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Chapitre 147

Les yeux de Clémence étaient pleins de sourire de triomphe !

J'ai soudain compris ce qu'elle voulait dire, et sans aucune panique, j'ai lentement retiré ma main, et sous les yeux consternés de Cédric, j'ai faiblement dit :

« Ce que tu vois est la réalité. »

De toute façon, il n’a jamais écouté mes explications.

De plus, il l'a maintenant vu de ses propres yeux, alors toute autre explication de ma part serait vaine.

Dans le passé, je m'inquiétais encore de certaines choses sans fondement, qu'il pense que j’étais impitoyable ou quelque chose comme ça, mais maintenant, je ne m'en préoccupais même plus.

C’était comme ça.

Ce que Cédric pensait de moi n'avait pas d'importance.

Clémence couvrait sa blessure, le visage plein de larmes, elle a dit avec des sanglots :

« Cédric, sauve-moi... J'ai tellement mal ! Elle m'a soudain donné un coup de couteau comme si elle était folle... »

Clémence, qui avait trente ans, était encore si rusée.

J'ai ri froidement et je l’ai demandé :

« Pourquoi pleure
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