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Chapitre 437
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Mon Mari Puissant Chapitre 438
« Ah ! Je ne peux plus le retenir. Tu pars ou pas ? » a crié Laurent fort.Il ne faisait vraiment pas semblant, il ne pouvait vraiment pas le retenir !Monique a pris une profonde inspiration, serrant ses dents de haine : « D’accord, après que je t'ai aidé à aller aux toilettes, tu dois me donner la clé ! » « On verra plus tard. » Laurent a dit avec indifférence, « Après, si je suis de bonne humeur, je pourrai te donner la clé. Sinon, je ne peux toujours pas te la donner. Cependant, ce qui est sûr, c'est que si tu ne m'aide pas, je ne te la donnerai certainement pas. » Ces mots ont mis Monique en colère. Elle voulait lui répliquer, mais elle a vu que Laurent avait déjà fermé les yeux et avait l'air d'indifférent. À ce moment-là, elle ne pouvait que taper du pied : « Bon, voilà, je vais t'aider. » En disant cela, elle a aidé Laurent à se relever.« Oh, tu dois m’aider correctement, sinon, comment puis-je marcher ! » a marmonné Laurent. Il est descendu prudemment du lit pour éviter qu
Mon Mari Puissant Chapitre 439
Monique s'est calmée et a évité de regarder Laurent dans les yeux : « Tu... tu peux me donner la clé maintenant ? » « Bien sûr que oui ! » Laurent a ri et s'est senti agréable. Il l’a regardée tout en s'allongeant sur le lit avec un grand sourire : « Je peux te la donner, mais tu dois m'appeler bon frère. » « Tu...tu dis quoi ? » Monique a changé de visage, et elle était sur le point de se fâcher. Comment pouvait-elle dire ce genre de mots ?« Espèce d'ordure, tu cherches la mort ! » a dit Monique en serrant les dents.Laurent gardait toujours son sourire et n'a pas dit un mot, ayant l’air indifférent.Monique a serré fortement ses mains, sans pouvoir s’emporter. Finalement, elle a dit doucement entre ses dents : « Bon...bon... » Son visage était totalement rouge bien qu’elle n’ait pas encore dit « frère ».Quelle ordure ! Monique a maudit dans son cœur, mais elle a quand même baissé la tête en se déchirant pendant un long moment. Elle a enfin dit doucement : « Bon...bon frère. Est-
Mon Mari Puissant Chapitre 440
Servi par Charlotte, Laurent a pris un magnifique petit déjeuner.Laurent était de bonne humeur après avoir joué un tour à Monique hier, ce qui a donc donné l’appétit à Laurent. Après une bonne nuit de sommeil, il s'est réveillé ce matin, frais et dispos.Ce qui a été consigné dans Les Pilules magiques avait vraiment raison. Trois jours après avoir pris la pilule de vie, il était maintenant complètement rétabli.Après que Charlotte soit allée à l'école, Laurent a pris un bain. Juste après s'être lavé et s’être mis en pyjama, il a entendu la porte de sa chambre s'ouvrir, suivie par Monique marchant rapidement.« Je te préviens, ne me trompe pas encore aujourd'hui, dépêche-toi d’aller trouver mon grand-père. » a dit Monique froidement. En tirant Laurent, elle s'est dirigé directement vers l'Institut des Forces.Il l'avait humiliée plusieurs fois hier, et elle ne l'oublierait jamais de sa vie.Laurent l'a laissée le tirer, jusqu'à ce qu'ils sont arrivés à l'entrée de l'Institut des Forces
Mon Mari Puissant Chapitre 441
Monique était furieuse, sa colère déteignant sur elle. Elle voulait vraiment donner une claque à Laurent ! Seulement... dans la scène qui s'est déroulée devant elle, si elle avait pété les plombs avec lui, elle aurait été soupçonnée. Le cœur déchiré, Monique a baissé à contrecœur la tête et a humblement crié, « Monsieur le maître. »« Oui. » Laurent a hoché la tête en signe de satisfaction, « Bonne fille, allons-y. » Avec cela, sans regarder Auguste et les autres, il a marché en direction de la pièce secrète. Monique suivait de près derrière, inséparable.« Merde. C’est vraiment une servante, et cette servante est trop belle, n’est-ce pas ? » les autres ont dit silencieusement dans leur esprit. Ils se sont figés sur place, regardant les deux, Laurent et Monique, s'éloigner, sans pouvoir ralentir un seul instant. Auguste, en particulier, a regardé attentivement le dos gracieux de Monique, son cœur enviant de manière inexprimable de se souvenir de la haine.Merde ! Un voyou comme Laurent
Mon Mari Puissant Chapitre 442
Laurent acquiesce, « C'est vrai, c'est exactement moi, et en plus, je suis aussi frère juré de Mochet. »Quoi ? En entendant cela, le cœur de Daumier a tremblé. Qui était Mochet, c'était la personne numéro un sous le Seigneur du Palais immortel, dans tout le Palais immortel, une personne était très puissante avec un grand pouvoir, on pourrait dire que même les quatre Rois ont dû saluer quand ils l'ont vu. Et ce gamin en face de lui était en fait un frère juré du Mochet. Ce... C'était incroyable ! Comme il le pensait, le chagrin et la colère dans le cœur de Daumier se transformèrent instantanément en extase en riant à voix haute, « Ha ha ha, après tout ça, il s'avère que c'est l'un des nôtres, je vous ai vraiment fait rire à l'instant. »« Pas seulement ça, » Laurent a fait un geste de la main, « Monsieur Bellanger, à l'époque, vous avez acheté une pilule de ciel à l’Enchère Lusson-Lusson, vous vous en souvenez ? Cette pilule de ciel a échoué, et vous avez été empoisonné en conséquence
Mon Mari Puissant Chapitre 443
Laurent a haussé les épaules et s'est retourné pour partir. Il n'avait pas le temps de discuter avec Monique, l'essentiel pour l'instant était de mettre la main sur les écritures en premier ! En voyant la silhouette de Laurent partir au loin, le regard de Daumier a légèrement vacillé. Il a ensuite regardé Monique et l'a gentiment réprimandé, « Monique, cet ami, Laurent, a fait preuve d'une grande gentillesse envers moi par deux fois, comment peux-tu dire du mal de lui ? » Monique a froncé les sourcils et a dit avec un grognement froid, « Grand-père, tu ne sais pas, cette personne n'est qu'une ordure, j'ai déjà été assez poli avec lui tout à l'heure. »Ce salaud, en un jour ou deux, avait fait des gestes et l'avait humilié trois fois. Ce qui était encore plus ennuyeux, c'était qu'il s'était demandé de l'accompagner aux toilettes ! C'était une humiliation que l'on ne pouvait jamais oublier pour le reste de sa vie. Si ce n'était pas le fait que son grand-père venait d'être libéré et ava
Mon Mari Puissant Chapitre 444
Ce regard a duré dix minutes. Laurent, déjà trempé par la pluie battante, a finalement trouvé la fin ! « Ha ha, je sais, donc ces piliers de pierre, sont dans l'ordre du neuf-palais pour le taoïsme et des huit trigrammes ! » Laurent lui a tapé sur la cuisse ! Ayant lui-même étudié La Géomancie, il était écrit dans le livre que l'ordre du neuf-palais pour le taoïsme et des huit trigrammes, dans l'ordre, était : « Qian, Kun, Xun, Zhen, Kan, Li, Bur, Tui ». En le regardant dans cet ordre, ce qui était écrit au sommet du pilier de pierre a instantanément coulé de source ! Laurent l'a lu attentivement, sans manquer un seul mot ! Au sommet de ce pilier de pierre, ce qui était écrit était une méthode de mérite inégalée !« Le Grand du taoïsme est suprême, il renverse un yin et un yang. Ce kung fu est si profond et insondable que lorsqu'il est pratiqué à son plus haut niveau, il a le pouvoir de faire tourner le ciel et la terre. » « Le nom de ce kung fu est : la Grande Technique de Rupture du
Mon Mari Puissant Chapitre 445
« Monsieur, vous ne plaisantez pas. »Laurent n'a pas pu s'empêcher de rire aux éclats et a regardé le chauffeur de taxi en disant, « Ingrid Poirier est mon amie, elle n'a même pas encore de petit ami, alors comment pourrait-elle se marier ? »« Ah ? C'est votre amie ? » Le chauffeur de taxi a incliné sa tête pour regarder Laurent et a soupiré d'impuissance. Comment cet homme, habillé d'une tenue bonne marchée, pouvait-il connaître Mlle Poirier ? « Regardez par la fenêtre de la voiture. » Le chauffeur a dit. Laurent a jeté un coup d'œil le long de la fenêtre de la voiture, et à ce moment-là, tout son corps était abasourdi ! Le taxi roulait sur une route très fréquentée, et des montgolfières flottaient tous les vingt mètres sur le bord de la route. Au-dessus de ces montgolfières, il y avait des bannières de plus de dix mètres de long ! Cette bannière flottait dans le vent, et les mots qu'elle contenait étaient particulièrement frappants !« Mme Ingrid Poirier, M. Manuel Hubert, le mar
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