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Chapitre 148 Si ça dégénère, ne le regrette pas.

Depuis que l'infirmière du matin avait été renvoyée par Michel, personne n'est entré dans la chambre 507, où se trouvait le lit. Michel était toujours assis sur le bord du lit, ses blessures au dos étaient maintenant cicatrisées et le sang s'est coagulé. La lumière du jour à travers la fenêtre s'est graduellement atténuée jusqu'à plonger complètement dans l'obscurité.

Les mouvements de Michel n'ont pas changé. À part parfois cligner des yeux, il ressemblait à une statue dépourvue de vie.

La chambre n'était pas insonorisée, on pouvait clairement entendre les voix et les pas venant de l'extérieur. Ces chuchotements ont fait paraître Michel encore plus solitaire et fantomatique.

Après la tombée de la nuit, même ces bruits extérieurs se sont tus, rendant l'atmosphère encore plus silencieuse.

« Clac. »

Le bruit de la poignée de porte abaissée a résonné nettement dans la chambre calme. Michel n'a pas ouvert les yeux, ni ne s'est retourné, et a lancé froidement :

« Dégage. »

Mais au lieu de
Chapitre verrouillé
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