Chapitre 121

Maxime a entouré Léa d’un bras.

Peau contre peau, les deux cœurs qui battaient dans leurs poitrines n’ont jamais été à la même fréquence

Léa a senti l’odeur familière du corps de l’homme et son visage ne pouvait s’empêcher de rougir.

Puis, elle a soudain pensé à quelque chose et a anxieusement tripoté le corps de Maxime : « Tu n’es pas blessé, n’est-ce pas ? Les gardes du corps de Joanne ne t’ont rien fait, n’est-ce pas ? »

Le désir de Maxime était attisé par elle, il n’avait d’autre choix que de retenir la main de Léa, impuissant, et a dit à voix basse : « Je vais bien, mais si tu continues à me toucher comme ça, je peux te garantir qu’il y aura des problèmes. »

En entendant cela, Léa était trop effrayée pour bouger.

Ce n’est qu’en entendant le rire ravi de Maxime qu’elle a réalisé que c’était une farce. Gênée, elle a levé le poing et l’a abattu sur la poitrine de Maxime.

Mais son poing n’avait aucun pouvoir.

Maxime l’a pris et l’a embrassé : « Léa, tu ne reviens pas en arrière. »

«