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Chapitre 1183
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Mon Mari Puissant Chapitre 1184
Laurent a lu ce poème et en est ravi !Haha.Alger était digne d'être un célèbre stratège de la dynastie mérovingienne, si riche en connaissances ! Comment a-t-il pu écrire ce poème en si peu de temps ?Bien que ce poème se lise comme un limerick, il pouvait vraiment être transmis pendant une centaine de générations ! Même comparé aux célèbres vers qui ont été récités pendant des milliers d'années sur la terre de sol, il était beaucoup mieux !Alors qu'il y pensait, Laurent a regardé autour de la pièce et a fixé finalement Jonny, souriant, il a dit : « Seigneur Jonny, j'ai également composé un poème à partir d'un sentiment. »Quoi ?Quelques douzaines de respirations de temps, et il est venu composer un poème.Lorsqu'ils ont entendu cela, tous les spectateurs autour d'eux ont été choqués.Mais encore une fois, ce poème était vraiment trop superbe.Le visage de Jonny est devenu rouge et il était indescriptiblement embarrassé à l’intérieur.Juste à ce moment, Laurent a continué : « Seig
Mon Mari Puissant Chapitre 1185
Impuissant, Laurent ne pouvait qu'acquiescer avec un sourire amer : « Alors, je vais encore essayer. »En disant cela, Laurent a envoyé également un signal à Alger dans la pagode de sept trésors : « Alger, vous devriez à nouveau travailler dur. »« Vous êtes le bienvenu, maître ! »Dans la pagode de sept trésors, Alger était très humble et respectueux.Dans les dix minutes qui suivirent, Laurent a composé quelques poèmes supplémentaires et les a lus à l'impératrice. Bien sûr, ces poèmes avaient tous été composés par Alger.Chacun d'entre eux était un chef-d'œuvre !Pendant un moment, l'impératrice était d'humeur joyeuse, savourant silencieusement le sens des poèmes, presque comme si elle était enchantée, et considérait Laurent comme un talent rare.Ce n'était qu'au crépuscule que l'impératrice a laissé Laurent partir, toujours insatisfaite.Ouf !À cet instant, Laurent a pris une grande inspiration et s'est incliné précipitamment : « Mes humbles adieux ! »Après avoir dit cela, Lauren
Mon Mari Puissant Chapitre 1186
« Enzo, attends, je vais trouver un docteur pour toi. » Luna a parlé avec anxiété. À ce moment, Enzo avait de la fièvre, et elle avait le cœur brisé au-delà de toute mesure. Elle a serré Enzo dans ses bras et a couru désespérément !C'était déjà la fin de la nuit, et la Cité Impériale entière était silencieuse dans la nuit.Les larges rues étaient froides et claires, et il n'y avait personne.Lorsqu'ils ont atteint la plus grande salle médicale de la Cité Impériale, Luna a frappé immédiatement à la porte !Bang, bang, bang !« Docteur, y a-t-il un docteur, ouvrez-moi vite la porte, sauvez l'enfant ! » Luna a presque craqué et a crié très fort.Luna a vu que Enzo s'était endormi.Mais son petit visage était brûlant, son corps tremblait encore plus qu'avant, et ses lèvres étaient froncées.« Ouvrez la porte, ouvrez la porte maintenant ! »Luna a continué à crier, et finalement, incapable de résister, elle a ouvert la porte d'un coup de pied.Il n'y avait personne à l'intérieur de la sall
Mon Mari Puissant Chapitre 1187
La princesse avait été retrouvée, et il allait pouvoir se livrer à sa Majesté.« Ne bougez pas ! »Cependant, Luna ne lui faisait pas bonne figure et a crié froidement et délicatement : « Si vous vous approchez d'un pas, je me tue. »Au moment où les mots tombaient, Luna a dégainé sa longue épée et l’a portée à son cou.Florent avait l'air embarrassé et s’est levé précipitamment, puis a dit avec un sourire amer : « Votre Altesse, au moins je suis votre mari désigné par sa Majesté, vous ne pouvez pas continuer à me repousser. »En entendant cela, Luna était timide et en colère, et a dit de mauvaise humeur : « Qui a admis que vous êtes mon mari. Ne le mentionnez plus devant moi à l'avenir ! »« Très bien, n'en parle pas ! »Florent a agité précipitamment la main et a suivi patiemment : « Revenez au palais avec moi, Princesse, vous êtes partie depuis un jour et une nuit, sa Majesté et l'Impératrice sont toutes pressées. »Le visage de Luna était froid et elle n’a pas répondu, son esprit
Mon Mari Puissant Chapitre 1188
De l'autre côté, dans la terre de nuage, le Palais Impérial.Cette nuit, l'impératrice avait convoqué Laurent pour profiter de la lune ensemble. Pouvoir profiter de la lune avec l'impératrice, pour les autres, c'était un honneur suprême, mais aux yeux de Laurent, c'était un tourment.Cependant, ce à quoi Laurent ne s'attendait pas, c'était que l'impératrice a convoqué Laurent presque tous les jours pendant le mois suivant. Elle a discuté avec lui de l’art.Pendant ce mois, le cœur de Laurent était tourmenté au-delà de toute mesure ! Il pensait toujours à l'essence de dragon, mais elle était entre les mains de Maria, et après un mois au palais, Laurent n'avait même pas vu Maria.Cependant, Laurent savait au fond de lui que tôt ou tard, Maria viendrait au palais. Il attendait donc au palais, et un jour, il la verrait.Ce n'était que plus d'un mois plus tard, cette nuit-là, c'était l'anniversaire de l'impératrice et tous les fonctionnaires civils et militaires s'étaient réunis au palais p
Mon Mari Puissant Chapitre 1189
Putain de merde !Cette paume était si féroce que Laurent ne pouvait l'éviter, alors dans son désespoir, il n’a pu qu'utiliser l'énergie interne avec la positivité pure et se retourner pour la rencontrer avec une paume.« Boom ! »Un son étouffé est sorti lorsque les deux paumes entrèrent en collision, et Laurent était secoué d'une douzaine de pas en arrière, crachant une bouche pleine de sang !Bien que Laurent ait l'Écriture de la positivité pure et que sa force interne soit épaisse, il était toujours un peu inférieur à Maria lorsqu'il l'affrontait de front, sachant que Maria était l'Arès de cinquième degré !Après avoir reculé d'une douzaine de pas, Laurent s’est stabilisé, mais il a senti ses organes internes se briser !« La force de cette femme était trop terrifiante ! Je dois m'enfuir maintenant ! »Sur ce, Laurent a jeté un coup d'œil à Maria, s’est retourné et s’est mis à courir.« Laurent ? »À cet instant, en voyant le visage de Laurent, le corps délicat de Maria a tremblé
Mon Mari Puissant Chapitre 1190
Dès que les mots sont sortis de sa bouche, Nino a hurlé : « Pourquoi ? Ces différentes sectes, toutes sont des personnes ingrates, même si nous les sauvons, ils ne seront pas reconnaissants, tu as oublié comment ils ont traité Laurent. De plus, j'ai entendu dire que ces gens de la porte céleste contrefaite sont tous très forts. Surtout la femme en tête, son nom est Maria, sa force est celle d'un l'Arès de cinquième degré. »Au même moment, Inès, tenant également son enfant, s'est approchée et a dit à Mochet : « Chéri, écoute ce qu'a dit Nino, je pense qu'il a raison. Nous ne devrions pas sauver les grandes sectes. »Depuis qu'elle avait épousé Mochet, Inès avait toujours été un mari et une femme, c’est-à-dire, s’occupait de tous les choses, peu importe ce que Mochet faisait, elle l'avait toujours pleinement soutenu.Mais cette fois-ci, Inès ne pouvait vraiment pas le supporter.Ouf !Mochet a expiré légèrement et a souri faiblement : « Pour le bien de la terre de sol, nous devons sauve
Mon Mari Puissant Chapitre 1191
La brioche d’Enzo lui a été arrachée. Le garçon qui a arraché la brioche s'appelait Coquin Menard. C'était un homme brutal qui aimait malmener les faibles.Il travaillait comme ouvrier dans les casernes et recevait deux brioches à chaque repas. Lorsque Coquin avait sept ou huit ans, deux brioches n'étaient pas suffisantes pour manger, alors il a attrapé les brioches d’Enzo.« Toi, tu me rends les brioches ! » Le visage d’Enzo est devenu rouge de colère et il a crié à Coquin : « Tu me rends mes brioches, les brioches sont à moi... »Enzo s'apprêtait à s'approcher de Coquin pour prendre ses brioches.Cependant, avant qu'il ne puisse s’approcher, Enzo a été poussé au sol par Coquin : « Qui peut prouver que ce sont tes brioches ? » Le visage de Coquin était plein d'un sourire froid alors qu'il regardait Enzo d'en haut. « Une fois que ces brioches sont dans mes mains, elles sont à moi. » En entendant ces mots, Enzo a failli crier de colère. Il voulait reprendre les brioches, mais il était
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