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Chapitre 110
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2024-10-29 19:42:56Related chapters
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 111
« Max, non, non, Frère Max... » August ne s’est pas résigné : « Tu ne te rappelles pas ce que tu m’as dit dans l’après-midi ? Tu vas m’abriter ! Tu m’as promis en personne. »Max a tressailli. Il a injurié : « Je t’abrite la merde ! Frappez-le ! Vous serez renvoyés s’il se tient encore debout aujourd’hui. »Les gardiens qui s’étaient rués, restaient tous bouche bée. Le spectacle était trop compliqué qu’ils n’arrivaient pas à comprendre.Max faisait plus loin en lorgnant Natalie avec respect. Le regard glacial de cette dernière l’a fait trembler. Il a repris en grinçant les dents : « Merde ! Chien ! T’es aveugle ? Tu ne connais pas cette demoiselle ? Elle est mon supérieur immédiat ! Tu m’emmerdes en me la faisant embêter ! »Quoi ?Les badauds étaient tous ahuris. Même August oubliait de crier. Il a ouvert la bouche, en observant Natalie avec effarement. L’homme tel que Max était déjà puissant comme un dieu. Cette femme était son supérieur immédiat, alors elle devrait... ?!Et je l’a
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 112
« Christina Boucher, c’est madame Boucher... » A répondu August en serrant les dents.« Soyez sage ! » Louis s’est mis à demi-croupetons, en frappant August deux fois au visage : « Vous comprenez maintenant ? Dépendre de la femme aboutirait au bel avenir quelquefois. Vous êtes moins qu’un bon à rien en t’agenouillant devant un bon à rien tel que moi, n’est-ce pas ? »Après avoir terminé ces mots, Louis n’avait plus envie de s’occuper d’August. Il comptait acheter le portable. Il n’avait pas le temps à gaspiller !Natalie a toisé Max d’un regard dur. En se passant du balbla, elle a suivi Louis précipitamment.« Emmenez ce fils de putain, cassez-lui une jambe et abandonnez-le à l’entrée de l’hôpital ! » Max a hurlé farouchement, se levant en trébuchant.« Non, s’il vous plaît, non ! » A crié August terriblement.À propos de Sandra, elle s’était enfuie on ne sait pas où. Comment elle pourrait s’occuper de lui ?...Quelques instants plus tard, à l’entrée de l’hôpital, une figure dont une
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 113
Derrière lui se tenait Natalie, d’un air nerveux. Une fille aussi charmante qu’elle ne manquait pas d’attirer beaucoup d’attention, en suivant Louis.« Monsieur le président, je n’ai pas bien instruit les hommes comme il faut. Je vais certainement rectifier l’équipe sous ma direction dans l’avenir. » Natalie, en voyant que Louis ne faisait que jouer avec des portables, s’est mise à parler derrière lui en s’inclinant. « Vraiment ? » A dit Louis distraitement : « Ce n’est pas la première fois. »Natalie, par inquiétude, était sur le point de verser des larmes. Elle a dit : « Monsieur le président, pardonnez-moi cette fois-ci, s’il vous plaît. Vous m’avez attribué des bienfaits comme ceux de mes parents auxquels je dois ma vie. Je me voue corps et âme à vous ! Que vous me redonniez une chance ! »Louis a dit tranquillement : « Au fait, je ne vous accuse pas. Vous avez travaillé pour la Société Boucher avec assiduité pendant des années. Vous m’avez construit la base de développement avec
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 114
Un vendeur s’est approché d’eux à grands pas. Ayant examiné Louis de la tête aux pieds, il s’est mis à parler avec hésitation : « Monsieur, ce modèle de portable est de l’édition limitée. Il coûte quatre-vingt-huit mille, au lieu de huit cent quatre-vingt. En plus, il faut transférer des articles d’une autre magasin. Vous êtes sûr que vous les voulez ? »c'était excusable que le vendeur hésitait. Ce modèle ne jouissait pas d’une production élevée, mais il obtenait récemment la faveur de la haute société. Les gens ordinaires ne gagnaient même pas quatre-vingt mille par an, sans parler d’acheter un portable avec cette grosse somme d’argent.Louis était en vêtements très bon marché. Il avait l’air si pauvre et misérable qu’il paraisse impossible de dépenser des centaines de milliers d’un seul coup. Louis restait muet. Il semblait qu’il doive s’acheter des vêtements moins bon marché.Natalie a aussi pouffé de rire. Il arrivait rare qu’elle voie Louis embarrassé, certainement.Louis a seco
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 115
Lombard était aussi surpris.Voilà tout ? Que voulait dire « Les Nébuleuses ont quand même un peu de bon sens » ?Par la suite, elle ne devrait pas accepter la carte de visite et l’inviter chaleureusement à prendre un verre à quelque part ? Enfin, tout viendrait à point à qui savait attendre ?Au monde des adultes, l’échange était si simple et direct.Mais qu’est-ce que cette demoiselle voulait ? Elle me dédaignait ? Et c’était en raison de l’homme pauvre et misérable à côté d’elle ?Finalement, Lombard a posé ses yeux sur Louis avec attention. Il a adressé un sourire dans une seconde. « Mademoiselle, vous n’osez pas accepter mon invitation à cause du monsieur à côté de vous ? Soyez raisonnable ! Ça se rapporte à votre carrière. On n’aurait qu’une seule chance pour toute la vie. Il n'y aurait pas de médicament du regret à vendre dans ce monde. »Natalie était en train de montrer à Louis les fonctions de ce modèle. Les balivernes interminables de Lombard l’ennuyaient. Elle ne s’est pas
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 116
« Mon dieu, c’est un garçon riche mais discret ? »« Il paye par carte sans sourciller, génial ! »« Sans doute sa famille perçoit le loyer ? »Les badauds étaient pris par stupeur, en voyant Louis payer sans nulle hésitation.« La carte d’or noir ! » Quand Louis a sorti la carte, Lombard, lequel avait des expériences les plus riches parmi tout le monde sur place, a retenu son souffle.À ces mots, tout le magasin est tombé en silence.On ne connaissait pas la carte d’or noir, mais ça ne voulait pas dire qu’on n’en entendait pas parler !On disait que la carte d’or noir demandait au moins plusieurs centaines de millions d’euros liquides de dépôt là-dedans ! Attention, il s’agissait de l’argent liquide, non de la propriété ! L’homme aisé tel que Lombard ne disposait que des millions d’espèces. Qu’est-ce que ça voulait dire des centaines de millions en liquide?La carte de ce genre, il y en avait au plus cinq dans toute la ville !Le vendeur était aussi interdit. Il aurait la chance de re
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 117
« Mademoiselle, je vois bien que vous êtes passionnée par ce portable. Permettez-moi de vous en payer ? » Lombard profitait de cette occasion en s’avançant. Il a sorti sa propre carte bancaire, disant « par carte », de sorte que Natalie n’ait pas le temps de le refuser.« Misérable, vous savez ce que c’est la carte d’argent ? Je vous propose d’être plus professionnel si vous continuez à vous vanter. On vous croirait davantage si vous sortissiez une carte d’argent. La carte d’or noir ? Peuf ! » Lombard abaissait ses regards sur Louis, en triomphant.« Wow ! C’est la carte d’argent. À ce qu'on dit, il faut plus d’un million de dépôt pour en posséder une ! »« C’est Monsieur Girard qui est le vrai fortuné ! Et discret ! »« C’est le jour et la nuit ! »« ... »Louis était sur le point de s’évanouir par fureur. Il avait vraisemblablement des centaines de milliards d’euros dans la carte. Pourtant, il était méprisé par un type dont la richesse n’atteignait que des millions ! Tout ça c’était
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 118
« Monsieur Boucher, qu’est-ce qu’il y a en fin de compte ? » Dans la Ferrari, Natalie lui a demandé avec confusion.« Je me renseignerai par téléphone. » Louis a composé un numéro puis il restait muet dans un instant. Il a repris : « Selon la banque, la limite de crédit tacite de cette carte est de cinq millions par mois. J’en ai déjà retiré cinq millions en liquide, lesquels atteignaient la limite. Il faut signer un accord avec la banque si je veux augmenter la limite. »« Ha, ha ! » Natalie ne s’est pas retenue de pouffer de rire. Elle n’y avait jamais songé.Louis ne trouvait pas de mot. Il serait tombé sur une affaire tellement ridicule. Il paraissait qu’il devait se rendre au siège de la banque. Sinon les dépenses quotidiennes lui poseraient des problèmes.« Alors, ce portable, je t’offre en cadeau, mon frère. » Natalie a légèrement souri. Cette somme d’argent ne lui disait rien.« D’accord, merci. Je te donnerai d’autres choses. » Louis ne l’a pas refusée : « Si tu me conduisait
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Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 330
Dans la boîte en bois, il y avait une montre de curiosité en acier. C’était la Rolex d’un grand renom.Cette montre avait défié le temps. Son cadran légèrement jauni portait une « couleur tropicale » agréable, tandis que son boîtier, malgré les vestiges des années, semblait tout neuf. Draco qui avait l’air fier, s’est mis à identifier la montre dans la hâte. Il a sorti une loupe pour l’examiner avec soin.Tandis que Louis, qui ne faisait que jeter quelques coups d’oeil à cette montre, avait l’air impassible. Évidemment, c’était Louis qui ressemblait plus à un professionnel.François ne cessait pas de hocher la tête et Florence avait les yeux illuminés. En général, la conduite de Louis était beaucoup plus élégante que celle de Draco, lequel ressemblait à un réparateur de montre.Cependant, Julien a poussé un ricanement à ce spectacle. « Ah, les jeunes d’aujourd’hui, vous ne savez que prendre de grands airs ! »Dans l’identification des antiquités, il fallait de la patience et de la min
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 329
Sur ces mots, Louis avait une faible contraction pupillaire. Il semblait que ce Draco ait une hostilité grave contre Louis.Comment by Service communication: Dilatation pupillaire ?Plutôt le contraire... Je ne connais pas la médecine et j’ignore scientifiquement si les pupilles se contractent ou se dilatent dans ce cas-là, mais c’est écrit comme ça.À cette idée, il a lancé un regard sur Florence. Cette femme était un désastre ! Elle ne faisait que lui apporter des ennuis.Florence, voyant que Louis l’a regardée, avait esquissé un sourire sur son visage de glace. Elle a fait un clin d’oeil à Louis, disant : « vous le méritez bien ».Louis a adressé un sourire amer. Il ne trouvait pas de mot.Néanmoins, à ce spectacle, Draco a serré spontanément les poings. Cet inconnu osait faire de l’oeil à sa sylphide en sa présence ? C’était vraiment insupportable !Julien observait du coin de l’oeil les gestes des jeunes. Il a poussé un soupir dans son coeur. Sur ce plan, son disciple ne concurre
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 328
Ce vieil homme s’appelait Julien Garcia, président de l’association des antiquités de la ville de N. La jeune fille était Florence, tandis que le jeune garçon s’appelait Draco Garcia, son disciple.À la vue de Julien, Louis n’était pas trop surpris. Julien jouissait d’une grande renommée dans le monde des antiquaires de N. Il était naturel qu’il vienne à cette exposition d’antiquités. D’ailleurs, il était un vieil ami de François, évidemment.Quant à son disciple Draco, il était amoureux de Florence à coup sûr. Il n’a pas pu détourner ses yeux de Florence depuis qu’ils étaient entrés.Quand Florence a vu Louis, elle a légèrement changé de couleur, ce qui a étonné Draco. Il avait le regard plein de vigilance en posant ses yeux sur Louis.Florence était une véritable beauté de glace. Elle restait impassible devant toute personne. Néanmoins, elle avait le regard beaucoup plus tendre en face de cet inconnu !Avant que Louis et Draco ne fassent connaissance, Draco avait déjà pris Louis pour
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 327
« Christy, il est ton époux en tout cas. Il faut que tu le rappelles à sa parole. Il doit s’agenouiller devant Jacques comme il a promis ! Sinon, vous serez tous les deux chassés dehors. Ce sera vraiment dommage », Zoé a fait la remarque à Christina avec « gentillesse ».Christina a dit d’un air froid : « Ça me regarde ? Il vient et s’agenouille comme il veut ! »« Mon Dieu, tu t’es déjà débarrassée de lui ? Christina, avant que tu ne sois la maudite vice-directrice, tu n’étais pas comme ça ! Maintenant, étant donné ta position sociale, tu as peur de perdre la face ? Ou tu n’es pas encore habituée à ton mari propre-à-rien depuis trois ans ? » Jacques s’est moqué d’elle : « Pourtant, tu ne penses pas à divorcer avec lui ! Ce mariage a été rangé par notre grand-mère ! Si on viole la dernière volonté de la défunte grand-mère, on offensera toute la famille Royer ! »Jacques avait bien réfléchi ces deux derniers jours. Il ne fallait pas que Louis, le bon à rien, divorce avec Christina ! L’e
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 326
Le lendemain, à l’Hôtel de N.C’était un jour de fête à N où aurait lieu une manifestation importante pour le grand monde. Aujourd’hui, la famille de Nolan, une famille de premier ordre de la capitale, organiserait une exposition d’antiquités.L’exposition présidée par la famille de Nolan ne se tenait pas facilement. On y verrait toujours des objets rares.L’essentiel était que l’exposition soit haute de gamme et que les gens ordinaires ne puissent pas y assister.Cette fois-ci, l’Hôtel de N avait suspendu toutes les activités commerciales depuis trois jours, de manière à bien préparer l’exposition. Aujourd’hui, à l’exception des familles et des sociétés invitées, l'accès à l'Hôtel N était interdit aux étrangers.Même les serveurs de l’hôtel avaient été soigneusement sélectionnés. Cela démontrait l’influence exercée par cette exposition sur N.Des voitures de luxe se garaient successivement sur le parking de l’Hôtel de N. Les personnes qui en descendaient étaient tous les VIP des mili
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 325
Grâce à la collaboration avec la Société d’investissement Boucher ? Au projet de centre commercial ?Ces aspects comptaient beaucoup aux yeux de la famille Royer, mais pour les de Nolan, ça ne servait à rien !Si la famille de Nolan accordait cette faveur à la famille Royer de ce fait, on la sous-estimerait !La raison pour laquelle la famille de Nolan prenait la famille Royer en considération, en lui apportant une lettre d’invitation, était très simple. C’était grâce à Louis ! Louis avait dit qu’il n’avait pas besoin de lettre d’invitation, mais une grande famille telle que de Nolan, ne négligeait pas les manières !Si ce n’avait pas été pour ça, la famille de Nolan aurait ignoré la famille Royer, qui ce soient les personnes envoyées chez cette première par cette dernière. La famille Royer, à titre de famille de deuxième ordre régionale, n’aurait pas eu le droit d’être un chien élevé par la famille de Nolan.Comment by Service communication: Comprends pas, que voulez-vous dire ? A ref
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 324
La main de M. Royer, laquelle tenait la lettre d’invitation, ne cessait pas de trembler. En apercevant l’homme qui s’éloignait, il n’arrivait pas à se calmer.Auparavant, la famille de Nolan avait organisé une exposition semblable à N. La famille Royer s’était servi des milliers de moyens pour y assister. Mais elle avait été méprisée comme un chien galeux par la famille de Nolan.C’était une douleur pour M. Royer et c’était pour cette raison qu’il souhaitait assister à cette exposition d’antiquités.Aujourd’hui, contre toute attente, la famille de Nolan lui avait apporté une lettre d’invitation. C’était vraiment un progrès considérable pour la famille Royer !Parmi toutes les familles de deuxième ordre à N, la famille Royer était la seule qui avait cet honneur.« La famille Royer aura un bel avenir ! Elle deviendra une famille de premier ordre ! Nous sommes appréciés par la famille de Nolan ! » a dit M. Royer avec excitation.« Papi, si nous lisions les conditions ? Il faut respecter s
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 323
Louis a hoché légèrement la tête, sans dire un mot. Il s’est installé de nouveau à son siège.Il a regardé Christina du coin de l’œil et a soupiré dans son cœur. Si tu pouvais, si tu pouvais parler en ma faveur, ils changeraient d’attitude envers moi, n’est-ce pas ?Tu ne comprends pas pourquoi je me suis levé tout à l’heure ?Louis était troublé au fond du cœur, tandis que Christina ne comprenait pas ses propres idées non plus ! Elle avait surveillé en cachette Roxanne ces deux jours-là. La femme qui avait l’air pur et innocent, rappelant aux hommes leur premier amour, recevait chaque patient avec bienveillance. Elle avait le cœur brisé à cette vue !Dans ce cas-là, elle n’était pas capable de regarder Louis dans les yeux, ni de prendre son parti !On dit qu’une femme amoureuse n’a aucune raison. Mais quand elle était jalouse, c’était encore pire !Bien entendu, c’était aussi parce que Christina avait l’habitude de considérer Louis comme son propre bien depuis trois ans. Comment pourr
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 322
Il semblait que Christina s’apprête à abandonner ce gendre matrilocal, afin d’épouser un autre homme qui l’aiderait !À ce moment-là, Jacques avait l’œil extrêmement vigilant sur Christina.« Papi, tu vas laisser Louis faire n’importe quoi comme ça ? Sans doute, quelqu’un l’a incité à troubler notre plan ! Ainsi, la position de celle-ci ne sera pas affectée chez nous ! » a dit Jacques d’un ton implicite.M. Royer a lancé un regard froid à Jacques. Celui-ci s’est attaqué à Christina à ce moment crucial ! Il n’avait pas d’ambition !Néanmoins, Jacques avait peut-être raison. C’était éventuellement Christina qui avait poussé Louis en avant !À cet instant, M. Royer a pris garde de Christina au fond de son cœur. Il a jeté un coup d’œil à Louis spontanément, en disant froidement : « Louis, nous discutons d’une affaire sérieuse ici. Va-t’en si tu veux faire ton cinéma ! »« M. Royer, vous pensez que je plaisante ? Eh bien, je vous ai dit la vérité ! » a répondu Louis d’un ton distrait.« J’e
