"๐'๐๐ฆ๐ฃ๐๐ ๐๐๐é ๐ฆ๐๐ ๐ง๐๐ ๐ค๐๐๐ค ๐๐๐ฆ๐ฅ๐๐ค, ๐๐๐๐ค ๐ฅ๐ฆ ๐๐ค ๐ง๐๐๐ฆ ๐ฅ๐ ๐ฆ๐ฅ๐๐ค ๐๐๐ค ๐๐๐๐๐๐๐ฃ"— Jaelly LaRose.
Personne ne m'avait regardé comme ça depuis des années.
— Vous vous êtes tout rouge, remarqué-je en calant un mèche derrière mon oreille.
— Il fait juste légèrement chaud ici.Nous nous mettons à manger dans une bonne humeur, même si Curtis garde toujours un caractère qui lui est propre. Je lui demande s'il a une sœur ou un frère.
— Que faisait... Denver dans la vie ? demande-t-il d'une voix flageolante.Je le remarque pas du tout tranquille sur sa chaise. Qu'est-ce qu'il a encore ? Pourquoi il veut savoir ce que mon ex faisait ? Très chelou...— Il était directeur général de Modern Lounge, principalement fournisseur de textiles.Je le vois serrer sa fourchette.— Je vois... vous... vous n'avez pas à vous soucier du passé, laissez l'eau couler sous les ponts et ne regardez que devant vous.J'arque un sourcil. Il est de plus en plus bizarre le Miller.— Et vous ? &mdas
"๐๐ ๐๐ ๐â๐๐๐๐ฃ๐๐ ๐ก๐๐ค ๐๐๐ค ๐๐ ๐ฅ๐ค, ๐๐ ๐ฅ๐ ๐๐๐ฃ๐๐ ๐๐ ๐ข๐ฆ๐ ๐๐ ๐ â๐๐ ๐ก๐๐๐ค๐ ๐๐ฅ ๐๐ ๐ข๐ฆ๐ ๐๐ ๐ ๐๐ ๐๐ฆ๐ฃ ๐ฃ๐๐ค๐ค๐๐๐ฅ" — Jaelly LaRoseIl est temps pour de se séparer, mais je dois avouer que je n'ai pas envie de m'en aller. — Désolée de vous avoir appelé par votre prénom, j'étais trop à l'aise... me reproché-je, en se passant nerveusement ma main dans mes cheveux. — Vous avez déjà fait bien pire, et je vous préfère largement à l'aise en dehors du travail que coincée.Et voilà le retour de la tronche de cheval. J'ai bien compris son allusion au mot &
Je me rends compte de la bêtise que je viens de dire. Mes poings se serrent et mes bras tremblent. Je cale ma lèvre inférieure sous ma dent pour m'empêcher de pleurer de frustration. Je suis une enfant ou quoi ? Pourquoi je ressens ce genre d'émotion ?! C'est si déstabilisant.— Putain...La seule chose à faire c'est de m'enfuir, tant pis. Je m'éloigne de lui comme le jour d'entretien. Sauf qu'il me retient et me ramène contre lui. Je le vois froncer les sourcils. — Arrêtez deux secondes ! me crie-t-il.— Quoi ? — Assumez ce que vous pensez, sinon c'est avec des regrets que vous avancerez. — Vous n'y connaissez rien, je-— De ce que j'ai entend
« Même si mon cœur est perforé par des balles de haine, j'arrive à ressentir de l'amour pour toi » — Jaelly LaRoseBANDE-SON — Dans le média pour une immersion optimale.Le froid se balade dans mes manches, titillant les pores de ma peau.J'essaie tant bien que mal de me réchauffer à la traditionnelle : frottement de mains.Je commence à regretter mon gros coup de fierté... mais je remarque enfin le sigle du métro au loin.— Bah voilà, je peux y aller seule !
— Si un jour je revois ta sale gueule en train de la toucher, l'effleurer ou même la regarder, prévient-il en respirant bruyamment, le front en sueur. Je te tuerai sans hésiter.— Lâche... s'il te plaît, mec... c'était juste pour... pour rigoler, tremble-t-il, manquant d'air.— Rire ?! T'appelles ça de la blague ?! s'écrie-t-il en enfonçant presque le couteau dans sa peau.— Non ! Non ! Non ! Pardonne-moi... je... je ne veux pas mourir !Il s'apaise peu à peu et s'empresse de se relever. Il regarde autour sûrement pour voir si quelqu'un les regardait. Je m'efforce à être plus prudente, alors je me cache davantage. Je le vois r
Le titre est "Réminiscence et Renaissance" et on va suivre maintenant les 4 personnages, incluant Charlotte Taylors un peu plus profondément.La réminiscence définit ici, l'aspect des souvenirs confus ou qui peuvent être volontairement obscurcis pour empêcher l'éclatement des vérités. Ce sera un arc très dense dans les révélations, et très important pour déceler tout ce qu'on a pu voir durant le premier arc. La renaissance est déterminée comme des nouvelles natures qui vont émerger, ou se transformer. Certains masques glisseront des visages pour
"Les morceaux brisés ne pourront pas se recoller, le mieux est de les jeter." — Kate LaurenNous sommes devant chez Curtis qui m'a indiqué la route avant de sombrer dans la somnolence.— Monsieur, on est arrivés...L'interpellé ouvre les yeux et observe le lieu où nous nous trouvons. Un air confus apparaît sur son visage...— Ce n'est pas ma maison, affirme-t-il.— Excusez-moi mais... il n'y a pas d'autres villas dans le coin, vous êtes sûr que ce n'est pas là ?— À cent pour cent.Je fronce les sourcils et cherche du regard une autre potentielle grosse maison. Je n'en vois pas d'autres... c'est étrange. Curtis ouvre la portière et sort de la voiture. Je m'empresse de le rejoindre, ne voulant pas qu'il se fasse de nouveau mal. Je verrouille le v&eacu
Prise de panique, je m'empresse vers lui.— Monsieur Miller ! Monsieur Miller ! Répondez je vous prie !Je le transporte tant bien que mal jusqu'au canapé et l'allonge délicatement. J'essuie le haut de sa tête marqué par la sueur de l'effort. Mon coeur bat si fort, je ne sais pas comment procéder sans faire de dégâts.Je me mets à le regarder et examiner les petites blessures sur son visage encore rouges. Il est totalement absent même s'il respire encore bruyamment. Je me penche, hésitante à toucher son front.— Merde, il est brûlant !C'est bon, je sens mes mains trembler, et ma gorge se serrer.Je commence à tournoyer en faisant les cent pas. Je ne peux pas appeler l'ambulance, son rapport sera remonté auprès de son père... mais que faire ? Il a l'air tellement anéanti !&mdash
**Je sens la chaleur ambiante que mon radiateur me procure. C’est un plaisir immense de ressentir cette source chauffante se propager sur mon corps. Je crois que c’est ce qui me manquais : me reposer, et prendre du recul. Ça ne fait qu’un jour entier que je suis là, recroquevillée sur moi-même. Cependant, cette solitude m’a permis de ressasser tous les deux évènements clés de cette semaine : le départ de Charlotte de l’appartement dès hier soir, et la grosse dispute entre Sullivan et… Curtis.Plus rien ne sera jamais plus pareil, c’est une réalité.Plus j’avance, et plus je sens mon cœur se rétrécir : j’ai de moins en moins de place pour accueillir des personnes. Je ne sais même plus comment faire pour passer ces é
ยซ Mensonges Dorรฉs, ยป Jaelly LaRose Je me jette dans les bras de Curtis, retrouvant son odeur chaleureuse et boisรฉe. J'enfouis mes doigts dans ses cheveux รฉpais et plonge mon nez dans son cou. Il en profite pour me serrer ร son tour, me tenant tendrement les pointes. โ Curtis... murmurรฉ-je, j'ai eu peur. Je ne pensais pas que tu serais lร . โ Dรฉsolรฉe... tout va bien maintenant, il faut que l'on s'en aille. โ Curtis ! interpelle Sullivan, tu peux me rendre ce qui m'appartient ? โ Reste ici, m'ordonne-t-il.โ Et en plus tu t'introduis chez moi ? Tu aimes bien vanter ton รฉducation parfaite mais tu dรฉmontre le contraire ! s'esclaffe son rival.Il se
* * *Nous sommes sortis par une porte que je connais pas. Dans sa voiture, il m'a attaché les mains et m'a mise à l'arrière. Je n'ai fait que crier, le supplier de me laisser partir. J'en suis venue à demander pardon alors que je ne suis pas en tort. Ma tête tourne tant j'ai pleuré, et le hoquet a signé la fin de mon monologue.Arrivés chez lui, Sullivan me balance à l'intérieur de son penthouse.— Mais pourquoi tu fais ça ? Je suis censée bosser et pas être ici ! Laisse-moi m'en aller, m'écrié-je, le coeur brisé.— Tu es la pire des femmes.Je crois mal entendre.— Pardon...?Il s'avance vers moi et son regard devient amer.— Tu
"On ne peut plus espérer que les choses changeront ; les sentiments se sont évaporés et le temps a tout emporté" Jaelly LaRoseBANDE-ANNONCE : https://youtu.be/i79M4nKW1MsQuelques minutes plus tard, nous nous retrouvons au niveau -2. J'ai les mains tremblantes, donc j'essaie de serrer les poings mais je ne les sens plus. Mes jambes me font le même coup. Alors, en mettant un pas hors de l'ascenseur, je prends appui sur mes genoux pour récupérer.— Tu es sûre de le vouloir maintenant, là ? — Oui... je... je suis juste un peu mal.Je tiens mon ventre qui commence à me faire de mauvais tours. Ma vue se brouille légèrement, et une sensation de mal-être commence à prendre l'emprise sur moi.— Ça se voit. Prends ton temps, m'intime-t-il en posant une main sur mon dos.
« Danse avec moi dans les airs de folie et de sagesse » Jaelly LaRoseMusique du chapitre : https://youtu.be/qeoAwY1qVV4Il écarquille les yeux, puis étire ses lèvres en un sourire radieux. Il caresse ma joue et descend jusqu'à mes cheveux.— Ça veut dire qu'on... commence-t-il.— Curtis, attends. J'aimerais d'abord te dire un truc vraiment important.— Dis-moi. — J'ai très mal au dos, je veux le même siège que toi.Il se met à rire et croise les bras, comme à sa bonne vieille habitude
« Même si c'était douloureux, passer par toi était nécessaire. » Jaelly LaRoseMusique du chapitre : https://youtu.be/c9WtgvWoLpEPlus rien n'est plus pareil.À chaque claquement de talons, raisonne cette phrase de plus en plus fort.Clac, clac.Plus rien n'est plus pareil.Avant de se rendre sur son lieu de travail, je me suis rendue chez le coiffeur et a teint ses cheveux en blonds. Le ras-le-bol de ma conversation avec Charlotte, je le traduis par un changement : je ne suis plus ce que les gens pensaient de
Musique du chapitre : la même que la précédenteJe soupire un « OK », avant de me lever pour faire les cent pas. Mes mains glissent sur mon visage, l'air désemparée. J'en tremble...— C'est mon oncle... ajoute-t-elle.— Et pourquoi... pourquoi s'en est-il pris à moi ?Elle ne répond plus. Je me retourne vivement pour lui faire face, et je constate des larmes qui viennent s'écraser sur ses lèvres.— Il... en fait, je... bredouille-t-elle. Mon père travaillait avec Richard il y a longtemps. Ayant vécu dans la pauvreté
« Même si ton aide m'a été précieuse, je ne serai pas éternellement à ta merci »Jaelly LaRoseMusique du chapitre : https://youtu.be/eD0XEH3qVCkAprès avoir été raccompagnée chez moi par Curtis, je me suis endormie pour retrouver le jour.Le monde n'a pas changé mais mes intentions, si. Je sais pertinemment maintenant à qui offrir mon cœur. L'erreur me fait tellement peur, certes, j'ai vécu ça avec Denver, durant ma scolarité à Monty-Philly qui était l'une des pires.Car je n'en ai presq
ยซ J'aspire ร te consumer sans t'abรฎmer et continuer ร t'aimer. ยป โ Jaelly LaRose. Jaliah. Le reste de la journรฉe coule jusqu'ร la soirรฉe. Je me suis enfermรฉe avec Mรฉlanie pour travailler intensรฉment. Mon regard est, depuis tout ร l'heure, dans le vide. Je me repasse ce qui s'est passรฉ ce matin mรชme, et mon cลur ne sait plus oรน se positionner. Mon attention tombe sur mon assistante qui, ร premiรจre vue, รชtre de bon conseil. Non, elle est trop bavarde... c'est sรปr qu'elle finira par en parler tout autour d'elle. Oh mais dans quelle merde je suis ?! Pourquoi il a fallu que ce soit lui ? Je n'ai jamais sucรฉ les doigts de personne, et je le fais lร , devant mon