Share

Chapitre 246

Author: Ursule Joly
Carole ne s’attendait pas à ce que Paulin revienne.

Les pas de Paulin se sont arrêtés. Il fixait Carole avec un visage sombre.

« Lâche-moi. »

L’expression de Carole était un peu gênée lorsqu’elle a lâché prise. Elle a ajouté :

« Paulin, les fiançailles ont déjà commencé, allons-y. »

Pascaline a hoché également la tête avec empressement.

« Tiens, beaucoup de temps a été gaspillé, les fiançailles ne peuvent plus être retardées. Carole, dépêche-toi de donner un coup de fil à tes frères pour leur demander si leur travail est terminé et s’ils peuvent venir assister à la cérémonie. »

Carole s’est dépêchée d’appeler son grand frère, mais il n’y avait pas de réponse. Elle n’avait pas d’autre choix que d’envoyer un message à Bruno, mais elle avait l’impression que son grand frère n’allait pas répondre à son message. Toutefois, ce n’était pas grave. Paulin était là, elle était déjà satisfaite.

Seule Louise était mécontente.

« Attendez. Avez-vous oublié que j’ai été battue par Janine. Pauli
Locked Chapter
Continue Reading on GoodNovel
Scan code to download App

Related chapters

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 247

    Janine, après avoir entendu les paroles de Pascaline, avait même le même doute que le sien. Paulin se fiance à Carole aujourd’hui, mais tout à l’heure, il avait dit à Louise qu’elle était sa belle-sœur. Qu’est-ce qui n’allait pas bien chez lui ? N’avait-il pas remarqué que sa fiancée était sur le point de pleurer ? Aujourd’hui, Carole portait une robe de mariée. Paulin ne l’avait-il pas vue ?Alors que Janine était plongée dans ses pensées, Paulin s’est dirigé vers elle. Janine levait toujours la tête pour le regarder jusqu’à ce qu’elle ait mal au cou. Elle a réalisé alors que cet homme était vraiment grand. Paulin se tenait devant elle, la fixait toujours. L’expression de Janine était un peu gênée. Fixé par Paulin, elle se sentait mal à l’aise. Est-ce que cet homme avait pris les mauvais médicaments ? Pourquoi la fixait-il toujours ? Pascaline a répété sa question en disant : « Paulin, réponds à ma question. Pour qui prends-tu Carole ? »Paulin a froncé les sourcils. Il a répondu

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 248

    Paulin a froncé les sourcils. Il a regardé Carole de haut en bas : « Tu sais toi-même quels tours tu as joués. Carole, pour le bien de ton troisième frère, je te laisse tranquille cette fois-ci. »Après avoir dit cela, Paulin s’est retourné pour partir.Carole l’a poursuivi pour lui dire :« Paulin, qu’est-ce que tu entends par ces mots-là ? Quels tours ai-je joués ? C’est moi qui ai demandé à mon troisième frère de venir faire l’opération pour Nadine. C’est vrai ! » Paulin s’est arrêté. Avec un visage sombre, il a parlé : « Mais ce n’est pas ce que ton troisième frère a dit. »Carole s’est figée sur place, une énorme panique l’a envahie. Quoi ? Son troisième frère n’a pas dit ça ? Se pourrait-il que son troisième frère ait dit à Paulin que ce n’était pas en raison d’elle qu’il était venu opérer Nadine ? Pas étonnant que la salle soit vide après qu’elle s’était changée. Pendant cette période-là, son troisième frère avait-il dit quelque chose à Paulin ? Carole n’arrivait pas à savoir

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 249

    Janine pensait qu’elle allait tomber par terre, mais cela ne s’est finalement pas produit.Les deux hommes l’ont attrapée respectivement par les mains gauche et droite, ce qui l’a empêchée de tomber par terre.Janine était effrayée. Si elle était tombée par terre, le bébé dans son ventre aurait été blessé. Si elle s’était battue avec ses parents adoptifs, c’est parce qu’elle avait perdu la raison. Et en ce moment, elle avait encore peur.L’impulsivité était nuisible.Janine avait envie de retirer ses mains, mais aucun des deux hommes ne l’a lâchée.Tout le monde restait silencieux.Janine a jeté un coup d’œil à Richard et Paulin avant que les deux hommes ne la lâchent. Elle a dit à voix basse lorsqu’elle s’est libérée. « Merci beaucoup. »Richard a répondu avec un sourire : « Il n’y a pas de quoi. Si tu avais été blessée au travail, le studio aurait dû payer tes frais médicaux. Je t’ai sauvée pour économiser de l’argent pour le studio. »Janine n’a pu s’empêcher de rire à gorge dép

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 250

    À cause de ce qu’elle avait fait lors des fiançailles, Janine s’est sentie coupable. Et en fin de compte, elle était trop gênée pour refuser la demande de Richard.Quand Janine est sortie, elle a vu une voiture familière. Surprise, elle s’est écriée : « Grand frère ? »La voiture s’est garée. Cyril est descendu de la voiture et a marché vers Janine à grandes enjambées. « Janine, tu vas bien ? »« Cyril ? »Janine a vu la voiture de son grand frère et a pensé que c’était son grand frère qui arrivait. Elle ne s’attendait pas à ce que ce soit Cyril qui descende de la voiture.Janine a répondu maladroitement : « Je vais bien. »« Ton téléphone a été éteint. Nous nous inquiétons pour toi ! »Janine s’est sentie un peu coupable. « Le téléphone s’est accidentellement cassé, et j’étais trop occupée à travailler pour le faire réparer. »Richard a pris la parole : « Janine était occupée sur le site des fiançailles, et nous venons juste de rentrer au studio. »Cyril a été surpris. Il s’est e

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 251

    C’était Paulin. Janine ne s’attendait pas à ce que Paulin soit également là. Il se tenait devant le comptoir et tenait un téléphone portable qui ne ressemblait pas à un modèle masculin, mais plutôt à un modèle féminin !Pour qui a-t-il acheté ce téléphone ?Pour Carole ?Peut-être. Aujourd’hui, Carole et lui étaient déjà fiancés.Janine a détourné son regard, faisant semblant de ne pas voir Paulin.Cyril a également vu Paulin. Il a froncé les sourcils. Cyril a entendu dire que les fiançailles avaient été annulées par Paulin. Dans ce cas-là, il était probable que sa projection soit correcte. Paulin n’aimait pas Carole, et la raison pour laquelle il avait accepté les fiançailles devait être que Carole lui avait dit qu’elle avait demandé à son troisième frère d’opérer Nadine.Malgré cela, Cyril n’aimait pas Paulin, car il convoitait toujours sa sœur.Cyril s’est empressé de demander : « Janine, que penses-tu de ce tout nouveau téléphone portable ? »Janine se tenait à côté de lui. El

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 252

    Après avoir entendu cela, Cyril était joyeux. Sa sœur était vraiment compréhensive et mignonne, il devrait bien la protéger de peur que des hommes méchants ne la convoitent. En particulier, Paulin, l’homme célibataire divorcé, n’avait absolument pas le droit de s’approcher de sa sœur. Paulin a entendu ce que Janine avait dit à Cyril. Il n’avait jamais entendu la voix aussi douce de Janine. Il était si furieux qu’il avait du mal à respirer. Il n’a jamais ressenti ce sentiment auparavant. Paulin a directement posé le téléphone sur la table. « Bon, Je n’en veux pas. »Il n’aurait pas dû venir ici. Il n’aurait pas dû avoir envie d’acheter un téléphone portable à Janine. Dans la seconde qui suivait, Cyril a pris le téléphone aussi vite que possible. Il a même tapé sur l’épaule de Paulin en lui disant : « Merci beaucoup ! »Paulin est resté sans voix. Il n’avait pas besoin de ce remerciement !Paulin a levé la tête pour voir Cyril se diriger vers Janine et lui tendre le téléphone portab

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 253

    Après avoir entendu la voix de Paulin, Janine et Cyril se sont arrêtés.Janine s’est sentie coupable, Cyril s’est également senti coupable.Les deux personnes se sont retournées en même temps pour regarder Paulin avec un air de prudence.Janine le fixait alors qu’il s’approchait d’elle. Elle a bégayé : « Qu’est-ce qui ne va pas ? »Cyril regardait Paulin avec un certain déplaisir. Il n’aimait pas la façon dont il fixait sa sœur.Paulin s’est arrêté et a tendu la main. Janine a vu la carte SIM posée dans sa paume, puis elle s’est souvenue que tout à l’heure, elle avait pensé que la carte SIM était inversée et avait été prête à l’insérer à nouveau, mais Cyril est soudainement arrivé. Elle avait peur que Cyril connaisse sa relation avec Paulin, alors elle s’était dépêchée de partir. Troublée, elle avait oublié que la carte SIM n’avait pas été chargée.Janine a dit à voix basse : « Merci. »Elle s’apprêtait à prendre la carte SIM quand Cyril s’est avancé pour l’arracher de la main de Pau

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 254

    Janine a immédiatement tout compris. Si ses parents adoptifs savaient que cette femme n’était pas enceinte de leur fils, ils deviendraient probablement fous.Rien que d’y penser, Janine était satisfaite. Janine a baillé. Elle était fatiguée après une journée bien épuisante, et elle avait encore un peu mal à l’estomac. Cyril a remarqué qu’elle était mal à l’aise. Il a changé immédiatement de sujet en disant : « Mangeons. Janine est de retour, c’est super, non ? »De toute façon, ses parents adoptifs avaient été férocement battus, ils n’oseraient probablement pas revenir lui causer des ennuis.Janine est retournée dans sa chambre pour se coucher après avoir mangé. Elle était vraiment fatiguée.Le lendemain, après s’être réveillée, elle a inconsciemment jeté un coup d’œil aux nouvelles sensationnelles, s’attendant à lire des nouvelles concernant les fiançailles de Paulin avec Carole. Selon le caractère de Carole, elle diffuserait certainement des photos puisqu’elle s’était fiancée avec

Latest chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 510

    C’est ça, cette explication était la seule logique !Carole s'est sentie comme plongée dans un bain de glace. Elle a tourné la tête pour regarder Janine, puis Madame Pascaline : « Qu’est-ce que vous voulez dire, la famille de Janine ? »« Tu n’arrêtais pas de demander qui avait accompagné Janine au centre commercial pour lui acheter une robe, n’est-ce pas ? Eh bien, c’était ta belle-sœur ! »Ces mots de Madame Pascaline ont éteint complètement la flamme de colère et de jalousie au fond du cœur de Carole.Elle a vacillé, incapable de rester debout : « Ce n’est pas possible, comment cela pourrait-il être vrai ? »Depuis quand la famille Leclerc avait-elle retrouvé Janine ? Pourquoi n’en avait-elle absolument rien su ?Et même que sa belle-sœur, Donatienne, a accompagné Janine faire du shopping, cela lui était complètement inconnu !À cet instant, Carole s’est avancé vers Janine avec un sourire : « Madame Pascaline, il n’y a jamais eu deux jeunes filles de grande lignée dans la famille

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 509

    Carole a eu soudain un mauvais pressentiment.Madame Pascaline a été visiblement surprise en disant : « Tu n’es pas au courant ? Janine a retrouvé sa famille. Ce jour-là, elle était au centre commercial avec eux pour acheter une robe. Sa famille possède même une carte VIP suprême de Dior, avec laquelle ils peuvent choisir n’importe quelle pièce en édition limitée. »En disant cela, Madame Pascaline a jeté un regard perplexe à Janine : « Pourquoi as-tu seulement acheté une robe, sans prendre un sac ? C’est un ensemble pourtant ! »Le visage de Janine s’est assombri légèrement. Elle a senti le regard de Paulin posé sur elle, mais a répondu calmement : « Parce que je n’aime pas. »Les sourcils de l'homme se sont froncés.Était-ce parce qu’elle n’aimait pas le sac ou parce qu’elle n’aimait pas ce qu’il lui avait offert ?À côté, Carole a poussé soudain un cri strident : « C’est impossible ! Ce n’est pas possible ! Janine, comment as-tu pu retrouver ta famille ? C’est forcément faux ! »Si

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 508

    « Pourquoi serai-je en colère ? », a-t-elle demandé« La robe de Janine … » a marmonné CaroleMadame Pascaline, légèrement impatiente, a interrompu : « Une robe, encore une robe. Mademoiselle Carole, tout ce qui vous intéresse, c’est de comparer ces choses ? »Carole ne s’attendait absolument pas à ce que Madame Pascaline dise une telle chose.Janine a esquissé un léger sourire : « Carole, sais-tu pourquoi ton coup n’a pas marché aujourd’hui ? Parce que le jour où j’ai acheté cette robe, Madame Pascaline était justement présente. »« Quoi ? »Le visage de Carole a changé plusieurs fois de couleur, comme si elle avait quelque chose de coincé dans la gorge qu’elle ne pouvait ni cracher ni avaler.Cela signifiait que la robe de Janine était bel et bien authentique !Janine a jeté un coup d’œil à Madame Pascaline, visiblement contrariée, et a poursuivi : « J’ai raison, n’est-ce pas, Madame Pascaline ? »Cette dernière, le visage sombre, a répondu : « Oui, et maintenant, tu es fière de toi,

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 507

    Janine a regardé Carole calmement et a dit :« Puisque cette robe a été achetée par un membre de ma famille, je ne peux pas te laisser dire n’importe quoi et salir son authenticité. »Carole a éclaté de rire sarcastiquement : « Ta famille ? Tu penses vraiment que ta famille a les moyens d’acheter cette robe ? »Carole ne croyait pas un mot de ce que Janine disait. Elle avait déjà enquêté sur son passé et savait que la famille adoptive de Janine était pauvre, incapable de se permettre de tels articles de luxe.« Crois ce que tu veux. Mais ce qui m’étonne, Carole, c’est que toi, tu oses porter une contrefaçon ? Et ton sac, il est aussi faux ? », a ajouté JanineLe mot contrefaçon a piqué Carole au vif.Elle s’est écriée d’une voix aiguë : « C’est toi qui portes du faux ! Mon sac est absolument authentique ! »Madeleine est intervenue en riant : « Peut-être, mais ta robe, elle, est bien une contrefaçon. »Le visage de Carole s'est déformé de colère.« Janine ! Arrête de jouer la sainte. J

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 506

    La meilleure amie de Janine, Madeleine, s’est avancée et a lancé un regard méprisant à Carole : « Tout le monde à l’école parle maintenant de la relation entre Janine et Paulin. La dernière fois, lorsque Janine a été faussement accusée et insultée anonymement, Paulin s’est rendu personnellement au bureau du directeur pour clarifier publiquement leur statut de couple. »Carole a serré les dents de rage. Elle avait effectivement entendu parler de cet incident, mais heureusement, les rumeurs n’avaient pas encore été largement diffusées, restant confinées à un cercle restreint à l’école.La petite acolyte de Carole a rétorqué immédiatement : « Tout le monde sait que les grandes familles aiment faire semblant. Janine sera bientôt mise à la porte. Ce n’est qu’une femme déchue, alors pourquoi se donne-t-elle autant d’importance ? »Madeleine a explosé de colère en entendant cela : « Tu racontes n’importe quoi ! Tu es en train d’insulter qui, là ? »« Est-ce que je mens ? Si Janine était vraim

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 505

    Janine a aperçu Carole entrer avec une fille qu’elle a reconnu immédiatement : c’était celle qui était très proche de Carole au conservatoire de musique.Son regard se posait sur Carole, et elle a remarqué que leurs robes n’étaient pas simplement similaires, mais identiques !N’avait-on pas dit que cette robe était unique dans toute la ville de Paris ?Mais Janine était certaine d’avoir acheté l’originale. Alors, la robe que portait Carole, serait-ce une contrefaçon ?À ce moment-là, Carole a remarqué aussi la robe de soirée de Janine.La coupe impeccable, le tissu de haute qualité … Tout cela respirait le luxe. Les yeux de Carole se sont emplis aussitôt de jalousie.Se pourrait-il que cette robe unique ait été achetée par Janine ?Impossible ! Comment une personne comme Janine aurait-elle les moyens d’acquérir une telle pièce ?Dès l’entrée de Carole, tous les regards ont convergé vers elles, ou plus précisément, vers leurs robes.Une voix basse s’est élevée dans la salle : « Mais

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 504

    Carole a affiché une expression un peu gênée : « J’avais un peu de travail à faire tout à l’heure, alors je n’ai pas vu le message que mon grand frère m’a envoyé sur Whatsapp. »Louise s’est avancée avec enthousiasme et a pris son bras : « Carole, allons-y ensemble. Tu ne sais pas, mais la scène où tes cousins et tes frères sont descendus de la voiture tout à l’heure était incroyable ! Je te garantis que toutes les filles présentes ont été séduites sur le champ. »Elle avait les yeux pétillants d’admiration, ne sachant pas lequel choisir comme potentiel petit ami, car ils étaient tous incroyablement beaux.Carole a affiché un sourire fier, jetant un coup d’œil à Louise, et a retiré doucement son bras :« Louise, j’aimerais discuter seule avec ma famille. Plus tard, je te présenterai mes frères, d’accord ? »Le sourire de Louise a disparu instantanément, remplacé par une expression embarrassée. Elle a hoché la tête :« Carole, qu’est-ce que tu veux dire ? Tu m’avais promis que je pourrai

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 503

    Carole, voyant l’expression arrogante de Lucienne, a levé à nouveau la main et lui a asséné une gifle : « Pour qui te prends-tu, pour oser me remettre en question ? »Après avoir reçu deux gifles, Lucienne a levé les yeux et fixait Carole : « Quoi, j’ai touché un point sensible ? Il s’est passé quelque chose quand tu as rencontré Janine, pas vrai ? J’ai entendu dire que la fille de la famille Leclerc s’était perdue et avait été retrouvée plus tard dans un orphelinat. Tu as rencontré Janine à cette époque, dans le même orphelinat, non ? »Le visage de Carole a changé immédiatement de couleur à ces mots :« Comment tu … Lucienne, tu crois vraiment que quelqu’un va croire tes suppositions absurdes ? »Cette dernière a esquissé un sourire :« Mademoiselle Carole, ou devrais-je dire autre chose ? Tu veux savoir comment je le sais, n’est-ce pas ? C’est simple : j’ai pris ta photo et je l’ai montrée à l’ancien directeur de l’orphelinat. Elle se souvient encore de toi, surtout parce que tu res

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 502

    Carole a montré un peu d’impatience :« Je te l’ai déjà dit très clairement. Si tu fais ce que je te demande, tu n’auras jamais à te soucier d’argent. L’université, pour nous qui avons de l’argent, ça ne représente rien du tout. »Tant que Lucienne prenait l’identité de Janine pour devenir la fille de la famille Leclerc, comment pourrait-elle manquer d’argent ? Aller à l’université ou non ne faisait aucune différence. Bien sûr, Carole préférait que Lucienne n’y aille pas ; ce serait plus facile de la contrôler ainsi.Lucienne a protesté avec un peu de rancune : « Mais pour quelqu’un comme moi, aller à l’université, c’est très important. »Voyant que Lucienne refusait d’accepter, Carole a fait immédiatement une grimace et a répondu d’un ton glacial : « Très bien, puisque tu refuses, je vais appeler le directeur pour lui dire que tu es encore à l’école ! »« Non, je vous en supplie, mademoiselle Carole ! », a-t-elle dit.Affolée, Lucienne a attrapé Carole par le bras. Par accident, se

Scan code to read on App
DMCA.com Protection Status