...Je ne pouvais pas m’empêcher de rire.Cédric serait responsable d’elle.Pourquoi est-elle venue me voir ?Elle devait cherche Cédric.Clémence se caressait le ventre, « Il faut encore accélérer votre procédure de divorce, sinon, cela retardera la naissance de mon enfant. »« Alors, va presser Cédric. »Le bâtiment du groupe était climatisé à température constante toute l’année. J’ai enlevé mon coupe-vent et je l’ai accroché, puis j’ai pris l’arrosoir pour arroser les plantes vertes devant la porte-fenêtre.Puisque Cédric a refusé de tracer une ligne claire, je n’étais pas pressée.Je pouvais laisser Clémence le harceler.Clémence a ricané, « Arrête de feindre. Tu fais semblant de ne pas te soucier de notre relation, mais tu continues à harceler Cédric. »« En fait, je peux te comprendre aussi. Tu es une orpheline sans père ni mère, tu ne veux pas quitter la famille des Baudet qui peut te soutenir, c’est normal. »« Mais Chloé, en tant que femme, il vaut mieux ne pas être si éhontée
J’avais la gentillesse de montrer la direction : « Si tu ne veux pas que ton enfant soit illégitime, va chercher Cédric et demande-lui de divorcer avec moi rapidement, tu as compris ? »« Ne cause pas d’ennuis ici, si tu perds cet enfant, tu perdras un poids pour entrer dans la famille des Baudet. »« Envoie ta boss dehors », j’ai demandé finalement à son assistante.Clémence a sauté de colère, mais elle pensait probablement que ce que j’avais dit était raisonnable, alors elle est juste partie.Et la direction que j’ai indiquée était utile.Quant à la façon dont je le savais, j’ai reçu un appel de Cédric dans l’après-midi.« Qu’est-ce que tu as dit pour l’exciter ? »Il m’a appelée juste pour m’interroger.J’ai arrêté ce que je faisais et j’ai dit : « Je n’ai rien dit, elle m’a pressée à divorcer et je lui ai demandé de te chercher. »Il a demandé d’un ton grave, « Tu ne l’as pas laissée mourir ? »« … »Elle voulait me calomnier ?Je n’étais pas surprise que Clémence fasse comme ça. J
Après la perfusion, quand je l’ai accompagnée à la maison, il faisait déjà noir.J’avais peur qu’elle ne puisse pas prendre soin d’elle-même ces deux jours, alors je suis simplement resté chez elle.Le lendemain, pendant le petit-déjeuner, Cécile m’a regardée secrètement à plusieurs reprises.J’ai souri et j’ai demandé : « Qu’est-ce qui ne va pas ? »« Eh, c’est... »Cécile a hésité à parler et a changé d’expression, « La nuit où Cédric a été drogué, ton téléphone portable s’est soudainement éteint, et je n’ai pas trouvé l’occasion de te le demander plus tard. »Je ne comprenais pas, « Tu veux demander quoi ? »Elle a souri, s’est approchée et a demandé : « Avez-vous dormi ensemble ? Après avoir pris ce médicament, est-il très durable et excitant ? »« … »Je mangeais les nouilles et je me suis soudainement étouffée. Même si je savais déjà qu’elle avait une personnalité franche, j’étais quand même étonnée.J’ai toussé plusieurs fois et j’ai fait semblant d’être calme, « Non, non. »Ell
J'ai été surprise et a demandé : « Comment tout le monde a-t-il su qu'elle était enceinte ? »« De toute évidence, peu de gens auraient dû le savoir. »« Je ne sais pas non plus. »Cécile s'est assise, les jambes croisées. Elle a poursuivi :« Il y a plein de gens qui veulent punir les maîtresses. Je suppose qu'elle s'est révélée quelque part et que la nouvelle de sa grossesse s'est répandue à cause de cela. »« Il te suffit de te croiser les bras. Tu ne dois pas t’impliquer. »Je n’étais pas une sainte.Clémence et Cédric se sont livrés à ce genre d'infidélité conjugale, peu importe lequel des deux, ils méritaient d'être interpellés pour ce qu'ils ont fait.C’était juste que Cédric avait un mauvais tempérament.S'il essayait de rendre justice à Clémence, j’avais peur que Cécile soit impliquée.Elle a fait de son mieux pour survivre seule à la Ville J.Elle ne pouvait pas résister à la répression de Cédric.Cécile s'est touchée les oreilles et a dit d’un air gêné : « J'ai compris. »
Cécile a cédé et m'a arraché le téléphone des mains, sa maladie n'ayant en rien entamé sa combativité.« Clémence, comment peux-tu être si effrontée ? Tu n'arrives même pas à cacher ton air d’une maîtresse, tu ne le vois pas ? »« Et Cédric, tu n’es qu’un salaud ! »J'ai paniqué et je me suis précipitée pour raccrocher le téléphone avant que Cédric réponde !Cécile n'en a pas eu assez et m’a demandé furieusement : « Pourquoi as-tu raccroché ? Je vais les maudire ! »« Calme-toi. »Je me suis calmée et j'ai versé une tasse d'eau chaude à Cécile. Ensuite, j’ai pris la parole :« En fait, c'est bien que Cédric puisse l'écouter et c'est bon pour nous de nous divorcer. »Dans la situation où nous nous trouvions Cédric et moi, le mieux était de nous séparer.« Es-tu prête à faire ça ? »Cécile a avalé une grande gorgée d'eau chaude et a dit d’une voix de plus en plus énervée : « Je suis d'accord pour ton divorce, mais je ne suis pas d'accord pour que tu fasses la mauviette. Cette maîtress
« Ne soyez pas une honte ! »« Hein ? »Vincent a ouvert les yeux et paraissait choqué.Il a pris la parole :« Ma belle-sœur ? Comment se fait-il que ce soit toi ? »Et puis, en se grattant la tête maladroitement, il a poursuivi : « Tu es venue aussi. »« Eh bien, je suis venue pour baiser Cécile aussi. »Je l'ai taquiné, en faisant un geste vers le placard à chaussures et disant : « Fais comme chez toi ».À en juger par son allure, ce n’était pas la première fois qu’il était venu ici et il n'avait pas besoin que je lui apporte des pantoufles.En me retournant, j'ai lancé un regard interrogateur à Cécile.Cécile a haussé les épaules et a dit : « Ce n'est pas du tout ce que tu crois, je suis toujours célibataire. »« Ma belle-sœur, attends donc ma bonne nouvelle ! »Vincent est sorti de son embarras, a changé de pantoufles et a repris la conversation de manière ludique.Cécile lui a grondé : « Va te faire foutre, qu'est-ce que tu fais là ? »« Je croyais que tu étais malade, je sui
Je me suis légèrement figée et a répondu :« Peut-être ».Nous étions tous des adultes, et à ce stade, nous tenions tous aux paroles et aux actions de l'autre partie.Pourtant, ce que je voulais, ce n’était jamais sa faveur irraisonnable.C’était trop ennuyeux.Si nous ne pouvions pas être amoureux, alors c’était le meilleur choix pour nous de nous séparer.Le rendez-vous d'aujourd'hui n’était pas un jeu d'alcool, mais un jeu de cartes.Quand je suis arrivée à la porte de la boîte, j'ai voulu aller aux toilettes, alors j'ai dit à Cécile et aux autres et je suis allée aux toilettes.Après avoir satisfait mes besoins physiques, je suis sortie du coin des toilettes et j'ai vu Janvier.Il m'a aussi vue par hasard, a levé les sourcils et a souri en disant : « J'ai lu la liste d'inscription que le Groupe des Baudet a soumise, tu y figures. J’attends le jour où nous travaillerons ensemble. »J'étais un peu gênée et j'ai dit en souriant : « Janvier, je viens d'avoir la chance de m'inscrire,
Encore une fois.Cédric m’embarrasserait s’il ne pouvait pas me convaincre.Il m'a pris la mâchoire et m'a embrassée fort, ses mains se sont posées sur ma taille, me frottant et me faisant frissonner.Je savais que si je le laissais continuer comme ça, je ne pourrais même pas me montrer quand je franchirais cette porte.Pourtant, je ne pouvais rien faire.Cédric était dominant et fort dans ce domaine, et la différence de puissance entre une femme et un homme était encore plus grande.Résistante, je savais que Cédric pouvait être convaincu par la raison, alors, je ne pouvais que pencher la tête et chuchoter pour demander grâce : « Cédric, ne sois pas comme ça, sinon, je ne pourrai plus voir personne plus tard… »« Qui veux-tu voir ? Janvier ? »En disant cela, il m’embrassait, sa voix s'échappant d'entre ses lèvres et ses dents d'une manière extraordinairement sombre et sexy.Dans ce cas, je ne pouvais naturellement pas aller contre lui, je ne pouvais qu'être forcée d'accepter son bais