Share

Chapitre 375

Author: Ursule Joly
Janine n’avait pas envie de perdre plus de temps ici ; elle sentait que chaque seconde passée là réduisait sa durée de vie.

Cependant, Richard l'a regardée avec une intensité sentimentale : « Janine, tu esquives ma question. »

Janine a été profondément dégoûtée par cette attitude.

Elle a souri avec mépris et a dit : « Je jure solennellement que je ne t'aimerai pas et je n’aurai pas de sentiments pour toi ! Alors ça te convient comme réponse ? »

L’expression de l'homme s'est figée instantanément.

Il n’avait pas imaginé que Janine irait jusqu’à faire un tel serment !

Il ne comprenait pas pourquoi il était si rejeté.

Après tout, il était un homme accompli, tandis que Janine n’était qu’une femme divorcée sans grand capital pour se permettre de critiquer.

Richard a rapidement repris son calme : « Janine, pas besoin de te maudire toi-même. Je peux ne pas transmettre cet enregistrement à la police, mais j’ai une condition, tu dois accepter de devenir ma petite amie. De cette façon, nous se
Continue to read this book for free
Scan code to download App
Locked Chapter
Comments (1)
goodnovel comment avatar
Marie
bonjour un très bon livre bonne continuation à vous
VIEW ALL COMMENTS

Related chapters

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 376

    Janine ne voulait pas continuer la conversation, elle avait peur d'être furieuse à nouveau.« Janine, tu pars comme ça, sans même écouter l'enregistrement ? », a demandé RichardElle s'est retournée pour le regarder : « Alors montre-moi l'enregistrement pour que je l'écoute. »Après avoir dit cela, Richard s'est tu un moment, et elle a compris alors qu'il mentait ; il n'avait clairement pas d'enregistrement en main.Janine s'est dit qu'elle n'aurait pas dû venir aujourd'hui.Elle commençait à se sentir agacée ; pourquoi son quatrième cousin ne répondait-il pas ? Elle devait absolument discuter de cette affaire avec lui avant de pouvoir la gérer.Comment pouvait-il être aussi peu fiable ?Janine se préparait à quitter l'hôpital, mais à peine sortie de l'ascenseur, elle a reçu un appel de Paulin.Elle était encore sous le coup du dégoût provoqué par Richard et sa mère ...En voyant l'appel de Paulin, elle a répondu sans préambule : « Qu'est-ce qu'il y a ? »« La photo n'est pas comme ce

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 377

    En entendant cette phrase, Paulin a eu l'impression que son esprit était complètement vidé.Janine était enceinte ?Alors, qui serait le père de son enfant ?Peu après, la voix du directeur de l'hôpital s'est fait entendre au téléphone : « Monsieur Paulin, si vous devez faire le choix entre sauver Madame Janine ou l’enfant, que décideriez-vous ? »Paulin a pris une profonde inspiration, pensant : Sauver Janine ou l’enfant, quelle question stupide.Il avait l’impression de porter un chapeau flamboyant qui se moquait de lui.Janine était enceinte, c'était vraiment incroyable.Il a répondu d’un ton glacial : « Est-ce vraiment nécessaire de faire le choix ? »Le directeur a tenté prudemment : « Sauver l’enfant, peut-être ? »En général, dans ces familles riches, les enfants étaient souvent très précieux, non ?Le visage de Paulin est devenu livide : « Sauver ma femme. L’enfant n’est pas important. »Pourquoi devrait-il se soucier de la vie d’un enfant qui n’avait rien à voir avec lui ?Il

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 378

    Le directeur a repris : « Monsieur Paulin, ne vous inquiétez pas, nous allons enquêter sur cette affaire jusqu'au bout. De plus, ils n'ont pas encore payé les frais médicaux. »« Parlez moins fort, pourquoi faites-vous tant de bruit ? Je ne suis pas sourd », a réprimandé Paulin, baissant la voix. Mais il semblait que c'était déjà trop tard, la femme allongée sur le lit s'était déjà réveillée.Janine ressentait une douleur diffuse dans tout son corps. En ouvrant les yeux, elle s'est précipitée pour toucher son ventre, inquiète pour son bébé.Elle ignorait si l'enfant était en bonne forme.Janine a levé la tête avec inquiétude et a aperçu Paulin.À cet instant, elle s'est figée : « Que fais-tu ici ? N'es-tu pas en voyage d'affaires ? Suis-je encore en train de rêver ? »Paulin a ricané : « Quoi ? Tu te sens coupable en me voyant ? »Janine a serré les lèvres sans répondre.À ce moment-là, l'assistant Lucien a remarqué la situation délicate et a fait un signe discret au directeur et à s

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 379

    Après que Janine a terminé sa phrase, elle a vu l'homme devant elle admettre avec assurance : « C'est moi qui l'ai fait. »Janine : « Quoi ?? »N'est-ce pas encore une hallucination de sa part ?En voyant son expression stupéfaite, Paulin s’est demandé pourquoi elle était aussi surprise : « Tu es si choquée ? Ne savais-tu pas que c'était moi ? »Soudain, l'humeur de Paulin est devenue moins agréable.Janine a hésité un instant : « Je pensais que c'était mon frère. »« Ton frère ? Quel frère ? », a demandé Paulin.Janine s’est reprise immédiatement et a pris les devants : « Paulin, je n'ai pas encore demandé pourquoi tu as frappé Richard, et pourquoi tu l'as mis dans un état pareil ? »Si elle avait su que c'était dû à un homme comme Paulin, elle ne serait pas venue à l'hôpital pour être dégoûtée par cette mère et son fils !Paulin a lâché un rire méprisant : « Je ne pouvais pas le supporter, est-ce un problème ? »Janine s’est retrouvée perplexe. Si Paulin n'avait pas agi ainsi, elle n

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 380

    Parce que Paulin avait dit dès le départ qu'il ne voulait pas d'enfants. S'il apprenait qu'elle était enceinte, il exigerait sûrement qu'elle avorte. En un instant, Janine a pris une décision : « Non, non, tu as raison ! »« Très bien, c'est très bien ! C'est donc parce que tu attendais un enfant d'un autre homme que tu étais si pressée de divorcer, c'est ça ? Je me demandais pourquoi tu avais changé de comportement si soudainement et que tu voulais divorcer si vite. En fait, non seulement tu avais déjà trouvé un autre homme, mais tu avais même un enfant ! », a ironisé PaulinLa colère se lisait sur le visage de l'homme, et son regard était un peu menaçant.En quelques secondes, Janine a senti des gouttes de sueur froide couler le long de son dos, craignant qu'il ne trouve une faille dans son histoire. Maintenant que la grossesse était plus avancée, elle avait entendu dire qu'il était possible de faire un test de paternité par amniocentèse.Janine ne pouvait pas se permettre de pren

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 381

    Janine avait presque perdu la raison lorsqu'elle criait ces mots, car elle voulait instinctivement protéger son enfant. Elle savait que Paulin était un homme de parole, s'il disait qu'il allait la faire avorter, il le ferait certainement.Brusquement, la chambre était extrêmement silencieuse.Paulin a baissé les yeux vers elle, semblant avoir du mal à croire : « Qu'as-tu dit tout à l'heure ? »Le menton de Janine était maintenu par sa main, la forçant à lever les yeux pour le regarder. Ses yeux étroits étaient profonds et scrutateurs. Elle a répondu : « Tu n'as pas entendu ? »Janine avait maintenant des regrets, mais elle ne savait pas quoi faire d'autre. Ici à l'hôpital, cet homme pourrait facilement faire avorter son enfant.Paulin s'est penché et a fixé son regard sur son ventre. Janine a ressenti le danger et a tenté instinctivement de protéger son ventre avec ses mains, mais il a éloigné ses mains.Lorsqu'il fixait son regard sur son ventre, son cœur est remonté dans sa gorg

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 382

    Paulin a jeté un coup d'œil sur le directeur à côté de lui : « Quels sont les risques d'un avortement ? »Le directeur a été perplexe. Pourquoi a-t-il posé des questions sur l’avortement alors que Madame Janine était enceinte depuis peu ?Mais le directeur n'a pas osé demander et a répondu de façon honnête : « Cela dépend des circonstances. En général, plus l'avortement est pratiqué tôt, mieux c'est, et moins il y a de procédures, mieux c'est. »Paulin a froncé les sourcils : « Fixez un rendez-vous pour l'opération alors. »Le directeur a hésité un moment : « Monsieur Paulin, bien que je ne sache pas ce qui se passe, la condition physique de Madame Janine est spéciale. Un avortement pourrait entraîner des complications, et elle pourrait avoir des difficultés à tomber enceinte à nouveau. Étant donné qu'elle porte des jumeaux, je vous recommande de les garder. »« Les garder ? », a demandé l'hommeLe regard de l'homme est devenu sombre et tendu, son profil s'est raidi en une ligne droit

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 383

    En entendant les bruits de pas, Janine a retenu instinctivement sa respiration.Après tout, Paulin venait de lui passer un coup de téléphone. Est-ce qu'il savait qu'elle se cachait dans ce parc ?Janine s'est recroquevillée avec précaution, craignant d'être découverte. Son esprit était en ébullition. Que ferait-elle si Paulin la trouvait ? En plus, la grand-mère de Paulin était toujours en soins intensifs à l'hôpital, elle ne pouvait pas aller lui demander de l'aide !« Janine ? »Cette dernière s'est figée soudainement, puis a répondu avec une joie visible : « Cyril !! »Quand elle l'a vu, elle a été presque submergée par les larmes de bonheur. Heureusement que la première personne à la trouver n'était pas Paulin !« Janine, que t'arrive-t-il ? Pourquoi portes-tu une tenue d'hôpital ? », a demandé Cyril, voyant sa sœur se cacher pitoyablement derrière une pierre. Il était presque fou de voir son état. Cyril s'est précipité vers sa sœur, l’inquiétude dans la voix : « Qu’est-ce qui

Latest chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 573

    Après avoir mangé ce morceau de pâtisserie, Janine a bu une gorgée d’eau. Elle a alors remarqué que Paulin la fixait sans détour.Ses yeux, longs et profonds, étaient rivés sur elle.Il ne disait rien, mais sous la lumière tamisée, ses traits ciselés paraissaient encore plus marqués.Son regard la mettait mal à l’aise. Elle a baissé les yeux et a murmuré : « Il se fait tard, tu devrais rentrer. »Elle l’a littéralement chassé de chez elle, sans même lui accorder un dernier regard.Elle ne voyait pas pourquoi elle devrait être aimable avec lui. Après tout, ils étaient divorcés maintenant. Peu importe ce qu’il faisait, elle s’en fichait complètement.Paulin a fini par se lever du canapé. Sa silhouette imposante s’est dressée sous la lumière, projetant une ombre longue sur le sol.L’espace, déjà exigu, paraissait encore plus étroit à cause de sa présence, son corps obstruant la lumière devant elle.Son ombre l’enveloppait, et son regard était à la fois sombre et insondable.Elle a senti s

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 572

    Sérieux ? Il choisissait ce moment pour venir la perturber ?Peu de temps après, elle a cru entendre la sonnerie de la porte d’entrée.Janine s’est redressée d’un coup dans son lit.Il n’aurait quand même pas osé monter, si ?Elle a réfléchi un instant. Elle devait sûrement avoir mal entendu. Paulin ne viendrait pas jusqu’ici pour la voir !Mais elle a ensuite entendu qu’on frappait à la porte.Sans perdre une seconde, elle a ouvert la porte de sa chambre, juste à temps pour voir sa tante se diriger vers l’entrée.« Il est tard... C’est qui ? »« Tante Solène... »Elle a voulu l’arrêter, mais c’était trop tard.La porte s’est ouverte, révélant Paulin sur le seuil. Il portait un ensemble sportif gris, bien loin de son allure stricte et impénétrable en costume. Il avait l’air... plus accessible, plus ancré dans la vie quotidienne.Janine a esquissé un sourire gêné, mais poli. Ce salaud était vraiment monté jusqu’ici !Solène, en reconnaissant Paulin, a ouvert de grands yeux, stupéfaite.

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 571

    Deux hommes se sont croisés dans le couloir. L’un affichait une maturité froide et impitoyable, tandis que l’autre dégageait une distance glaciale et détachée.L’atmosphère semblait d’un calme absolu.Alors qu’ils allaient se croiser, Paulin n’a pas pu s’empêcher de prendre la parole : « Elle et toi, ça ne marchera pas. »Un léger sourire a effleuré les lèvres d’André : « En tant qu’ex-mari, tu te mêles un peu trop de ce qui ne te regarde pas. »« Arrête ! »Paulin a pivoté légèrement, son regard perçant et glacial : « C’est un avertissement. De toute façon, ta famille n’acceptera jamais les enfants qu’elle porte. Elle est têtue, elle ira jusqu’au bout pour les garder. »« Non. Ma famille sera ravie d’accepter les enfants qu’elle porte. Parce que moi, je suis stérile. Je n’aurai jamais d’enfant. Si je l’épouse, j’aurai à la fois une femme et des enfants. Et en plus, ce sont des jumeaux. Ma mère ne va pas en revenir de joie. »D’un ton léger, André a lâché ces mots avant de tourner les

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 570

    Si les autres frères l'apprenaient, elle ne pourrait probablement pas les retenir.Alors qu'elle s'apprêtait à répondre, elle a soudain remarqué le reflet sur la bouteille de vin rouge derrière elle – l'homme debout à la porte n'était autre que Paulin.Quelle coïncidence, sa salle privée était juste à côté ?Depuis combien de temps cet homme odieux se tenait-il là ?Janine a hésité un instant, puis a regardé André en face d'elle : « Parce que l'enfant n'est pas de lui. »En entendant cette réponse, une lueur de surprise a traversé le regard d'André, comme s'il ne croyait pas tout à fait ses paroles.Après avoir parlé, Janine a continué à surveiller du coin de l'œil le reflet sur la bouteille de vin.Peu de temps après, la silhouette s'est éloignée et est retournée à l'intérieur.Janine a poussé un léger soupir de soulagement. Pour l'instant, elle ne voulait pas que Paulin sache que l'enfant était de lui, car elle était déterminée à emmener l'enfant avec elle.Le repas était à moitié te

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 569

    Quand Janine a vu Paulin, elle a soudain réalisé à quel point le monde était petit. Comment pouvait-elle le croiser ici, de toutes les places ?Paulin se tenait au milieu d'un groupe, sa haute stature et sa démarche assurée le rendant particulièrement remarquable.Mais quand il a aperçu Janine en compagnie d'un homme, son pas s'est légèrement décalé, et son regard s'est fixé intensément sur elle.En tant que grand patron, quand Paulin regardait quelque part, les autres suivaient naturellement son regard.Ses lèvres minces se sont serrées en une ligne froide. Pour être honnête, il était surpris de la voir ici.Mais ce qui l'a encore plus surpris, c'était de la voir dîner avec un homme inconnu.Son regard s'est immédiatement assombri. Chaque fois qu'il voyait un homme à ses côtés, son humeur devenait exécrable.L'atmosphère dans le hall est devenue étrangement tendue.Janine ne s'attendait pas à croiser Cet homme odieux ici. Elle a ignoré Paulin et s'est tournée vers André : « Allons-y.

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 568

    « Parler dans le dos des gens, ce n’est pas très bien non plus, n’est-ce pas ? » a déclaré André.Janine a immédiatement senti un frisson lui parcourir le dos. Elle s’est retournée et a vu le beau médecin debout à l’entrée, appuyé contre le cadre de la porte, le regard pénétrant fixé sur elle.Elle ne s’attendait pas à se faire prendre sur le fait.Elle a forcé un sourire : « Euh... ce n’est pas ce que je voulais dire. En général, plus un médecin est strict, meilleur il est. »« Janine, ne le prends pas trop à cœur, il est toujours comme ça », a dit son frèreCyril a tapoté son épaule : « À propos, Janine, on sort dîner ce soir ? C’est rare que certains viennent en mission à Paris pour une semaine. Il a fait le déplacement pour me voir, alors je dois au moins l’inviter à manger. »« Tu n’es pas si important que ça. J’ai entendu dire que tu avais retrouvé ta sœur, alors je suis venu spécialement pour voir à quoi elle ressemble », a ajouté André.Janine a cligné des yeux. Il était venu s

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 567

    Janine a réfléchi attentivement avant de répondre : « Il ne devrait pas y avoir de problème, Mamie. Y a-t-il quelque chose que tu aimerais que je fasse pour toi ? »« Cette opération était une question de vie ou de mort, et après avoir finalement quitté l'hôpital et commencé à récupérer, j'ai décidé d'organiser une petite fête pour célébrer cela. Je voudrais t'inviter, ainsi que tes frères, à y participer. Penses-tu qu'ils auront du temps ? » a demandé la vieille dame NadineJanine ne s'attendait pas à ce que la grand-mère de Paulin invite également ses frères à la fête.Cette image était si indescriptible qu'elle osait à peine y croire !Elle a hésité un moment : « Euh, Mamie, je devrais en parler à mes frères d'abord. Je te répondrai plus tard. »Après avoir raccroché, Janine était distraite pendant son petit-déjeuner.Comment allait-elle aborder ce sujet avec ses frères ?À midi, Janine a commencé à sentir un certain inconfort dans son ventre, comme si quelque chose le frappait.Inq

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 566

    Josiane s’est empressée de parler : « Janine, en tant qu’anciennes camarades de classe, je t’en prie, pardonne-moi cette fois. Je n’oserai plus jamais. L’entreprise de ma famille a fait faillite, mon père a été emmené par des hommes, et si cela continue, nous n’aurons vraiment plus aucun recours. »« Et quand tu harcelais les autres, quand tu répandais des rumeurs malveillantes pour nuire aux autres, tu n’as jamais pensé que tu en arriverais là un jour ? »En voyant Josiane rester sans voix, Janine lui a lancé un regard froid : « Je te le répète, je ne te pardonnerai pas. »Elle allait partir, mais Josiane s’est agenouillée soudainement : « Janine, pardonne-moi cette fois, je m’excuserai publiquement dans le groupe des anciens élèves et je publierai un message épinglé sur mon réseau social. Je n’oserai plus jamais ! »« Lâche-moi ! Pourquoi est-ce que tu penses que tu peux harceler les autres quand tu veux, et maintenant que tu t’excuses, les autres doivent forcément te pardonner ? Le

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 565

    Janine se tenait au bord de la route animée, le regardant attentivement.Autour d’eux, les passants allaient et venaient, nombreux à se retourner pour admirer l’apparence exceptionnelle de Paulin.La lumière des réverbères n’était pas très vive, et le regard de Paulin est devenu légèrement mal à l’aise. Il a répondu instinctivement : « Janine, tu es si narcissique ? »Après avoir prononcé ces mots, Paulin a serré immédiatement ses lèvres minces, éprouvant un certain regret.Janine a hoché la tête : « Puisque tu ne m’aimes pas, alors ne te montre pas si souvent à mes côtés et ne faites pas toutes ces choses gentilles pour moi. Ça me donne l’impression que tu es tombé amoureux de moi. »Paulin a avalé difficilement : « Je fais tout cela parce que ... parce que je veux te compenser. Ces trois dernières années, je t’ai vraiment négligée. »Janine n’était pas le genre de fille visant l’argent qu’il avait imaginée.Les yeux de Janine ont picoté, et un goût amer lui est venu à la bouche. Elle

Explore and read good novels for free
Free access to a vast number of good novels on GoodNovel app. Download the books you like and read anywhere & anytime.
Read books for free on the app
SCAN CODE TO READ ON APP
DMCA.com Protection Status