Chapitre 818

À ce moment-là, Yvette avait l'air emphatique. En tant qu'une mendiante, elle avait vagabondé dès son enfance et avait mené une vie pénible. Bien qu'elle soit apparemment une fille forte, son âme restait fragile et elle se sentait triste à la vue de cela.

Près d'elle, Lise a froncé les sourcils avec empathie. Anna était vraiment pitoyable en raison qu'elle subisse un tel malade quand elle était si jeune, c'était une beauté tragique.

Ensuite, la domestique a apporté la pilule de tranquillité.

Douglas l'a reçue et l'a donné à Anna en la rassurant doucement : « Chérie, ne t'en fais pas, tu vas bien... »

Toutefois, après avoir pris la pilule de tranquillité, Anna ne se portait pas bien. Elle a dit tout en tressaillant : « Chéri, je n'en peux plus. Cette fois-ci, je ne pourrais pas survivre... chéri... »

« Non, chérie, ne dis pas cela. » Douglas a pleuré avec tristesse. « Tu dois aller bien, ne dis pas cela... Je t'en prie. »

La voix de Douglas tremblait. Il se deman