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Chapitre 783
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Mon Mari Puissant Chapitre 784
Perdant son âme, Connor est parti de l'auberge et est entré dans un restaurant.Il a crié : « Patron, servez-moi du vin . » Il a été plongé dans un profond chagrin en pensant que Charlotte a été souillée . Elle était la déesse qu'il aimait depuis des années.Il a englouti son vin, un bol après l'autre. Il pouvait se libérer de ses soucis seulement après s'être enivré.....De l'autre côté, dans la salle de l'auberge, Charlotte s'est réveillée. Lorsqu’elle s’est aperçue qu’elle se trouvait dans la baignoire, en fixant Gaspard, elle avait envie de le tuer.« Tu, tu... » Elle s'est déjà effondrée. Elle ne voulait pas croire qu'elle n'était plus vierge.C'était certainement un cauchemar.Après avoir mis ses vêtements, Gaspard s'est approché d’elle en la regardant avec un sourire : « Beauté, tu es déjà ma femme. Sois heureuse. Ne pleure plus. » Il était le Maître de la lumière, occupant une position haute et importante. C'était un grand honneur pour elle d'être sa femme.À vrai dire, Cha
Mon Mari Puissant Chapitre 785
Le son de gifles clair résonnait continuellement......En même temps, à la Cité des fleurs de ketmie sur le Continent d'Orient, Laurent et Yvette étaient en train de dormir dans un hôtel. Ils ont soudainement entendu des tonnerres assourdissants de gongs et de tambours et des cris à l'extérieur.Laurent a été réveillé par ces bruits. Il s'est roulé sur le sol. Après avoir mis la couverture sur sa tête, il pouvait encore les entendre.Il logeait dans la même chambre avec Yvette. Bien sûr elle dormait sur le lit et il dormait sur le sol.« Monsieur, pourquoi c'est si bruyant dehors... » a-t-elle demandé. Immédiatement après, elle est allée à la fenêtre et a regardé en bas.« Monsieur, regarde. » Elle a été complètement réveillée et était joyeuse comme un enfant.À ce moment-là, la rue en bas grouillait de monde. Des deux côtés de la rue, il y avait divers marchands ambulants qui s’écriaient. Certains vendaient des brochettes de cenelles caramélisées, d'autres des gâteaux ou des lanterne
Mon Mari Puissant Chapitre 786
La belle femme sur la scène a dit : « Tout le monde, je suis Pivoine, animatrice de la Compétition de la poésie. Je vais vous proposer tout à l’heure un sujet autour duquel vous écrirez des poèmes. Celui dont le poème sera le meilleur, obtiendra le titre Talent de Ketmie . Vous savez, ce titre est la plus haute gloire pour les lettrés. » Elle a regardé autour d’elle : « C'est la fin de l'automne maintenant, donc nous allons utiliser l'automne comme le sujet de la Compétition de la poésie d’aujourd’hui. Celui qui fera le meilleur poème remportera le titre. » « J'ai un poème. » Un gros homme d'âge moyen est sorti lentement de la foule et est monté sur la scène.En un éclair, tous le regardaient avec surprise.Le titre venait d'être dit et il a déjà fini son poème. C'est trop rapide. Tout le monde en était vraiment curieux. Pivoine, également choquée, a dit avec un léger sourire : « Alors, partagez votre poème avec nous. » Le gros homme a acquiescé. Après un moment de silence, il a d
Mon Mari Puissant Chapitre 787
Quoi ? Ce gamin voulait écrire un poème ? Il était trop fatigué en tant qu’hallebardier pendant la journée et il y avait des problèmes dans son cerveau.En entendant la foule se moquer de Laurent, Yvette n'a pu s'empêcher de taper du pied et de répliquer : « Ne vous moquez pas de lui. Ils est très talentueux. Son poème sera beaucoup meilleur que les vôtres. » Pivoine a souri légèrement et a dit : « Alors, écris ton poème. Mais je t’ai déjà dit, les conséquences seront sévères si tu es ici pour causer des problèmes. » Laurent n'a pas pris la peine de s’expliquer. En voyant qu’il y avait un pinceau dans le coin de la scène, il est directement allé prendres le pinceau et l'a trempé dans l'encre.« Que fais-tu avec le pinceau ? Pose-le. » Pivoine s'est approchée sur ses talons hauts. Elle était déjà sûre que ce gamin était là pour causer des problèmes.À ce moment-là, il y avait aussi une agitation parmi les spectateurs. Qui oserait causer des problèmes dans la Compétition de la poésie ?
Mon Mari Puissant Chapitre 788
« Monsieur, votre poème est trop beau. » À l'entrée de l'auberge, tenant fermement la main de Laurent, Yvette a dit avec admiration. « Après que vous l’aviez écrit, ils étaient tous abasourdis. Vous êtes vraiment talentueux. » Elle prenait le bras de Laurent, ayant de très bonne humeur. Elle a déjà su qu’il avait pu étonner tout le monde.Il la regardait avec un visage souriant : « C’est beau ? Alors, pourquoi ? » En fait, ce poème a été écrit par un grand poète très célèbre de la Dynastie capétienne. Alors il devrait être beau.Yvette a incliné la tête et a dit après avoir réfléchi un peu : « De toute façon, je le trouve génial. Les mots que vous avez écrits sont vraiment beaux. » Elle ne connaissait pas la poésie, mais elle pouvait aussi ressentir le sentiment de tristesse et solitude dans le poème.En entendant ces mots, Laurent a ri et a tendu la main pour toucher sa tête.« Monsieur Travers ! » a crié quelqu’un derrière lui d’une voix excitée.Laurent s'est retourné et a vu que
Mon Mari Puissant Chapitre 789
Pivoine a dit à Laurent en pointant du doigt la première voiture.Il a hoché la tête et s'est assis sur la banquette arrière avec Yvette. Pivoine s'est assise à la place du conducteur et a mis la voiture en marche.Les deux cents voitures les suivaient tout de suite. Cet énorme convoi de voitures roulait vers le sud.Comme il était déjà tard, Laurent et Yvette avaient sommeil. Ils ont donc dormi dans la voiture.C'était un très bon sommeil. Le lendemain matin, Pivoine les a réveillés de façon douce : « Monsieur Travers, nous sommes arrivés. »« D’accord... » Laurent a ouvert ses yeux ensommeillés et a regardé à travers la fenêtre de la voiture. Il était soudainement confus.À quelques dizaines de mètres de là, il y avait un palais grandiose qui était plusieurs fois plus grand que le Palais Impérial. La porte magnifique de ce palais était haute de plusieurs centaines de mètres et large de plus de cinquante mètres.Sur la porte, il y avait quelques grands mots rouges écrits : Master d’éc
Mon Mari Puissant Chapitre 790
Elle était le trente-sixième maître du Master d'écriture. Elle était charmante et incroyablement belle à l’âge de trente ans. Elle était au niveau d’Arès de classe trois.Cependant, au lieu de sa force, ce qui la rendait célèbre dans le monde était plutôt son talent.Elle était considérée comme la femme la plus talentueuse de tous les temps. Elle était compétente dans tous les domaines : l'astronomie, géographie, la musique, les échecs, la calligraphie et la peinture. Cette femme était vraiment magnifique.Laurent la fixait fermement et n'a pu s'empêcher de prendre une profonde inspiration.À ce moment-là, Lise était assise sur le trône. Devant elle, il y avait un fin rideau de gaze. Il ne pouvait pas voir clairement son visage mais il sentait que son aura était vraiment transcendante.« Comment oses-tu ne pas t'agenouiller en voyant notre maître ? » a réprimandé Saint-Jean avec colère en faisant un pas en avant.Il ne s'attendait pas à ce que le Talent de Ketmie de cette année soit La
Mon Mari Puissant Chapitre 791
À ce moment-là, Lise Favre a demandé à Laurent à travers le rideau de gaze. « Laurent, les gens d'en bas m'ont dit que vous avez écrit un poème et que vous avez gagné la première place, mais que vous ne voulez pas le titre de « Talent de Ketmie ». Pouvez-vous me dire pourquoi ? »Laurent a répondu avec un sourire. « Je passais par là et j'ai écrit un poème au hasard sur un coup de tête, quel talent ou pas, ce n'est qu'un titre, peu importe que je le veuille ou non. »Quoi ?Juste sur un coup de tête.En un instant, les centaines d'anciens du Master d'écriture présents dans le public ont tous eu un tremblement dans la poitrine.« Même si vous avez du talent, vous devez savoir être modeste... »Il devait savoir que la personne en face de lui était la femme la plus talentueuse de tous les temps, le patriarche du Master d’écriture.Tout le monde a avalé une bouchée de salive et a murmuré dans son cœur. Laurent, il ne savait vraiment pas comment être modeste, jeune homme, son acuité était t
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