Déçue mais heureuse quand même. Je me glisse sous mon drap et penser à ce moment que je venais de vivre dans l'autre chambre avec mon fils. J'arrive toujours pas y croire. J'espère que ce n'est pas un rêve. Carole vient me pincer pour me dire que je ne rêve pas du tout. Il était juste couché et dort paisiblement. Mais comment j'ai pas pu m'en rendre compte depuis qu'il était ici? Mais j'ai jamais entendu les pleurs d'un bébé depuis que je suis ici. Cette maison est trop grande.
Je n'ai pas pu m'endormir tout le reste de la nuit. Le jour s'est levé. Les jours passés, je n'aimais pas me lever du lit. Mais ce matin, c'est le contraire car j'ai une raison de le faire. J'ai pu voir mon fils et c'est l'essentiel. Il est en vie. Je me lève donc et vas en cuisine faire le petit déjeuner. Sidoine bien me voir.
Moi: Bonjour Madame
Si
Serge sort enfin pour nous apporter des nouvelles de Pamela.Le voir sortir de la chambre me fait déjà battre le cœur. J'ai l'impression que mon cœur sortira de ma poitrine. Je me lève.Serge : Je vois que vous allez bien.Moi: Et Pamela ?Christ : Oui les nouvelles de Pamela.Serge : Pamela n'est pas encore morte mais cela ne va plus tarder si nous ne trouvons pas un donneur de sang. Elle a perdu beaucoup trop de sang.Moi: Seigneur! ce n'est pas possible. Elle doit pas mourir.Christ : Oui tu dois tout faire pour la sauver. Elle doit vivre. C'est une gentille femme. Elle nous a été d'une grande aide. Si nous sommes en vie, c'est grâce à elle. Nous lui devons notre liberté et notre vie.Serge : Nous devons notre vie à Dieu et personne d'autre. Tout ce que vous dites ne l'aide en rien du tout. Trouvons un donneur.Moi: Je peux lui donne
Carole me regarde avec étonnement.Carole : Le kidnapping nous a beaucoup stressé mais on dirait que cela a changé des gens. C'est très bien ça.Nous sommes rentrées. J'aide Carole à se préparer pour son rencard. Elle est splendide.Moi: Je crois qu'il va tomber amoureux quand il te verra.Carole : Je n'ai pas besoin de ça. J'ai déjà d'autres soucis. Qu'il n'en rajoute pas.Moi: Amuse toi bien. Et rentre vite.Carole : D'accord.Trois heures plus tardCarole est rentrée un peu déçu. Je n'ai sais pas ce qui s'est passé. Je la croise dans les escaliers.Moi: Chéri, explique moi tout.Carole : Il a déjà une femme.Moi: Et en quoi cela t'affecte? Tu voulais l'épouser ?Carole : Non, mais je crois que je détruis un foyer et cela me fait mal.Moi: Il est si jeun
Je ne lui réponds. Je n’ai pas la force. Jusqu’à ce qu’il me repose la même question.Christ : Tu as fait ça ?Je ne lui répond pas. Christ remue la tête et fait un sourire au coin des lèvres.Christ : Tu m'as dénoncé Laura? Non, tu n'as pas pu me faire ça.Et Voilà Carole qui descend de sa chambre.Carole : Qu'est-ce qui se passe ici?Christ : Poses la question à ton amie.Carole : Laura ?Moi: Tu n'as pas vue l'inspecteur ?Inspecteur : Avancez monsieur. Nous avions pas toute la soirée.Mon mari veut à tout prix prendre son enfant dans les bras avant de partir. Mais les policiers ne le laisse pas faire. De loin, il dit à Jordan :Christ : Jordan je vais sortir pour toi. Pour te protéger. Juste pour toi. Je t'aime mon fils. Tu vas me manquer.Jordan : Papa
J'ai dû calmer un peu mon mari.Moi: Christ on se calme.Christ : Pamela tu peux nous laisser ?Pamela : Je suis venue te voir quand j'ai appris que tu as été libéré.Christ : Tu savais même que je me suis faite arrêter. Nous discuterons plus tard.Pamela : Tu peux t'asseoir pour cinq minutes ? Ça ne prendra pas plus que ça.Christ : Fais vite.Pamela : Laura, l'homme que je viens de voir sur le portail tu le connais ?Moi: C'est de Georges tu parles ?Pamela : Oui, je crois que c'est son nom.Moi: C'est le mari a Carole.Pamela: Vraiment ?Nous discutons dans le calme quand la porte s'ouvre brusquement sur nous.Moi: C'est qui ça ?........: Surprise !!C'est Sidoine qui vient d'entrer dans mon salon armées avec des hommesTous ensemble : Sidoine ?Sidoine : Oui c'est moi. Vous aimez la surpr
Sa première phrase est,Éric : Je veux, que Carole quitte le pays.Moi: Et pourquoi ?Éric : Dans son état, c'est très risqué de rester ici.Moi: Tu en a parlé avec elle ?Éric : Non, je veux que tu m'aides. Elle va t'écouter toi.Moi: Et pourquoi tu prends cette décision ? C'est bien à elle de prendre une telle décision. Vous n'êtes pas marié. Ta femme était là la dernière fois pour la mettre en garde.Éric : Une des raisons pour lesquelles elle doit partir.Moi: Pourquoi j'ai l'impression que tu me caches quelque chose.Éric : C'est ma femme.Moi: Je ne comprends pasÉric : C'est ma femme qui a engagé des hommes pour vous faire du mal.Moi( je me relève) : Quoi?Éric : Ne cris pas. On pourrait nous entendre.Moi: Ta femme a eng
Il continueÉric: Elle voulait me suivre pour venir voir Carole mais j'ai dit non.Moi: Surprenante cette histoire.Éric : Mais c'est vrai. Elle me l'a dit. Je n'invente rien.Carole : Juste comme çaMoi: Oui, c'est trop facile ça. Tu veux dire qu'elle n'a rien dit pour te contredire ?Éric : Non, rien du tout. Je crois qu'elle est sincère.Moi: Je suis une femme. Et je sais comment les femmes prennent ces histoires.Moi: J'y crois pas.Éric : Et pourquoi ? Je connais ma femme et je sais quand elle est sincère. Faites moi confiance.Carole : Si tu le disMoi: Oui, ma chérie. On a pas d'autres choix que de te croire.Éric : C'est gentil. Ne vous inquiétez pour rien du tout. Je contrôle la
Carole venait d'ouvrir les yeux. Je ne l'ai même pas vite remarqué. Nous la regardons tous à la fois. Personne n'eu le courage de répondre à sa question. Elle a même du mal à bouger et même à s'exprimer.Carole : C'est bien à vous que je pose la question. Mon bébé va bien Éric ?Pour la calmer un peu.Éric : Chérie, tu ne dois pas faire d'effort. Repose toi sinon tu vas te faire du mal. Pour ton bébé on en parle plus tard.Carole : Ce n'est pas ce que je veux savoir. Laura toi regarde moi dans les yeux et dis moi que mon bébé va bien s'il te plaît.Je fais face à Carole sans pouvoir ouvrir la bouche car je ne sais quoi lui répondre. Comment je peux lui dire qu'elle a perdu son bébé ?Carole : Toi tu vas me dire la vérité. Mon béb&eacu
Elle prend place.Moi: Et Éric ?Carole: Il est déjà partiMoi: D'accord.Carole : Dis moi tout.Moi: Christ ne veut plus de moi.Carole : C'est bizarre tout ceci. Vous aviez des problèmes certes. Mais pas jusqu'au point de divorcer.Moi: Je crois qu'il a cessé de m'aimer depuis.Carole : Christ ? Non j'arrive pas à y croire. Mais essaies aussi de le comprendre. Il passe des moments durs. Il ne veut pas que tu en souffre. Moi: Oui, mais les raisons qu'ils a avancés n'ont aucun sens. Il sait très bien que je ne peux le tromper. Et deux ans va passer très rapidement. Comment peut-il penser que je ne peux pas l'attendre ?Carole :Mais je trouve cela étrange. Christ ?Moi: Oublie le. Alors dis moi et Jessica ?Carole : Elle est en d&
Elle veut reprendre avec ses taquineries. Il faut que je change de sujet.Moi: Viens vite me voir. Tu as beaucoup manqué chérie.Carole : Toi également. Bye chérie.À cause de tout ce qui s'est passé ces derniers jours, je n'ai pas eu le temps de beaucoup discuter avec elle. Je n'ai même demandé si elle va bien vu son état actuel. Ça me fera du bien aussi de la revoir. Mais navrée. J'ai déjà un rendez-vous de prévu. Je continue de penser à cette sortie avec Christ. Ça me changerait des Idées mais j'espère qu'il n'attend pas plus de moi. Il n'arrête pas aussi de me chanter à l'oreille qu'on devrait se donner une seconde chance tout le temps qu'il est venue passer avec nous. Ces deux derniers jours, j'avoue qu'onn'est devenu
Les années qu'elle a passé dans ce centre psychiatrique ne lui sont pas d'une grande aide. Elle a vraiment besoin d'aide. Je me demande ce qu'elle contre moi.C'est le diable en personne. Jamais je n'ai connu une personne aussi mauvaise. Comment peut-elle forcer un homme qui ne l'aime pas à l'épouser?Christ : Je ne te suis pas bien.Sidoine : J'ai dit qu'on se mariait demain et que tout est déjà prêt pour. Juste après nous quittons ce pays de merde.Christ : Et pourquoi tu ne m'avais pas dit cela ?Sidoine : C'est une surprise que je voulais te faire. Tu n'aimes pas cela ?Christ : Jamais je ne me marierais avec toi. Je ne t'aime pas. Quand est-ce que tu vas te mettre cela dans ta petite tête. Je suis fatigué de te le répéter chaque jour.Sidoine : Tu préfères voir cette femme donc morte et aussi ton fils.Christ : Tu n'oserais pas
Elle continueCarole : Tu t'imagines ? Moi avec une grossesse maintenant ?Moi: Qu'est-ce que tu dis là ? T'es quoi ?Carole : Qu'est-ce que tu ne comprends pas.? Je tombe enceinte au mauvais moment.Moi: Je vais te donner une gifle que tu oublieras pas de si tôt. Tu es enceinte et tu te pleins? T'es à nouveau enceinte ma chérie. Mais c'est une bonne nouvelle ça.Carole : Tu ne comprends rien toi.Moi: C'est plutôt toi qui n'est pas reconnaissante.Carole : Tu sais quoi? Changeons de sujet. Je ne voudrais pas qu'Éric le sache. Et surtout pas maintenant.Éric : Et qu'est-ce que je ne devrais pas savoir ?Carole : C'est rien chéri. T'en fais pas..Moi: Bonjour ÉricÉric : Laura. Comment tu vas?Moi: Moi ça va. J'ai appris que Elsa va toujours mal.Éric : Oui, d'ici demain soir s'il n'y a aucun change
Incroyable mais vrai. Les coups de feu ont vraiment touché quelqu'un. C'est Elsa la plus grande fille de Jessica qui venait de recevoir deux balles en pleine poitrine.Elle tient la partie et dit:Elsa : Maman ? Tu as vraiment voulu tuer mon père ? Mais C'est moi qui a été touché.Tout lentement et tout doucement, elle tombe au sol. Et tombe dans les pommes. Sa petite sœur Monica crit son nom. Elle ne répond pas.Tout le monde est sous le choc. Personne ne peut placer un seul mot. C'est incroyable ce qui vient de se passer. En volant tirer sur Carole, C'est Elsa qui reçoit la balle. Comme la vie est surprenante. Nous sommes tous début à regarder Elsa. Je crois personne n'a le courage ni la force de bouger. Même pas les parents de cette petite filleLa police est déjà sur la porte et
C'est peut-être une blague ça.Moi: Quoi? Elle n'a pas normalement encore un mois a passé de plus ?Carole : À ton arrivée, tu pourras lui poser toutes les questions que tu veux. Mais pour le moment, contente toi de vite rentrer.On dirait que Carole ne me croit pas quand je lui aie dit que j'étais avec Jordan. À la maison, je suis descendue de ma voiture. N'ayant pas remarqué Jordan, elle commence avec ces cris.Carole : Tu es partie où laissant ta porte ouverte ?Moi: Chercher JordanQuand je fais Jordan sortir de la voiture à son tour, elle saute de joie. Carole prend Jordan de mes mains.Carole : J'ai cru que tu délirais.Moi: Non pas du tout. C'est la directrice qui m'a appelé ce soir.Carole : Comment a t-elle pu le retrouver aussi facilement ? Ces gens nous cache quelque ch
Elle s'empresse de répondreCarole : Allô, Dis moiJe peux voir un soulagement dans son regard et à la fois de la tristesse.Moi: Qu'est-ce qui se passe ?Elle raccrocheMoi: il a retrouvé Elsa ?Carole : OuiMoi: Et pourquoi tu fais cette tête d'enterrement ?Carole : Elle est à l'hôpital.Moi : Qu'est-ce qu'elle là-bas ?Carole : Un accidentMoi: Mon Dieu, c'est grave ?Carole : Je ne sais pas. Je vais m'y rendre pour en savoir plus.Moi: Je viens avec toi.Carole : Tu fais quoi avec Jordan ?Moi : Il vient avec moi. Heureusement qu'il est toujours en éveil. Jordan, on va partir avec tata.Jordan : D'accord maman.Carole : Comme vous voudrez. Jordan, viens avec Tata.
Elle prend place.Moi: Et Éric ?Carole: Il est déjà partiMoi: D'accord.Carole : Dis moi tout.Moi: Christ ne veut plus de moi.Carole : C'est bizarre tout ceci. Vous aviez des problèmes certes. Mais pas jusqu'au point de divorcer.Moi: Je crois qu'il a cessé de m'aimer depuis.Carole : Christ ? Non j'arrive pas à y croire. Mais essaies aussi de le comprendre. Il passe des moments durs. Il ne veut pas que tu en souffre. Moi: Oui, mais les raisons qu'ils a avancés n'ont aucun sens. Il sait très bien que je ne peux le tromper. Et deux ans va passer très rapidement. Comment peut-il penser que je ne peux pas l'attendre ?Carole :Mais je trouve cela étrange. Christ ?Moi: Oublie le. Alors dis moi et Jessica ?Carole : Elle est en d&
Carole venait d'ouvrir les yeux. Je ne l'ai même pas vite remarqué. Nous la regardons tous à la fois. Personne n'eu le courage de répondre à sa question. Elle a même du mal à bouger et même à s'exprimer.Carole : C'est bien à vous que je pose la question. Mon bébé va bien Éric ?Pour la calmer un peu.Éric : Chérie, tu ne dois pas faire d'effort. Repose toi sinon tu vas te faire du mal. Pour ton bébé on en parle plus tard.Carole : Ce n'est pas ce que je veux savoir. Laura toi regarde moi dans les yeux et dis moi que mon bébé va bien s'il te plaît.Je fais face à Carole sans pouvoir ouvrir la bouche car je ne sais quoi lui répondre. Comment je peux lui dire qu'elle a perdu son bébé ?Carole : Toi tu vas me dire la vérité. Mon béb&eacu
Il continueÉric: Elle voulait me suivre pour venir voir Carole mais j'ai dit non.Moi: Surprenante cette histoire.Éric : Mais c'est vrai. Elle me l'a dit. Je n'invente rien.Carole : Juste comme çaMoi: Oui, c'est trop facile ça. Tu veux dire qu'elle n'a rien dit pour te contredire ?Éric : Non, rien du tout. Je crois qu'elle est sincère.Moi: Je suis une femme. Et je sais comment les femmes prennent ces histoires.Moi: J'y crois pas.Éric : Et pourquoi ? Je connais ma femme et je sais quand elle est sincère. Faites moi confiance.Carole : Si tu le disMoi: Oui, ma chérie. On a pas d'autres choix que de te croire.Éric : C'est gentil. Ne vous inquiétez pour rien du tout. Je contrôle la