvert. Je voulais tenter autre chose.‹‹ Sans problème monsieur.›› elle tomba d'accord a
- Thérésa Je fis cinq minutes sans bouger. Je regardais partout et il me venait même à l'esprit de retirer ce voile de mon visage. " Que fais-tu Thérésa ?" Je me questionnai intérieurement. " Veux-tu vraiment te donner à cet homme juste pour un peu d'argent ?''C'était clair pour moi en ce moment là que j'avais eu une mauvaise idée de suivre les conseils de Lana. Pourquoi l'homme souhaitait il me connaître alors que j'ai des yeux fermés? Tout celà était absurde. Je me retournai pour m'en fuire. Mais je fus stoppée par le grand torse de mon nouveau partenaire de chambre. '' Non, non, n'est pas peur ma chérie." Dit-il. '' je vais te montrer le chemin de la vie. Laisse moi te montrer le chemin de la vie. Rassure toi, tu vas adorer." Dit il.C'est ainsi, qu'il me prit par le bras. Il me conduisit dans la chambre. Je pouvais voir ce dont il me faisait. Je pouvais juste sentir ses caresses.Son odeur d'un mélange d'alcool et sueur me donnai envie de vomir. Et lorsque ses lèvres frôla la
- Kingsley On m'appelle Kingsley, j'ai 27 ans. Je suis un fils à papa et le seul héritier de toute la grande famille Wilson. Je fais, 1,82. Je suis beau, je suis doux. Dans ma famille, nous sommes peu. Où dois-je dire, vieillissants. Mes ancêtres ont fait beaucoup d'enfants et nous étions beaucoup plus des hommes.Au file du temps, nous n'avions pas pu subsister car mes oncles n'eurent point d'enfants. Mon père fit plusieurs enfants, seulement, ils n'ont pas vécu tous. Beaucoup sont décès à leurs naissance ou encore après cinq ans seulement d'après mon père.J'étais alors le seul survivant. Il me cajole comme un œuf. Avant, mes études étaient ma première priorité. Même si celà n'intéressait pas beaucoup mes parents. J'étais celui qui avait insisté d'aller à l'école avant d'être père de famille. Mon père se plaignit tout le temps car il pensait que j'avais tout ce dont on un homme aurait besoin pour être heureux. Il voulait que j'épouse une femme et faire des enfants.Sans vouloi
_ Thérésa Lana m'accompagna jusqu'à mon appartement. Nous entrions et nous prîmes place sur le grand canapé. « Fais moi voir ce fric.» Dit Lana très excitée.« Voici cet argent. Il a vraiment payé, je n'arrive pas croire.» Souriais- je. J'étais heureuse d'avoir trouver une solution pour tous mes problèmes. Je n'arrêtais pas de remercier le ciel. Puis, pensant à Lana qui était celle qui m'avait offert cette opportunité je dis:« Merci infiniment Lana!!! Car, sans tes idées, je sera encore assise quelques part à me morfondre sur mon destin.»« C'est vrai, ton niveau d'études est plus élevée que le mien. Mais, j'ai des bonnes idées. Alors, tu vois, on est si différente.» Répondit elle en souriant.Elle disait des choses du genre. Mais, je savais qu'elle n'avait pas eu beaucoup de choix avant de se retourner dans la vie qu'elle mène aujourd'hui. Ce sont les conditions de vie qui nous poussent tous à bout. Et ça, jusqu'à l'impensable.Moi, je n'aurai crû devoir être intime avec un homme
Kingsley Aujourd'hui...J'avais déjà fais trois mois à Douala depuis mon retour au Cameroun. J'avais jouer la vie et le désordre dont, j'avais envie de faire m'avait éloigné de mes pauvres parents tous vieux:Mon papa est âgée de 68 ans et ma maman de 61 ans. Ils n'avaient pas encore de petit fils...Cette situation était devenue gênant pour eux et pour moi bien évidemment. Il était donc de mon devoir de leur donner ce bonheur.Heureusement, j'étais de retour pour accomplir mes obligations de fils. Comme par hasard, j'ai rencontré cette fille avec qui je compte partager mon sang.*« Bonjour Patrick.» je salue mon meilleur ami. Il était assis dans un fauteuil blanc lorsque je suis entré dans son appartement. Il manipulait son portable.« Kingsley...» Il se lève avec un large sourire. On se serre la main. Il me touche l'épaule puis il m'offre une place à son siège. « Assieds-toi ici mon frère. » Dit-il en pointant un autre fauteuil blanc en face de lui. Je m'assoies. Une petite table
* Point de vue de Thérésa *Un mois c'est passé. Tout basculait dans ma vie. Le vent est si violent, je manque d'équilibre. Je ne suis plus stable ni à l'école ni à la maison ni dans ma tête. Vers 19 heures 30 minutes, je rentre des cours. J'ai commencé à donner des cours de répétition dans les quartiers; de maison en maison. C'est un bon petit boulot mais seulement, les parents dérangent beaucoup. Ils se plaignent du forage pourtant; ils ne manquent pas d'argent pour offrir de la boisson gratuitement aux visiteurs. C'est lorsqu'ils doivent payer des répétiteurs que, leur argent esr toujours insuffisant. Ils commencent à penser à électricité ou à l'argent de l'eau pour d'autres encore, du loyer:«Voilà le plus grand problème que je rencontre dans mon nouveau job.»J'arrive à la maison, je vois Lana devant ma petite porte. Elle était assise dehors. Elle est toujours aussi magnifique. Elle porte une belle petite robe décolleté. Elle est rose et un peu transparente. Elle dévoile ses be
PVD Thérésa Pendant toute la nuit, j'ai été éveillé. À six heures, j'étais là première personne à me retrouver devant cette pharmacie. « Bonjour comment puis-je vous aider. » Demanda la caissière.« J'ai besoin d'un test de grossesse. » Dis-je anxieuse.« Mademoiselle, est-ce que ça sera tout?» Demande la caissière.« Oui. » Ai-je répondu.« Je n'aurai pas la monnaie. » Dit-elle.Même si je manquais de quoi manger, j'ai répondu « Vous pouvez garder la monnaie mais donnez moi ce test pitié.» ai-je supplié les main jointes.Les autres filles qui arriveraient derrière moi me regardaient avec beaucoup d'émotion. « Tenez ma demoiselles. » La caissière me tendit le test dans un emballage pharmaceutique.« Merci madame. » Je répond. Je me retourne aussitôt pour partir.« Mademoiselle,» elle m'interrompre. « Vous pouvez passer chercher votre monnaie quand vous voudriez en journée d'accord ?» « C'est gentil madame. J'y manquerai pas.» Dis-je.« D'accord.» Elle répond. Je me retourne, je t
PDV Thérésa Deux mois plus tard...J'ai quitté l'établissement universitaire pour vivre chez ma meilleure amie. Parce que, je ne pouvais pas payer mon logement. J'étais trop stressée pour faire les deux en même temps.Comme chaque soir, Lana se prépare et se parfume pour son travail. Elle ne retourne que le lendemain. Je l'aide dans ses tâches ménagères avant d'aller aux cours de répétitions. J'ai assez entendu qu'elle me donne les nouvelles de mon client de l'autre soir, elle ne veut rien me dire. J'ai donc décidé qu'aujourd'hui:« Je viens avec toi ce soir.» Dis-je alors que j'applique du rouge à lèvres devant un miroir. Je ne peux rester sans rien faire. Elle dit n'avoir pas idée de l'homme qui m'a connu ce soir là mais je ne compte pas rester les bras croisés. J'ai envie de le retrouver. Si je reste à la maison sans chercher, je ne pourrai pas le retrouver. Il doit prendre sa par de responsabilité envers mon bébé.« Ma chérie...on n' en a déja parlé l'autre jour. Tu ne peux p
PVD Thérésa Ce matin, je me réveille à 6 heures à cause des coups nerveux de Lana contre la porte. « Oui j'arrive. Donne moi une minute. » Je descends rapidement ouvrir pour elle la porte. « Bonjour » Je salut. Elle me regarde sans répondre. « Tu dormais toujours ?? » Elle me questionne. « Oui » je répond. Elle entre silencieusement mais est semble très nerveuse.« Que se passe-t-il Lana ? » ai-je demandé parce que je sois dérangé par la mauvaise mine de ma meilleure amie.« Est-ce que tout s'est bien passé avec ton rendez-vous ?? » je demande parce qu'elle refuse de parler. « Non » elle me crie dessus. « Tout ne s'est pas passé comme je le souhaitais. » Dit- elle. « Pourquoi ?? » ai-je demandé concernée. Mais Lana a mal pris les choses. Elle me crie dessus:« Pourquoi veux-tu savoir ? » demande t'elle. « Comptes- tu arranger les problèmes qu'ils ya eu entre nous ? » Elle me questionne. « Lana, calme toi. » Dis-je humblement. « Je suis désolée d'avoir posé la question » Elle m
PVD Kingsley J'avais quitté Douala pendant deux mois. Yvie avait dis ne pas connaître exactement la fille dont j'eus cette fabuleuse aventure. Mais, elle m'a promis tout même, de la chercher pour moi. Aujourd'hui encore, je suis revenu pour la chercher parce que je la désire. Elle est constamment dans ma tête. Elle occupe mon esprit.« Salut Kingsley.» Yvie arrive enfin. De son sourire, je pense qu'elle a de bonne nouvelle pour moi.« Bonsoir » je me lève et lui donne une chaise pour qu'elle s'assoit. « Merci. » elle s'assoit avec un sourire. Elle croise ses longues jambes et plonge la main sur les amuse-gueules posé sur la table.« Alors, quelles sont des nouvelles pour moi ?? » ai-je demandé impatient d'entendre la suite des mots positifs.« Ne m'offres - tu pas quelque chose à boire? » Demande t'elle en arrangeant ses longues mèches rouges frappante. De ses long ongles à vernis noir, elle se touche les lèvres. « Je suis assoiffée. » elle ajoute.Je regarde en silence. Elle passe
PDV Thérésa Deux mois plus tard...J'ai quitté l'établissement universitaire pour vivre chez ma meilleure amie. Parce que, je ne pouvais pas payer mon logement. J'étais trop stressée pour faire les deux en même temps.Comme chaque soir, Lana se prépare et se parfume pour son travail. Elle ne retourne que le lendemain. Je l'aide dans ses tâches ménagères avant d'aller aux cours de répétitions. J'ai assez entendu qu'elle me donne les nouvelles de mon client de l'autre soir, elle ne veut rien me dire. J'ai donc décidé qu'aujourd'hui:« Je viens avec toi ce soir.» Dis-je alors que j'applique du rouge à lèvres devant un miroir. Je ne peux rester sans rien faire. Elle dit n'avoir pas idée de l'homme qui m'a connu ce soir là mais je ne compte pas rester les bras croisés. J'ai envie de le retrouver. Si je reste à la maison sans chercher, je ne pourrai pas le retrouver. Il doit prendre sa par de responsabilité envers mon bébé.« Ma chérie...on n' en a déja parlé l'autre jour. Tu ne peux p
PVD Thérésa Pendant toute la nuit, j'ai été éveillé. À six heures, j'étais là première personne à me retrouver devant cette pharmacie. « Bonjour comment puis-je vous aider. » Demanda la caissière.« J'ai besoin d'un test de grossesse. » Dis-je anxieuse.« Mademoiselle, est-ce que ça sera tout?» Demande la caissière.« Oui. » Ai-je répondu.« Je n'aurai pas la monnaie. » Dit-elle.Même si je manquais de quoi manger, j'ai répondu « Vous pouvez garder la monnaie mais donnez moi ce test pitié.» ai-je supplié les main jointes.Les autres filles qui arriveraient derrière moi me regardaient avec beaucoup d'émotion. « Tenez ma demoiselles. » La caissière me tendit le test dans un emballage pharmaceutique.« Merci madame. » Je répond. Je me retourne aussitôt pour partir.« Mademoiselle,» elle m'interrompre. « Vous pouvez passer chercher votre monnaie quand vous voudriez en journée d'accord ?» « C'est gentil madame. J'y manquerai pas.» Dis-je.« D'accord.» Elle répond. Je me retourne, je t
* Point de vue de Thérésa *Un mois c'est passé. Tout basculait dans ma vie. Le vent est si violent, je manque d'équilibre. Je ne suis plus stable ni à l'école ni à la maison ni dans ma tête. Vers 19 heures 30 minutes, je rentre des cours. J'ai commencé à donner des cours de répétition dans les quartiers; de maison en maison. C'est un bon petit boulot mais seulement, les parents dérangent beaucoup. Ils se plaignent du forage pourtant; ils ne manquent pas d'argent pour offrir de la boisson gratuitement aux visiteurs. C'est lorsqu'ils doivent payer des répétiteurs que, leur argent esr toujours insuffisant. Ils commencent à penser à électricité ou à l'argent de l'eau pour d'autres encore, du loyer:«Voilà le plus grand problème que je rencontre dans mon nouveau job.»J'arrive à la maison, je vois Lana devant ma petite porte. Elle était assise dehors. Elle est toujours aussi magnifique. Elle porte une belle petite robe décolleté. Elle est rose et un peu transparente. Elle dévoile ses be
Kingsley Aujourd'hui...J'avais déjà fais trois mois à Douala depuis mon retour au Cameroun. J'avais jouer la vie et le désordre dont, j'avais envie de faire m'avait éloigné de mes pauvres parents tous vieux:Mon papa est âgée de 68 ans et ma maman de 61 ans. Ils n'avaient pas encore de petit fils...Cette situation était devenue gênant pour eux et pour moi bien évidemment. Il était donc de mon devoir de leur donner ce bonheur.Heureusement, j'étais de retour pour accomplir mes obligations de fils. Comme par hasard, j'ai rencontré cette fille avec qui je compte partager mon sang.*« Bonjour Patrick.» je salue mon meilleur ami. Il était assis dans un fauteuil blanc lorsque je suis entré dans son appartement. Il manipulait son portable.« Kingsley...» Il se lève avec un large sourire. On se serre la main. Il me touche l'épaule puis il m'offre une place à son siège. « Assieds-toi ici mon frère. » Dit-il en pointant un autre fauteuil blanc en face de lui. Je m'assoies. Une petite table
_ Thérésa Lana m'accompagna jusqu'à mon appartement. Nous entrions et nous prîmes place sur le grand canapé. « Fais moi voir ce fric.» Dit Lana très excitée.« Voici cet argent. Il a vraiment payé, je n'arrive pas croire.» Souriais- je. J'étais heureuse d'avoir trouver une solution pour tous mes problèmes. Je n'arrêtais pas de remercier le ciel. Puis, pensant à Lana qui était celle qui m'avait offert cette opportunité je dis:« Merci infiniment Lana!!! Car, sans tes idées, je sera encore assise quelques part à me morfondre sur mon destin.»« C'est vrai, ton niveau d'études est plus élevée que le mien. Mais, j'ai des bonnes idées. Alors, tu vois, on est si différente.» Répondit elle en souriant.Elle disait des choses du genre. Mais, je savais qu'elle n'avait pas eu beaucoup de choix avant de se retourner dans la vie qu'elle mène aujourd'hui. Ce sont les conditions de vie qui nous poussent tous à bout. Et ça, jusqu'à l'impensable.Moi, je n'aurai crû devoir être intime avec un homme
- Kingsley On m'appelle Kingsley, j'ai 27 ans. Je suis un fils à papa et le seul héritier de toute la grande famille Wilson. Je fais, 1,82. Je suis beau, je suis doux. Dans ma famille, nous sommes peu. Où dois-je dire, vieillissants. Mes ancêtres ont fait beaucoup d'enfants et nous étions beaucoup plus des hommes.Au file du temps, nous n'avions pas pu subsister car mes oncles n'eurent point d'enfants. Mon père fit plusieurs enfants, seulement, ils n'ont pas vécu tous. Beaucoup sont décès à leurs naissance ou encore après cinq ans seulement d'après mon père.J'étais alors le seul survivant. Il me cajole comme un œuf. Avant, mes études étaient ma première priorité. Même si celà n'intéressait pas beaucoup mes parents. J'étais celui qui avait insisté d'aller à l'école avant d'être père de famille. Mon père se plaignit tout le temps car il pensait que j'avais tout ce dont on un homme aurait besoin pour être heureux. Il voulait que j'épouse une femme et faire des enfants.Sans vouloi
- Thérésa Je fis cinq minutes sans bouger. Je regardais partout et il me venait même à l'esprit de retirer ce voile de mon visage. " Que fais-tu Thérésa ?" Je me questionnai intérieurement. " Veux-tu vraiment te donner à cet homme juste pour un peu d'argent ?''C'était clair pour moi en ce moment là que j'avais eu une mauvaise idée de suivre les conseils de Lana. Pourquoi l'homme souhaitait il me connaître alors que j'ai des yeux fermés? Tout celà était absurde. Je me retournai pour m'en fuire. Mais je fus stoppée par le grand torse de mon nouveau partenaire de chambre. '' Non, non, n'est pas peur ma chérie." Dit-il. '' je vais te montrer le chemin de la vie. Laisse moi te montrer le chemin de la vie. Rassure toi, tu vas adorer." Dit il.C'est ainsi, qu'il me prit par le bras. Il me conduisit dans la chambre. Je pouvais voir ce dont il me faisait. Je pouvais juste sentir ses caresses.Son odeur d'un mélange d'alcool et sueur me donnai envie de vomir. Et lorsque ses lèvres frôla la