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Chapitre 155
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Mon Mari Puissant Chapitre 156
Les gens dans la grotte ont tous réagi jusqu’à ce moment-là : « Laurent, Laurent, tu me tires en premier. » « Laurent, sauve-moi. » « Laurent, sauve ma femme, elle est enceinte de deux mois. » Les cailloux tombaient dans la grotte, elle semblait s’effondrer bientôt. Dans ce cas, tout le monde voulait être secouru en premier, plus ils restaient longtemps à l’intérieur, plus ils étaient en danger. Auguste a grondé et s’est poussé vers l’avant, il a regardé Laurent avec en levant la tête dans l’attente d’être sauvé : « Laurent, Laurent, sauve-moi, je peux te donner de l’argent. » Il n’a pas le temps de tenir compte des sentiments personnels de grâce et de rancune, il ne voulait que vivre ! Laurent l’a regardé en souriant : « Auguste, est-ce que tu oublies ce que tu as dit ? As-tu dit toi-même que tu m’appellerais papa ? » « Toi ! » Ce gendre allait trop loin ! Si personne n’était pas là, il pourrait l’appeler, mais maintenant il y avait des centaines de personnes autour ! En plu
Mon Mari Puissant Chapitre 157
Margueritte ne savait pas comment elle pouvait dire ces mots d’une telle manière, elle se réclamait habituellement de ses origines. Après avoir parlé, elle a immédiatement rougi, au clair de la lune, elle était exceptionnellement charmante. Laurent a froncé ses sourcils. A vrai dire, il n’a pas voulu quand même sauver Auguste ! Ce type était mauvais, il a attiré le requin dans la journée et a failli de faire un malheur. Il ne voulait pas pardonner Auguste. « Mon frère, tu le sauves », Margueritte a chuchoté de nouveau en agitant le bras de Laurent. Voyant que sa déesse a appelé Laurent frère, Auguste sentait mal à l’aise. Mais à ce moment, il n’osait rien dire. Laurent a soupiré, en raison de la supplication de Margueritte, il a sorti la corde et a sauvé Auguste. Et puis, il s’est dirigé vers la cabane sans parler à Auguste. « Laurent, tu es fort. » Lors que Laurent est arrivé à la cabane, Charlotte qui l’a attendu, ne pouvait se retenir de crier avec un visage épanoui. A tout
Mon Mari Puissant Chapitre 158
Il y avait cinq ans, Anselme a donné offert Les os et les forces au grand-père des Travers. Le Rigel et la Bételgeuse étaient de même origine, dont les ancêtres avaient créé de concert une méthode martiale, Les os et les forces, les disciples de toutes les sectes pouvaient exercer de cette méthode. Mais bien sûr, seuls les disciples d’élite pouvaient le faire. Les disciples ordinaires ne pouvaient pas pratiquer selon ce livre. Après avoir obtenu Les os et les forces, le grand-père des Travers a commencé à l’étudier à la fermeture, le temps a passé très vite, en un clin d’œil, cinq ans se sont écoulés. Actuellement, le grand-père des Travers a eu une bonne compréhension et a fini de pratiquer le Bouddhisme à la fermeture ! Suite à cette nouvelle, de gros bonnets de la Cité Mer de l’Est et des villes voisines sont accourus pour le féliciter. Un grand banquet a eu lieu à la villa où il y avait toutes les sortes de mets précieux. Les serveuses étaient aussi jeunes et belles. Dans l’a
Mon Mari Puissant Chapitre 159
Paf ! Les mots de Lucie ont attisé la colère du grand-père, il a frappé rudement la table : « Attrapez Léonard et sa femme. Je veux leur demander comment ils éduquent leur fils ! » Le grand-père des Travers avait la tête montée en ce moment ! Jérôme et Jeanne se sont regardés avec des sentiments complexes. Ils étaient entrés en contact avec Laurent avant et le trouvaient pas mal. Ils n’attendaient pas à ce qu’il ait fait ce genre de chose ! N’était-il pas une bête habillée ? Trois jours plus tard, au Lac de dragon. Il faisait très beau ce jour-là. L’excursion s’est terminée, la famille Blanc a envoyé des bus de bon matin. Il y avait quelques jours, la grotte s’était effondrée, de nombreuses personnes ont été blessées, bien qu’ils soient hors de danger et les blessures se soient couvertes d’une croûte, ces jeunes de familles riches vivaient dans l’opulence et voulaient aller à l’hôpital pour un examen médical. Les blessés sont montés à l’envi dans le bus. Ceux qui ne sont pas
Mon Mari Puissant Chapitre 160
« Dépêche-toi d’ouvrir la porte », Margueritte s’est pressée de se lever et a dit au conducteur. Il était bon d’aider les autres. Le conducteur a acquiescé et était sur le point d’ouvrir la porte, en ce moment, les jumeaux étaient contents et ont soutenu leur sœur vers le bus. Cependant, Laurent s’est levé : « Attends, je pense que c’est mieux d’appeler une ambulance pour eux. » « Pourquoi ? » Margueritte était perplexe et a froncé les sourcils. Laurent a ri : « C’est rien. Le bus est bondé et il n’y a pas de place pour eux. » Tout le monde était en colère après avoir entendu ses paroles. De quoi a-t-il parlé ? Les trois ne pouvaient pas monter dans le bus faute de place ? Leur petite sœur était gravement blessée, il fallait aller à l’hôpital immédiatement. En fait, Laurent a aussi éprouvé de la compassion pour les autres, mais il a trouvé les trois personnes bizarres dès qu’ils sont apparus. Apparemment, Belle semblait douloureuse à cause de la blessure. Mais il n’y avait au
Mon Mari Puissant Chapitre 161
« Ne dis pas de bêtises ! » Charles a levé les yeux au ciel, « Laurent, ces trois frères et sœurs, nous allons certainement les sauver. Si tu ne le veux pas, descends. » Laurent ne savait pas quoi lui dire.« Laurent, je crois que ces trois personnes sont vraiment très pitoyables, alors aidons-les », Charlotte assise à côté de Laurent, a tiré son bras et lui a dit doucement.S’il s’agissait d’une autre chose, peut-être que Charlotte aurait pu rester silencieuse, mais comment pouvait-elle voir quelques-uns en danger de mort sans leur porter secours ?Laurent a secoué la tête en cachette et a jeté un regard à Charlotte.Tous dans la voiture blâmaient Laurent en tout arbitraire.Finalement, en retrouvant son calme, Auguste a ricané : « Pourquoi bavarder ? Cette excursion a été organisée par ma famille. La voiture a également été envoyée par ma famille. Donc écoutons-moi, laissons-les monter. » Après avoir dit cela, Auguste s'est rapidement avancé et a appuyé sur l'interrupteur de la por
Mon Mari Puissant Chapitre 162
« Je vous préviens... de... de ne pas user de ruse. Celui qui nous donne de... de l'argent... peux quitter ici... en sécurité ! » a dit Grand impitoyablement. Lorsqu’il venait de terminer ses mots, la mine assombrie, il s’est précipité rapidement devant Charles.« Ne vous méprenez pas. Je ne veux pas appeler la police. Je n'ai pas ma carte bancaire sur moi, je peux vous payer de l'argent par mon téléphone portable. »Charles était si agité qu'il a expliqué tout suant.Grand n'a même pas écouté son explication. Il a arraché le téléphone et a violemment frappé la tête de Charles avec le téléphone.« Qui est-ce que tu trompes ? » a juré Grand férocement en frappant.Même s'il ne voulait pas alerter la police, le transfert par téléphone révélerait ces trois hommes. Alors Grand était furieux, pensant que Charles a voulu le tromper.« Ah... Ne me frappe plus ! Je n'ai vraiment pas ma carte sur moi ! » a crié Charles, le sang coulant sur ses joues.« Je n'ai vraiment pas ma carte bancaire su
Mon Mari Puissant Chapitre 163
Dans la voiture, l'atmosphère était très déprimante. Tout le monde regrettait de ne pas écouter Laurent tout à l'heure et d’avoir laissé les frères et sœur monter dans la voiture !Mais maintenant, il était trop tard !Par la fenêtre de la voiture, on pouvait clairement voir que quatre femmes, telles que Charlotte, Margueritte, Ingrid et Nathalie, étaient fermement attachées à un arbre.C'était un arbre ancien qui était ici pendant des centaines d'années, avec un tronc épais que dix personnes ne pouvaient même pas étreindre. Sa cime luxuriante ressemblait à un parapluie géant, laissant tomber dix mille branches et couvrant presque tous les abords de cet arbre.En regardant les quatre belles femmes être attachées, les deux frères des Andre étaient fous de joie en avalant la salive fébrilement.Et à ce moment-là, Belle dans la voiture était de plus en plus anxieuse.Les trois frères et sœur avaient fait un plan détaillé à l'avance pour ce pillage, et le temps avait été bien calculé qui d
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