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Chapitre 208

Mélissa ne se souciait pas de ce que pensait le vieux monsieur Leroy. Elle savait bien que l’opinion de Maurice était tout ce qui comptait.

Elle a regardé Maurice au visage froid avec ses yeux pleins de larmes : « Maurice, je sais que tu vas certainement me croire, n’est-ce pas ? »

Le ton de Mélissa était assez doux, et elle a tendu la main à Maurice pour essayer de le convaincre de lui faire confiance.

Mais les yeux de Maurice étaient toujours froids et son regard interrogateur était incomparablement aiguisé lorsqu’il a jeté un coup d’œil sur le visage de Mélissa. Il n’a donné aucune réponse et a commencé à s’éloigner.

« Maurice, Maurice... »

Mélissa a regardé d’un air blessé le dos de Maurice qui s’en allait, et des larmes ont coulé de manière très coopérative.

Estelle s’est empressée de la réconforter chaleureusement : « Ne sois pas triste, Mélissa. Maurice est un homme intelligent, il ne sera pas dupé ! »

Mélissa a hoché la tête et a tendu la main pour essuyer ses larmes. « Je vais
Chapitre verrouillé
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