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Chapitre 383
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Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 384
Il a pensé inconsciemment que c’était Molly qui l’avait frappé. Il n’a pas oublié que la dernière fois, cette fille l’avait presque fait s’agenouiller devant le public ! Bien qu’elle l’ait arrêté à la dernière minute, il lui avait quand même fait perdre la face !Cette fois-ci, il était donc convaincu que c’était Molly qui l’avait ridiculisé !« Comment oses-tu crier le nom de Molly ? Tu es mérité de recevoir son coup ! »Le visage de Léo est devenu blanc d’un instant lorsqu’il était réprimandé.Comment son père avait-il pu tolérer que Molly le frappe ? Après tout, il était son oncle, comment pouvait-elle l’humilier ? C’était un honte nul pour lui ! En ce moment, Justine n’a pas pu s’empêcher de parler : « Papa ! Quoi qu’il en soit, Léo est aussi un aîné de Molly ! » En disant cela, elle s’est avancée pour aider son mari à se relever, mais elle a entendu la voix glaciale du vieux Doré :« Sans ma permission, personne ne peut pas l’aider à se relever aujourd’hui ! »Justine était tell
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 385
À l’heure actuelle, le vieil homme était encore en colère et qu’ils ne pouvaient pas se permettre de l’embêter. Ils devaient se reculer.La grand-mère Deneuve n’était pas venue cette fois que pour voir comment la famille Doré traiterait sa petite-fille, et elle a vu clairement l’attitude du vieux Doré envers Molly, elle n’avait plus à s’inquiéter.Elle était déjà assez mal à l’aise dans cette famille Doré ridiculement grande, mais le grand-père de Molly lui demandait même d’y rester pour un long moment. Elle voulait le refuser, mais se souciant de savoir si c’était impoli… Elle était dans un dilemme.Molly, semblant d’avoir lu ses pensées, a ouvert la bouche de manière nonchalante : « Grand-père, ce n’est pas nécessaire. Ma grand-mère n’est pas familière avec cet endroit, et j’ai des examens à venir, alors je crains de ne pas avoir le temps de l’accompagner pour passer du bon temps, alors je laisserai ma grand-mère rester ici pour un long moment où, j’aurai la prochaine opportunité. »
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 386
Louis et Antoine ont acquiescé également, ils venaient eux aussi de quitter le bureau et ont rencontré par hasard leurs trois petits frères qui sont arrivés d’école.La grand-mère Deneuve regardait les jeunes devant elle : Antoine se tenait devant, les quatre frères à l’arrière. Elle a deviné que ces cinq garçons doivent les frères de Molly.Leurs visages brûlants et rouges montraient leur anxiété. Voyant cette scène, la grand-mère Deneuve était émue, elle a agité la main et a dit que ce n’était pas grave et leur a dit de se dépêcher de s’asseoir pour le dîner.Alors ces garçons se sont assis à côté d’Molly. Molly a rappelé une diction : « Qui m’aime, aime mon chien. » Ses frères savaient très bien l’importance de la grand-mère Deneuve pour elle, ils la respectaient aussi et sont rentrés à la maison pour la voir malgré des emplois du temps compliqués.Elle était depuis toujours une fille reconnaissante, à ce moment, elle s’est sentie très émue et très heureuse.Simone était assis à cô
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 387
Justine : « Il est rare que tu puisses ne pas servir aux côtés du vieil homme, alors pourquoi ne pas profiter d’un peu de paix et de tranquillité ? »Victor était trop paresseux pour se soucier des mots d’une femme, son visage était sombre et on ne savait pas ce qu’il pensait.Maria, qui était assis à son côté, n’a pas découvert l’implication et la moquerie dans les mots de Justine, elle la regarda d’un air confuse, puis a baissé même la voix pour persuader son mari : « C’est vrai, Victor. Après tout, son père est une personne malade. Ce n’est pas bon pour toi de rester à ses côtés tout le temps, ne serait-il pas bon de changer de position maintenant ? »Lorsque Victor a entendu ce que sa femme avait dit, il a failli cracher du sang.Il a pris une grande inspiration avant de tourner la tête pour regarder Maria. Cette femme ne connaissait rien aux affaires de la maison et ne pensait qu’à faire de sa fille une star, et à peine elle avait encore dit des mots aussi stupides ! Il avait simp
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 388
Chapitre 388Au cours d’un repas, Molly a présenté ses frères aînés l’un après l’autre à sa grand-mère.La grand-mère Deneuve a regardé la jumelle d’Arthur et de Simone, un sourire est apparu sur son visage : « Vous semblez avoir la meilleure relation avec Molly, n’est-ce pas ? »Ces deux petites ne cessaient d’servir des plats à Molly, de peur qu’elle ne puisse pas les manger.Elle était âgée mais elle était intelligente. Les adultes qui étaient venus aujourd’hui n’étaient probablement que de suivre l’ordre du vieux Doré, mais en revanche, les petits qui s’étaient précipités pour la rencontrer étaient ceux qui avaient vraiment une bonne relation avec Molly.Simone a hoché la tête à ses mots, il était extraordinairement timide devant cette vieille dame, et sa voix était très douce : « Oui, je suis en bons termes avec Molly. »Les coins de la bouche d’Arthur tressaillaient à ces mots, et alors qu’il voulait dire quelque chose en signe de défi, il a entendu Molly dire d’une manière série
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 389
Chapitre 389Bien sûr, c’était la grand-mère Deneuve qui pensait le plus à elle.Jean, Victoria et leurs quelques enfants ont accompagné Molly et la grand-mère Deneuve jusqu’à la porte.Antoine est arrivé à ce moment-là avec une Mercedes luxueuse et discrète !Les coupés Mercedes-Benz étaient réputés pour leur confort et Antoine avait choisi cette voiture avec les meilleures intentions, craignant que cette vieille dame ne soit mal à l’aise.Molly a haussé un sourcil en regardant son frère aîné sortir de la voiture et ouvrir la portière à sa grand-mère. Il a attendu que la grand-mère s’y installe avant de retourner sur le siège du conducteur.Voyant cette scène, Molly était émue.Bien que son grand frère soit une personne timide, il était aussi son frère le plus attentif.Sans plus attendre, elle est montée également dans la voiture et s’est assise à côté de sa grand-mère.Viville se trouvait à environ deux heures et demie et trois heures de route, et tous trois riaient et plaisantaient
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 390
Chapitre 390« Non, c’est juste qu’il fait plus chaud. » Antoine lui a demandé ensuite en souriant : « Comment va grand-mère ? J’espère qu’elle n’est pas devenue déprimée à cause de son départ. »Molly regardait les grands yeux dans le rétroviseur et a hoché la tête affirmativement vers lui : « Non, elle m’a dit de bien m’entendre avec vous. »« On dirait que ta grand-mère est satisfaite de nous. »Antoine a poussé enfin un soupir de soulagement, il a démarré la voiture pour retourner.Molly s’ennuyait et jetait un coup d’œil à son téléphone.Soudain, elle a reçu un message venant d’Eden.« Molly, s’il te plaît, aide-moi à trouver cette personne compétente, j’ai besoin de son aide, sinon, tout sera fini ! »Molly a haussé légèrement les sourcils. En fait, sa relation avec Eden n’était pas proche. Mais ce matin, il avait fait visiter l’école à sa grand-mère et s’était comporté très gentiment, elle avait une dette envers lui. Mais elle ne savait pas son vraie intention de chercher Lucif
Madame Verne en ses chemins de triomphes Chapitre 391
Chapitre 391Mais il se sentait maintenant impuissant. Il s’intéressait à l’informatique depuis son enfance et passait beaucoup de temps à l’apprendre. Ses compétences étaient inégalées dans le pays, mais cette fois-ci, il était trop frustré. S’il ne pouvait pas résoudre le problème, l’entreprise créée par lui et Eden s’effondrerait.À cette idée, il était pâle et avait du mal à se concentrer, il a donc fait des erreurs encore une fois de plus dans le code. Frustré, Philippe s’est levé et a jeté ses écouteurs de côté : « Merde ! » Il s’en voulait d’avoir commis une erreur inepte. Mais au moment où il s’est retourné, quelqu’un s’est assis à sa place.Il a entendu le bruit de frapper du clavier. Philippe avait les yeux écarquillés en voyant Molly assise devant son ordinateur portable. « Hé ! Qu’est-ce que tu fais ? », s’est-il crié. C’était le terminal de son système, et une petite erreur de code causerait d’énormes problèmes à l’ensemble du système.Mais sa cousine, qui ne savait ri
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