Chapitre 153

Zoé avait les yeux rouges.

Elle se mordait les lèvres et avait l’air pathétique.

Elle s’est avancée et s’est plainte des mécontentements : « Enzo, tu as quitté le banquet tôt hier soir sans moi. Et c’est M. Roland qui m’a renvoyée à la maison... Tu sais à quel point il est allé trop loin, il m’a regardée d’un œil lubrique et m’a attrapée la main... Si je n’avais pas résisté vigoureusement, il m’aurait presque traînée à l’hôtel... » Enzo lui a jeté un coup d’œil : « Pourquoi essayes-tu de résister? »

Zoé restait sans voix.

Cette question l’a surprise. N’était-ce pas normal de résister ? Puisqu’Enzo a demandé, elle a dû bien y répondre.

Elle a cligné des yeux et a versé les larmes : « Enzo, je ne suis pas le genre de femme occasionnelle... Ce qui s’est passé il y a cinq ans est un accident, j’ai regretté d’avoir eu des relations sexuelles avec un homme alors que je n’étais pas mariée, mais que pouvais-je faire ? Tu as bu cette nuit-là, avec tant de force, j’ai essayé de me libérer mais