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Chapitre 99
Kaugnay na kabanata
Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 100
Clara a froncé les sourcils. Elle s’est souvenue de l’air têtu et du caractère fier de Lucas, il ne lui semblait pas que Lucas était prêt à copier les réponses des autres.Clara, en descendant les escaliers, a demandé : « Où est Lucas maintenant ? »Luc avait l’air inquiet. « Il est à l’université en ce moment, le professeur m’a téléphoné, mais je dois assister à une cérémonie d’ouverture tout de suite, et je ne peux pas la remettre. »Soudain, il semblait penser à quelque chose. Après une hésitation, il a dit : « Peux-tu aller chercher Lucas ? »« Moi ? » Clara ne s’attendait pas à ce que Luc fasse une telle demande.« Oui, j’ai entendu dire que tu avais aidé Lucas à réviser les connaissances en la matière, alors s’il y a un malentendu, tu pourras peut-être donner une explication. » Le téléphone portable de Luc a soudainement sonné. Il a jeté un coup d’œil au message sur l’écran et a commencé à sortir en disant : « Clara, s’il te plaît, quand j’aurai fini mes affaires, j’irai immédiat
Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 101
René a dégluti avec difficulté. « Cet après-midi, j’ai l’impression que Lucas était bizarre, alors j’ai fait attention à lui, et je ne m’attendais pas à ce que Lucas soit en train d’écrire une antisèche. Après avoir su cela, je me suis senti tourmenté. J’ai pensé qu’en tant que bon ami, je devais l’aider à changer cette mauvaise habitude, et pour que l’examen soit équitable pour tout le monde, j’ai pris l’antisèche sur son bureau et je l’ai remise au professeur. »Lucas, après avoir entendu cela, s’est immédiatement mis en colère. Il s’est écrié : « René, nous sommes amis depuis si longtemps, pourquoi as-tu monté un coup contre moi ? »René a repris d’un air déplorable : « Je ne t’ai pas piégé. Lucas, faute avouée est à moitié pardonnée. »Cependant, quand il a vu l’expression féroce de Lucas, il a été effrayé et a reculé d’un pas. Le directeur avait le dernier mot, il a dit : « Bon, Lucas, tu devrais arrêter les sophismes. René est ton ami, ce qu’il dit est crédible. Lucas a triché à
Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 102
René s’est senti coupable, il a donc détourné les yeux.« Il devrait y avoir une caméra de surveillance dans la salle de classe, n’est-ce pas ? Après avoir regardé les enregistrements, nous saurons si Lucas a triché à l’examen ou non. »En entendant que Clara voulait vérifier les enregistrements de la surveillance, René a soudainement laissé échapper un long soupir de soulagement. Heureusement, il s’était précipité dans le bureau du directeur et avait effacé les données de surveillance d’aujourd’hui, sans quoi il aurait été démasqué.Après avoir entendu le conseil de Clara, le directeur a secoué la tête. « Aujourd’hui, les caméras de surveillance tombent en panne, elles n’ont rien enregistré. »Sans enregistrement de surveillance, Lucas n’avait pas pu être innocenté après avoir été soupçonné. De plus, il était toujours rebelle, donc le directeur pensait inconsciemment que Lucas avait triché à l’examen.« Ce n’est pas grave, laisse-moi voir. »Le directeur a ouvert l’ordinateur et a mon
Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 103
En marchant, Lucas a jeté des coups d’œil à Clara. Après un long moment de réflexion, il a exprimé ses gratitudes à Clara.En voyant son air timide, Clara ne pouvait s’empêcher de rire. « Qu’est-ce que tu as dit ? Je ne l’ai pas entendu. Pourquoi as-tu l’air si timide ? » Lucas a immédiatement rougi. Au bout d’un moment, il a dit à voix basse : « Je t’ai remerciée. Clara, merci de m’avoir aidé aujourd’hui. »Clara a gloussé. Elle a tendu la main pour caresser la tête de Lucas en disant : « Il n’y a pas de quoi. Travaille dur à l’avenir, d’accord ? » Lucas, en regardant l’air tendre de Clara, a poussé un soupir. « Pas étonnant que mon frère aîné t’aime beaucoup. »Clara, perplexe, ne savait pas ce que Lucas entendait. Quand elle a compris, elle ne pouvait s’empêcher d’esquisser un sourire d’amertume. « Vincent a son amoureuse, tu ne le sais pas ? » Lucas a été choqué. « Tu parles de Christelle ? C’est la première petite amie de mon frère, il ne l’aimait pas il y a longtemps, d’accord
Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 104
Clara a soupiré. « Lucas, tu ne comprends pas… »Lucas l’a directement interrompu d’un ton sérieux : « Je n’ai que deux ans de moins que toi, je peux comprendre l’amour. De plus, je comprends mon frère. Bien qu’il te parle froidement, mais il se soucie toujours de toi. »« Je suis déjà prêt à déménager, Lucas, tu n’as pas besoin de me persuader. »Lucas a été choqué. « Quoi ? Tu veux déménager de chez nous ? Pourquoi ? »En regardant son expression choquée, Clara lui a expliqué : « Comme tu l’as dit, je n’ai pas une bonne relation avec ton frère. Si je continue à vivre ensemble avec lui, je me sentirai gênée. » « Tu aimes mon grand frère, n’est-ce pas ? »Clara a immédiatement rétorqué : « Bien sûr que non. »Lucas a ri. « Si tu ne l’aimes pas, pourquoi l’évites-tu ? C’est contradictoire ! »Clara s’est figée. Pendant un moment, elle ne savait pas comment réfuter.« Si tu l’aimes, avoue ton amour courageusement. J’ai l’impression que mon frère te chérit également. »Les mots de Lucas
Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 105
Le regard de Madeleine était plein d’admiration, comme si elle louait sincèrement les accomplissements de Clara.« Ne me complimente plus. C’est le résultat du travail commun de centaines d’employés du Groupe Jolivet, et j’ai juste apporté une petite contribution au développement de notre entreprise. »« Ne sois pas modeste, Vincent m’a dit que tu étais particulièrement travailleuse et capable. Si tu peux te marier avec l’un des fils des Jolivet, ils seront satisfaits de toi… Hé, Vincent, nous sommes là !Madeleine a vu Vincent et lui a fait signe de la main.Vincent ne s’attendait pas à ce que Clara mange ensemble avec lui, il a froncé les sourcils.« Vincent, tout à l’heure, Clara et moi discutions de ce que nous allons manger. Qu’en penses-tu ? Mangeons-nous de la nourriture japonaise, française ou chinoise ? »« Je ne sais pas. »Madeleine a demandé à Clara avec un sourire : « Clara, qu’en penses-tu ? »Clara a nonchalamment répondu : « Je veux manger de la nourriture japonaise. »
Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 106
« Est-ce important ? »Clara a trouvé cette question de David amusante. « Bien sûr que c’est important ! Si tu n’aimes pas une femme, pourquoi restes-tu avec elle pendant le reste de ta vie ? Pour toi, qu’est-ce qui est plus important que l’amour ? »David a été surpris, il ne s’attendait pas à ce qu’elle demande cela. « Il y en a beaucoup. On ne doit pas donner la priorité à l’amour, n’est-ce pas ? »Aux yeux de David, l’amour était inutile. Ainsi, il ne se permettait pas de tomber amoureux d’une femme.« Eh bien, j’espère que tu ne me parles plus de cela jusqu’à ce que tu comprennes exactement ce qu’est l’amour. »Clara lui a souri, puis a fait pousser sa grande valise, prête à partir. Juste après avoir franchi la porte, elle a été arrêtée par le majordome. « Mademoiselle Clara, si vous partez maintenant, je ne savais pas comment expliquer à monsieur Jean quand il sera revenu. » Simon, les sourcils froncés, fixait Clara d’un air suppliant.Clara a haussé les épaules et a répondu à
Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 107
Josiane s’est allongée sur le sol, les yeux fermés, comme si elle s’était évanouie.La domestique a dit anxieusement : « À l’instant, Mme Josiane est revenue d’une course à pied et elle appliquait un masque de protection. Soudain, elle s’est soudainement évanouie. Je ne sais pas ce qui ne va pas. »Clara s’est penchée, a posé un doigt sous le nez de Josiane pour sentir ses souffles. « L’haleine est faible. »La bouche de la domestique ne pouvait se fermer sous l’effet de la surprise. Elle a dit d’une voix tremblante : « Quoi ? Je ne sais pas vraiment… »Clara a demandé à la domestique : « As-tu fait venir l’ambulance ? »« Oui, mais l’emplacement de notre villa est trop éloigné, l’ambulance est incapable d’arriver à temps. Au cas où il arriverait quelque chose à madame Josiane, c’est la fin des haricots. »Vincent a pris la parole d’une voix glaciale : « Comment as-tu pris soin de madame ? »La domestique tremblait de peur et a baissé la tête, n’osant pas parler.Clara a plissé les yeu
Pinakabagong kabanata
Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 468
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Mlle Clara，je t'ai vu sous ton vrai jour Chapitre 463
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