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Chapitre 155
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Après avoir entendu la voix de Cyril, Janine s’est souvenue que Cyril était toujours là. Elle a ajusté rapidement son expression et s’est retournée vers Cyril qui l’a rattrapée. « Cyril. »« Janine, qu’est-ce qui ne va pas ? Tu pleures ? Qui t’a intimidée ? »« Personne ne m’a fait de mal. Je viens de rendre visite à Nadine. En pensant à son état, je suis un peu triste. » Janine a changé de sujet :« Cyril, je te cherchais, mais je ne t’ai pas vu quand je suis descendue tout à l’heure. »« Je suis sorti après avoir parlé avec le médecin traitant. À l’instant, j’ai même appelé mon ami. »Cyril a détourné son regard. Il avait rencontré Carole tout à l’heure. Heureusement qu’à ce moment-là, Janine n’avait pas été là, sinon, sa vraie identité aurait été révélée. Les trois frères et les trois cousins de Janine avaient fait un pari ensemble : avant que Janine ne soit pas habituée à ses frères et à ses cousins, celui qui exposerait ses compétences devrait courir nu. Même si Cyril n’était
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 157
Après avoir raccroché le téléphone, Solange a jeté un coup d’œil à Janine. Tôt ou tard, elle prouverait à Louise que Janine était enceinte. Solange a mené une réflexion, puis elle a envoyé un message :[N’as-tu pas dit que tu voulais trouver une fille talentueuse ? Il se trouve que ma collègue a du talent. Elle a remporté la première place lors du dernier concours de design. Je vais te la présenter dans quelques jours.]Après que Solange a pris les dispositions nécessaires, elle est allée informer son superviseur en disant : « Monsieur, il y a une nouvelle commande, et le client a spécifié qu’il voulait que ce soit Janine qui s’en charge. »« D’accord, je lui donnerai l’ordre plus tard. »Solange s’est retournée et a quitté le bureau, son sourire étant satisfait. Puisqu’elle s’est hissée aux honneurs en bénéficiant de l’aide de la famille Cordier, elle a décidé de rompre avec cet homme et de lui présenter Janine, ainsi, elle aurait beaucoup moins d’ennuis. Avec l’aide de Louise, cet
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 158
Janine a su son identité après avoir parcouru sa carte de visite : il s’agit du patron d’une société de construction. Elle a reconnu cette société. Janine avait aidé Paulin à livrer des documents, et à l’époque, le président actuel de cette entreprise voulait négocier avec Paulin pour qu’il investisse dans la construction Néanmoins, elle avait remarqué que le terrain de golf avait été quand même construit, et par hasard, elle avait entendu Paulin mentionner qu’il y avait un problème avec ce terrain.Le vieil homme a pris la parole :« Ces plans de conception sont tous bons, je peux tous les acheter. Parlons d’autre chose maintenant. Quels sont tes hobbies ? Quel genre de choses aimes-tu ? »Janine a compris que cet homme avait de mauvaises intentions. Elle s’est empressée de se lever. « Monsieur, si vous n’avez pas encore pris votre décision, réfléchissez d’abord au style de décoration. Je vous laisse. Bonne journée. »Après avoir fini de parler, Janine s’est retournée, mais la porte
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 159
L’expression sincère de Janine a fait naître chez le vieil homme un sentiment de mépris.L’homme d’âge moyen a sorti le téléphone portable de Janine et le lui a tendu :« Déverrouille-le. »Janine l’a déverrouillé. Ensuite, elle leur a montré le numéro de téléphone de Paulin avant de le composer. Et une note s’est bientôt affichée sur l’écran de son téléphone : sale mec.En voyant ces deux mots, Janine avait une expression embarrassante :« C’est une blague entre nous. »L’homme d’âge moyen a immédiatement raccroché le téléphone, et l’air du vieil homme a changé.« Donne-lui son téléphone portable. »Janine a enfin obtenu son téléphone portable, elle a poussé un long soupir de soulagement. Est-ce que cela comptait comme une réussite au test ? Tout à l’heure, elle avait failli mourir de peur. Heureusement, elle avait eu une idée en toute hâte pour se débrouiller seule. Le téléphone portable de Janine a sonné à nouveau : c’était un appel de Paulin. Le cœur de Janine a commencé à battre
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 160
« Il s’agit d’un appel téléphonique au hasard ? »Paulin était tellement en colère qu’il a défait sa cravate. Il avait abandonné une affaire importante pour venir la chercher, car il avait cru que quelque chose lui était arrivé, mais il s’est avéré que ce n’était qu’un pari. Il avait vraiment envie de l’étrangler !L’air de l’homme était fâché alors qu’il a repris :« Janine, rappelle-toi ceci : même si tu es en danger de mort, ne m’appelle plus ! »Après avoir fini de parler, il s’est retourné pour monter dans la voiture d’un pas rapide.Janine a soupiré. Inexplicablement, elle ne voulait pas lui parler de sa rencontre avec le vieux sale mec dans la villa, car il savait qu’il se moquerait certainement d’elle.À ce moment-là, Janine a vu par hasard une voiture de luxe sortir du quartier. Le conducteur a baissé la vitre, Janine a vu le visage du vieil homme qui la fixait.Le cœur de Janine battait à tout rompre. Elle a jeté un coup d’œil à Paulin qui s’apprêtait à monter dans la voitur
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 161
Paulin a remarqué que le regard de Janine était innocent et simple, comme s’il était le méchant. Il s’est mis en colère une fois de plus. Il a posé son regard sur la bouche de Janine, et dans la seconde qui suivait, il a baissé la tête et a embrassé les lèvres de Janine. Ainsi, elle devrait pouvoir se taire.Pendant un moment, Janine est restée bouche bée.Qu’est-ce qu’il a fait ?Ayant repris ses esprits, Janine a tenté de le repousser, mais la force de Paulin était si grande qu’elle ne pouvait pas le repousser du tout. Elle le fixait avec de grands yeux pour voir le regard ardent de Paulin. La température dans la voiture a instantanément augmenté.Janine saisissait la chemise de Paulin. Comme elle était faible et impuissante, elle semblait se réjouir de ce baiser.Finalement, elle lui a mordu le coin de la bouche, Paulin l’a lâchée. Il la fixait avec un air mécontent. Personne n’a rompu le silence pendant un instant.Paulin a essuyé le coin de sa bouche et a dit : « Pourquoi m’as
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 162
Soudain, quelqu’un a frappé à la fenêtre de la voiture. Paulin a baissé sans expression la vitre et a demandé :« Qui est-ce ? »« Je suis policier de la circulation. Vous ne pouvez pas garer votre voiture ici, je vous suggère d’aller au parking de l’hôtel. »À l’extérieur de la voiture se tenait un policier d’âge moyen. Apparemment, il avait vu clairement ce qu’ils avaient fait dans la voiture. Lorsque Janine a vu cette personne en uniforme, elle s’est couvert immédiatement le visage. C’était vraiment embarrassant.Paulin s’est redressé avec un visage sévère. Bientôt, le chauffeur et l’assistant sont remontés dans la voiture, et le chauffeur a rapidement démarré la voiture. Cependant, une atmosphère de gêne régnait toujours dans la voiture, le conducteur et l’assistant étaient mal à l’aise.Paulin avait un visage sombre, sa cravate avait été jetée sur la chaise et sa chemise était ridée.Janine s’est assise dans un coin. Elle a passé un bon moment pour ajuster son expression, puis
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 163
« Bon travail ! Va directement au magasin prendre le sac à main. Je demanderai au responsable du magasin de l’emballer. »« Merci beaucoup ! Tu pourras me confier toutes les tâches, parce que j’ai aussi une dent contre Janine. »Après avoir raccroché le téléphone, Solange était très excitée en pensant au sac à main qu’elle allait obtenir.Comme Janine s’était rendue à la villa, elle ne pouvait pas rester sans rien dire. Bien qu’elle soit revenue tôt, ses lèvres semblaient gonflées d’avoir été embrassées par un homme. Avec Janine, elle n’aurait plus besoin de coucher avec ce vieil homme. Janine était un peu distraite pendant l’après-midi. Chaque fois qu’elle prenait du café, ses lèvres bougeaient. En conséquence, elle n’a pu s’empêcher de penser à ce baiser. Elle s’est couvert le visage, l’air troublé. Était-elle folle ? Elle devait se calmer, ainsi, elle s’est versé une tasse d’eau fraîche. Comment pourrait-elle avoir du désir pour Paulin ?Le lendemain, après le cours du matin, Ja
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Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 499
Janine a laissé échapper un sourire moqueur, ne prêtant absolument pas attention aux paroles de Carole.Elle s'est dirigée directement vers la salle de repos des invités pour vérifier si l'aménagement était à la hauteur, cherchant des endroits qui pourraient être améliorés.Carole, ignorée, s'est sentie contrariée. Elle a tourné donc son regard vers Louise et a demandé : « Louise, tu penses que ce que j'ai dit est juste ? »L'expression de Louise semblait étrange. Elle a toussé légèrement avant de répondre : « Ma sœur, j'ai un secret à te révéler concernant Janine. »« Quel secret ? », a-t-elle déclaréLouise a hésité un moment : « Tu sais, tu as annulé cette carte de crédit, et dernièrement je suis un peu à court d'argent. Est-ce que tu pourrais la réactiver ? »Carole s'est sentie un peu contrariée : « Louise, tu dépenses vraiment trop. Je pense que tu devrais apprendre à économiser un peu, ou à trouver un moyen de gagner de l'argent. On ne peut pas être adulte, ne rien gagner, et co
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 498
Elle a posé les documents sur le capot de la voiture, n'a rien dit et s'est éloignée.Puisqu'ils avaient déjà finalisé les procédures de divorce, il n'y avait plus rien à dire.Janine a aperçu Cyril qui venait de sortir de la voiture, et elle a souri en agitant la main, courant vers son grand frère : « Troisième frère ! »« Cette fois, tu as enfin réussi à finaliser les procédures, il n'y a pas eu de problème, n'est-ce pas ? », a-t-il lancé« Non, tout s'est très bien passé », a-t-elle réponduJanine a sorti son certificat de divorce : « Regarde, maintenant que c'est fait, cela ne facilitera-t-il pas les démarches du grand frère ? »« Oui, heureusement que ce type a été raisonnable. Allez, monte, on rentre à la maison. Non, attends, on va d'abord aller manger quelque chose de bon pour célébrer », a proposé CyrilIl a ébouriffé tendrement les cheveux de sa sœur, dans un geste affectueux.Il tenait le certificat de divorce dans les mains, levant les yeux pour regarder Paulin, avec un reg
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 497
Janine le regardait un moment, mais a fini par ne pas pouvoir s'empêcher de parler : « Tout à l'heure, tu... »Mais avant qu'elle n'ait pu finir sa phrase, l'homme s'est tourné et s'est dirigé vers le hall intérieur : « Il n'y a plus de temps. »Elle fixait l'ombre de Paulin, grand et élancé.Elle a baissé les paupières, cachant le sarcasme qui a traversé ses yeux.Que pensait-elle vraiment ?Elle espérait que Paulin reviendrait vers elle ?Ou peut-être qu'il regrettait et ne voudrait plus divorcer ?Réveille-toi, s’est-elle dit.Le seul obstacle qui restait, c'était que Madame Nadine savait déjà pour leur divorce et l'avait accepté.Paulin n'avait vraiment plus de raison de s'accrocher.Janine s'est moquée un instant d'elle-même, puis a retrouvé une expression plus calme avant de suivre l'homme dans le hall.Cela n'a pris que dix minutes, et les deux ont obtenu leur certificat de divorce.Janine tenait dans ses mains deux livres : l'un rouge, le certificat de mariage, et l'autre d'une
Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer. Chapitre 496
Paulin se sentait très mal à l’aise : « Mamie, ce n'est pas qu'il faut aimer pour se marier, je trouve simplement que le mariage est une source de complications. »« Parfait, aujourd’hui, tu peux redevenir célibataire et te débarrasser de cette complication », a-t-elle jetéPaulin : « ... »L'homme est resté là, ne sachant pas quoi dire.Madame Nadine le regardait : « Tu peux y aller, pour ne pas arriver à l'heure de fermeture de l'agence des affaires civiles. »Les lèvres fines de Paulin se sont fermées en une ligne droite.Finalement, il a tourné les talons et a quitté la chambre.Madame Nadine fixait son dos, poussant un léger soupir.Elle n'avait pas réussi à le retenir.Madame Marie est entrée discrètement dans la chambre : « Madame, pourquoi ne pas avoir conseillé la jeune maîtresse ? Après tout, la jeune maîtresse vous respecte tellement. Si vous lui aviez dit que vous n'étiez pas d'accord pour le divorce, elle n'aurait sûrement pas divorcé. »« Tu crois que je ne le sais pas ?
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Après avoir entendu les paroles de Madame Nadine, Janine a répondu immédiatement : « Mamie, je ne veux pas de biens. »« Janine, tu es une enfant naïve. Quand les autres divorcent, ils aimeraient obtenir le plus d'argent possible, mais pourquoi toi, tu ne veux rien ? Que va devenir la famille Cordier ? », a demandé la vieille dame« Mamie, après tout, je n'ai pas épousé la famille Cordier pour l'argent. De plus, ma famille va plutôt bien sur le plan économique, je n'ai pas besoin d'argent, ne vous inquiétez pas pour moi », a expliqué JanineAprès avoir dit cela, une voix grave d'homme s'est fait entendre : « Mamie, je lui ai donné des biens, mais c'est elle qui les a refusés. »En entendant cela, Janine a acquiescé sincèrement : « Oui, il a raison. »Madame Nadine a agité la main : « Cette affaire, c'est moi qui décide. Pour ce qui est des biens, j'ai déjà prévu. Je vais appeler un avocat tout de suite pour qu'il prépare un document et vous l'envoie. »Janine savait que Madame Nadine d
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Elle a vu que Madame Nadine était tellement en colère qu’elle vacillait presque.Madame Nadine lui accordait beaucoup de considération, mais après avoir fait quelques pas, elle a vacillé. Paulin, voyant cela, s'est précipité pour la soutenir : « Grand-mère, fais attention. »« Pas besoin de ta fausse bonté ! »Madame Nadine a repoussé brusquement sa main : « Je n'aurais jamais imaginé que mon petit-fils soit un imbécile pareil. »Janine a été effrayée par les paroles de Madame Nadine.Elle ne s’attendait pas à ce qu'elle soit aussi en colère et, ne sachant pas quoi dire, elle s'est contentée de soutenir l’aïeule et de la reconduire dans la chambre.Une fois que Madame Nadine s’est assise, Janine s'est tournée et lui a versé un verre d'eau chaude : « Mamie, calme-toi. »« Janine, c’est moi qui suis désolée. Je n’aurais pas dû insister pour que tu restes dans la famille Cordier. Après trois ans, il n'y a plus de sentiments entre vous. Si vous continuez, cela ne fera que gâcher ta jeunes
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À ces mots, Janine s'est tournée vers la porte et a aperçu effectivement l'ombre de Paulin.Elle est restée un instant stupéfaite, ne s'attendant pas à le voir ici.Elle l'a vu, son regard aussi sombre que de l'encre, et il était impossible de lire son expression à cet instant.Bientôt, Paulin est entré lentement dans la chambre, son costume posé négligemment sur son bras, portant une chemise blanche et un pantalon noir, comme s'il venait tout juste de sortir de la société.La grand-mère Nadine a jeté un coup d'œil à son petit-fils : « Je te parle, pourquoi tu ne réponds pas ? »Janine a baissé les yeux, ne pouvant même pas regarder son visage. Elle ressentait soudainement une étrange pression dans l'air autour d'elle. Mais n'était-ce pas ce qu'ils avaient convenu tous les deux ?« Janine, viens avec moi. »Elle n'a même pas le temps de réagir qu'il l'a saisie par le poignet et l'a entraînée hors de la chambre.Ses pas étaient grands, et Janine avait du mal à le suivre. Elle devait
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Après avoir quitté la salle de classe de l'école de musique, Janine était en fait un peu nerveuse, car elle avait agi sur un coup de tête en tirant les cheveux de Carole.En y repensant, elle trouvait tout de même que c'était un peu impulsif ! Cependant, cela lui avait fait du bien, car à chaque fois qu'elle voyait Carole, cette petite garce aimait toujours adopter une posture arrogante de grande dame.Après avoir révisé pour ses examens, Janine a jeté un coup d'œil à l'heure et a pris un taxi pour l'hôpital.Lorsqu'elle est arrivée devant la chambre de la grand-mère Nadine, son humeur est devenue très complexe.Elle savait que Paulin ne voulait pas divorcer à cause de sa grand-mère. Mais un enfant qui grandit dans une famille sans amour ne serait jamais heureux, alors elle devait partir !Car Paulin n'avait jamais attendu d'enfant. Elle avait peur que l'enfant grandisse dans une situation similaire à celle qu'elle avait vécue ces trois dernières années, subissant des violences psychol
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Lorsque Carole a entendu cette nouvelle, ses paupières se sont mises à sauter. Elle avait l'impression qu'il y avait quelque chose qu'elle ignorait.Elle a jeté un coup d'œil au secrétaire : « Pourquoi tout à coup mon grand frère et les autres ont-ils décidé de faire un don pour la construction d'un musée à l'école de design ? Ça doit coûter cher, non ? »« On dit que le financement est d'environ un milliard », a ajouté le secrétaire« Un milliard ? Autant que ça ! »Carole a serré fortement le chapeau dans ses mains : « As-tu découvert pourquoi ? »Le secrétaire a répondu : « Pas encore, mais je suppose que cela a à voir avec la compétition internationale de Cent Fleurs. Après tout, l'entreprise de la famille Leclerc se concentre toujours sur le design, et sa filiale vient juste de s'établir à Paris. Ils doivent certainement vouloir faire quelques aménagements dans ce domaine et attirer davantage de talents en design. »Carole a réfléchi un instant et a trouvé que cela avait du sens.
