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Chapitre 872
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Mon Mari Puissant Chapitre 873
Laurent s'était complètement effondré, tout ce qu'il voulait c'était venger Charlotte. Peu importe qui l’avait tuée, il devrait mourir pour payer le prix.« Laurent, calme-toi ! » À ce moment-là, Lise s'est approchée lentement et a dit doucement : « Où que tu ailles, je t'accompagnerai. Mais pour l'instant, je ne peux pas quitter la Résidence des Chauveaux. L’état de Savinien est encore instable. Si nous partons pour le Continent de Ciel maintenant et la situation s’aggrave, comment faire ? » La famille Chauveaux avait subi de lourdes pertes pendant la bataille contre l'armée impériale. Surtout Savinien, qui avait plus de cent coups de couteau sur tout le corps. En tant que Maître du Master d’écriture, Lise était également très douée dans la médecine.Tout à l'heure, elle avait spécialement préparé des médicaments pour Savinien afin de traiter ses blessures internes, mais il fallait attendre plus de temps pour vérifier que le traitement était efficace ou non. Donc elle ne pouvait pas
Mon Mari Puissant Chapitre 874
Charlotte se tenait debout sur place en serrant les dents.Elle a supporté tout ce qu’Eva lui a fait tout au long du chemin, mais lui laver les pieds était trop humiliant pour qu’elle ne le fasse jamais. Son corps tremblait de colère et de honte.Voyant que Charlotte ne répondait pas pendant un moment, Eva était complètement furieuse : « Mocheté, je t'ai demandé de me laver les pieds. Es-tu vraiment sourde ? » En disant cela, elle a vicieusement donné un coup de pied à la cuvette. L'eau a éclaboussé Charlotte........De l'autre côté.Laurent s'est enfermé dans sa chambre à la Résidence des Chauveaux et s'est allongé sur son lit, étroitement recouvert de la couette.Il ne pouvait penser qu'à Charlotte. Un jour de plus, quand son beau-père serait hors de danger, il détruirait la Lumière et la vengerait. Le fait qu’elle était morte a brisé le cœur de Laurent. En voyant sa tristesse, Yvette avait aussi mal au cœur. Quelque temps après, elle a poussé la porte et lui a demandé de sortir a
Mon Mari Puissant Chapitre 875
Il y avait presque tout là dedans. Les yeux d’Yvette se sont animés et elle a serré le bras de Laurent : « Monsieur, entrons et regardons alors. Je veux acheter de jolis vêtements... » Quand elle est venue sur le Continent de Terre, ce qui a le plus impressionné Yvette, c'est que les filles d'ici étaient si jolies. Certaines filles portaient des jupes courtes ou des robes professionnelles, d'autres des pantalons serrés ou des jeans. Quel que soit le style, elles étaient toutes belles.Laurent a souri et a hoché la tête en entrant dans le centre commercial.Ensuite, il a vu une rangée de voitures de Porsche exposées dans le grand hall du rez-de-chaussée.L’Auger organisait un tirage auquel ceux qui faisaient des achats de plus de mille pouvaient participer. Il y avait une douzaine de premiers prix qui étaient ces voitures.Cependant, plusieurs jours après, personne n'a gagné le premier prix. Beaucoup comprenaient dans le cœur que ces voitures de premier prix étaient seulement ici pour
Mon Mari Puissant Chapitre 876
« Trois millions ? » a demandé Laurent, stupéfait.C’était un prix vraiment démesuré. Cette voiture ne coûtait que deux millions et maintenant elle n'avait qu'une légère rayure, elle leur a demandé de payer trois millions.En voyant son expression stupéfaite, les gens autour qui ne connaissaient rien aux voitures, ont pensé que Laurent ne pouvait pas la payer et le blâmaient injustement.« Ta sœur a rayé la voiture, alors vous devez payer pour ça... » « Il faut bien sûr prendre la responsabilité de faire quelque chose de mal... » En fait, Laurent était déjà connu sur le continent de terre, mais ces gens ordinaires ne l’avaient jamais vu en personne. Personne ne croyait que ce jeune homme habillé de vêtements ordinaires était Laurent qui avait fait tous ses efforts pour défendre la Cité Mer de l'Est.En écoutant les bavardages, Yvette a baissé la tête comme un enfant qui a fait quelque chose de mal. Elle prenait le bras de Laurent et a chuchoté : « Monsieur, je suis désolée... » Bien
Mon Mari Puissant Chapitre 877
Il s'est forcé de s’avancer et de dire : « Vous avez rayé la voiture et vous devrez payer pour cela. »En même temps, une douzaine de gardes de sécurité du centre commercial ont rapidement entouré Laurent, chacun le regardant avec attention.Tant que M. Ruiz en donnait l'ordre, ils se rueraient sur ce gamin et l’attraperaient.Voyant que l'atmosphère était mauvaise, Yvette a tiré fermement le bras de Laurent et a murmuré : « Monsieur, oublie ça ! » Bien qu'elle ait reçu une gifle, elle voulait juste sortir d'ici maintenant. Elle ne connaissait pas le continent de terre, mais elle savait déjà qu’Yvon était le patron du centre commercial et avait un statut élevé.Laurent l’a regardée et a pris sa main. À ce moment-là, son visage clair avait une marque de gifle rouge, ayant l’air douloureux.En cet instant, Laurent, tout en colère, a frappé férocement la voiture. Sa force énorme a fait un grand bruit de craquement et les vitres de la voiture se sont instantanément brisées.Tout à coup, l
Mon Mari Puissant Chapitre 878
Après avoir raccroché, Laurent a regardé Yvon avec un sourire : « Je te payer dans une demi-heure. Attends un peu ! » En entendant cela, tous présents étaient en émoi, mais plus que cela, ils se moquaient de lui.« Hahahaha, préparer un milliard de dollars en liquide en une demi-heure ? Ce gamin est encore dans son rêve. » « Il sort d'un hôpital psychiatrique. » « Regardez son pauvre apparence ! Sans parler d’un milliard, il peut à peine obtenir cent mille. » Pendant un moment, la moquerie a envahi tout le grand hall de l’Auger.Yvon a repris ses esprit et a changé de visage : « Tu te fous de moi. »Ce gamin pouvait sortir un milliard d’euros en liquide. Il ne le croirait jamais.Laurent a souri avec désinvolture : « M. Ruiz, ça va ? De toute façon, je ne quitte pas ici. Tu ne peux même pas attendre une demi-heure. » Honnêtement, avec sa force actuelle, il pourrait facilement raser le centre commercial et partir, mais il était un homme de principe. D’après lui, il fallait toujours
Mon Mari Puissant Chapitre 879
Immédiatement après, il y avait un vrombissement de voiture dehors.L'instant suivant, une forte détonation a été entendue alors que cinq camions ont traversé les portes vitrées du centre commercial et sont entrés directement dans le hall.Ensuite, les portes arrière des cinq camions se sont ouvertes. Des piles d'argent se sont déversées comme l'effondrement d'une montagne de neige. En un clin d'œil, le hall du centre commercial tout entier, ayant l’air d’être inondé, est devenu une mer verte. Il y a eu un silence. Tout le monde s'est regardé, incapable de prononcer un seul mot. C'était un milliard d’euros en liquide !En regardant les billets partout sur le sol, tous étaient abasourdis. Beaucoup d’entre eux n'avaient même jamais vu 10 millions en espèces, sans parler d'un milliard. La scène actuelle a maintenant complètement changé leur concept de l'argent.Personne n'a soupçonné que l'argent était faux, puisque sur le lien de chaque piled’argent, il y avait clairement le signe de b
Mon Mari Puissant Chapitre 880
Après y être entrées, elles ont trouvé encore plus de gens rassemblés là dedans. Au milieu du centre commercial, il y avait cinq camions. De toute évidence, ils y avaient été directement conduites, car les portes tournantes avaient été brisées en morceaux. Le hall couvert par les billets était comme une mer verte. Les piles d’argents étaient comme des coteaux qui s'étendaient à l'éternité. Charlotte tremblait, incapable de prononcer un mot sous le choc. Eva ne savait pas ce que signifiait tant d'argent, mais Charlotte le savait bien. Quiconque a vu un milliard d’euros en espèces n'oublierait jamais cette scène de sa vie.« Mocheté, viens par ici ! » a crié Eva à voix basse et son regard a traversé la foule. Elle a vu un homme debout juste devant les camions qu’elle connaissait de vue. N'était-il pas Laurent, cible de cet assassinat ?Elle savait seulement que Laurent était à Bourges, mais elle pensait qu'il serait difficile de le trouver dans cette grande ville. Elle ne s'attendait
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