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Chapitre 143
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Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 144
August a dit froidement : « Ça ne vaut pas la peine que tu me remercies, parce que je vais le dire à la famille Royer, même si tu t’en allais maintenant. Les Royer ont nourri un voleur qui me salit les yeux. Il faudrait que la famille Royer me donne une explication. »« Bien sûr, je peux t’accorder une chance. Je t’épargnerai, à condition que tu t’agenouilles devant moi. D’accord ? »Louis lui a adressé un sourire délicat, sans parler.Bien que Louis ne réponde pas, Henri, qui était à côté, n’a pas pu se retenir : « Monsieur Riviere, vous êtes fou ? »Henri avait souhaité nouer des relations avec Louis, mais il n’avait pas trouvé d’occasion. Il avait invité Louis à la vente aux enchères organisée par la Cime de Nuage afin de présenter simplement ses excuses.Étant donné que Louis préférait la discrétion, Henri restait toujours en spectateur. Néanmoins, on l’avait appelé « connard », il n’en pouvait plus.« Monsieur Robert, l’existence de ce gendre matrilocal ne salirait pas mes yeux ?
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 145
S’ils continuaient à se bagarrer, la famille de Nolan y serait impliquée peut-être. Ce n’était pas nécessaire pour sa famille. En tout cas, elle est venue ce soir pour la vente aux enchères. Il ne fallait pas s’occuper d’autres choses.« Mademoiselle de Nolan, attendez-moi, s’il vous plaît... » August était un peu impatient. « J’ai reçu une claque en raison de vous, comment pourriez-vous vous retirer comme ça ? »À ce moment-là, en suivant Florence, August a détourné la tête, disant avec le visage tordu : « Vous êtes fichu, Henri Robert. Vous attendez ! Demain tout l’argent de la famille Riviere sera transféré de votre banque et vous ne serez plus le président ! »Au lieu de jeter un seul coup d’oeil à August, Henri a regardé Louis en s’inclinant de côté. Il a poussé un soupir : « Monsieur Boucher, je n’ai pas pu me retenir sur un coup de tête. Veuillez m’excuser. »Louis lui a dit en souriant : « Si vous n’agissiez pas quand on vous a insulté avec le mot connard, je vous mépriserais v
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 146
Florence était élégante et gracieuse comme la neige, pendant que Christina faisait preuve d’une grande beauté. Les deux belles qui se trouvaient proches l’une de l’autre formaient un chef-d’oeuvre de la peinture mondiale, ravissant comme une paire de fleurs ! Mais cette image rare a été détruite dès que Louis s’était installé entre elles sans allure.Jérome et August ont changé de visage parallèlement.« Gendre matrilocal, comment tu t’infiltres entre nous de nouveau ! Serveur, qu’est-ce qu’il y a avec votre vente aux enchères ? Pourquoi vous laissez entrer une personne sans lettre d’invitation dans la salle de vente encore et encore ? Ça ne nuit pas à la règle ici ? » A dit Jérome d’un ton excentrique.« Voilà ! Quelqu’un pense qu’il nous est égal en tant que gendre matrilocal. Mais il ignore qu’il vaut moins que le pet ! » A suivi August d’un ton sombre.« C’est ça, qu’est-ce qui s’est passé ! »« L’organisateur ne nous donnera pas une explication ? »« Si n’importe qui pouvait assi
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 147
Vite, Jérome a envoyé un texto à Sandra.Sandra a jeté un coup d’oeil sur son portable. Malgré un peu de mécontentement, elle s’est levée, disant en souriant : « Christy, tu ne t’assois pas à côté de ce propre-à-rien, de peur que son odeur pauvre et misérable te contamine ! Il te faut beaucoup de chance ce soir ! Que tu changes de place avec moi. Monsieur Sanchez te présentera aux supérieurs de la Société Boucher tout à l’heure. »Christina a répondu sans réfléchir : « Non, merci. Il vaut mieux que je reste ici. »À cette heure-là, bien qu’un peu d’embarras, Christina se trouvait curieusement plus en sécurité à côté de Louis qu’elle ait été avec Jérome.Cette sécurité n’avait nul rapport à la richesse. Elle se sentait chez elle et allongée dans son petit lit.Christina ignorait l’origine de ce sentiment, mais elle a refusé Sandra spontanément.Sandra a trépigné de colère, néanmoins, elle ne pouvait rien faire. Elle ne devait pas agir de manière trop évidente. Elle n’avait pas d’autre c
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 148
« Ma chérie, il semble que tu n’aies pas à aller avec ce tricheur ce soir. Puisqu’il ne connaît pas le président de la Société Boucher, il sert à quoi ? Il vaut mieux que tu rendes visite avec moi à mon ancienne copine d’école Natalie. Ça marchera probablement. » A proposé Louis à Christina.« C’est vrai ? Génial ! » Christina était enjouée. Natalie était la directrice du président de la Société Boucher. Ça marcherait mieux que n’importe quel supérieur par le biais de celle-ci !Jérome avait la mine légèrement grise. Mais Sandra lui a hoché faiblement la tête. Elle lui a suggéré de cesser, parce qu’il avait fait un lapsus évidemment. Il ne pourrait pas y remédier même s’il continuait à parler.À ce moment-là, la salle est devenue de plus en plus remplie, jusqu’à ce qu’elle compte près d'un millier de personnes. Il fallait dire que la vente aux enchères tenue à la Cime de Nuage jouissait d’une grande popularité.La vente aux enchères a démarré un peu plus tard.Les premiers objets qui s
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 149
Sandra a changé brusquement de visage. Elle s’intéressait plus ou moins à Jérome. Malheureusement, celui-ci ne pensait qu’à Christina et il ne faisait pas d’attention à elle. C’était une douleur éternelle chez elle. Sinon elle aurait déjà couru Jérome, un homme à la fois grand, beau et fortuné, en personne ! Elle ne l’aurait pas présenté à Christina !« Louis, pourrais-tu cesser de parader devant moi si tu ne pouvais pas offrir à ta propre femme ce qui lui plaît ! J’en ai marre en te voyant ! » Sandra a poussé un ricanement. Elle avait le teint changeant.« Louis, Sandra, s’il vous plaît ! Pourriez-vous ne plus vous disputer ? » À cette vue, Christina s’en ennuyait elle aussi. Sandra détestait Louis depuis longtemps. Auparavant, Louis ne lui avait pas répliqué, donc tout avait été apaisé à la suite de quelques plaintes émises par Sandra. Cependant, Louis n’était pas comme avant absolument. Sandra s’était déjà trouvée dans la gêne à maintes reprises, au niveau oral ! Jérome, qui se tro
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 150
Christina avait le teint quelque peu sombre. Elle avait été émue de toute façon, voyant que Jérome avait voulu payer une grosse somme d’argent pour elle. Mais celui-ci ne s’arrêtait pas de se moquer de Louis, ce qui a rendu Christina malaisée plus ou moins. Quoique Louis n’ait pas un sou, qu’il soit un gendre matrilocal, pendant trois ans, il faisait la lessive et la cuisine, il balayait et nettoyait le sol, sans une simple plainte ! Christina ne l’appréciait pas au début, mais elle commençait à apprendre les points forts de son mari.D’ailleurs, elle se sentait perdre la face quand son propre époux était humilié en public, quoiqu’il soit imparfait.En ce moment, Christina a froncé légèrement les sourcils, disant : « Monsieur Sanchez, j’espère que vous pouvez reprendre votre parole et que vous demandez pardon à Louis. »« Moi, je lui demande pardon ? » Jérome a pouffé de rire : « Je suis pour ta faveur, Christy. Ce type ne fait pas de progrès et il agit audacieusement dehors. Il va se
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 151
Christina ne l’a pas nié, mais elle a hoché légèrement la tête.Louis a tendu la main pour couvrir sa petite main et a dit avec un sourire : « Alors je te le donnera ! » Christina s'est figée pendant un moment, ne sachant pas comment répondre, mais Florence a jeté un coup d'œil à Louis et n'a pas pu s'empêcher de soupirer.Cette personne, il n’était pas seulement un bon à rien, et il ne pouvait pas gagner le cœur des femmes. Si cette chose est tombée entre les mains de la famille Boucher, qui pouvait la récupérer ?Un gendre matrilocal, étiez-vous digne de le récupérer ?...« Ensuite, c’est le sixième objet de l'enchère. Notre expert ne peut pas découvrir la vraie valeur de cet objet, mais on dit que c’est très extraordinaire. Vous pouvez monter, l’apprécier et voir si vous voulez donner un prix... »À ce moment-là, les yeux de la commissaire-priseur se sont illuminés et elle a trouvé que l'ambiance dans la salle était très bonne, puis elle a fait un geste. Bientôt, un homme a condui
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