« Oui, ils semblent beaucoup ! »Cécile a suivi mon regard et a trouvé que ça y ressemblait aussi.Elle a dit d’un air excité sur le visage : « Allez ! »Sur ce, elle a détaché sa ceinture et est sortie rapidement de la voiture.Je l'ai suivie, et nous avons ensemble poursuivi Clémence et mon beau-père jusqu'au hall de l'hôtel.Mais où étaient-ils encore ?Nous avons dû marcher jusqu'à la réception de l'hôtel, et Cécile a dit d’une voix douce : « Mademoiselle, l'homme et la femme qui sont entrés tout à l'heure, est-ce qu'il y a une grande différence d'âge ? »Avec son joli visage et son sourire, il était facile de lui faire confiance.L'une des réceptionnistes, de petite taille, a répondu tout de suite : « On dirait que leur différence d'âge est assez grande. »« Quoi ? Je vois que tu es trop stupide. »Une autre réceptionniste expérimentée l'a immédiatement interrompue et nous a regardées avant de dire : « Désolé, nous ne pouvons pas divulguer d'informations sur nos clients. »« C
Il s’avérait que Cédric défende sa seconde belle-mère sans qu’il en soit averti.J'ai pincé les lèvres et j’ai dit :« Je suis plus curieuse de savoir ce qui va arriver à Morel si c'est vrai. »Aujourd'hui, à l'hôpital, elle défendait encore sa fille avec acharnement.Si elle avait su que sa propre fille avait déjà fait l’amour avec son mari pendant les années où elle était dans le coma...Cela aurait été génial de voir elles se disputer.Cécile m'a jeté un coup d'œil et m'a dit : '« Qu'est-ce que tu as dans la tête ? Il semble que si tu sois sur le point de faire quelque chose de mal. »J'ai affiché un sourire et j’ai répondu : « Je pense à la scène que je les prends quand ils font l’amour. »Cécile a haussé les sourcils en disant : « Je ne m’attends pas à ce que tu aimes une scène si effroyable. »« J’ai été forcée. »« Clémence, je vais te frapper un grand coup cette fois. »La nuit ne faisait que commencer au bar à cette heure-ci, la musique forte frappait les tympans et les hom
Avec un sursaut, je me suis retournée pour rencontrer une paire d'yeux cristallins et ambrés.Je ne pouvais m'empêcher de se frotter légèrement la poitrine et j’ai pris la parole :« Janvier, tu m'as fait peur ! »« Désolé. »Vincent a affiché un léger sourire et a dit :« Je ne voulais pas vous espionner, je passais juste par là. »J'ai souri d'un air désintéressé en demandant : « Tu es là pour faire des rencontres ou avec un ami ? »« Avec un ami », a répondu Janvier d’une voix douce, cachant le désespoir dans ses yeux alors qu'il regardait Cécile.Naturellement, j'ai compris qui était l'ami dont il parlait.Cécile l'a compris aussi et nous a dit : « Vous parlez, je vais danser. »Sur ce, elle a enlevé son manteau, et à l'intérieur se trouvait une robe de soie noire à dos nu, révélant ses beaux os, qui a attiré beaucoup d'attention dès qu'elle est arrivée sur la piste de danse.Lorsqu'elle dansait, elle attirait encore plus l'attention.J'ai regardé Janvier s'asseoir avant de lui d
Sur le chemin du retour, Janvier contrôlait le volant et a incliné la tête pour me regarder avant de demander : « Es-tu toujours inquiet pour Cécile ? »« Non. »J'ai secoué la tête et j’ai répondu : « Elle peut gérer tout ça toute seule. »Cécile faisait tout à bon escient.Je croyais qu'elle avait la capacité de s'en sortir à temps.« Bon. »Janvier a répondu faiblement : « Comment envisages-tu de venir travailler à la société MS ? »« Janvier, je te remercie pour ta faveur. » Je l'ai remercié, puis j'ai expliqué : « Je ne peux pas aller à la société MS pour l'instant, il y a trop de choses qui se passent en ce moment, alors je veux d'abord régler mes affaires avant de me mettre au travail. »Janvier n'a pas eu le moindre remords, il a juste dit avec un sourire :« Il semble donc que tu ne puisses même pas être mon collègue pendant une journée. »« Comment ? »Je ne comprenais pas.Les yeux de Janvier étaient profonds, et ses lèvres minces légèrement ouvertes étaient colorées d'
J'étais stupéfaite de son assurance.Oui, je ne pouvais pas nier que Cédric m'avait plu, mais qu’était-ce qui lui faisait croire que je resterais amoureuse de lui et que je le choisirais pour toujours.J'ai fait tourner mon poignet sous son joug, et comme je ne me libérais pas, j'ai simplement dit : « Je ne veux pas. Cédric, lâche-moi ! »La lumière est descendue du sommet de sa tête, ses orbites sont devenues de plus en plus profondes et Cédric a dit d’une voix froide :« C'est bien, tu en as vraiment le culot. »Cependant, dans la seconde qui a suivi, à mains nues, il m’a poussée dans la voiture et a claqué la portière d'un coup sec.Ignorant mon mouvement pour ouvrir la porte, il l'a enfoncée à fond.À l'extérieur de la voiture, l'aura de deux hommes de près d'un mètre quatre-vingt-dix battait son plein, et il y avait une sensation de tension comme si de la fumée était sur le point d'éclater.J'ai eu peur qu'ils se battent à nouveau, mais Janvier s'est calmé à cause d’une phrase de
Finalement, c'était la famille des Lebrun qui avait fait du tort à Janvier et à sa mère, il ne faisait que reprendre ce qu'il méritait.J'ai regardé Cédric et j’ai répondu :« Et même s'il n'est pas simple, je lui fais toujours confiance et ça ne te regarde pas. »« Tant que tu ne reçois pas de papiers de divorce de ma part, c'est mon affaire ! »Cédric semblait exaspéré et m’a dit avec le bout de sa langue contre sa joue : « Chloé, ne pense même pas à me trahir avant notre divorce. »Sur ce, il a ordonné au chauffeur d'une voix faible : « Conduis ! Retournons au vieux manoir ! »J'étais confuse et je l'ai regardé avec des yeux écarquillés et je lui ai demandé :« Qu'est-ce que tu veux faire ? »« Ne pense même pas à voir Janvier en privé tant que tu n'as pas reçu les papiers du divorce ! »En entendant ce ton imperturbable, j'ai failli devenir folle et me suis débattue désespérément en disant :« Qu'est-ce qui te donne le droit d'interférer avec ma liberté personnelle ? »Cédric est
Je devais dire que le pouvoir était vraiment une bonne chose.Avec une telle phrase de sa part, je savais étonnamment bien que je ne pouvais vraiment pas m'en aller.Tant qu'il donnerait un ordre, les gardes du corps formeraient un mur de chair devant moi, m'empêchant de bouger d'un pouce.Je pinçais les lèvres, me suis retournée simplement et a passé au-dessus de Cédric, puis est retournée froidement dans ma chambre.D'un revers de main, j’ai verrouillé la porte.Puisque Cédric voulait m’enfermer ici, j’allais rester ici, après tout, je n’étais plus qu'un oisif.La vieille maison ne manquait pas de nourriture et il y avait des servantes.Alors, je serais libre après avoir obtenu mes papiers de divorce.Notre chambre était toujours dans le même état.Les femmes de ménage savaient que Cédric n'aime pas qu'on déplace ses affaires, alors quand elles faisaient le ménage, elles se contentaient de passer la serpillière et de frotter le sol.Ils ne déplaçaient rien.Mes pantoufles, mes produi
« Je sais et j'ai le médicament. »Cédric s'est levé et a s’est approché de moi avant de dire :« Je vais t'apprendre à le changer. »« Alors, tu n'as qu'à le changer toi-même. »Sur ce, je m'apprêtais à partir.« Chloé. »Sa paume sèche s'est soudain posée sur moi et Cédric a dit d’une voix rauque : « J'ai mal. »En entendant cela, je n’arrivais plus à rester indifférente.Et, après tout, il s'agissait d'une blessure grave par balle. Je l'ai regardé avec méfiance et je lui ai demandé :« Cédric, pourquoi n'ai-je pas compris plus tôt que tu es si doué pour attirer la pitié des autres ? »Cédric a baissé les yeux et a demandé avec désinvolture : « Alors, as-tu pitié de moi maintenant ? »« Non. »Après avoir dit cela, je me suis retournée.Cependant, j'ai été ramenée par lui avec force.Cédric a baissé comme jamais sa noble tête et a dit d’une voix douce : « J'ai vraiment mal. »J’avais même envie de me gronder en ce moment : « Chloé, tu es si radine. »Cependant, en pensant à ses