La camionnette des voleurs a roulé à toute vitesse vers la banlieue. Les voleurs ont tous enlevé leur masque noir.En regardant les plusieurs grands sacs d'argent à l'arrière de la camionnette, les visages de chacun brillaient d'excitation.« Merde, chef, le gamin et la policière nous poursuivent. » À ce moment-là, l'un des voleurs s'est involontairement retourné et a immédiatement crié au chef, un peu paniqué.D’autres voleurs se sont empressés de regarder en arrière, et ont tous changé de visage. Tout à l'heure, à la banque, ils étaient si nombreux à le battre, mais n'avaient pas réussi à maîtriser ce gamin, au contraire, ils ont été facilement abusés par lui en retour. De plus, il allait bien même après avoir pris une balle du chef !« Pourquoi vous paniquez ? Un seul gamin vous fait peur ? Roulez en direction de la montagne. Le signal est faible sur la montagne. Même s'ils appellent la police, il ne sera pas facile de nous intercepter. » En voyant Laurent et Margueritte les suivre
Et ce gamin devant lui l’a humilié comme ça.« Quoi ? J'ai tort ? Si tu as encore un peu d'humanité et de conscience, laisse cet enfant partir. » Laurent a gardé son impassibilité. Il a dit tout en continuant à s'approcher.« Arrête ! Ne t’approche plus ! » a crié Raphaël en colère avec une certaine haine dans ses yeux.Qu'est-ce que ce Laurent voulait faire ? Margueritte était anxieuse et son visage était plein de tension, sentant que Laurent était un peu présomptueux. Comment faire si les voleurs étaient ennuyés et blessait l'enfant ? Laurent a affiché un sourire : « À vrai dire, j'admire ton courage. Tu oses voler une banque avec seulement quelques personnes. Cependant, prendre une petite fille en otage, c’est trop honteux, ton but n'est-il pas de réussir à t’enfuir ? Alors, tu me tiens en otage et laisses l'enfant aller. » Raphaël n'a pas répondu, ses yeux étant pleins de colère.Laurent a souri légèrement et a continué : « Tu me détestes, non ? Mais cette petite fille est innoc
« Ta.... Ta blessure... » Margueritte s’est approchée d’un pas rapide. Inclinant la tête, elle lui a demandé.« Pas grand-chose. » Laurent a secoué la tête avec une expression détendue.En fait, Laurent se forçait à l'endurer.Au moment où il a utilisé l'Épée de sang, sa blessure a été touchée et ça fait vraiment mal.Margueritte a hoché la tête et n'a plus rien dit, mais il y avait encore de l'inquiétude dans ses yeux. Elle est montée dans la voiture avec la petite fille.Lorsque Laurent s'est assis dans la voiture, sentant une douleur intense provenant de son épaule. Il n'a pu s'empêcher de maudire. Si la balle était restée coincée à l'intérieur depuis trop longtemps, et qu’il ne la sortait pas à temps, il aurait peur de perdre encore plus de sang.En pensant à cela, au lieu de démarrer la voiture, Laurent a détaché le tissu qu'il avait enroulé autour de son épaule auparavant. Puis il a silencieusement poussé sa force interne pour faire sortir la balle.Au moment où la balle est so
Elle a vu que Laurent la regardait avec un sourire, Margueritte s'est mordu les lèvres et a arrêté de parler.Est-ce qu'elle se souciait trop de lui ?« Ce n'est vraiment pas nécessaire. Maintenant, comme il est si tard, les médecins ont tous fini leurs heures de service, non ? » « Mais ta blessure, il faut en prendre soin aussi. » Margueritte a froncé les sourcils, et après un moment de silence, elle a continué doucement : « Pourquoi ne pas aller chez moi ? Je t'aiderai à examiner la blessure et à appliquer un certain médicament. » Laurent a ri et l’a délibérément taquinée : « Pourquoi tu t’inquiètes de moi ? Peur que je meure ? » « Je... » Margueritte était agité sans raison, « Tu as été blessé à cause de moi après tout... » Il était déjà tard dans la nuit, et Margueritte savait qu'il était un peu inapproprié de laisser cet homme aller chez elle.Mais, il était tellement blessé, il lui faut panser la blessure ! Et c'est pour elle qu'il a été blessé...Laurent a acquiescé : « Bon,
Mais elle a vu Laurent se déshabiller et se coucher directement sur le canapé. « Tu... » Margueritte lui a jeté un regard appuyé, tant pis, il s’est couché sur le canapé. Laurent a sorti son portable. Il y avait une raison pour lui de dormir ici. Il était trop tard, s’il retournait chez lui, Charlotte ne dormirait pas bien, en plus, Annie babillerait si elle était dérangée. Bientôt, Margueritte est sortie et puis a montré du doigt le canapé : « Tu dors ici ce soir, sois tranquille et ne cours pas partout. » Faisant semblant de garder son sang-froid, Margueritte a dit et est entrée dans la chambre à pas vite. Bientôt, elle est entrée dans la salle de bain en prenant ses vêtements. Au moment où elle voulait fermer la porte, Margueritte était un peu inquiète et a jeté un coup d’œil à Laurent. Avant qu’elle n’ouvre la bouche, Laurent a ri : « Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te regarder en dessous. » Margueritte a rougi et a fermé la porte, son cœur s’est mis à battre vite inexpl
Il semblait qu’elle a pris un rendez-vous à minuit à Laurent en lui demandant de cette manière. Laurent a agité la main et a dit : « Pas besoin, je vais te voir demain. » En entendant cela, elle était un peu déçue et a dit doucement : « Bon, je t’attends. » Alors qu’il a raccroché, Margueritte est sortie de la salle de bain. Malgré un pyjama de style réservé, son galbe sexy ne pouvait pas être caché. Des cheveux longs mouillés se sont posés sur son épaule blanche, après une douche chaude, elle était plus charmante grâce à la rougeur de son visage délicat. Laurent a fixé ses yeux et l’a trouvée tellement ravissante. Elle avait la mine brûlante sous les regards de Laurent, Margueritte lui a jeté un regard appuyé et s’est forcée d’être calme : « Pourquoi tu ne dors pas encore ? » Laurent a ri : « Je t’attends pour expertiser l’épée. » En parlant, Laurent a sorti l’Épée de sang. Sous les lumières sombres, il y avait une aura sanglante et extraordinaire autour de l’Épée de sang, d
Le temps était un peu étrange dans la Cité Mer de l’Est, peut-être en raison de la mer, il faisait chaud dans la journée et froid dans la nuit. Il y avait toujours beaucoup de gens dans un endroit malgré la chaleur. Le pavillon des antiquités. Il y avait beaucoup d’échoppes à la porte du pavillon des antiquités. Les antiquités se sont vendues ici. Beaucoup d’amateurs se sont rassemblés ici pour trouver un trésor. Ils pouvaient vivre très bien en comptant sur un trésor qui n’a pas été trouvé par les autres. Les clients et les propriétaires ont tous rougi d’excitation dans la discussion devant les échoppes. Un bruit de moteur s’est fait entendre, Laurent a garé la voiture. Jetant un coup d’œil sur les échoppes, Laurent était sûr qu’il n’y avait pas de grand-chose et puis il est monté. En dessus du pavillon des antiquités, Ingrid a attendu longtemps. Voyant Laurent, Ingrid s’est approchée à hauts talons et a dit avec un sourire : « Pourquoi veux-tu lire des livres qui consignent des
Plusieurs heures plus tard. Laurent a emballé des dizaines de remèdes et essuyé la sueur de son front. « M. Laurent, tu es mon sauveur. » Prenant les remèdes donnés par Laurent, Jacques était tellement excité que ses yeux étaient remplis d’un flot de larmes. Par la suite, il a sorti une pièce en jade et a dit : « M. Laurent, il s’agit d’une pièce en jade propre au chef de la Voie céleste, c’est le signe du chef. J’étais trop pressé pour te la donner, garde-le bien. Présente-la au cas où tu rencontres des gens de la Voie céleste, ils vont te connaître. » Laurent a hoché la tête en la prenant, puis il a ri en tapotant les épaules de Jacques : « Dépêche-toi de sauver tes frères. » Jacques a hoché la tête et a quitté en toute hâte. Dès le départ de Jacques, Laurent ne pouvait s’empêcher d’ouvrir Les pilules magiques. Puisqu’il avait des matières premières, il voulait savoir quelle pilule pouvait être préparée en fleur bicolore ! Le soir, dans la famille Averie. Charlotte et Vivian